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Jeux de rôles

Fallen World

Fallen World

bon ok je vais arranger l'histoire,mais faut dire que j'était pas du tous pour venom

Re: Fallen World

;( snif j'ai même pas pu lire la partie de Goku! Bah je lirai la partie amélioré  :D

Parcontre je n'ai pas très bien compris ce qu'on demande de moi qu'est ce qu'il faudrait que je change dans mes persos?

Re: Fallen World

C'est simple, assure toi que ton écrit soit cohérant et vraisemblable dans le contexte de l'histoire...

Tes perso en tant que tel sont correct. Par contre, je crois qu'ils devraient poursuive un but, qu'ils aient une raison d'exister dans l'histoire, tu me suis? Pour l'instant, ils sont là  mais on ne sais pas pourquoi.
Mais ne montons pas sur nos grand chevaux, tu n'as jusqu'à  date poster qu'une seul parti qui était très bien. Maintenant, c'est à  toi de voir pour la suite. Je crois que leurs pouvoir doivent être un outils qui les serts pour quelque chose de plus grand, et non le contraire; tout en restant dans le vraisemblable. Ce sont des êtres normal en apparence, qui ont une particularité... C'est à  peu près ça...

Re: Fallen World

Moi je trouve qu'il faudrait mettre monde déchu, pasque j'aime pas l'anglais *Sort*

Nan serieusement, moi je m'en fiche du titre mais c'est vrai que Jdr 2 ca sonne pas très bien xD

Re: Fallen World

Yep! :p

franchement goku tu m'étonne de jour en jour tes sûr que tu m'espione pas psychologiquement (dans ma tête pour faire simple)! Parcontre j'ai pas trop compris la partie de Venom donc mike redevient le monstre mais c'est qui les autres?

Pour ma partie faudra attendre demain! Je pense!

Re: Fallen World

aha! mystere et boule de gomme!(meme si tous le monde sais qui veut récupérer venom mais qui peut pas parce qu'il est trop fort) si bibi veut bien,on dira que c'est son monstre,sinon je trouverai autre chose

Re: Fallen World

C'est mieux, bien mieux .

Mais on se perd dans les actions dès qu'elles commencent à  s'enchaîner avec vitesse, et dans les dialogues par manque de précision . Si tu prenais le temps de rajouter des "dit machin", "répondit truc", ce serait bien plus clair .

Sinon, j'attends avec impatience la suite ^^

Re: Fallen World

ok je retien pour la suite,mais "la bete"étais censé etre le joujou de mariko,enfin si bibi veut pas je trouverais autre chose...

Re: Fallen World

Bin, en effet je veux pas trop, déja que j'aime pas trop l'idée qu'on use Mariko qui est cencé avoir "La créature de la salle n°1" avec elle:

Je préciserais dans mon chapitre: j'aimerais que la créature en question ne sois jamais sans mariko:
Après ses deux défaites, mariko préfère prendre un atout avec elle pour retrouvé la ptite ange (J'ai oublié son nom *Honteux*) :D

Re: Fallen World

C'est Lilith ou Samaà«l.
Bien reçu Bibi, on touche plus à  Mariko jusqu'à  ce que nous en sachions plus sur la bestiole de la salle n'1.

Re: Fallen World

si tu veux,t'a qu'a dire que mariko avait envie de la tester sur venom  :rouleyeux:

Re: Fallen World

Vaut mieu pas goku, tu verra ca dans mon prochain chapitre!

Et puis c'est pas la mer a boire d'attendre un peu: Dès que nahognas poste son chapitre, ce sera mon tour et je dévoilerais ca (Si tu veux je peux même le dévoilé en mettant venom en scene, tiens, maintenant ca m'a donné une bonne idée xD)

Re: Fallen World

ok mais va falloir que je modifi ma fin hein?

Re: Fallen World


C'est Lilith ou Samaà«l.
Bien reçu Bibi, on touche plus à  Mariko jusqu'à  ce que nous en sachions plus sur la bestiole de la salle n'1.

SQUALL



Mince va falloir que je modifie ma partie maintenant bah j'en avais prévu un de secours au cas où?

Re: Fallen World

tu peux faire en sorte que se soit pas la créature de la salle 1 (Un laboratoire comme ca doit avoir plus de 1 créature bizare x))

Re: Fallen World

bon nahognas,on attend ta suite!

Re: Fallen World

arrête de réclamer les suites tout le temps, très franchement c'est lourd et, pour ma part, ça m'énerve.

Re: Fallen World

-_-
je vais le reformuler vu que t'a pas saisi ce que je voulais dire
nahognas c'est a toi!

Re: Fallen World

un peu de patience ça ne s'aurait tardé ^^'!


-_-
je vais le reformuler vu que t'a pas saisi ce que je voulais dire

sangoku



T'inquiète pas goku, c'est dans sa nature d'être comme sa! ;)

Re: Fallen World

Voila ma partie désolé mais ce n'est qu'une moitié comme je le répéterai a la fin! ^^'

Ifrit s'envola dans un traîné de flamme, Shiva montait en altitude sur sa piste de glace,et tout deux atterrirent sur l'énorme mammifère.
- Je n’aurais jamais cru que ce gros bison puisse voler! Annonça Ifrit.
- Oui bah toi toute façon tu crois jamais rien è_é. Répliqua Shiva.
- Euh....héhéhé ^^'.
- Mais avec tous ça on a oublier le type qui m'a recueillit cher lui....même si ça maison était toute pourrie. Enonça Aang.
- C'est qui qui cour comme ça en bas? Questionna Shiva.

En effet, une personne de 2 mètres, arme a feu en main, courait ou plutôt essayait de fuir quelque chose !
- C’est lui, je le reconnais. Il n’a pas l’air bien. Dit Aang.
- Il est effrayé ou essoufflé, Ifrit, tu veux bien aller chercher notre homme ? demanda Shiva.
- Et pourquoi je le ferais alors que notre ami à 4 pattes pourrait le faire sans problème ! répliqua-t-il.
- Parce que !
- Grrrr :pascontent: , je te signale qu’un homme flamme comme moi sa ne cours pas les rues.
- Pas plus qu’un bison volant.
- Et si notre homme fait une pause dans une rue déserte ou il y a pas âme qui vive ? Coupa Aang.
- Ah ben là forcément je serais obligé d’y aller vu qu’un bison a….et merde !
Ifrit venait de comprendre qu’il devait encore se soumettre au ordre de son amie !
- Allez vas y ! Homme flamme !
- Oui Shiva, bien Shiva.
- Brave garçon !

Ifrit devint donc de flamme et s’envola vers Fenix avec une certaine rancœur !
Nos deux amis ont toujours eu des différents dont en voici un parfait exemple, Shiva arrivait toujours a convaincre Ifrit d’aller faire une commission peu importe son importance ! Ce qui avait le don de l’agacer.

- Ifrit fait ci, Ifrit fait ça ! Elle me compare toujours à un bon a rien, comme si j’étais incapable de faire quelque chose sans son aide. Hum, non mais pour qui elle se prend, d’accord on a promis de ne jamais se séparer pour notre sécurité mais au fond, est ce qu’elle s’en inquiète vraiment .Parfois j’ai l’impression que si je devais mourir ça lui serait complètement égal alors qu’elle m’a promis qu’elle ferait n’importe quoi pour me sortir d’une impasse ! Oh et voila que je parle tout seul, je suis vraiment pas bien. Pffff !

Il atterrit enfin a quelque mètre du colosse dans une rue à coté, s’éteignit et s’approcha de lui d’un air naturel, bien évidemment il ne pouvais pas savoir que Fenix la repérer depuis longtemps.
Il déboucha enfin sur la rue où était notre homme adossé contre un mur  a moitié essoufflé.
- Euh, salut man, il y a un pote à moi qui aimerait te dire deux mots donc si tu pouvais bien me laisser t’emmener vers lui ça serait cool !
Ca seul réponse fut un tir de pistolet, Ifrit se retrouva donc projeter sur plusieurs mètres où il atterrit lourdement dans un bâtiment. Shiva et Aang, on malheureusement suivi toute la scène !

- Mais quel nul, c’est pas vrai ! Aang, fais nous descendre !
- Apa ! Yep yep !
Le bison descendit pour se poser sur l’immeuble où étais adossé Fenix.
Shiva alla vers Ifrit tandis que Aang s’occupait de son bison.
- Tes fier de toi j’espère, même pas fichu d’aller chercher quelqu’un. Ralla Shiva
- Ben ta qu’a aller le faire toi-même d’abord si tu te crois plus futé ! Rétorqua Ifrit
- Parfaitement, n’empêche que tu es ridicule planté comme ça !
- Merci du compliment ! -_-'
Shiva se dirigea vers Fenix qui était en compagnie de Aang tandis que Fenix tenté de se relever.
- Hum pff, au moins sa aurait pu être pire !
Il parla un peu vite puisque Fenix tira sur Shiva qui esquiva le tir, celui toucha de plein fouet ce qu’on appelle la poutre de soutien autrement si elle tombe le bâtiment tombe et Ifrit en avait bien conscient.
- Et meeeerde !
Ifrit nu pas le temps de réagir et il fut ensevelit sous une tonne de gravât ! Shiva était terrorisé.
- IFRIIIIT !
- Nan mais qu’est ce qui ta pris de tirer sur mes amies, tes pas bien ? Cria Aang.
- Ben quoi je ne pouvais pas savoir que c’était tes amis ils viennent du ciel et il vienne me faire la cosette tranquillement, moi je trouve ça louche et Sonia me disait qu’il n’était pas humain !
- Evidemment puisqu’il contrôle eux aussi un élément, imbécile !
- Surveille ton langage gamin !
- De quoi ? Je te répète que j’ai 812 et…
- Et que tu es aussi immature qu’un gosse de 10 ans, ton cerveau se serait pas gelé dans la glace par hasard ?

Laissons les ce chamailler et revenons vers Shiva qui tentait tant bien que mal de dégager Ifrit des décombres. Il l’entendait a peine :
- Ifrit…entends…ess…lumer
- Shi…va !
Puis il s’évanouit, le choc été trop important.




