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Bravo Bibi, j'ai aimé ta partie (surtout le tres poetique début)
Nahognas ne donnant pas signe de vie :


J'avais le ventre serré. Je venais d'annoncer l'accaparante nouvelle, le visage de l'homme devant moi se décomposa. Il s'énerva et devint presque orange avant de virer d'un rouge étrange, un peu comme les cerises qui n'ont guère eut de temps de murir et de s'épanouir.
- Comment ça enfuis ? Comment ça enfuis ? Comment…
Je ne serais que peu capable de dire le nombre de fois où il se répéta, pareil à  un vieux perroquet, à  quoi il ressemblait en tous points d'ailleurs : il avait des cheveux d'un gris sombre, typiques de la soixantaine ou les cheveux sont loin d'être blancs, montrant ainsi que la vie n'est pas encore finie, mais aussi loin d'être d'une couleur uniforme et lisse comme ceux des hommes forts, et il portait une veste d'un jaune et d'un rouge criard qui jurait avec son aptitude.
J'étais dans le bureau de mon chef. Ce n'était pas vraiment un bureau, plutôt une pièce assez longue et étroite, tout semblait violet à  cause des fenêtres recouvertes de vitrail violacés qui n'avaient pas de forme. Il faisait incroyablement chaud dans cette pièce, à  croire que son propriétaire n'ouvrait jamais ses fenêtres pour faire courants d'air.
Soudain, alors qu'il avait presque viré au bleu sombre, il se tourna vers moi et ouvrit bien grand son bec pour vociférer :
- Vous aviez quinze hommes, quinze hommes ! Et vous n'avez pas été foutu d'arrêter un simple mec, un pèquenot qui traînait !
- Ils étaient quatre ! protestai-je calmement.
- Quatre hommes forts prêt à  ce battre ? Et alors, vous auriez dû, vous auriez dû…
Il s'étrangla avec ses propres propos. Cela me permit d'avancer :
- Un de mes hommes les a vu, nous serons certainement en mesure de les retrouver, ils avaient une fille avec eux, elle n'avait pas l'air de pouvoir marcher, ils n'ont pas pus aller bien loin et…
- Quoi ? hurla-t-il d'une voie de fausset dû à  l'étouffement, une fille ! Et vous les avez laissé partir ? Vous n'êtes qu'un…keuf…keuf…un n'in…capable ! Dîtes moi que, au moins, vous vous êtes battus et que vous avez perdu, j'aurais bien moins honte…keuf…
- Euh, non, mais…
- Quoi ? Quoi ? Quoi ? Keuf…keuf…elle ne vous aura servi à  rien votre petite épée cette fois-ci…keuf…
J'observai alors son visage redevenu rouge piment et portai la main à  ma ceinture, mes doigts se refermèrent machinalement sur le pommeau de mon arme. Les gardes autour de moi, le firent également, peu être craignaient-ils que je n'attaque leur chef, qui était malheureusement le mien par la même occasion. Je répondis d'ailleurs à  celui-ci :
- Ce n'est pas une petite épée.
- Ouais, votre long couteau, quoi !
- Ce n'est pas un long couteau, c'est une lame mesurant près de vingt centimètre, elle…
- Elle ne sert à  rien en fait, elle est trop longue pour être utilisée de prêt car elle gêne le manieur et est inutile pour le combat éloigné car elle n'a pas une longue portée.
- Certes, mais elle peut être une arme fatale quand on l'utilise en combinaison avec le combat en arme blanche car elle…
Il y eut un silence, je me rendis compte de j'expliquais quelque chose de technique à  un idiot.
- Car ?
- Rien, laissai-je finalement tomber.
- Vous m'énervez, allez vous en, je ferais appel à  votre incompétence en cas de besoin.
Je serrais à  la fois les dents et les poings et essayais tant bien que mal de contenir ma rage.
- Oui, dis-je d'une voie grinçante à  souhait.
Je courbai la tête devant lui, ce que j'avais horreur de faire, et je retournai.
- Attendez ! C'est votre nom déjà  ?
- Je m'appelle Nanjii.
Je sortis de la pièce et claqua la porte derrière moi. Je translatai toute la haine que je possédais dans mon bras et frappa le mur le plus proche.
Premièrement, j'eus très mal à  la main, deuxièmement, j'avais souhaité détruire le mur mais l'endroit où j'avais frappé n'était même pas fissuré.
- Ca s'est mal passé, chef ?
Je me retournai pour voir trois de mes hommes qui me regardaient avec étonnement et compassion. Ces trois là  étaient d'excellents amis, ils ne se quittaient jamais, ce qui m'énervait régulièrement à  cause des entraînements où ils n'arrivaient pas à  se décoller.
- Nan, nan, répondis-je d'un sourire forcé, tout c'est bien passé, mais là , je rentre chez moi, je vous laisse seuls pour l'après midi, prévenez les autres s'il vous plait.
- Youpi ! L'après-midi de libre !
Je me retournai et fit un pas, lorsque je m'arrêtai et tournai la tête vers eux :
- Mais…vous ne devriez pas être à  votre entraînement à  cette heure-ci ?
- Euh…
- Retournez-y ! Vous n'avez plus l'après-midi de libre, ça vous apprendra à  sécher l'entraînement ! leur criai-je dessus.
- Mais…mais…
- Pas de discutions possible !
Sur ce, je pris le chemin du retour au logis.