- Et l’allumette, tu t’amènes, oui ?
- Je t’ai dit que je m’appelais Johnny pas l’allumette. C’est pas parce que j’arrive a sortir des flammes de mon corps que tu dois m’appeler comme sa et je pourrais aussi bien t’appeler par un pseudonyme !
- Rolala, il faut qu’on se trouve des nouveaux noms, JOHNNY, on va devenir des héros !
- Tiens, moi je pensais plus a des cobaye de laboratoire !
- Très drôle ! Tu ne trouves pas que c’est cool ce qu’on est devenu ?
- Tu veux dire des personnes pouvant a tout moment déclencher une catastrophe naturel, eh bien nan je ne trouve pas ça COOL !
- Pffff, écoute je contrôle parfaitement mes aaaa, AAAAATCHOUM !
Comme vous l’aurez compris, on se trouve là où nos deux amis viennent juste de faire connaissance ainsi que de leur pouvoir mais comme vous voyez ils ne les contrôlaient pas vraiment bien, la preuve, Shiva ou trish stratus comme vous voulez, venait de lancer de son dos des pics de glace qui foncèrent sur des rochers, Ifrit ou johnny idem, regardait la situation avec un certain dégout.
:flop: A tes souhaits miss hérisson !
- Grrr ça va ! J’ai peut être parler un peu vite mais sa viendra un jour.
Ifrit préférait ne rien dire plutôt que d’envenimer la situation. Nos deux tourtereaux, façon de parler, continuait leur marche et s’arrêtèrent à un village où ils iront loger une chambre dans un hôtel pour pouvoir se reposer !
- Aaaaah, enfin, après deux heures de marche ya pas a dire sa fait du bien de reposer ces pauvres jambes. Jubila Ifirt.
- Arrête un peu tes grands airs, je vais aller me changer !
:rouleyeux:
- n’y pense même pas !
- héhé je plaisante ! ^^
- Mouais.
Shiva alla donc dans la salle de bain, Ifrit se leva discrètement puis espionna comme un pervers par le trou de la serrure.
- Oh les jolies petons !
Chuchota-t-il mais pas assez vu que Shiva l’a attendu.
- KYAAAAH, JOHNNY !
CRAC
Bon la situation où se trouvait Johnny était la même la même que Tome cruise dans mission impossible, en clair, pour les incultes ne connaissant pas le film, une pointe de glace a quelque centimètres de son œil, le pauvre était complètement paralysé par la peur a moitié entrain de claquer des dents. Shiva sous l’effet de surprise, c’est transformé en glace avec de longues stalagmites ou tites sa dépende de l’endroit. La salle avait maintenant un sale état !
- NE ME REFAIS JAMAIS CA, TU M’ENTENDS ?
- Ou…Ou…oui, promis ! Pas la peine de me le dire deux fois pour ça ! Maintenant si tu essayais de reprendre ton aspect normal et finir de te changer histoire qu’on répare les dégats.
- Moui !

A suivre




Voila bon comme j’ai peur que ce soit trop long donc  je le fais en deux partie mais l’autre viendra demain donc la patience ne sera pas longue !

Re: Fallen World


T'inquiète pas goku, c'est dans sa nature d'être comme sa! ;)

nahognas



Euh...je dois prendre ça comment ?

marrante ta partie sangohan. Par contre il y a un moment ou j'ai rien compris : A un moment j'ai crus qu'ils étaient blessés et après on les retrouve à  s'engueuler comme si de rien était. Alors je dois sans doute avoir raté quelque chose...

Re: Fallen World


Euh...je dois prendre ça comment ?

SQUALL


Dans le doute il faut mieux bien le prendre...

Al, retire ce que tu as dit ou la batte clouée elle va ce se retrouvé dans ton schtroumph ! NON JE NE SAIS PAS COMMENT CA S'ECRIT SCHTROUMPH ! Foutez moi la paix ! Bou ou ou ou ou ...mes blagues sont nulles...(va se suicidez)

Bref, Sangoku et nahognas tres bonnes, parties, mais, dis moi nanhognas, il passe ou Fenix dans ta deuxieme partie ?

Bref, c'est ton tour bibi, ensuite, ma suite arrivera rapidement pour la simple et bonne raison qu'elle est déjà  écrite (et oui ça m'évite de prendre trois jours pour poster un truc je ne vise personne suivez mon regard lol )

Re: Fallen World

c'est pas mal du tous sangohan sauf qu'il y a quelque grosse faute verbale,et parfois on comprend rien,mais a par ça c'est une trés bonne partie


a oui et le bison a 6 pattes,3 de chaque coté et pas 4

et il a une trés grosse queue,bon imaginé le aussi gros qu'un éléphant tous simplement

Re: Fallen World

...il est pas obligé de reprendre le vrai ! Il peut se l'imaginé totalement différament que dans l'histoire d'origine, ce qui n'est pas plus mal à  mon gout, le copier coller ça me reste un peu en travers de la gorge...

Re: Fallen World

mouai pourquoi pas,ça rendrait les chose plus interressante

Re: Fallen World

C'est vrai, vu qu'on est pas dans avatar, tu peux invente ce que tu veux et comme tu veux  :D

Re: Fallen World

merci pour vos remarques je vais voir ce qui va pas! et je corrige!

Re: Fallen World

walaaa! Bon j'ai essayé de préciser la situation de Fenix et Ifrit!

Mais au cas ou je vais réexpliquer pour IFriton sait jamais:

Ifrit va voir Fenix
Fenix lui tire dessus
Ifrit est projeté vers un batiment où il s'écrase durement!
Shiva, qui été encore en l'air sur le dos de la bête, descend pour faire la morale a son ami (comme si elle vait que sa a faire vous me direz!)
Ifrit été encore couché et sonné vu l'impact qu'il a reçu (on se relève pas d'un coup après une onde de chox surtout quand on traverse un mur en béton :/)

J'espère que sa éclaircira les esprits!

Ma deuxième partie risque de venir que ce soir tard! ou alors demain faut voir (quia dit que c'était tout ^^')

Re: Fallen World

Je post mon chapitre (J'ai fais exprès qu'il concerne uniquement Mariko pour eviter que se sois gênant pour nahognas, bien que Al m'ai dis de poster :D)

C'était un echec total. Encore une fois, Mariko avait honte du Laboratoir.
Elle repensa a ce colosse qui avait oser la ridiculisé... Son sang se glaça dans ses veines. Il c'était echappé... Pas pour très longtemps.

-Très bien, commandant, renforcez les systems de sécurité. Je veux que vous puissiez me detecter toute vie proche du Centre dans un rayon de 3km dans 1 heure. Verouillez les portes de l'aile ouest et est, ainsi que celles du sous sol. Que seul un pass de niveau 5 ou plus puisse les ouvrire, et qu'elles se vérouilles automatiquement dans les 10 secondesaprès ouverture. Executions! Ah oui, je veux que vous supprimiez tous les témoins a la scene de l'évasion. Envoyez tout le personnel peu gradé, en dessous du grade 2, en pature a Amesis, il sera content de les dévorés.
-Bien madame, dois je le préparer pour une sortie?
-Vous saviez que je l'emmenerais?
-J'ai comprit quand vous l'avez fait sentir le sujet Omega. Ca ne pouvait que dire que vous la feriez tracer.
-Vous êtes intelligent, commandant, faites attention, ca pourait vous coûté la vie.
-Bien madame.

Mariko s'éloigna. Son fauteuil roulant était cassé après sa rencontre avec le Colosse. Elle se déplaçait pied nu, et tuais sans pitier les soldats qu'elle voyait s'attarder sur se détail. Elle n'avait pas remis ses chaussures pour gagner du temps, elle se dirigea vers l'infirmerie du Labo, où elle récupéra un fauteuil roulant.

La sonnerie de son portable retentit. Elle décrocha.

-Oui?
-Madame, on dirait que Amesis c'est échappé lui aussi.

Elle envoya tous ses vecteurs contre la porte de l'infirmerie qui sortit de ses gongs et s'écrasa contre le mur d'en face. Elle se leva de son fauteuil, et se mis a courir vers la porte de sortie du Laboratoire.
Elle le sentait, tout proche, Amesis, un des seuls liens qui la rattachait a se monde. Pourquoi était il sortit? Il était donc fou?

Dans la précipitation, elle ne se rendit pas tout de suite compte qu'elle avait perdu son portable. Elle s'arretta, tourna les yeux, repéra un garde...

-Passe moi ton téléphonne.
-J'en ai pas.

Elle déploya ses vecteurs.

Le hurlement que le garde poussa retentit dans tout le labo.

-Dommage, maintenant que je t'ai arraché les jambes tu marchera moin vite. Tu n'as pas de portable alors?
-Dans ma veste, désolée madame.
-Tiens, finalement on peut s'entendre.

Elle prit le portable du garde et composa le numéro du Commandant.

-Commandant, ici Mariko, je veux toutes les vidéos de surveillance sur l'écran de la salle d'autopsie numéro...

Elle regarda la porte a côté d'elle

-...28, termina t'elle.
-Très bien madame! C'est fait.

Elle poussa la porte et entra. Sur le mur de fond était projeté les vidéos de surveillances. Elle regarda un instent, puis trouva rapidement sa cible.

-

Il s'avance. Il ne laisse que le sang et la désolation derrière lui. Il ne sait pas où il va, mais il s'en fiche. Il a été libéré. Il l'a sentie. Son odeure était si douce, si parfaite... Il l'a sentie... Il court de couloir en couloir a la vitesse dont ses membres lui permettent d'aller. Soudain, il s'arrette. Il sent une nouvelle odeure. Une odeure qu'il connait, c'est la jeune fille qui s'occupe de lui. Il s'arrette, comme pour l'attendre puis il se r'appelle que la derniere fois qu'il est partit, elle l'a remis dans sa salle. Une salle sombre... La salle n°1...

Il est le projet le plus ancien. Il a presque vu la terre naître dans ses rêves. Il est l'observateur, l'être qui a tout vu et qui verra tout. Il ne tue que très rarement et il ne voit pas l'utilité de tuer. Sauf se soir. Il veut retrouvé le petit ange qu'il a sentit s'éloigné... Mais il l'a sentie. Rien de se qu'il ne sent ne lui échappe. Il peut parcourire une planète comme celle où il vit facilement pour retrouver une odeure aussi plaisante. Durant toutes ses observations il a pu comprendre. Comprendre la stupidité humaine, pitoyable espèce. Il a vu le cycle des Diclonius, êtres en dessous de tout... Il a vu des centaines de personnes mourir parce qu'ils avaient des cornes sur la tête...

Il s'arrette. L'aile se termine ici. Derrière la porte blindée de plusieurs centimètres de diverses couches de métal extremement solide, il sait que débouche un couloir qui conduit directement a la sortie du laboratoire. La porte est vérouillée. Rien ne l'arrettera, pas se soir. Il saute, s'apprête a traverser la porte...

Le choc du métal contre sa boite cranienne le fait tomber sur les fesses. Il regarde étonné la porte qui lui a résisté avant de comprendre. Le fait d'avoir été immobil dans la salle n°1 a bloqué momentanément ses compétances. Il ferme les yeux... Les r'ouvres. Il a comprit et il a évalué les compétances qui lui reste et arrive a un bon 73%. Il va faloir trouver autre chose. Il observe la machine destinée a lire un pass. Elle a étée réglée recement pour ne laisser passer que les pass de niveau 5, il arrive a comprendre se mécanisme: La science des humains est si idiote et prévisible...

Il ne connait que deux personnes possédant un tel niveau. La diclonius et le commandant. Tout lui échappe.. Le commandant est hors d'atteinte et la diclonius sera dure a vaincre. Il fait demi tour et abandonne temporairement l'odeure qu'il suivait. Il se concentre sur une odeure de haine, et se met a poursuivre la Diclonius.


-

Mariko était entrée dans l'aile Ouest. La caméra avait confirmer la présence de Amesis. Elle reprend son calme, et marche lentement. Elle remarque que le métal du sol commence a refroidire ses pieds. Elle deteste le froit et déploie ses vecteurs. Ceux si la soulève a présent dans l'air. Ses vecteurs l'avance rapidement, et elle se concentre vers son objectif. Amesis... L'être né pour voir... Leur premier sujet...

-

Il la voit. Elle est soulevée par ses vecteurs. Les vecteurs sont un system complex et leurs existance est étrange mais lui ne s'en interesse pas. Elle l'utilise aveuglée par sa rage. Elle pourrait faire tant de choses avec qu'il en est jaloux. Mais ce n'est pas très grave car il n'en aurait qu'une utiliation temporaire. Il remarque qu'elle n'a pas son fauteuil. Elle est pied nu. Etrange, elle qui n'aime pas ca. Elle l'a vu. Elle se dirige vers lui.