- Hum…qu'est-ce que je vais mettre cette fois-ci ?
Après une longue réflexion, je saisis un tube orange et versa poudre qu'il contenait dans une bassine d'eau chaude. Le liquide devint très vite de la même couleur que la poudre. Je posai le tout sur une table de la salle de bain et posa une chaise devant puis j'y pris place. Mes longs cheveux se plongèrent peu à  peu dans la substance. J'attendis peu de temps et me redressait, une serviette blanche essuya ma chevelure et devint très vite couleur or. Je la coiffais et me plaçait devant la glace.
- Oua ! Ils sont tout oranges maintenant !
Je plongeai les mains dans un sac.
- Essayons mes achats !
Je saisis le haut original que j'avais trouvé et l'enfilai. C'était une sorte de ruban très épais. Je le passai sur ma nuque et le fit passer par devant, je le croisai de manière à  ce qu'il cache mes seins et, une fois cela accompli, je lui fis faire le tour de ma taille et joignis les deux bouts sur ma gauche avant de faire un nÅ“ud papillon. J'enfilai ensuite une petite culotte orange et ma recouvrait d'une mini jupe assortie.
Je me tournais devant le miroir. J'attrapai mes cheveux d'une main et posai l'autre sur ma hanche.
- Oua ! Je suis trop classe !
Je me surpris à  faire quelques pas de danse devant mon reflet qui les reproduisaient. J'aurais pu faire cela encore un bon moment si un bruit sourd et régulier n'avait résonné à  mes oreilles.
- Ouais ! Voilà  grand frère qui rentre !
Je sautais sur une chaise se situant prêt de la porte d‘entrée du notre appartement et attendis. Les pas se rapprochaient et je les entendais distinctement. La porte s'ouvrit et un homme entra et ferma la porte derrière lui. Il fit quelque pas lorsque je pliai les jambes et lui sautai dessus. Il tomba face contre terre dans un bruit sourd, moi assise sur lui.
- Bonjour grand frère Nanjii !
- Raaa, Leike ! Pousse-toi ! Ne t'es pas si légère !
- J'ai une question à  te demander.
- Pousse-toi d'abords ! On verra après !
- C'est qui la plus belle de la ville ?
- Ben... c'est toi ?
- Perdu ! Moi, je suis la plus belle du monde !
Sur ce, je plaçai mes mains sur ses côtes et me mis à  les chatouiller vigoureusement. Mon frère sursauta et tenta de ce libérer.
- Haaaa ! Naaaan ! Arrête !
- C'est ta punition pour n'avoir pas reconnu ma beauté.
- Arrête ! Au secours !
Il se cabra d'un coup et m'éjecta, je poussai un cri sur surprise et tombai à  genoux. Nanjii m'attrapa la cheville et admira deux secondes mes fins orteils et ma plante rose et m'envoya un sourire narquois puis fit glisser ses doigts sous mon pieds. J'explosai de rire dès les premiers attouchements. Je gigotai mais ne parvint pas à  me libéré. Ses ongles gratouillèrent ma plante du puis remontèrent jusqu'à  mes orteils.
- Non ! Hi hi hi ! Arrête ! S'il te plait ! Grand-frère ! Je suis désolééééééeeeeeee !
Il lâcha mon pied. Je me calmai et regardai son visage qui me souriait. Ce n'était pas normal qu'il sourit de cette façon, cette façon de sourire sans chaleur.
- Tu as eu une mauvaise journée ?
- Ouais, plutôt…
- Tu veux en parler.
Il me répondit d'un regard qui voulait tout dire, mon frère n'était pas du genre à  me raconter ses problèmes naturellement.
- Euh, hum, fit-il, tu as changé de teinture ?
- Ouais, j'ai dû tuer deux hommes aujourd'hui…
- Ah oui, t'as fait des courses aussi, ce n'est pas un peu…décolleté ?
- Mais non ! Il fait chaud tout le temps ici ! Décolleté, ce serait plutôt ça ! dis-je en lui montrant tout.
Il devint rouge pivoine.
- Mais…mais ça va pas de faire des trucs pareils à  16 ans ?
- C'est ma faute à  moi si à  18 ans t'as toujours pas de petite copine ?
- Je t'ai rien demandé !
- Raconte moi plutôt ce qui t'est arrivé !
- Mais rien ! J'ai juste planté une mission ! C'est tout !
Je me mis à  rire, c'était si facile de le faire sortir de ses gonds. Mon pauvre grand frère, si facilement influençable…
- Aller, je te laisse, je vais me maquiller !

Wouais, les premières chatouilles !!

CH92, c'est absolument su bli me. SUBLIME. Tes deux persos sont très bien décris et parfaitement adapter à  l'univers que tu as créées.

J'adore Leike. La jeunes fille espiègle et complètement superficielle (en apparence, peut-être à  t-elle des qualité hors du commun) font contraste merveilleusement bien avec l'univers qui l'entoure... et les deux hommes qu'elle a tuer pour se teindre les cheveux... Du grand art.(si j'ai bien compris...)

Bravo, je n'ai rien d'autre à  dire que bravo... à  Al maintenant.

Putain, cette histoire avance à  un rythme d'enfer...

vraiment super!
mais cette fille ne pense vraiment qu'a son apparence!
genre"je suis la plus belle du monde"une vrai prétentieuse
et le mec il poursuivait karu,axel,fenix et la pitite protégée de axel si j'ai bien compris,hein ?
quoi qu'il en soit je suis du meme avis que tonka,trés bien décrit et va bien avec l'univers

du grand art

Merci ! C'est vraiment super sympa 

et les deux hommes qu'elle a tuer pour se teindre les cheveux... si j'ai bien compris...)

C'est pas tout à  fait ça mais cela sera dévoilé plus tard

et le mec il poursuivait karu,axel,fenix et la pitite protégée de axel si j'ai bien compris,hein ?

C'est bien ça

on attend que ça

Concernant Bibi... Mariko, rien n'aurai pus me faire plus plaisir! Mais alors il n'y a à  mon avie que Fenix qui aura le courage (Ou la bêtise) d'aller la titiller, j'attend de voir, mais c'est une superbe entré en matière pour ce personnage que tu nous fais là , cher bibi.

Ouais, pour l'instant, ce sera la bêtise parce que j'ai absolument aucune idée qui est Mariko. Donc non plus aucune idée de ses pouvoirs, malgré que des gens sciés en deux par une force invisible me donne un apperçu de ses capacités... Mais il faudrait plus de détails Bibi stp...

Pitites precisions sur Mariko puisque apparement casi que Al la connait:

-Elle est en fauteuil roulant mais n'est pas insensible (On la voit nettement marcher dans la série (Juste avant qu'elle ne coupe en deux la proffesseur chargée de son projet)

Et pour les autres, je vous fait un bref résumé de se qu'elle est

En gros, c'est une diclonius (Plus sur du tout de l'orthographe) elle est issue d'une recherche blabla, et a étée envoyé tuer une autre diclonius. Tous diclonius possèdent, en plus de leurs 2 bras, plusieurs bras invisibles qui ont une portée plus ou moin longue, appelés vecteurs. Mariko a la particuliarité d'avoir beaucoups de bras très long (26 je crois avec une grande portée). Elle ne peut usé de ses vecteurs quand elle souffre, et pour tricher un peu, on va dire sous les chatouilles ;p. Elle a aussi, comme tous diclonius, un pouvoir un peu étrange qui consiste a envoyer des sortes d'ondes qui coupent bien souvant les parties visées de l'adversaire. Bien que ses vecteurs soient longs, elle s'en sert très peu pour tuer, mais plutôt pour donner des coups.

Résumé rapide. Ca fait longtemps que j'ai vu elfen lied je me rappelle pas de tout

-Sinon, t'as raison, elle est très peu agée (Moin de 15 ans si ma mémoire me fait pas défaut) Mais comme c'est la superieure de son interlocuteur, j'ai choisis qu'il l'appelle "Madame" ^^

si z'avez d'autres questions, aucun probleme ^^

(Jtiens a dire qu'elle utilisera peu ses vecteurs et que la puissance de ses "Ondes" sera fortement diminuer, pour ne pas passer pour le gars qui own tout le monde ;p)

Aller, une tite photo parce que je suis gentil:

tous simpllement super!
trop mdr le coup de venom qui hurle(si j'ai bien compris)et axel qui dit"a c'est les solde!"
et didon la fille meme si elle est muette elle est pas conne
en plus tu a décrit un peu plus mariko et ça c'est bien

c'est a toi squall!

Ouais, c'était Venom ou.... Ombre, qui sait... ou les deux qui ont un rendez-vous en amoureux et Fenix est venu faire une crise de jalousie...

EXCELLENT, rien à  ajouter... Sauf bravo

lol je pense pas que ça marcherait une entité gazeuse et une entité solide-liquide

Euh, ouai, moi aussi ça m'a fait marrer 
Ben c'est génial ! Félicitation, c'est mieux que ta première partie.

Cependant, je voudrai être certain d'avoir tout bien compris : Il est dit par le boss que Nanjii avec ses hommes ont poursuivi "un péquenot", je devine sans mal qu'il s'agit donc des hommes par qui Axel prétendai être poursuivi tout au début? Nous sommes donc tous parfaitement d'accord pour dire que c'est bien ombre et seulement ombre qui coursait Fenix, Karù et Axel, puisque seul un des hommes de Nanjii préten les avoir vu.

Pas du tout, c'est bien axel karù la fille et fenix que l'homme de Nanjii à  vu. Le chef le traite  de 'péquenot" car il est énervé, pas parce que c'est un vrai péquenot.

ah ben ça,j'en suis sur

mais si tu veux me faire un diminutif,appel moi goku et pas sango stp

sinon on attend ta suite squall

oh et une derniere chose,ce message s'adresse a tous le monde,quand quelqu'un de l'organisation apprend que aang s'est réveiller et s'est enfuis,il faut qu'il ai l'air trés surpris,parce que aang est sensé etre mort cérébralement et etre aussi intelligent qu'un légume.

merci d'avance

Bon alors c'est juste pour vous dire que je ne serai pas là  en fin de semaine. Je vais au chalet d'une de mais amie et il n'y a ni internet, ni électricité, ni eau courante.

Bref, si SQUALL poste sa suite se week-end, n'attender pas la mienne avant lundi. Voilà .

Bonne fin de semaine comme on dit par chez nous !!

wa c'est vraiment un coin perdu ou tu vas

Alors pour mttre leschoses au point : C'est Karù ! Et pas Karu !!!! Et bien sur ça se prononce Karou. OK ?
Bon voilà .

Bibi, Ch92 et puis (surtout) Al (parce qu'il a utilisé mon personnage à  la perfection) : vos parties sont génial, j'ai vraiment adoré. Les autres aussi bien sûr.

Bon je crois pouvoir vous dire que je posterais l suite ce week end, mais comme j'ai pas mal de choses à  faire, je vais surement l'écrire par petit bout, et bien sur je ne les posterais pas un par un mais tous ensemble. Donc soyez patient. (en plus je n'ai vraiment aucune idée pour la suite, cette histoire de bosse et de QG souterrain, ce n'est pas du tout ce à  quoi je pensais. On verra bien.)

Et bien voila !!! C'est fait et je suis plutôt content de moi. Bonne lecture.
Et euh... dans la mesure du possible, j'aimerais éviter que Venom, l'ombre ou qui que ce sois d'autre arriver en gueulant la dedans.