-Amesis, pourquoi t'es tu enfuis?

Elle se pose lentement. Lui, il lui bondit dessus.
Elle tombe car elle n'a pas encore retrouvé son équilibre après avoir étée portée par ses vecteurs. Elle réussi néamoin a se faire tomber lentement a l'aide des vecteurs pour ne pas se faire mal.

-Amesis! Tu es incorigible!

La créature qui se love sur son ventre, Amesis, n'est d'autre d'une petite peluche aux alures de chat. Il mesure a peu prêt 60 centimetres et il est l'arme la plus precieuse qu'elle ai. Il arrive a traverser la matière et il peut parler dans l'esprit des gens. Il a un flair si déveloper qu'il sent se qu'on lui demande a une distance incroyable.

Amesis se déplace lentement. Il lui adresse mentalement la parole.

"Tu ne va pas m'enfermer de nouveau, j'espère."

Elle s'adresse a voix haute.

-Ca ne te ressemble pas d'esperer.
"Désolé Mariko mais il me faut ton pass."
-Pourquoi donc?
"Je dois sortir. Où es ton pass?"

La diclonius a beau être un véritable monstre, c'est une enfant, et son esprit joueur l'emporte sur ses obligations.
Elle envoit son vecteur sur la seule caméra qui surveille la piece, la réduisant en miette. Elle ne veut pas que les surveillants ne voye son coté joueuse.

-Je te le dirais pas! Tu m'as fais courire dans le labo, t'es pas gentil.

Elle le chasse de son ventre et se met sur le ventre.

"Si tu veux."

Il saute et s'accroche a sa cheville. Elle réalise trop tard se qu'il va se passer que Amesis promène sa langue sur la surface douce des plantes de pied de la diclonius. La langue de Amesis ressemble a une langue de chat et en a tous les avantages: Ca petite taille lui permettant de se glisser entre les orteils...

-NON AMESIS!

Elle se met a rire. Ce n'est pas le rire de douleur qu'elle avait avec Fenix, c'est un rire plus gentil. Amesis a un don, un don d'une valeur inestimable.
Il réussis a donner un peu de plaisir a un être rejeter de tous.

-

Quelques minutes plus tard, Amesis s'arrête.

-Amesis; j'ai une mission, et on va y aller ensembles.

"Je ne peux pas."
-C'est Elle, que tu cherche, non?
"Comment le sais tu?"
-Peu importe. Je la cherche aussi. Nous allons la ramener a la maison.

Amesis saute alors sur la tête de la diclonius.

"Alors allons y!"

=> Quand je dis qu'Amesis est comme une peluche, c'est pas vraiment une peluche. Il ressemble un peu a un chat disons, dans les animes; comme ca:

Re: Fallen World

LOL, très bon chapitre. Cette Amesis, (en passant, j'adore le nom, ça fait vraiment projet ultra top secret...  :D ) on ne s'attendait pas à  ça du tout. Bravo !

CH92, post nous ta suite qu'on avance un peu dans cette fic !!

Re: Fallen World

Voili voilou,
je suis tres fiere de ma partie ^^
dites moi par contre si vous trouvez ça trop long

Il y a des choses qui  nous tombent dessus et l'on ne s'y attend vraiment pas.
J'avais rassemblé le maximum de personnes disponibles en moins de dix minutes. Puis nous avions courus à  la recherche des rebelles qui ne devaient, logiquement, pas êtres loin. De plus, je ne tenais vraiment pas à  les laisser nous filer entre les doigts.
Nous avions donc foncés dehors sur les traces de Fénix lorsque ce que je crus d'abords être un humain très grand mais qui se révéla ensuite être un puissant robot se plaça devant le groupe étonné et se mit à  tirer dans le tas.
Il avait une forme humanoà¯de : possédait ce qu'on aurait pu nommer deux bras et deux jambes. Il possédait un corps de plastique blanc et des articulations de métal. Des armes à  feu étaient sorties de son buste et avaient abattu tout ce qu'elles avaient pu.
J'avais plongé au sol et avait crié un :
- Repliez-vous !
Je mettais ensuite déplacé en rampant derrière un homme déjà  à  terre. J'avais prié de toutes mes forces (ours en peluche ?) pour qu'il y ait le moins de mort possible.
Et j'avais eu tout faux car j'avais vu que, à  par ceux qui avaient fuis, tout les autres étaient morts. Le bruit avait cessé et je pus entendre :
- Putain de merde, il y a déjà  plus de munition !
Cette voix…
J'avais tout juste levé la tête pour apercevoir les yeux d'un homme au niveau de ceux de la machine. Il y avait donc quelqu'un à  l'intérieur. Me retournant, j'avais aperçu Bernard et Robert qui se relevaient avec difficulté. Je ne sais pas comment ils avaient survécu mais nous venions de créer le groupe des ultra-chanceux.
Je m'étais levé, prêt à  abattre la machine lorsque que Robert avait hurlé :
- Attention ! Général en ch…haaaa !
Je m'étais retourné brusquement. Robert s'était presque jeté sur moi lorsqu'une tâche rouge était apparue sur son torse.
- Robert ! avait hurlé Bernard.
- Ber…nard, avait soupiré Robert.
J'avais soulevé la tête de Robert.
- Robert ! Pourquoi avez-vous fais une chose aussi stupide !
- Je…ne sais…pas…général en…chef…
Puis il s'était effondré sur lui-même. Bernard avait poussé un cri et s'était évanoui. Tentant de garder mon sang-froid, j'avais posé mon oreille sur le cÅ“ur de Robert. « La balle a loupé de peu le cÅ“ur » m'étais-je dit.
Puis je m'étais approché de Bernard et l'avait baffé d'une façon assez violente et l'avait remis sur pied. Je m'étais alors aperçu qu'un homme fonçait sur nous.
- Bernard ! Robert est vivant ! Emmenez le loin d'ici et faites tout ce qu'il faut pour le sauver, y compris braqué ne pharmacie si ça peut vous aider, allé ! Partez !
- Caporal en chef ?!
- Partez !
Bernard avait pris Robert sur son dos et avait filé. Je m'étais relevé et avait fait face à  l'homme. Il avait des yeux orange, incroyablement orange. Je m'étais demandé comment pouvait-il avoir de tels yeux mais peu être la réponse me restera-t-elle inconnu. Il avait des cheveux noirs mi-long. Il m'avait semblé un peu plus jeune que moi.
Et il m'avait souri. Un demi-sourire qui lui avait donné l'air d'un psychopathe, d'un tueur.
Il avait deux lames dans son dos, légèrement courbées, plus grandes que ma lame. Toute la haine que cet homme m'avais inspiré, à  cause de Robert…Robert…, m'avais poussé à  lui lancé d'une voie mauvaise dont je ne m'aurais pas cru capable :
- C'est vous qui avez fait ça ?!
- Je ne suis pas fière de ce que je fais, mais c'est ainsi, finissons en maintenant. 
- Avec joie !
Pointant sur lui l'arme que j'avais ramassée sur le corps d'un de mes hommes morts, j'avais tiré toutes les balles que le malheureux avait laissées et l'épéiste les avaient toutes soigneusement évités.
- Je me doutais que ce ne serait pas si simple…
J'avais dégainé ma petite épée et il avait alors retiré d'un geste presque machinal ses deux lames courbées de son dos.
- Les deux croissants de lune, me les avait-il présentés.
Je ne savais pas pourquoi il avait attaqué en premier alors que c'était moi qui étais censé les exterminer mais il allait regretter ce qu'il avait fait à  Robert. Puis il avait emboité les deux manches de ses épées, créant ainsi une arme qui était courbée de deux côté differents et, fonçant sur moi, avait crié :
- La pleine lune mortelle !
Une dizaine de lames étaient alors apparues, chacune tranchante et tueuse, toutes traçant une trajectoire différente. Je m'étais mis à  paniqué, me crispant sur moi-même, ne sachant pas quelle lame parer. « Ce n'est qu'une illusion d'optique » avais-je tenté pour me rassurer, « Les lames réfléchissent la lumière pour me donner l'impression qu'il y en a plusieurs ». Mais cela ne m'avais pas aidé, cela ne m'avais pas dit quelle lame stopper. Et l'homme arrivait sur moi. De désespoir, je fermai les yeux.
C'est alors que je l'entendis.
Le cri...


- Qu'est-ce que tu fais ? Nooon !
Youri avait hurlé cela dès que mes doigts avaient touchés la peau fine de ses pieds. Pourtant, elle ne les avait pas retirés, bizarrement, comme pour me pousser à  continuer, ce que je fis bien évidemment.
- Tu l'as cherché, lui répondis-je.
Et c'était vrai. Dès son arrivée, elle avait retiré ses chaussures et m'avaient souvent montré ses deux magnifiques plantes. Nous avions beaucoup parlé avant qu'elle ne se jette sur mon canapé avec un soupire.
Je fis glisser mes ongles remontant toujours un peu plus vers ses orteils, lorsque j'y arrivais et glissait un doigt malicieux à  leur base. Elle poussa un « NON » crié et retira vivement ses pieds. Je me mis à  rire et lui lançait gentiment un :
- Ha ha ! Tu ne m'en veux pas ?
- Hé hé ! Si, à  mort ! Je veux une revanche !
Cette phrase me laissa perplexe. Je réfléchi deux secondes, personne ne m'avais chatouillé les pieds à  part mon frère quand je l'embêtais. Pourtant, j'avais une confiance presque absolue envers ma nouvelle amie.
- Euh…d'accord…
- Hourra ! L'heure de la vengeance à  sonné !
- Ha ha ha ! Mais je te préviens ! Tu n'arriveras pas à  me faire rire ! fis-je sur un ton de défi.
- Ah bon ? fit-elle d'un sourire plein de malice, c'est ce qu'on va voir !
Je m'assis à  ses côté sur le canapé. Elle m'attrapa les chevilles et posa mes deux pieds sur ses jambes après s'être mise en tailleur. Puis elle retira lentement mes chaussures, en me lançant avec un grand sourire :
- Tu vas souffrir !
Cette phrase me fit rire. Elle commença à  glissé doucement ses doigt dans le creux de ma plante. Je tentai de me concentrer sur autre chose, la fissure du plafond que j'avais découverte le matin même me parut idéale. Je luttais contre l'affreuse démangeaison, cherchant à  ne pas esquiver de mouvements de pieds, essayant de ne pas rire. Pourtant, ma respiration s'accéléra lorsqu'elle remonta sur mes orteils pour y resté un moment qui me parut interminable. Puis elle passa ses ongles sur les côtés de mes pieds, mes orteils se crispèrent nerveusement et je me mordis la lèvre inférieure. Mon geste n'avait pas échappé à  son attention et elle resta sur cette zone. Je m'humectai les la bouche et la regardai. Elle avait les yeux brillants comme si elle prenait du plaisir à  me chatouiller, pourtant elle avait le visage légèrement crispé comme si elle prenait ce jeu extrêmement au sérieux. Lorsqu'une de ses deux vint rejoindre l'autre sur l'autre pied, je craquai et explosai de rire.
- Ha ha, arrête !
Elle s'arrêta et me rapprochai mes pieds de moi comme pour les protéger. Nous nous regardâmes et nous mîmes ensemble à  rire de bon cÅ“ur.
- Je suis contente de t'avoir percuté, ce matin, lui conféssai-je.
- Moi aussi !
- A propos de ça, tu as faim ?
- Oh oui !
Je lui fis signe de m'accompagner dans la cuisine, puis ouvrait le placard où se situaient les gâteaux.
- Sers-toi ! lui lançai-je.
- Oua ! Mais t'es super riche toi ! dit-elle en s'emparant de biscuits au chocolat.
- Bah, pas tellement, on a juste le salaire de mon frère…
- Su, je te le dit, t'es riche, tu devrais voire chez moi, par rapport à  ici c'est vraiment…vraiment…
- Bah, tu sais…la richesse ne fait pas le bonheur, lui dis-je pour la mettre à  l'aise.
- T'as pas tort, me répondit-elle en m'envoyant un sourire des plus éclatants, mais il fait quoi ton frère ? Il est président ou quoi ?
- Non, il est au service du…
- OH PUTAIN CE N'EST PAS VRAI !!! Tu…tu as…tu as la dernière…la PS489 ! Raaa ! Je te déteste ! Je rêve de l'avoir ! cria-t-elle.
- Vos gueules ! hurla la grand-mère qui habitait au dessus.
- Tu veux qu'on y joue ? En plus, si tu aimes tant y jouer, tu pourrais venir souvent, parce que c'est vrai que seule, c'est moins marrant ! dis-je en ignorant la voie geignarde du dessus.
- Oh oui ! Oui ! Mais, excuse moi, je t'ai coupée tout à  l'heure, tu disais quoi ?
- Euh…je sais plus, ça devait pas être très important…
Je poussai latéralement le canapé pour le placer devant la télé. Je lançai un jeu dont Youri semblait connaître une ancienne version. Il s'agissait d'un jeu de combat où toutes sortent de personnages se tapait sans la moindre hésitation sur la poire. Nous fîmes une partie où Youri se débrouilla très bien pour une débutante. C'est alors qu'elle proposa :
- J'ai une idée, une fait une partie, toit contre moi, et celle qui gagne…
- …chatouille l'autre, finissais-je, trop cool ton idée !


J'avais fermé les yeux.
C'est alors que je l'avais entendu.
Le cri.
Le cri du vent.
Dans un bruit assourdissant, ma lame vint contrer la sienne. J'ouvris les yeux et le vis reculer. Il m'adressa alors le même demis sourire exaspérant.
- Félicitation, tu as trouvé la faille de la pleine lune mortelle, me lança-t-il sarcastique.
- Les illusions ne font pas de bruit, répondis-je.
- Astucieux…
Puis il actionna un micro accroché au col de sa veste noire et dit :
- Alex, continue sans moi, je risque d'en avoir pour plus de temps que prévu.
- Bien reçu, lança une voie dans un grésillement.
« Axel ». Ce nom résonna dans ma tête, mais il ne pouvait pas s'agir de CE Axel, ça ne pouvait pas, beaucoup de personne s'appelle Axel ici, beaucoup trop pour que ce soit lui. Je fus tiré de ma rêverie par mon adversaire :
- Bon, reprenons…
Je me décidai alors à  attaquer le premier. Ma lame en avant, le décidai de lui couper quelque chose vite fait bien fait et de le garder vivant pour l'interroger, cela m'évitera peu être de planter quatre mission à  la suite.
Il la para facilement et dirigea une lame vers mon visage, je l'esquivai. Nous reculâmes tous les deux ensembles. « à‡a va pas être facile » pensai-je.
Nous nous fonçâmes dessus en même temps, attaquant l'autre de partout et nous défendant en même temps. Notre concentration devait rester ciblée sur le combat sinon la défaite était sûre. De l'extérieur, je pense que personne n'aurait pus suivre nos mouvement tellement nous allions vite, des claquements de lames semblaient se répandre sur les immeubles qui nous entouraient.
Je fis parcourir mon épée sur un arc parfait qui devait arriver sur le crane de mon ennemi mais il se protégea avec le manche bleu ciel et celui-ci se déboita, le laissant avec un lame courbée dans chaque main. A deux lames contre une, j'allais avoir du mal. Il dirigea ses deux lames en directions de ma gorge. De justesse, je reculai et ses deux lames se croisèrent. Je passai alors la mienne entre les siennes pour éviter leur avancée qui serait alors ma décapitation. Il poussa de toutes ses forces sur le manche pour me faire perdre l'équilibre et je fis la même chose de mon côté pour ne pas tomber.
Malheureusement il avait deux fois plus de forces que moi dans la position où il était et il me dépassa largement, je me courbai alors en arrière et il se pencha sur moi, ses lames crissant sur la mienne.
« C'est le moment » me dis-je.
Je levais mon genou et celui-ci entra dans son ventre.
Dans un gémissement, il se recula. J'en profitai pour reposer ma jambe à  terre pour prendre appui sur elle et balancer l'autre vers mon ennemi, lui assenant un coup violent sur son torse. Il tomba presque en arrière et battit des bras pour garder son équilibre.
- Espèce de crevard ! lui lançai-je.
Je courrais vers lui et tendis ma main qui ne tenait pas mon arme. Il frappa pour se protéger mais mon bras passa loin de la lame, passant à  sa gauche et continuant sa route. Il eut de temps de lacer un :
- Que…
Puis mon bras se rabattit, le frappant fortement à  la nuque. Sans un bruit, il encaissa le coup, se penchant en avant par la force de ma main. Toujours dans l'élan que mon bras avait créé, je lançais ma jambe qui le frappa dans le bas du dos, et, comme il se cabrait, mon autre jambe finit le travail en tapant de nouveau sa nuque.
Il y eut un horrible craquement, puis il tomba à  terre.
Je levai mon épée pour finalement l'achever mais il l'esquiva en roulant sur le sol. Puis il se releva assez difficilement.
« Mais il est increvable ce mec ou quoi ? » me demandai-je.
- Karù ! Bouge-toi ! Elle le sent, elle le sent ! L'ombre ! Bouge !
Il ne prit pas la peine de répondre. Et je chuchotai pour moi-même :
- Karù…
- Oui, tel est mon nom, mais ça n'a pas grande importance puisque tu vas mourir…
J'avais repris confiance en moi et l'attaquai de nouveau.
- Les lames de la nouvelle lune…
Il lança ses deux épées sur moi. Je me mis en position de défense et aperçus alors une vingtaine de lames me fonçant dessus. Esquissant un sourire, je fermai les yeux et j'entendis…le cri du vent…une vingtaine de fois.
Les lames étaient toutes bien réelles.
« Caporal/en/chef/il/y/a/un/truc/noir/qu'est/ce/que/je/fais »
Le fil de son arme trancha ma radio dont les pièces se répartirent inégalement sur le sol.
Je reculai mais les lames m'atteignirent, m'égratignant de toutes parts, m'entaillant de tous côtés. Je tombai à  terre, encore vivant. Je levai les yeux, il avait récupéré ses lames. Alors que je tentai de me relever, il entoura mon cou de ses deux lames avec une vitesse impressionnante. Je plongeai mon regard dans le sien. Il me susurra :
- Les deux lunes mortes : tu vas bientôt voir ton corps se séparer de ta tête, désires-tu dire quelque chose avant de ne plus rien dire, à  jamais.
« Non, il m'a eut, je ne peux pas, JE NE PEUX PAS MOURIR ! Pas tout de suite, je suis trop jeune, je ne peux pas, pas encore, il y a Leike, il faut que je vive pour Leike, qu'est-ce qu'elle fera toute seule, et Bernard, et Robert, comment pourrai-je le venger ? Et Leike, Leike sera toute seule, Leike sera toute seule, LEIKE SERA TOUTE SEULE ! »
- Non ! hurlai-je tandis qu'il réduisait la distance qui séparait ses armes.

- Non ! hurlai-je tandis que le personnage de Youri donna un coup quasi mortelle à  mon personnage virtuel.
- Je vais t'avoir ! me répliqua-t-elle.
Me concentrant du mieux que je pouvais malgré les craquements du canapé que nos soubresauts produisaient, je dirigeais mon personnage vers son ennemi et frappai de toute la force de celui-ci. L'homme vola et tomba, KO, au sol.
- YOUPI ! J'AI GAGNE ! hurlai-je.
- NOOOON ! hurla Youri.
- VOS GUEULES ! hurla la grand-mère au dessus d'une voix stridente.
- Non ! Non ! répéta la jeune fille.
- T'as perdu, lui annonçai-je, allonge toi sur le ventre.
Dans une grimace amusée, elle s'exécuta. Je m'assis de manière délicate sur ses hanches, face à  ses pieds.
- Cinq minutes, pas plus ! Hein ?
- Ne  t'en fait pas.
- Ok, je te fais confiance !

Elle l'allongea sur le ventre et je me positionnai sur ses hanches, vers ses pieds. Mon âme sadique me poussa à  l'attaquer dès le premier instant, non sans jeter un coup d'Å“il rapide à  ma montre.
Sans attendre, elle se mis à  rire.
- Non ! Ha ha ha ! Arrête !
- Désolée, il te reste 4 minutes et 50 secondes…
- Quoi ? Ha ha ha !
Cinq minutes, mines de rien, c'est relativement court, je décidais donc de torturer immédiatement son point faible : la base de ses orteils. Son rire ne se fit pas attendre, de plus, elle se mit à  bouger comme un diablotin défoncé. J'eus du mal à  ne pas tomber du canapé tandis qu'elle me suppliait.
Ma montre afficha un horaire quelque peu supérieur au temps réglementaire. Je la lâchai alors et la première chose qu'elle me dit :
- Allez, faisons une autre partie.
Je la laissais lancer une nouvelle partie. Elle fit le tour des personnages et choisi un homme avec des cheveux bonds et longs qui possédait deux katanas, lorsque ce fut mon tour, j'en choisi un qui avait la même tête de tueur en série et qui avait une longue épée noire. Nos deux personnages commencèrent à  s'entretuer. Ils étaient à  peu près à  égalité au début, chacun perdit la moitié de sa vie assez rapidement. Un bouton clignotait en bas de mon écran, j'appuyais alors sur une série de bouton et déclenchait mon attaque ultime. Mon personnage attaqua rapidement et transperça de toute part son ennemi.
- NON ! Pas ça ! hurla Youri.
- VOS GUEULES ! fit la grand-mère.
Pourtant, après cette attaque, il lui resta encore un millimètre de vie. Elle appuya sur la même série que moi, l'attaque de son personnage fit que celui-ci envoya une dizaine de lame sur le mien qui en soufra et eut aussi peu de vie que son ennemi. J'en restais abasourdie lorsqu'elle arriva sur moi et, d'un coup d'épée, décapita mon personnage.
- NOOOOON ! cria-je.
- VOS GUEULES ! ESPECES DE CONNES ! s'énerva la grand-mère.
- A toi de t'allonger, me nargua Youri.
- Je suis contente, j'ai trouvé une brillante adversaire à  ce jeu, d'accords tu a gagnée !
- Qui en aurait douté ?
- Hé ! Bon, voilà , mais cinq minutes, comme pour toi !
- Ouais, ouais !
Je m'allongeais sur le ventre et elle s'assit sur moi, vers ma tête.
- Qu'est-ce que tu fais ? l'interrogeai-je.
- Bah, j'ai bien vu que tes pieds n'étaient pas ton point le plus sensible.
- Quoi ? Mais ça ne se fait pas !
- Tout les coups sont permis, dit-elle n chatouillant doucement mes côtes.
- Non ! Atennnnnds ! Ha ha ha !
Elle me fit alors perdre la tête, torturant tantôt mes côtes, tantôt mes aisselles ou mes hanches.
- Arrête ! Arrête ! ne pus-je m'empêcher de répéter inlassablement.
- Il te reste une minute !
Cette dernière minute passa incroyablement lentement, le temps semblait figé et les aiguilles de la pendule du salon semblaient avoir été collé au cadran.
Mais tout à  une fin, Youri se releva, me laissant libre.
Nous nous regardâmes et éclatèrent à  nouveau d'un rire franc et gai. Puis nous nous mîmes à  parler de chose et d'autres, comme deux filles, comme deux pipelettes.
- Au fait, la questionnai-je, tu as la famille ?
- Oui, j'habite avec mon grand frère, comme toi, et un de ses amis…
Et, se rapprochant de moi, elle chuchota :
- Et depuis pas longtemps, sa petite amie…
- Non ? Et elle est sympa ?
- Je ne sais pas, je pense que oui, mais ce qui est sûr, c'est qu'elle est beaucoup plus chatouilleuse que toi et moi réunis.
- Pas possible ? Ca existe ? N'empêche, je la plain, l'ami de ton frère doit l'embêter tout le temps, non ?
- Bah non, il n'arrête pas de la protéger, j'ai déjà  essayé de toucher un millimètre de ses pies, sans résultats.
- Et ton frère, il fait quoi dans la vie ?
Ses yeux s'agrandirent.
- Euh, ben, euh, il est, euh, gu…c'est un combattant !
- Oua ! Trop la classe ! Et tu habites où ?
- Euh, je suis pas sûre d'avoir le droit de te le dire, mais, enfin… je demanderais à  mon frère si je peux t'inviter chez moi !
- Super ! J'ai hâte de voir ta maison !
- Maison…maison…bref, je e demande ce qu'il fait mon frère en ce moment.
- Moi je me le demande pas, il doit être en train de glandouiller, comme d'habitude…
- Oui, le mien aussi certainement !
Les éclats de rires fusèrent dans la pièce.