  Karù fit bruyamment craquer ses phalanges. Dans le silence qui régnait, on aurait pu comparer ça à  un coup de feu. Sur le dos d'Axel, le petit ange frissonna. Elle était réveillée à  présent.
  - Tu pourrais arrêter de faire ça ? Lança Axel.
  - Désolé…
  C'était les premiers que les deux amis prononçaient depuis que l'ascenseur était partit. C'était un vieille ascenseur, lent, très lent. Et qui, pour couronner le tout, grinçait d'un façon insupportable. Ce n'était pas un bruit fort mais seulement persistant. Et ce genre de chose avait le dont de très rapidement fatiguer Karù, hors il prenait souvent cette ascenseur.
  - Euh… Karù ?
  - Quoi encore ? Je respire trop fort ?
  - Non, euh…, je suis crevé, tu veux pas la prendre deux minutes ?
  Un silence succéda à  la demande d'Axel. Karù jaugea son ami du regard, puis la petite chose accroché à  son dos. Ses lèvre s'étirèrent pour formé un demi sourire ironique.
  - Je pense qu'elle préfère rester avec toi.
  Et comme pour appuyer ce que venait de dire Karù, celle-qui-n'avait-pas-encore-de-nom s'accrocha un peu plus aux épaules d'Axel. Machinalement, le jeune garçon jeta un coup d'Å“il vers sa petite protégée, puis lui sourit. Et pour la première fois, elle lui renvoya son sourire.
  « Comment fait elle ? Elle est aveugle ! Je ne comprends pas… » Pensa Karù.
  - Vous êtes trop mignon, murmura t'il avant de de nouveau regarder ailleurs. Mais son regard fut irrésistiblement attiré vers elle. Et quand ses yeux regardèrent de nouveau ce petit être vulnérable, il se rendit compte qu'elle le regardait. Leurs regard se croisèrent un instant et une décharge électrique traversa le corps de Karù.
  C'est alors qu'il remarqua à  quel point elle était dévêtu. Hors la température baissait rapidement sous terre. Surtout quand il y avait un grand fleuve non loin de là .
  - Bordel, lâcha t'il en enlevant rapidement sa veste noir.
  - Quoi ?
  - Ta nouvelle petite amie risque de choper la crève, et toi aussi d'ailleurs. Tiens, mais lui ça sur les épaules.
  Axel accepta la veste sans un mot et la mis sur le dos du petit ange qui commençait, on ne sait comment, à  se rendormir. Mais ce fut finalement la fin de la descente.
  - Terminus, les enfers, deuxième niveau, fit Karù.
  - Qu'est ce que tu dis ?
  - Rien, allons y !
  Les deux amis partirent droit devant eux. Karù savait parfaitement où il allait, Axel en revanche, suivait simplement, très incertain quand aux intentions de son ami.
  - Euh… On va pas voir le bosse tout de suite j'imagine ?
  - Non, vu toutes les conneries que tu as engendrées, il vaut mieux qu'il nous croit encore en mission.
  - Et les sentinelles qui surveillent les entrées et les sortis ?
  - Eux ? Crois moi, on a rien craindre là  ce niveau là . 
  - Mais alors où est ce qu'on va ?
  - On va voir une personne de confiance.
  - Oh non…, soupira Axel.
  Un sourire illumina les traits de Karù. Il ne s'agissait pas de son éternel demi sourire mais belle et bien d'un véritable sourire débordant de joie et sans la moindre trace d'ironie. Axel et elle étaient les deux seules personnes sur cette univers que Karù aimait. Et bien évidemment, ces deux là â€¦ comment pourrait on dire… finissait toujours par s'entretuer. La sÅ“ur de Karù était intenable et toujours surexcité. Et Axel était tellement facile à  berner et tellement amusant à  embêter que c'était devenu son jeu préféré.
  - Tu es sûr que c'est une bonne idée avec la petite qui dort ?
  - …Tu as raison, mieux vaut la réveiller maintenant.
  Une seconde passa.
  - Et euh… Comment je fais ?
  - Bah embrasse là  idiot !
  Un silence plat tomba. Une seconde. Deux seconde. Trois seconde. Puis Karù explosa de rire devant l'expression absolument tordante qu'affichait son compagnon qui maugréa un « c'est pas drôle » discret.
  Les paupières du petite ange s'ouvrirent lentement. Elle était si belle à  regarder que Karù, qui avait finit par calmer son fou rire, crut ne pas pouvoir en détacher son regard. Mais c'est ce que finalement il fit, à  contre cÅ“ur.
  - Allé, allons y.
  Il ne leur fallut qu'une poignée de minutes pour arriver jusqu'au quartier réservé à  Karù et à  ça sÅ“ur. Ils n'y allaient que rarement, surtout Karù, qui avait décidé de vivre loin de tout. Il ne venait rendre visite à  sa sÅ“ur que de temps en temps qui elle avait très largement profité de la place que le départ de son grand frère avait engendré. Karù frappa rapidement à  la porte et attendit.
  - Eh !
  Karù fit volt face.
  - Quoi ?
  - Elle essai de me chatouiller !
  Karù cligna des yeux. En effet, le petite ange à  présent réveillé et dont le visage s'épanouissait de seconde en seconde, avait, semblait il, la soudaine envie de taquiner son porteur qui commençait à  gigoter en tout sens. Elle restait pourtant très affaiblis, ses mouvement en était la preuve, ma sa position lui donnait un certaine avantage et Axel ne semblait pas oser se défendre. Karù, décontenancé, regardait la scène.
  - Mais arrête enfin on va tomber !
  Cette réplique faillit déclencher un nouveau fou rire de la part de Karù. Ce qui ne se produisit pas, et pour l'unique raison qu'il venait d'entendre la porte grincer dans son dos. Il pivota, et se retrouva juste devant le jolis nez fin de sa sÅ“ur.
  - Karù ! ! ! ! ! Hurla t'elle en lui sautant dans les bras.
  - Bonjour Youri, murmura t'il en la serrant dans ses bras.
  Derrière eux, Axel se tortillait toujours tendit que les petit doigts de celle qu'il portait caressait ses côte du bout des ongles. Karù relâcha Youri qui retomba sur le sol gracieusement, tel un félin, sans bruit. Et ce ne fut qu'à  cet instant que Karù remarqua qu'elle était pied nue.
  -Venez, entrer, je suis tellement contente de vous voir tout les deux.
  Ses yeux se posèrent sur notre petite ange taquine.
  - Et elle c'est…
  - Une longue histoire, acheva Karù.
  Ils entrèrent tous les quatre et Axel put enfin déposer son fardeau sur un confortable canapé, où il eu tôt fait de s'asseoir aussi, ne voulant quitter sa protégée pour rien au monde. Celle redevint calme et cessa de tourmenter le pauvre Axel. Karù expliqua rapidement les événements récents à  Youri. Celle ci n'avait qu'un an de moins que lui et seulement quelques mois de différence avec Axel. Elle était plus mignonne que véritablement belle, car elle ne se souciait absolument pas de son apparence. Elle se baladait très souvent pied nue, et ce jour là  elle portait un jean troué au genoux et un T-shirt avec un ENORME cÅ“ur rose. Ses cheveux châtain très claire était presque toujours désordonné, et pour finir, elle faisait absolument n'importe quoi. Mais pour Karù c'était la fille la plus mignonne qu'il connaissait. Beaucoup de frères et de sÅ“urs se haà¯ssaient dans le monde. Hors ces deux là  était différent.
  De son côté, Axel était en plein dilemme. En effet, sa petite protégée avait décidée de s'allonger et avait innocemment posé ses jambes sur les genoux du jeune garçon. Et les jolies pieds nues de la petite ange captait à  présent toute son attention. Et après ce que lui avait fait subire la petite taquine, la tentation était trop forte…

super!
mais dis moi,cette muette est une vrai petite coquine en faite
trés bon style,et pis y a une mini séance qui se prépare !

No soucy ! Je m'y mets tout de suite ^^

bouhouuuu ben et moi alors, je sais que j'ai pas donné nouvelle mais est ce que je peux faire entrer moi aussi mes persos inventé de toute pièce pas d'inquiètude!

ben oui aprés mon tour tu peut faire tes perso

euh c'est pour vous dire que demain je suis absent toute la journée(parc asterix ) et donc pour ma partie il va falloir attendre au moin jusqu'a 21h
svp me boublé pas(a par nahognas qu'a pas encore fait de perso)

pour moi c'est ok,sauf que tonka pourrat ptete pas la journée

sa me dérange pas vraiment!

Moi ça m'est égal,
je viens  de me souvenir qu'on devait parler un peu de nos persos

Alors...
Leike et Nanjii ====) ils arrête pas de sefriter pour que dalle mais il s'adore.
Leike ====) elle a pas l'air mais elle sais très bien se battre (mieux que son frere ?) et elle ne laisse aucune femme approch SON frere chéri.
Nanjii ====) un peu dans la lune, assez calme et gentil sauf quand on touche à  sa soeur... (attention à  celui qui touche à  millimetre de la peau de ses jolis pied lol)


C'est un peu tout

Et pour squall, bah c'est génial !
Pauvre Alex, il faudrait aussi qu'alex trouve un nom à  l'ange parce que c'est assez difficile de la nommée.
Voilà  (bonne nuit tout le monde)

A oui ! J'ai remarqué un truc, nos histoires sont pas chronologiquement logiques, j'ai fait un sauf dans le futur et Al et revenu dans le passé lol

je ne pense pas que ça a une grande importance si?