« Je me demande ce que fait Karù » se demandai Youri.
« Je me demande ce que fait Nanjii » se demandai Leike.
Mais Nanjii et Karù ne pouvaient pas vraiment penser à  elles.

« Je ne peux pas ! » me surpris-je à  hurler tout haut.
Attrapant fermement les deux lames de mon ennemi, je les poussai de toutes mes forces, cherchant à  les espacés. Surpris et soudain inquiet, celui-ci chercha à  rapprocher ses épées pour me tuer. Du sang se mit alors à  couler le long de mes poignets, puis de mes bras, pourtant, je ne ressentais aucune douleur, mon esprit recevait les coups à  la place de mon corps.
Karù se pencha en avant de manière à  avoir plus de puissance dans une position plus confortable, je perdais alors l'espace que j'avais gagné, et le cauchemar recommençait.
- Je te l'ai pourtant déjà  dit…murmurai-je.
Je crus deviner que son corps se crispait sous l'effort. Je sentis alors son souffle sur ma tête.
- Je ne peux pas mourir…continuai-je.
Je cherchai alors à  plonger mon regard dans le sien, pour voir une dernière fois le regard d'or de cet ennemi invincible, comme pour lui demander de me laisser voir une dernière fois ma petite sÅ“ur, je poussai alors de toutes mes forces et hurlai :
- PAS MAINTENANT !
Je levai alors ma tête d'un coup et, de ce fait, lui frappai fortement sous le menton. Il poussa un gémissement et perdit un quart de seconde le contrôle de ses bras, cela me fut suffisant pour repousser ses épées. Il fit un pas en arrière et je tombais à  moitié sur le sol, cherchant la force de combattre à  nouveau, mais ne la trouvant pas. La peur me crispait, m'empêchant de bouger, de hurler, de fuir, et de combattre.
Je connaissais à  présent la peur…la peur de mourir…
C'est à  ce moment qu'une explosion impressionnante eut lieue, sauvant ce qu'il restait de moi. Je vis toute noir un instant mais entendis quand même le dénommé Karù hurler :
- NON ! AXEL !
J'ouvrais vaguement les yeux et eut alors une vision d'horreur. Un monstre avait détruit entièrement le puissant robot que tous les hommes que j'avais n'avaient pu métriser. Il n'était pas de chair, ni d'os, ni de rien. C'était une masse noire, irregardable et indescriptible. Elle avait des griffes, je crois que c'était des griffes, je crois qu'on pouvait nommer ça ses griffes. L'Ombre était en  train de tenter de tuer celui qui se trouvait à  l'intérieur du robot, celui qui s'appelait Alex, peut être.
Axel. Je ne pus vérifier, le monstre était sur lui, lui cachant le visage.
J'avançais en rampant, cherchant à  me relever. C'est alors que ma main écrasa une pièce de ma radio.
- Oh non…Robert et Bernard…
Retrouvant alors la force, la force de sauver mes hommes, je me relevais et faillit m'évanouir. Après quelques secondes que je laissais à  mon corps pour se stabiliser, je rangeais mon épée que je n'avais pas lâchée et me mis à  courir loin du lieu de la bataille. Une fois hors de vue, je me posais contre un mur et tentait de rassembler mes esprits pour me rappeler dans quelle direction se trouvait la pharmacie la plus proche.
Le plan de la ville m'apparut soudainement et je courrais la position hypothétique des deux andouilles que j'avais à  mes ordres. J'arrivai devant la devanture du magasin. Elle était démolie : les étalages jonchaient le sol, accompagnés de médicament et la grande vitrine avait explosée de l'intérieur.
Enjambant les débris, j'entrai. Mes deux hommes étaient à  terre. Robert toujours évanoui et Bernard, apparemment inconscient, avait plusieurs bouts de verre d'une taille impressionnante planté dans le corps.
- Oh non…
Je me penchais vers Bernard et lui pinçait le poignet, j'en fis de même pour Robert.
- Ils sont vivants…quel soulagement…
- Pardon monsieur…
Je poussai un hurlement, retirait mon épée de son fourreau et fit face à  la personne qui m'avait adressé la parole. J'aperçu alors un enfant, accompagné de deux personnes plus âgées et surtout, ce qui n'échappa pas à  mon regard, d'un bison énorme.
- Nous recherchons un monsieur très grand, très fort, et…plutôt imposant…
Je le regardais, surpris de sa question naà¯ve.
- Non ? Ok ! Excusez-moi de vous avoir dérangé…
- Allons par là , dit la fille qui était avec lui, j'entends du bruit.
- Rien que parce que tu as dit d'aller par là , je voterai pour l'autre côté ! répondit l'homme.
- Allons vers le bruit, on verra bien, trancha le petit garçon.
Ils disparurent alors, me laissant abasourdi, j'avais une impression de déjà  vu envers l'enfant mais je n'avais pas vraiment le temps d'y penser.
J'aperçu alors un téléphone noir sur le comptoir de la pharmacie. Je le saisis et composait le numéro de mon chef, remerciant le ciel que cet imbécile est un jour décidé que toute ces unités devaient connaître son numéro par cÅ“ur.
- Allo ?
- Vite, Bernard et Robert sont blessés, dans la pharmacie, au nord de la base…
- QUOI ? Mes deux neveux adorés ! Blessés, j'arrive tout de suite !
Apres un blanc, il continua :
- Mais…vous êtes qui d'abords ?
- Je suis Nanjii bien sur !
- A ok, bon Nenri, écoutez moi bien, protégez les de votre vie et ne bougez pas, j'ai une importante mission à  vous confiez dès votre retour et…Nangui ? Votre m'écoutez ? Nenri ? NENRI ?
Mais je ne l'écoutais plus. Je lâchai le téléphone, l'enduisant d'une couche de sang frai. Je tombai à  genoux et me plaquai la main contre la bouche pour ne pas vomir. Un homme gisait, mort, devant moi. Son cou emblait avoir été écrasé par une main d'une force inhumaine. Il y avait du sang partout atour de lui et on pouvait lire dans ses yeux la peur et l'agonie, en effet, ceux-ci étaient exorbités, des veines bleues les traversant entièrement.
J'avais besoin de me mettre au calme, il s'était passé beaucoup de chose aujourd'hui, beaucoup trop pour une journée…

Re: Fallen World

Bah merci  :D
Pourquoi Nanjii n'aurait-il pas le droit, en bon citoyen, d'avoir un ours en peluche d'abors ??? :D

Re: Fallen World

Wow, bravo, c'est vraiment super. J'ai vraiment aimé le parrallèle entre les frères et soeur. Eux qui s'entre tue et elles qui s'amuse comme des folles, ennemies l'une de l'autre mais qui ne le savent pas... on dirait Juliette et Juliette (Ben quoi, c'est deux filles !)... La tention que tu mets et qu'elles ne  se dévoile pas lorsqu'elles parlent de leur frère, du grand art !

Bravo  :D  :trescontent: :D

Re: Fallen World

Alors les deux dernière suite là  mon vraiment scotché :
Bibi : C'était super, et puis la super bestiol de la mort qui tue qui finalement n'est qu'un petit chat étrange : du grand art, et j'aime de plus en plus Mariko.

Cha92 : Et bien...que dire, c'est parfait, tout simplement génial. Je crois que tu ne t'imagine pas du tout comme moi les armes de Karù mais en faite ça me plait ce que tu en à  fait. ^^

Bon si Al se remue pour nous faire une suite, je crois pouvoir dire avec certitude que la mienne tombera aujoud'hui aussi. De toute façon, après, j'aurais nettement moinle temps..., alors autant que je fasse ça ojrd.

Encore bravo à  tout les deux, je me suis régalé.

Re: Fallen World

Pour Bibi : Le court passage vu des yeux d'Amesis m'a légèrement fait tiquer : c'est presque copier / collé de Ruu . Heureusement, tu te rattrappes par la suite, au final, c'est un excellent chapitre !

Chatouillesdu92 : Tout simplement parfait . Génialement long, génialement bien écrit, super scène de combat et psychologie de Nanji réussie avec maîtrise . Seul (petit) bémol, la scène de chatouilles aurait pu être plus détaillé, mais ce n'est pas grave : ça reste un des (le ?) meilleur chap de ce jeu de role pour l'instant .

Re: Fallen World

Merci beaucoup à  tous !  :D
Les scène de chatouilles mal développée sont voulue car ça va permettre d'en avoir de meilleures par la suite !

Re: Fallen World

Oua.

Ma machoire vient de tomber par terre. (vive ça cartoon)

Vraiment bravo, c'est...tout simplement merveilleux... je vois pas quoi dire d'autre...

Re: Fallen World

C'est vraiment super !

Re: Fallen World

Chevalier, tu peux prendre mon tour après Squall. Je serai de retour vendredi. Super parti Al.

Re: Fallen World

Genial comme toujours. Mais Nagini était à  moi !!!!!
Bon je mis met tout de suite, j'espère avoir finis dés ce soir...

Re: Fallen World

Pauvre Nagini, il aura survécue le temps d'un tour, puis se fut la fin ...
:D

Re: Fallen World

Ouf sa va je peux finir ma partie enfin je crois? Parcontre CH92 tu dis que les trois compères sont devant une pharmacie alors que ifrit et shiva sont devant un baitment et que surtout ils ont retrouvé Fenix je me dépèche de finir histoire que ma partie est un sens!

Re: Fallen World

Voilà .
Bon c'est sûr , ce n'est pas super gai...