Si, dans un recit, tout le temps dire "L'ange" ca fait des répétitions inutiles et ca rend le tout vraiment moche, avec un nom on peut changer pour la nommé. Et pour les dialogues, ca le fait pas vraiment de toujours dire "L'ange" ou "Elle" c'est a mon avis pourquoi Chatouille92 souhaite que axel lui trouve un nom ^^

bah de toute façon il les lits pas  (déjà  essayé)

Voila la suite :


Je fus projeté en arrière par la force du coup, percutant au passage un bloc de la structure effondrée . Je me ressaisis rapidement, avant de m'élever légèrement dans les airs .

« J'ai longtemps voulu te détruire, Ombre . Maintenant,  j'en ai l'occasion . Â»

Je fixai le symbiote en contrebas . Il était accroupi sur le sol poussiéreux, sa longue langue se tortillant hors de sa bouche emplie de crocs, sa bave visqueuse gouttant sur le sol . Je le savais, il me haà¯ssait . Sans pour autant que je lui ai fait la moindre chose . C'était avant qu'ils m'enferment avec elle … Ils m'avaient utilisé comme gardien dans un de ses grands bâtiments qu'ils appellent « laboratoire Â» . Je devais tuer les prisonniers qui tentaient de s'enfuir . Même si eux n'appelaient pas ces gens « prisonniers Â» . Ils disaient … « sujet d'études Â», je crois … mais je ne me souviens plus . Moi aussi, ils m'avaient étudié . Mais pas longtemps . Des ombres comme moi, ce n'est pas si rare que ça . Moins que les symbiotes en tout cas . Même si pour une ombre, je suis puissant . J'ai déjà  tué plusieurs de mes congénères, et bien plus d'humains . Mais là  encore, les humains ont mis des mots compliqués pour décrire ce qui est simple . Ils m'ont appelé « élémentaire d'ombre Â» . Mais quel que soit le nom qu'on me donne, je ne change pas . C'est pour ça que les noms sont inutiles : ils ne changent rien aux choses . Et après, ils m'ont mis dans cette salle avec elle . Et Venom s'est enfui . Venom, c'est ça son nom . Son âme à  lui est noire et visqueuse, comme sa chair .

Je plongeai vers lui, toutes griffes devant, prêt à  le déchiqueter . Il se défendit de l'un de ses épais bras, dans lequel se plantèrent mes armes naturelles . Je les retirai brutalement, arrachant un épais morceau de chair noire au monstre, morceau visqueux qui commença à  suinter le long de mes griffes pour venir finalement goutter sur le sol . La blessure de Venom se referma aussitôt, et de nombreux tentacules m'assaillirent . Je les tranchai d'un revers, avant de recevoir un énorme poing en plein corps, me propulsant à  nouveau en arrière . Ce combat serait long, très long . Et totalement inutile .

« Arrêtons nous là , Venom … tentai-je de le convaincre . Ce combat est inutile : nous sommes libres désormais .
- Arrête de parler dans ma tête ! Et de toute façon … je veux te détruire, tu es le seul à  pouvoir me stopper … Â»

Il avait tort, totalement tort . J'étais le seul qu'il sache capable de le stopper, xe n'était pas la même chose . Quoi qu'il veuille faire, il voulait me détruire pour la  menace que je représenterais pour lui si je tentai de l'affronter . Même un humain a besoin d'arguments plus développés pour se battre . Les ombres sont différentes . Nous tuons pour le plaisir . Car se nourrir un âme à  peine sortie d'un corps mourant nous plonge dans un bref état de douce ivresse . Nous sommes momentanément plus fort, plus rapides, plus mortels … mais de plus c'est probablement la sensation la plus agréable à  vivre pour nous . Je me demande ce qui se passerait si je tuais la fille à  l'âme lumineuse et que je dévorais son âme . Ce serait une expérience transcendantale, à  laquelle suivrait une période de manque comme celle que je vivais actuellement . Mais pour toujours . Le mieux serait de rester auprès d'elle jusqu'à  sa mort, et de ne se nourrir de son âme qu'à  la fin de sa vie .

Venom détestait que je lui parle . Nous autres ombres ne parlons pas le langage du son, comme eux, mais nous parlons directement à  l'âme des êtres, en utilisant notre propre essence pour communiquer . Ainsi, comme c'est par notre existence même que nous parlons, nous ne pouvons pas mentir . Les âmes ne nous mentent pas non plus d'ailleurs .

Je repartis à  la charge, et tandis que Venom tendait lourdement son bras pour me repousser, j'usai de ma nature non solide pour m'enrouler autour de la masse de muscles symbiotiques, tel un tourbillon noir dont sortirent deux griffes qui se préparèrent à  lacérer son corps .

Il y eut un choc, un terrible choc . Je fus projeté en avant, de même que Venom . Mais alors que lui resta entier - à  moins qu'il n'ait perdu quelques morceaux de chair - je me séparai en trois morceaux inégaux . C'est un expérience très désagréable, d'être désuni comme ça . Et c'est long et ardu de se reformer, ça demande beaucoup d'énergie . Mais, lentement et douloureusement, je me réassemblai . Une fois reformé, je regardai ce qui nous avait séparé Venom et moi . Je reçus un bloc de béton de plein fouet . Venom aussi, mais lui l'attrapa au vol et le renvoya sur le lanceur, mais le bloc explosa en chemin, comme broyé par une force invisible . Je me repris rapidement et m'élevai dans les airs, pour voir enfin qui nous attaquait . Elle m'était familière, avec ses cheveux roses ses yeux rouges, sur son fauteuil roulant, avec une lueur meurtrière dans les yeux et une paire de morceaux d'os qui dépassaient de son crâne - les humains disent « cornes Â» je crois . Son nom, je ne m‘en souvenais plus, mais un coup d'Å“il à  son âme me le rappelai : Mariko . Je n'aime pas lire son âme : elle ressemble à  un tourbillon changeant de folie, de sang, d'instinct meurtrier . Pas à  une étendue noire unie comme Venom, ni à  de la lumière pure comme celle que je cherche .