  Mort. Nagini était mort. Non pas que Karù regrettait la présence du sniper pervers, mais il n'y avait maintenant plus personne d'assez…dénué de sentiment à  son égard, ou assez compétent pour faire ce qu'il faudrait faire si jamais CA arrivait. Il était inquiet pour Axel, et pour Lilith aussi d'ailleurs. Il soupira lentement, tentant d'évacuer le stresse qui le gagnait. Il ne restait qu'un demi-kilomètre avant le QG central. Peut être s'inquiétait-il pour rien. Après tout, quelle chance y avait-il de tomber sur lui à  cet instant précis ? Il n'y avait aucune raison de s'inquiéter. Alors pourquoi ne parvenait-il pas à  se débarrasser  du pressentiment qu'il ne reviendrait pas ce jour là .
  Pour l'énième fois en dix minutes, Karù regarda par-dessus sont épaule. Bien sûr, il n'y avait rien à  voir. Mais il ne pouvait pas s'en empêcher.
  - Mais qu'est ce qui t'arrive ? Lança soudain Axel.
  - Rien, rien, t'inquiète pas gamin.
  Axel ne répondit rien et continua à  avancer. Il boitait, et Karù savait que sa jambe le faisait atrocement souffrire. S'il n'avait pas été si préoccupé, il l'aurait probablement obligé à  lui passé Lilith.  Mais voilà , il ne pouvait pas prendre en charge quelqu'un d'autre alors qu'il doutait de lui-même. Tout pouvait basculer à  tout moment.
  - Dis, qu'est ce qu'elle te raconte pour que tu sois si silencieux ? Lança Karù.
  Axel sourit.
  - Et Bien…
  Un hurlement de rage retentit. Les deux amis s'arrêtèrent en même temps. Karù  leva les yeux vers les sommets des immeubles, craignant de le voir surgir à  tout instant. Ce cri de rage, il le connaissait. Il s'en rappelait mieux que tout le reste de son enfance. C'était lui, il était là .
  - Mais c'est quoi ça ? Fit Axel.
  - Tu peux courir ?
  - Euh…non…mais…
  - Et bien contente toi d'aller aussi vite que tu peux.
  - Mais qu'est que c'est ?
  - Fonce, je te dis ! Et ferme là  !
  Comprenant à  quel point la situation était critique, Axel fit ce que lui disait son comparse. Un autre hurlement retentit, et il s'était grandement rapproché. Karù sentit une goutte de sueur glacé lui couler dans le dos. Son pire cauchemar était finalement entrain de se réaliser. Ils ne pourraient jamais atteindre le QG avant. Il n'y avait plus qu'une seul chose à  faire…
   - Axel ! Hurla t'il.
  Celui ci s'arrêta et pivota vers son amie. Karù ne lui laissa pas le temps de prononcer un mot et lui mit dans la main un petit objet de métal.
  - Donne le à  Youri, et dis lui que… bah… Dit lui ce que tu pourras.
  - Quoi ? Qu'est ce que tu…
  - Va voir Campbell, dit lui que C'EST arrivé. Il t'expliquera. Maintenant casse toi ! Et grouille !
  - Attend ! Qu'est ce que tu fais !
  - Désolé Axel.
  Et sur ce, Karù fait demi-tour et courut aussi vite qu'il put malgré les hurlements d'Axel dans son dos. En quelques minutes, il ne les entendit plus.
  - J'espère que ce crétin va faire ce que je lui ai dit…, murmura t'il.
  Un autre hurlement retentit. Il était à  moins de cent mètres. C'était fini. Karù s'arrêta. Puis se tourna lentement vers l'endroit d'où venait le hurlement. Il n'allait plus tarder à  présent.
  - Je suis désolé tout le monde, Youri, Axel, je vais vous créer un tas d'ennuis. Si j'avais assez de cran je me tuerais moi-même mais je peux pas. J'y arrive pas.
  Une immonde bestiole noire bondit depuis le sommet d'un immeuble et s'écrasa à  une dizaine de mettre de Karù qui ne cilla pas. Il était bien comme dans ses souvenirs : Balèze, avec une langue  immonde qui sortait de sa gueule garnis de dent, noir de la tête au pied. C'était bien lui, Venom.
  - Je savais qu'un jour on se retrouverait de nouveau face à  face, fit Karù qui sentait déjà  une chaleur inhabituelle monter en lui, Mais, si tu croyais pouvoir m'absorber tranquillement, là  tu rêves.
  Tout le corps de Karù le faisait atrocement souffrire. à‡a commençait. Sa peau se déchira, ses os se transformèrent, ses muscles de modifièrent. Ses yeux brillaient comme jamais tandis que son visage prenait peu à  peu une couleur rouge vif.
  - Mon…mon seul regret…, tenta t'il d'articuler, …est que je ne pourrais pas…me voir…une fois transformer…J'aurais…un look…d'en…d'en…d'enfer…
  Il y eut alors une sorte d'explosion et un ultime hurlement de Karù. Venom protégea ses yeux sensibles qui fonctionnait beaucoup mieux la nuit, qui en parallèle avait eu le temps de tomber.
  Quand il put de nouveau regarder, le jeune homme aux cheveux noir avait disparut, cédant sa place à  une créature peut être plus répugnante encor que Venom. En réalité, les deux créatures qui se faisait face à  cet instant étaient très semblables. A ceci près que la nouvelle créature qui faisait à  présent face à  Venom avait une couleur rouge vif mais avec de longue veine noir sur toute la surface du corps. En résumé, il était encore plus laid que ne l'était Venom. Une langue dégoulinante de bave sortit de la gueule de la créature rouge, semblant narguer le colosse noir.
  - Que la fête commence, fit ce qui avait été Karù en arborant ce qui aurait pu être un sourire…

  Youri avait été triste  de quitter sa nouvelle amie, mais c'était bientôt l'heure où Karù revenait. Et elle ne voulait rater son retour victorieux pour rien au monde. Elle entra dans le QG et se dirigea gaiement vers la porte de sa « maison », avec une incroyable envie de se débarrasser de ses chaussures. Mais elle fit une rencontre à  laquelle elle ne s'attendait pas.
  - Axel ? Qu'est ce que tu… Où est Karù ?
  - C'est ce que je vais essayer de déterminer, répondit-il d'un ton tranchant.
  - Quoi ?
  - Je vais voir Campbell, lui a les réponse, suis moi.
  - Euh… D'accord… Mais, tu pose pas ta copine avant ?
  - Elle ne me quitte pas.
  Youri ne dit rien et ce contenta de suivre Axel vers le bureau de Campbell, au bout du couloir. Elle était folle d'inquiétude pour son grand frère et son envie d'enlever ses chaussures et de se poser dans le canapé l'avait totalement déserté, elle voulait son frère. Axel s'arrêta soudain et pivota vers elle, la mine grave.
  - Avant de partir, il m'a dit de te donner ça.
  Il tendit la main. A l'intérieur de sa paume brillait quelque chose. Un objet de métal. Le sang de Youri se glaça dans ses veine quand elle prit le pendentif dans ses mains. C'était un petit dragon de métal que Karù portait toujours autour de son cou.  Et il savait qu'elle l'adorait. Mais il avait toujours refusé de lui prêter, prétextant que c'était ce qui lui portait chance.
  Youri sentit les larmes monter en elle en se souvenant de ce qu'un jour il avait dit : « Si un jour je suis sûr que tout est finis pour moi, je te le donnerais avant de partir ! ». Elle avait alors dit en riant : « Cool, pourvu que ça arrive vite ! ». Ses yeux dégoulinèrent de larmes tandis qu'elle serrait le pendentif aussi fort que possible.
  - Campbell a les réponses ! Allons-y ! Lança Axel.
  Youri leva ses yeux humides vers les siens et répondit avec une détermination renouvelée :
  - Oui !

  Un choc sourd retentit lorsque les deux créature ce percutèrent. Venom frappa, projetant l'abomination rougeâtre qui fut propulsé dans les aires. Ses griffes s'accrochèrent sur les murs de béton de l'immeuble le plus proche où il resta accroché, observant son adversaire d'un regard plein de haine. Mais un sourire grotesque restait présent sur sa face hideuse, ce qui exaspérait Venom au plus haut point.
  - Descend ! Grogna t-il, pourriture rouge !
  - Carnage !
  - Quoi ?
  - Mon nom…c'est Carnage.
  Si tôt après avoir prononcé ses mots, il lâcha prise et fondit su le colosse noir à  toute vitesse. Celui l'intercepta. Les deux roulèrent sur le sol sur quelques mètres avant de reprendre leur équilibre. Carnage expédia son poing dans la face immonde se son adversaire. Puis il le frappa de nouveau, et encore, et encore, sans que Venom ne puisse régire. Le puissant symbiote s'affala lourdement contre un mur, la gueule dégoulinante de sang noir. Carnage fit quelque pas en arrière puis fonça droit sur son adversaire. Le choc fut telle que le mur derrière les deux symbiotes ne résista pas et les deux immondes créatures le traversèrent dans un nuage de poussière.
  Une ombre se redressa. Elle était imposante et noir. Venom n'était pas vaincu et n'avait pas encore épuisé toutes ses ressources. Il attrapa Carnage par la tête, celui ci étant toujours au sol suite au choc. L'immense poigne du colosse la recouvrait entièrement. Avec un cris de rage, Venom fit s'écraser la tête de son adversaire contre le mur déjà  sérieusement endommagé. Ce qui eu pour effet de faire un autre trou.  
  Ne relâchant toujours pas la bestiole rouge, Venom fracassa la tête de Carnage sur le sol. Et cette fois, elle fut réduite en bouillis. Le colosse noir relâcha sa prise et poussa un hurlement victorieux (qui ressemblait à  tous ses autre hurlement en réalité).  Puis ses tentacule attrapèrent le corps sans vie. Mais au moment de l'absorber, la tête de Carnage se reforma, un demi sourire se dessina sur la gueule immonde puis celle ci s'écrasa violemment contre celle de son ennemi. Celui ci lâcha prise et grogna de douleur et de colère.
  Carnage retomba au sol, attrapa l'un des bras puissants du puissant symbiote noir et le fit tourner autour de lui, ne manquant pas de démolir quelque mur au passage. Puis il le lâcha finalement et le gros tas fit un vol plané avant de s'écrasé brutalement contre un autre bâtiment.
  - Oh oh oh ! Se moqua le symbiote rouge en arborant un nouveau sourire parfaitement stupide, Aller, viens joué avec moi…grand père !
  Epuisé, Venom se releva puis grimpa le long d'un immeuble avant de disparaître en le franchissant. Il venait de prendre la fuite.  
  - J'ai faaaaaaaaaaaim ! Hurla Carnage aux ténèbres de la nuit.


  Axel ne prit pas la peine de frapper, il n'avait aucun respect pour Campbell, et à  cet instant il était trop énervé pour simuler. Tout du moins c'est ce que Youri en déduit. ils entrèrent dans le bureau du chef et à  peine entrée, Axel explosa :
  - Bon j'en ai marre cette fois de tous vos petits secrets ! Qu'est ce qui est arrivé à  Karù ? Qu'est ce qu'il a voulu dire par : C'EST arrivé. C'est quoi à‡A ?
  Le visage de Campbell c'était décomposé et avait perdu toutes ses couleurs. Youri frissonna.  Finalement, leur chef parvint à  articuler quelque chose.
  - Et…et Nagini ?
  - Quoi Nagini, c'est de Karù qu'on est entrain de parler ! Hurla Axel.
  - Qu'est ce qui est arrivé à  Nagini, tonna Campbell.
  - Il est mort, répliqua  Axel.
  Campbell se laissa lourdement tomber sur son siège.
  - Que s'est il passé ? Qu'est t'il arrivé à  Karù ?
  - On comptait sur vous pour nous le dire ! Il m'a dit de vous dire que C'EST arrivé. Et que vous nous expliqueriez.
   Campbell baissa les yeux.
  - Très bien, je vais tout vous raconter, fit il.
  Youri déglutit, consciente qu'elle n'aimerait pas ce qui allait suivre. Campbell pris une grande bouffé d'aire avant de commencer son récit.
  - Vous deux ignorez beaucoup de chose sur le passé de Karù. Lorsqu'il avait 10 ans, il a été enlevé par le gouvernement qui cherchait un hôte génétiquement fiable pour leur expérience.
  - Quoi ? Vous racontez n'importe quoi ! On ne s'ai jamais quitté, explosa Youri, sauf…
  - Un mois ! C'est tout ce dont ils avaient besoins.
  - Mais… Je croyais que pendant tout ce temps il tentait de vous convaincre de nous prendre lui et moi dans votre organisation ! Je croyais qu'il passait une sorte de teste !
  - Ce n'est pas ce qui s'est passé. En apprenant le danger qui résidait en lui, j'ai été personnellement chargé de le retrouver et de l'éliminer. Je l'ai trouvé. Mais je n'ai pas pus le tuer. Je l'ai pris en affection, exactement comme pour toi Axel et cette jeune fille. J'ai fait croire à  tout mon personnel que le gosse était mort et que Karù était juste un apprenti combattant. Et j'ai fait ce que j'ai pus pour faire venir ça sÅ“ur avec lui.
  - Mais qu'est ce qu'ils lui ont fait ?
  - Ils ont fait de lui une arme de destruction incontrôlable en lui injectant un ADN extraterrestre d'une créature appelé symbiote, et dont le premier prototype à  été baptisé VENOM. Karù, lui, a été baptisé : CARNAGE.
  - Quoi ? C'est n'importe quoi ! Exulta Axel tandis que Youri sentait de nouveau les larme couler sur ses joues.
  - Jusque là , Carnage était en sommeil à  l'intérieur de Karù. Mais nous savions tout les deux qu'une rencontre avec Venom le ferait se transformer. Nagini le savait aussi. Il était là  pour intervenir au cas où la situation dégénèrerais.
  - Et dans ce cas qu'était il censé faire.
  - Abattre Carnage.
  - Autrement dit, tuer Karù !
  - Je suis désolé, Axel, Youri, mais à  présent que Carnage a émergé, Karù ne reviendra peut être pas. Et c'est maintenant devenu une créature effroyable uniquement guidé par l'instinct et qui tuera autant que possible. C'est pour cette raison que Karù voulait avoir Nagini auprès de lui. Dans le cas où il se transformerait.
  - Mais il déteste Nagini !
  - Il vous aime plus tous les deux qu'il ne détestait Nagini…
  Youri fondit en larme.
  - Et que…que pouvons nous faire pour lui maintenant.
  - La seule qui pourrait l'aidé, c'est…
  Il regarda Axel, puis Youri, puis ferma les yeux.
  - …une balle dans la tête…

Re: Fallen World

Super, Carnage est dans la place ^^

Re: Fallen World

Lol t'aurais pas lu des comics de spider-man Squall parce que Carnage ressemble a un personnage que j'ai déjà  vu!

Bon voila ma seconde partie que se tape l'incruste lol



Après avoir essayé de réparer tant bien que mal la salle de bain nos deux amis allèrent se coucher !
La lune pointait haut vers le Ciel, Ifrit et Shiva dormait paisiblement quand une chaleur étouffante la réveilla.
- Mmmmh Ifrit arrête un peu avec ton pouvoir j'étouffe !
- ….qué ? Mais ce n'est pas moi.
- Ben c'est quoi alors ?
Les deux se levèrent de leur lit respectif et constatèrent que l'hôtel était entrain de prendre feu ! Shiva regardait Ifrit d'un sale Å“il !
- J'y suis pour rien, je te le jure ! Affirma-t-il
- Bon quoiqu'il en soit ou doit sortir de ce fourneau est vite, on est au 3ème étage et l'ascenseur doit être inutilisable, on doit prendre les escaliers !
- On dirait que ta déjà  vécu ça ?
- Je m'adapte a la situation en prenant vite des initiatives voila tout !
Ils sortirent de la chambre ; c'était le chaos, tout le monde hurlait et courait dans le couloir complètement paniqué. Shiva put stopper une personne et lui dire qu'il pouvait passer par les escaliers.
- Impossible, le feu bloque l'accès on est coincé ! On va tous y rester ! AAAAAH ! dit-t-il en fuyant.
- Vive l'optimisme ! Rétorqua Ifrit.
- Au lieu de jouer tes grand air va t'occuper des escaliers justement. Ordonna Shiva.
- Depuis quand tu me donnes des ordres ?
- Depuis maintenant !
- Ben voyons, madame se croit la cheftaine maintenant hum et soit qui me dit que j'ai des grand air, laisse moi rire !
Une explosion les remis dans la réalité !
- Bien je vais le faire moi et toute seul ! Après tout la glace ne résiste face au feu.
- On verra bien, mais on ferait bien de se transformer dans la chambre de cette façon on passera plus discret !
- transformer ?
- Oui ! Moi en flamme et toi en glace
- c'est évident, enfin tu me prends pour qui.
- ahhhh bon allons y !
Ils rentrèrent puis sortirent quelques minutes plus tard ! Ifrit était devenue une torche humain et Shiva un glacier !
- Je m'occupe des escaliers et toi…
- j'évite que les flammes se propagent !
- Bravo, tu apprends vite !
- Grrrr !
Shiva se dirigea vers les escaliers, les flammes faisait fumer son corps entier, il lui était difficile de contrôler son pouvoir dans ces conditions, mais elle se devait de réussir, elle l'avait dit et elle lui était impossible d'avouer qu'elle avait tord !
Elle arriva enfin a destination ; elle pointa ses bras en avant et envoya une tonne de glace sur les flammes, l'espace d'un instant les flammes disparut mais revint avec encore plus d'intensité !
-Oh non ! Se dit elle !
Elle recommença le processus mais avec plus de quantité, rien n'y fait les flammes revenaient a chaque fois a telle point qu'au bout d'un moment elle devait reculer pour éviter d'être étouffer.
Finalement le manque d'oxygène vint et elle commença a tituber et a perdre sa forme glaciale !
Elle recula puis tomba et chuta sur les marches des escaliers ; Arrivé a l'étage inférieur, couché par terre, elle constata qu'elle était redevenue normal mais aussi qu'elle ne pouvait plus bouger, elle avait utiliser toutes ses réserves et maintenant, elle allait être dévoré et brûlé vive par les flammes !
Cette idée la terrorisée, elle essayée de se relever et d'appeler a l'aide mais personne ne vint, elle toussa et s'écroula, elle allait s'évanouir puis mourir sans s'en rendre compte ; Une dernière pensée lui vint à  l'esprit, elle le dit a haute voix !
- J'aurais du te laisser faire Ifirt, j'ai eu tord pardonne moi !
- T'en as mis du temps dis donc !
Elle ouvra grand les yeux et constata que Ifrit, la personne a qui elle avait donné les ordres et a qui elle trouvait une supériorité avait réussit a la sauvée en repoussant les flammes !
Finalement le feu fut maîtrisé grâce a Ifrit, la ville fut très reconnaissant envers lui, il rajouta qu'il n'y serait jamais arrivé sans son amie. Shiva le regarde puis baissa les yeux toute gênés.
Le maire leur demanda comme s'appelait leur héros :
- Hum euh ben en fait on en a pas vraiment !^^' répondit Ifrit.
Un long silence se suivit puis un enfant proposa :
- Moi je trouve que vous ressembler a des personnages d'un jeu que je connais très bien.
- Ah oui et comment ils s'appellent ? demanda Ifrit
- Ifrit et…elle fait quoi ta copine ?
- Elle, c'est la glace qu'elle contrôle !
- Ah ben c'est Shiva alors !
- Hum tu en penses quoi ?
- Ca me convient ! répondit Shiva
- Bien adjugé vendu !
Un hourra s'en suivit puis nos amis allèrent chez un certain Docteur Geyser ! Le maire leur dit qu'il connaît un endroit peu fréquentable où il ferait bon d'y mettre un peu d'ordre !
- La ville a besoin de héros comme vous Ifrit, Shiva !
- Merci de votre encouragement, ils nous va droit au cœur. Affirma Shiva.
- Bien, maintenant je vais vous laisser à  Doc, bonne chance !
- Merci ! Répondirent-t-ils
- Ach alors zé vous les fameux héros dont on ma parlé !
- Euh oui, c'est ça ! Je me présente Ifrit et voici mon amie Shiva !
- Très heureux de faire fotre connaizance, dites mois que me voulez fous ?
- Eh bien le maire nous a dit que vous connaissiez une ville assez obscure. Dit Shiva
- Ya z'est exact je viens justement d'invanter ein système drès performant : le lanze-bierre !
- Pardon ? Demandèrent-t-ils
- Le lanze- bierre !
- Je ne comprends pas ! Affirma Ifrit
- Bierre, les betits cailloux, les bierres !
- Aaaaah, un lance-pierre ! Articula Shiva.
- Ya, sehr gut !
- hé hé^^' ! Dirent-t-ils gêné.
- So, inztallé fous dans une des zes capsule là  bas pour le décollage !
- …
- …
- Was ?
- Excusez nous mais ces capsule n'est faite que pour une personne ! dit Shiva.
- Fous avait remarqué ?
- Oui !
- Ach che suis dézolée mais ze sont les seules capsules que ch'ai !
- On ne peut pas y aller séparément, chacun dans une capsule ? demanda Ifrit
- J'y avais penzé mais za ne pourrait pas marcher ! Nein ! Elasticité moins éfficace, plus de chance d'être loin de la ville ou au pire être écrasé !
- C'est dingue ce que vous êtes rassurants ! Dit Shiva
- Ach elle est naturelle chez moi !
- C'était de l'ironie !
- …
- Bon ben on embarque a deux, on a pas le choix ! affirma Ifrit !
Ils s'installèrent donc avec beaucoup de difficulté, avec un siège pour deux !
- Fous z'êtes prêts ?
- Faut bien ! Dit Shiva
- Achtung, tzen , neun, acht.
- Ifrit ?
- Mmmh ?
- Je…je voulais te remercier pour tout à  l'heure dans l'hôtel ! Je m'excuse de t'avoir traité comme je l'ai fait. J'ai une dette envers toi et je compte bien te rendre la pareille un jour ! Promis juré !
- Je le sais bien !
- Vier, drei, zwo, eins, yets get los !
Doc Geyser appuie sur un bouton et Ifrit et Shiva fur propulsé dans ce qui leur senblait être une nouvelle aventure.