« Votre petite escapade à  déjà  trop duré . Pensiez-vous réellement arriver à  m'échapper ? Venom, nous avons encore besoin de toi, tu seras donc renvoyé au labo quand j'en aurai fini avec toi . Ombre, tu as échoué à  protéger le sujet omega-709, et tu as déserté . Tu n'auras pas d'opportunité de te racheter . Tu vas mourir . Â»

Son visage enfantin s'était élargi d'un sourire dément quand elle prononcé la dernière phrase . Une ombre ne meurt pas, ce sont les vivants qui meurent . Les ombres se dissipent lorsqu'elles cessent d'exister  . C'est comme la mort, mais il ne reste rien . La mort, il reste un corps sans vie . Elle lança sur moi sa nuée de bras . D'après ce que j'ai compris, les humains ne les voient pas, Venom non plus, mais moi si . Deux d'entre eux me heurtèrent, me projetant au sol . Une dizaine d'autres se jeta sur moi, tentant de m'écraser,mais je roulai sur moi-même et ils ne firent que marquer le sol de traces d'impacts . Je m'élançai vers elle, mais ses bras me barrèrent la route . Je les esquivai, me rapprochant d'elle . Elle n'avait plsu rien pour se défendre . Je tendis une main griffue, et lui fit décrire un arc mortel en directiond e son cÅ“ur . Elle aurait du mourir, si un incident n'était pas survenu . En effet, un gigantesque incident noir et tentaculeux profita du fait qu'elle semblait concentrée sur moi pour bondir sur elle au moment même ou j'allais la tuer, percutant Mariko en même temps que moi . Le fauteuil roulant, une roue tordue par l'impact, fut projeté quelques mètres plus loin, son occupante roula au sol, agrippée à  la chose la plus proche d'elle au moment du choc, c'est à  dire mon bras . Je me remettais rapidement du choc, mais une pluie de coups portés par ses vecteurs - les bras qu'elle a dans le dos - me plaquèrent au sol . Elle se releva avec difficulté et s'avança vers moi . Alors qu'elle allait m'achever, le symbiote la chargea en hurlant . Elle dut détourner ses bras pour les envoyer à  sa rencontre, le choc l'envoyant éventrer le mur du premier étage d'une habitation voisine . Mariko voulut l'achever, et commença à  se diriger vers le trou qu'il avait formé .

La soif de sang qui els caractérise réduit parfois grandement le sens logique des diclonius . Elle aurait pu m'achever, mais une fois que Venom avait capté son attention, elle se détournai de moi, et inversement . Le combat la mettait dans un état totalement différent de son état normal . D'habitude, elle était cruelle, froide, sadique . Là , elle était comme une bête sauvage assoiffée, comme certains humains que les autres enferment en les appelant « déments Â», « fous Â», ou « psychopathes Â» . Avant qu'elle ne devienne une dirigeante du  grand laboratoire des humains, elle était un sujet d'expérience . Avec plein de ses semblables . J'ai entendu des gens en parler, j'en ai gardé quelques un . Des scientifiques affirmaient qu'on faisait subir des diclonius des expériences horribles, certains parlaient de « tortures Â», d'actes inhumains . Mais d'autres traitaient les diclonius comme des êtres inférieurs à  tout . Même aux élémentaires . Les humains n'ont pas de considération pour les élémentaires . Les élémentaires n'ont pas de considération pour les humains non plus . Mais les diclonius n'ont pas eu de chance . Ils sont morts pas dizaines dans d'atroces souffrances, parce certains les haà¯ssaient ou que d'autres aimaient les faire souffrir . La plupart étaient jeunes, moins de dix années humaines . Mariko est peut-être la dernière, je ne sais plus .

Un son de cloche perturba la scène . On entendit un hurlement dans l'habitation ou Venom était entré . Les symbiotes n'aiment pas les vibrations . Mariko se retourna vers moi, mais j'étais parti .

Je n'aime pas les combats inutiles . Et puis, je dois toujours la retrouver .











==========> Non, on ne chatouillait pas les diclonius . Ceux qui ont vu la série peuvent témoigner des horribles conditions d'expérimentations que ces pauvres enfants ont subi (fondons l'association de protection des diclonius xD) .


Bonne chance aux suivants ^^

pas mal le combat ombre contre venom!

j'avais cru que ombre allait être chatouillé mais apparamment non?

Sauvons les Diclonius! è_é (Très bon chapitre, d'ailleur sur se post tous les chapitres sont bons T_T)

fondont la spd!(Société Protectrice des Diclonius xD)
trés bon chapitre,mais j'ai juste une petite remarque a faire,comme je l'ai expliqué,venom peut detecter la chaleur,et donc les vecteur
mais c'est pas grave,t'aura qu'a dire que ombre connaissait pas ce talent de venom 


euh al a raison SQUALL,fait un peu de place dans res MP que je puisse te répondre

c'est vraiment super, a la hauteur des attentes, par contre, j'ai une surpopulation du mot "choc" et beaucoup de répétition

C'est voulu, de même que les changements de sujet à  répétition de ses pensées, et tout ça ^^

Bravo à  vous deux, c'est excellent.

Squall, je te reconnais complètement dans ta partie. Ta plume est toujours aussi bonne et pour quelqu'un qui n'étais pas inspiré, tu t'en sors haut la main. J'ai particulièrement aimé la fin, et j'ai hâte de voir ce que va faire Axel avec ça...

Chevalier, encore une fois, tes batailles sont à  la hauteur des attentes. J'aime beaucoup ta façon de d'écrire l'action à  la première personne. à‡a nous permet d'entrée complètement dans la psychologie d'Ombre.

Bravo à  vous deux donc. Pour moi, je posterai la suite demain et pour vous, ce sera ce soir. (et oui, le décalage...)

ok ba on attend ça avec impatience!

et apres ce sera nahognas a qui je conseille de commencer sa partie dès maintenant car il n'a certainement pas besoin de la partie de tonka pour créér ses persos.
Vala 

ok mais le prochain tour on reprend ses place
-ch92
-al
-squall
-tonka
-chevalier
-moi
-nahognas
-bibi

a par si quelqu'un a un empechement

Contrairement aux autre (apparament)  j'ai été déçu par la partie de chevalier (avec tout ce qu'il a écrit ça devais bien arriver un jour non ?), Je trouve ce combat trop rapide dans le scénario. Il se sont jamais vu ils se pètent déjà  tous la gueule !
Mais surtout, j'ai trouvé ce combat un peu brouillon. Je ne sais pas c'est une impression. Bref ça ne m'a pas plus autant que d'habitude.

euh al a raison SQUALL,fait un peu de place dans res MP que je puisse te répondre

Ouais ouais je fais de la place je fais de la place. Et ch92 je les lis mes messages ! c'est pas ma fautes si tout le monde m'en envoi ! 

Tonka, merci pour ton compliment ! (yen a peut être d'autre mais c'est lui que j'ai retenu ) J'ai fait ce que j'ai pu, et moi aussi je suis content de ce que j'ai fait

merci c'est bon tu as eu ta réponse

je voudrait préciser a tous que le baton de aang est vraiment trés trés solide,il peut meme résister au épée,hache etc.....

Bon, voici ma suite. il faut bien faire avance cette histoire un peu. Encore une fois, désoler pour les fautes d'ortographe...


- Réveille-toi, réveille-toi.
Un énorme doigt tambourinait sur son épaule frêle tandis qu'Aang revenait tranquillement à  lui.
- Où, où suis-je?
- Tu es chez moi, répondit un immense homme avec une grosse voie
- Ah bon.
Aang cligna des yeux quelque fois et se redressa, complètement réveillé. Il avait rêvé et se sentait beaucoup mieux. Tout lui revint alors en tête : La voit, son évasion, Bernard et Robert, la rencontre de ce géant…
- Qui êtes-vous?
- D'où je viens, on m'appelait Fenix. Tu peux m'appeler Fenix.
- Comment suis-je arrivé ici?
- Tu es tombé dans les pommes. Je t'ai ramené sur mon dos du centre ville à  ici.
- La ville ? Quelle ville?
- Tu poses trop de questions. Tiens, mange ça, ça va te redonner des forces.
- Qu'est-ce que c'est ? demanda-t-il en mordant avec appétit dans la galette.
- C'est du rat.
Le garçons failli s'étouffer et recracha immédiatement ce qu'il avait dans la bouche.
- Beurk, du rat, moi je ne mange que des fruits.
- à‰coute fiston…
- Je ne suis pas ton fiston.
- La ferme et écoute. Je ne sais pas ce qu'est un fruit, mais ici, il n'y a que du rat.
- Oui mais moi, je n'aime pas ça.
- Alors passe toi en.
Sur se, Fenix arracha la galette des mains du gamin et l'avala en deux bouchés bien faites.
Aang lui tira la langue et croisa les bras, boudeur.

Il se trouvait dans une sorte de repère ou cachette, mais il n'y avait pas de mur. Ou il y en avait mais ils n'étaient pas unis. C'était plutôt un empilement de déchet et de débris ramasser un peu partout et empiler pour former un abri. Des restes de voiture avaient habilement été disposés de façon à  former ce qui devait être un lit alors que le toit était assuré par de grandes plaques de tôle savamment assemblé. Les murs étaient constitués de multiples objets, tous aussi laids les uns que les autres. Une table simple était posée au milieu de l'unique pièce, recouverte de tout et de rien. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, l'ensemble inspirait malgré tout un sentiment de réconfort et de sûreté. C'était le repère de Fenix.

- Eh merde, il fallait que je tombe sur un boudeur en plus.
- Je ne boude pas !
- Et moi je suis une tortue !
Aang se retourna et souffla dans sa direction.
- Alerte, Alerte, danger, résonna le processeur dans la tête de Fenix.
Le colosse fut submergé par la masse d'air et tomba à  la renverse, avant de glisser jusqu'à  un pneu qui servait de mur.
- Bien fait pour toi, dit le gamin avec un sourire satisfait sur les lèvres.
Fenix se releva sans un mot. Il se dirigea vers Aang, l'attrapa par le poignet et le souleva devant son visage en lui plaquant l'autre main sur la bouche. Le garçon eu beau se débattre, donner des coup de pied et de poing sur tout ce qu'il pouvait atteindre, il lui était impossible de se soustraire à  la poigne de fer qui le tenait. Il tenta d'utiliser son pouvoir mais aucune molécule d'air ne parvint à  franchir ses lèvres, fermement bloqué par l'énorme main du géant.
- Règle numéro un : Tu n'utilise JAMAIS ton pouvoir contre moi.
- Hummmm
- Pas de hummmm. Tu m'as bien compris ?
Aang lui lança un regard assassin et fit oui de la tête. Ils se regardèrent un instant et Fenix le posa au sol.
- à‰coute petit, Je t'ai amené chez moi parce que je pense que tu vas pouvoir m'aider.
- Comment est-ce que je pourrais t'aider, je ne sais même pas ce que je fais ici, je veux dire je suis à  quelle époque?
- Selon le compte de cette planète, tu es en 2100. Tu as passé huit cent ans en criocongelisation et tu t'es réveillé il y a deux jours. D'après ce que j'ai compris, tu étais un sujet d'étude mais tu les as prit de cours en te réveillant. à€ l'heure qu'il est, il te recherche.
- Mais qui me recherche à  la fin?
- Les membres du gouvernement, ceux qui tirent les ficelles quoi. Mais comme tu peux le voir, j'ai besoin de plus d'information sur le pourquoi du comment.
- Tu as dit qu'il y avait une chose qu'il ne fallait pas croiser dans la rue. C'est quoi?
- Il y a beaucoup de chose mauvaise dans la rue. Ma quête en se monde consiste d'ailleurs à  neutraliser l'une d'elle. Mais il y a une rumeur qui cours, comme quoi une nouvelle abomination ce serait échapper des laboratoires du gouvernement. Une créature mauvaise, rapide et forte, trop forte, peut-être même pour moi.
- Et qu'est ce que je viens faire là  dedans moi?
- Vois-tu, avec ce que…
- Alerte, alerte, ennemis en approche dans le secteur H, alerte ennemis en approche dans le secteur H…
- Avec quoi?
- La ferme. Attend. Sonia, confirme moi leur nature.
- bip bip, ennemis identifié : Ce sont des humains. Nombre : plus de vingt.
- Sonia?
- La ferme, Sonia est l'ordinateur que j'ai dans le crâne.
- L'ordanimaquoi?
- La ferme bordel, des gens approche. Ils sont sûrement là  pour toi. Il faut que tu te caches, je vais voir ce qu'ils veulent et vais tenter de les renvoyer.
- Mais…
- Pas de mais. Fait ce que je te dis. Si jamais ils m'ont avant, tu prends ton joli petit bâton et tu t'envoles le plus loin possible compris?
- Pas question, je sais me battre. Avec mon air, je vais…
- NON ! Tu ne feras rien du tout, sauf t'envoler comme je t'ai dit.



- Robert, déploie ton unité sur le flanc droit.
- à€ vos ordre mon général !
- Bernard, vas sur le flanc gauche.
- Compris cher caporal, CHEF !
Nanjii, qui commandait cette unité d'assaut afin de récupérer le sujet d'expérience, était persuadé de l'échec de cette mission. Et la raison en était simple : les deux andouilles qu'il avait comme lieutenant. Il se tuait à  dire qu'ils étaient nuls mais il se retrouvait inévitablement pris avec. Et comme c'était les neveux de l'exécuteur en chef, ils obtenaient toujours les missions qu'il voulait et faisait, comme à  leurs habitudes, tout foiré.