- Pourquoi tu m'as mentit ? Pensais Ifrit.
- Eh Ifrit, tu m'entends, Ifrit ?
Ifrit cligna des yeux et constatèrent qu'il était couché par terre la tête contre les jambes de Shiva, il savait qu'elle l'avait sortit des décombres !
-Maintenant on est quittes ! Dit-t-il
- Oui !
- Aà¯e, ma tête, où ils sont les deux autres zigotos ?
- Là  bas, dos à  dos ! Ca va faire 15 minutes qu'ils ne s'adressent plus la parole !
- De vrais gamins…comme nous !
Leur regard se croisa et ils éclatèrent de rire.
-Allez lève toi maintenant, on a une ville a nettoyé ! Dit Shiva
- Tu as raison, et cette fois on le fera ensemble, sans que l'un donne un ordre a l'autre !
- Parfait ! Enfin avec Aang et son…colosse !
- Oui ! ^^


Pouf eh ben ! Je n'ai pas lésiné sur la seconde partie !
Je sens que certain vont me détester ?

Re: Fallen World

SQUALL, bravo. C'est vraiment génial et super bien écrit. Je sens que tu avais envie de te défouler un peu avec se chapitre n'est-pas ? Tu m'as vraiment surpris et chapeau pour le scénario, c'est tout à  fait dans l'esprit. très bonne imagination !

Nahognas, c'est bien écrit malgré quelque faute de temps de verbe. Maintenant qu'on connais leur histoire, qu'est-ce que tu entends par nettoyer la ville ? J'avoue que ça m'inquiète quelque peu.

Chevalier, à  toi. Je posterai mon chapitre vendredi mais pour l'instant, je n'ai pas vraiment le temps d'écrire

à€ bientôt :D

Re: Fallen World

Squall, c'est très beau et bien écrit.

Nahognas, c'est bien écrit, il y a beaucoup de sentiments, c'est ta meilleure partie je trouve, mais j'ai trouver ça imbitable.Et aussi, a propos de ta remarque, nanjii rencontre shiva ifrit et aang juste avant que ifrit ne se fasse envoyer dans le mur par fenix.
Et j'ai adoré le dc Geyser, ça ma fait trop marrer.

Et je précise aussi, imbitable ça veut dire qu'on ne comprend rien. En fait, dans ta partie, c'est pas qu'on comprend rien, c'est qu'il n'y a aucun lien entre tes paragraphes, du coup, on est vite à  l'ouest.

Re: Fallen World

Voila ma partie ^^



La douleur … tant de douleur que je ne la sentais presque plus . Je devais me reformer . Quand je l'avais fait après que le poing du ZAX m'ait frappé, j'estimais que je n'arriverais peut-être pas à  le refaire . C'était vrai, et je le sentais dans chacun des milliers de fragments de mon être qui jonchait le sol . Mourir, c'est le nom que les humains donnent à  cet arrêt de l'existence . L'ombre qui me compose allait se dissiper et retourner à  la nature, pour servir peut-être de base à  un autre élémentaire, peut-être demain, peut-être dans un siècle, peut-être jamais . J'étais plusieurs fois passé près de la mort, j'avais brisé des centaines de vies en une éternité d'existence, j'avais servi des dizaines de maîtres, j'avais vécu des années en suivant ma propre voie, j'avais survécu à  tous ceux qui j'avais rencontré … Mais aujourd'hui j'ai été vaincu .

J'allais mourir . Jamais je n'aurais pensé vouloir résister à  ce fait le jour il viendrait, après tout, c'était un destin obligatoire, même pour un être que le temps n'affecte pas . Mais non, je ne voulais pas . Je voulais encore la voir, encore me chauffer à  la chaleur de son âme, encore la tenir prisonnière, encore sentir du sang chaud couler le long de mes griffes, encore … vivre .  Mais c'était fini, ils allaient continuer et moi pas, ils allaient rester ensemble, l'un avec l'autre, jusqu'à  ce que le destin les sépare, et moi j'allais disparaître . Axel et Samà«l …

Il s'appelait Nagini, Victor Nagini . Vingt neuf ans, et un tourbillon de souvenirs . Des voix, des sensations, des lieus, des instants s'insinuèrent en moi .

Une voix forte, celle d'un officier …
« Soldat, je compte sur vous, l'ARM a besoin de bras, de fer et de courage ! Â»

La sensation de tuer, de mettre fin à  une vie, l'excitation de risquer la sienne, les ennemis, les explosions, les balles, la douleur, la mort de ses frères …

« Victor, je vous nomme Lieutenant suite à  la mort du très regretté Kestner . Â»

La fierté, la violence, la guerre, ses horreurs, ses prisonniers, ses tortures, ce sang au bout du couteau qu'il avait tenu, les cris de sa victime …
Le plaisir, la perversion, le sadisme, les chantages et abus …

« Je pense que nous pouvons trouver un accord … par exemple, cette nuit dans mes appartements … Â»

La responsabilité, l'assurance, la promesse .

« Si ça arrive, je te tuerai, sois en sûr . Â»

La douleur, l'instinct de survie, la haine, la rage, elle, son chat …

« E … épargne moi … Â»

La mort .


Son âme fraîche envahit chaque parcelle de mon corps brisé, emplissant l'ombre qui me formait d'une vigueur nouvelle . Non, je en mourrai pas . Un tremblement habita un instant chaque fragment, avant qu'ils ne s'élèvent pour venir former au dessus du sol une nouvelle masse noire, d'où sortirent bientôt une paire de bras puissants dotés de griffes . Deux lueurs jaunes vinrent habiter mon corps, j'étais vivant .

Un hurlement grave s'échappa de mon être, pour résonner dans la ruelle vide . J'avais survécu, vaincu la mort qui m'enserrait, qui allait m'empêcher de le tuer, de la reprendre . Sans cette âme humaine, j'aurai échoué, et toute l'ivresse de pouvoir qui m'envahissait à  chaque fois que j'en absorbait une avait complètement été utilisée pour me reformer . J'aurais presque pu être reconnaissant envers Mariko . Et Amesis .

Donc, il avait été libéré, leur plus puissante créature, plus encore que moi . Amesis était différent des élémentaires, des êtres de chair également . C'était une sorte d'esprit sans forme matérielle, qui existait depuis la création de ce monde, peut-être même avait il participé à  sa création, il ne s'en souvenait probablement plus lui-même . Les humains donnent un nom à  ce genre d'êtres . Amesis est-ce qu'ils appellent un dieu . Les hommes l'ont capturé par hasard, et ont tout tenté sur lui, puis, finalement, sont parvenus à  lui donner une enveloppe corporelle, et une âme . Car avant, il n'était qu'un morceau de pouvoir brut invisible, insensible et impalpable n'ayant pas même conscience de son existence .

Si Amesis avait été libéré, c'était que les circonstances étaient extrêmes . Vaincre Mariko était pour moi une tâche faisable, bien que difficile, mais Amesis … La différence était trop importante . Il fallait éviter de le rencontrer, ou trouver un moyen de le battre . Libérer mes clones ? Non, je n'avais pas la clé, et ils étaient trop dociles envers les humains, ils m'attaqueraient plutôt que de me rejoindre . Et les sujets qu'ils gardaient ne feraient qu'attirer encore plus l'attention des humains sur moi si s'ils étaient libérés . Il y avait bien Venom, mais il était trop stupide pour faire autre chose de d'essayer de me détruire si je venais à  lui . Il y avait les humains, ces gens de l'ARM, mais eux aussi ne penseraient qu'à  le détruire . Finalement, je réalisais que l'existence d'une Ombre solitaire qui tue sans faire de distinction pour ses propres besoins n'attire que des ennemis . Il n'y avait rien ni personne qui pourrait me servir à  surpasser Amesis .

Je m'envolais loin de cet endroit souillé du sang de l'homme qui était mort, tué par Mariko . Je devais m'en aller, afin de me préparer .

Une semaine, il pensait m'avoir neutralisé pour une semaine . Durant ce laps de temps, l'ARM me croirait mort, brisé ou inoffensif . C'est durant ce temps que j'attaquerai . Je les retrouverai, et je mettrait fin à  cette histoire . Peu m'importe la puissance d'Amesis si il ne me rencontre jamais . Mais ils pouvaient être gênants, Mariko et lui, et tous ces humains du gouvernement . C'est d'ailleurs une chose compliquée, le gouvernement humain . Sur ma planète, les Ombres n'obéissent qu'à  la Grande Ombre, l'incarnation la plus pure de l'élément de l'ombre . Sur Terre, il n'y en a pas . Juste des Ombres qui errent sans but . Les humains divisent tout, contrôlent tout, délèguent, subordonnent, sanctionnent, se battent … Ils perdent du temps à  tenter d'être plus haut gradé, plutôt que d'accomplir leur tâche avec énergie . Je pense que finalement, retourner au laboratoire avant d'attaquer l'ARM les paralyserait, mais il me fallait d'abord la clé . Or, c'est Axel le détenteur . Et Axel fait partie de l'ARM . Et Axel a Samaà«l . Il y avait des armées de chaque côté, et moi j'étais seul .

Peut-être suis-je resté trop longtemps au contact des humains . J'ai passé des millénaires au contact de dizaines d'espèces, d'élémentaires, d'esprits ou de créatures de chair et de sang, mais aucune ne m'a changé autant que les humains l'ont fait en un an . Ce désir brûlant que j'ai de retrouver Samaà«l, peut-être est-ce une forme de ce qu'ils nomment « l'amour ? Â» Ce plaisir plus grand de broyer un humain entre mes griffes que celui que j'ai éprouvé en tuant n'importe quelle autre espèce, « le sadisme ? Â», cette rage que j'ai ressenti en m'accrochant à  mon existence, « le désir de vivre ? Â» . Des émotions, lentement, à  mon insu, étaient nées en moi . Des émotions humaines .

« L'ambition Â» . C'est ça qui avait jusque là  bloqué mon chemin vers la réussite . J'accélère, les buildings défilent sur les côtés de l'avenue déserte plongée dans une nuit calme, encore humide de la pluie récente . Il y aune femme sur le borde d'un trottoir, elle me voit, elle crie . Je tend une griffe, elle est terrorisée, elle ne peut plus bouger . Je la transperce, son sang coule au sol . Puis je m'élève, la gardant toujours accrochée à  ma griffe, je dépasse les immeubles, m'élève dans le ciel noir . Son sang goutte lentement, chaque goutte tombant des plusieurs dizaines de mètres de haut avant de s'écraser au sol . Elle hurle à  la mort, puis cesse, elle ne vit plus . Je me repais de son âme, le pouvoir m'envahit, je me débarrasse de son corps, le laissant chuter au sol . La pleine lune derrière moi projette mon ombre sur la ville , tandis que je lève vers l'horizon une griffe ensanglantée .

Une phrase . Dans le langage des Ombres .

« Venez à  moi, et vénérez Ruu, première Grande Ombre de cette terre . Â»

Re: Fallen World

C'est trop cool. Bravo chevalier ! Ruu va déchirer !

Je vous envoie la suite demain(vendredi), sans faute.

bon sans, j'adore de plus en plus cette histoire!! :D

Youpi di dlidoo :D

Re: Fallen World

Cette histoire me plait de plus en plus !!!!!!
Bravo chevalier.


SQUALL, bravo. C'est vraiment génial et super bien écrit. Je sens que tu avais envie de te défouler un peu avec se chapitre n'est-pas ? Tu m'as vraiment surpris et chapeau pour le scénario, c'est tout à  fait dans l'esprit. très bonne imagination !

t0nka



Eh eh eh ! Merci beaucoup ! Et oui, je me suis bien défoulé sur ce chapitre ^^