Ils avaient argué, dans ce cas précis, qu'ils étaient les seuls à  avoir vu le sujet après son réveil mais que par une force trop grande à  imaginer, ils avaient été vaincu après un héroà¯que combat.

Quand à  Nanjii, il voulait racheter son échec de l'évasion et s'était porté volontaire pour mener cette mission à  bien.
- Mes hommes sont en position carrée mon général, CHEF !
- Bien reçu
- Je suis en position dans mes hommes caporal en CHEF !
- Pardons ? Eh non, j'ai compris. Bien reçu.
Nanjii poussa un soupir.
- Surtout, ne faite rien sans mon autorisation.
- Bien reçu ! Répondirent-il en cÅ“ur.


Fenix sortit du tas de détritus et s'avança vers les hommes devant lui. Ils étaient une dizaine et étaient tous armé de fusils tranquillisants. Il remarqua immédiatement leur chef qui se démarquait de par sa posture, son uniforme mais surtout son calme. Une courte lame pendait à  sa taille.
- Attention, hommes détectés sur la droite et la gauche, le prévint Sonia
Il avait son pistolet à  la taille mais ne voulait pas tuer sans nécessiter.


Nanjii vint à  sa rencontre non sans crainte. En effet, ce n'est pas tous les jours qu'on se retrouve devant un inconnu de 2 mètre dix et de 150 kilos devant soit.
- Qu'est ce que je peu faire pour vous ? demanda Fenix.
- Nous somme à  la recherche d'un individu qui s'est échappé de nos laboratoires et nous avons toute les raisons de croire qu'il se cache dans les environs.
- Je n'ai rien vu.
- Nous allons devoir procédé à  une fouille de votre… maison… Il avait dit ça en jetant un coup d'Å“il par-dessus l'épaule de son interlocuteur en direction du tas de déchet.
- Pas question.
- Nous aimerions avoir votre consentement afin d'éviter d'avoir recours à  la force.
- Vous ne ferez ni l'un ni l'autre, répondit calmement Fenix.
- Dans ce cas, vous ne nous laisser pas le choix. Unité un, unité deux en avant
Fenix eu un haussement d'épaule et dégaina son pistolet. Ce dernier fonctionnait par magnétisme. Il créait littéralement un champ gravitationnel attractif ou répulsif, qu'il pouvait modifier à  sa guise.

Nanjii n'avait jamais rien vu de tel. Un homme près de lui leva légèrement du sol avant d'être propulsé en avant vers le colosse. Les fléchettes tranquillisantes sifflèrent mais un grand nombre atteignirent l'homme dont Fenix se servait comme bouclier. Puis, il vit les troupes de Bernard charger, toutes lames dehors. Mais la ligne explosa avant d'avoir atteint sa cible, propulser en arrière par une force invisible. Certain ce relevèrent mais d'autre périrent dans la chute.

Les fléchettes continuait de pleuvoir et Fenix ne pouvait les stopper tous. Il avait beau les arracher au fur et à  mesure, le poison faisait lentement ses ravages. La compagnie de droite chargea à  son tour. Dans sa course, Robert buta contre un obstacle et alla enfoncer se qui servait de porte à  la demeure du géant. Le reste de sa troupe vola en l'air comme celle de Bernard l'avait quelque seconde plutôt.

- Alerte, alerte, niveau de toxine élevé, alerte, perde de conscience imminente.
Il envoya une dernière voler d'homme en l'air et tomba finalement inconscient, vaincu.


Aang rongeait son frein. Il entendait les bruits de bataille à  l'extérieur et faisait tous ce qu'il pouvait pour obéir à  Fenix. Soudain, la porte s'ouvrit violemment, défoncé par un soldat. C'en était trop pour lui. Il attrapa son bâton et enjamba Robert. Il tomba sur l'affreux spectacle de la batail. Fenix était allongé par terre et une dizaine d'homme se dirigeait vers lui, arme levée. Un grand nombre étaient tombé par son feu. Mais il constata également dans quelle situation précaire il était. La fuite était la seule solution. Il monta sur son bâton et s'envola. Les fléchettes sifflèrent mais aucune ne le touchèrent. Il s'était échappé…


- Chef, qu'est-ce qu'on fait de lui? Demanda un homme en pointant Fenix.
- Emmené le. Je veux savoir qui il est et ce qu'il sait… le sujet s'est enfuie mais cette mission n'est pas un échec…total.

Voilà , au suivant.

mmh faut voir!

Bon ma partie ne saurait tardé et puis sa tombe bien parce que au moins sa colle avec la suite de tonka!^^

faudra attendre demain!

Oui, Al, tu as tout à  fait raison. je l'ai d'ailleurs corriger. Dans ma tête, 20 cm, c'était une longue lame... enfin, il ne faut pas essayer de comprendre ce qui ce passe dans mon cerveau des fois...

lol revoila robert et bernard,je compte peut-etre leur faire une mini histoire avec un bond dans le passé pour voir comment ils en sont arriver la



sinon trés bon chapitre,sauf que tu a oublier quelque détail:
- aang peut envoyer de l'air avec sa bouche mais aussi avec des mouvement de main,de baton et de jambe
- il n'est pas vraiment du type pleurnicheur(enfin un petit peu)

voila j'espere que Fenix aura sa revanche(je m'en occuperait si nahognas ne le fait pas )

Elle est pas supposée être toute petite cette lame justement?

Chapeau AL, même moi j'avais pas vu !

Oui, Al, tu as tout à  fait raison. je l'ai d'ailleurs corriger. Dans ma tête, 20 cm, c'était une longue lame... enfin, il ne faut pas essayer de comprendre ce qui ce passe dans mon cerveau des fois...

Oh pinaise



Bref, ta partie est géniale !!! C'était peu être pas fait pour être comique mais j'étais explosée ! J'ai vraiment adoré ta description de la  "maison" de fenix.

bon c'est a toi nahognas!
a par si tu veux passer ton tour

vite! j'ai le clavier qui m'démaaaaaaaaaaaaaange!

Euh, il faudrait voir aussi : Qui pourra continuer durant les vacanses ?
Moi la premiere semaine oui et la sedone c'est pas sur

A oui et je viens de remarqué quelque chose dans la partie de Tonka, tu dis "il vint a sa rencontre non sans crainte" et apres il lance a fenix des fléchettes tandis que fenix envoie des champs magnétiques...et Nanjii il est juste à  côté et il se prend rien du tout lol 
Mais on s'en fou remarquez...

Et bien j'ai beaucoup aimé moi aussi.
Mais la batail j'ai eu du mal à  comprendre ce qui se passait, ce qui se suffit en sois pour décrire une grande pagaille.
moi aussi jsuis impatient de faire ma suite.