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Jeux de rôles

Fallen World

Fallen World

Wow, SQUALL ! Pour être sadique, tu es sadique!

Super chapitre. Je me met de suite à  la suite. Vous l'aurez demain sans faute.

Ah, j'oubliais, j'ai vraiment aimé l'ostinage entre Axel et Youri. C'était très drôle. Bravo :D

Re: Fallen World


Wow, SQUALL ! Pour être sadique, tu es sadique!

t0nka



Je sais !!  :D :D :D Non, sérieusement je me suis dégouté moi même Yark ! Beurk Beurk Beurk !


J'adore, ta partie est géniale.

chatouillesdu92



Oh yeah !!! j'ai du succet auprès des filles ! (euh ne donnez pas autre sens à  mes propos ! mmmmh)




Ah, j'oubliais, j'ai vraiment aimé l'ostinage entre Axel et Youri. C'était très drôle. Bravo :D

t0nka



Tu as vraiment aimé le...quoi ? et bien merci, quoi que tu es aimé ^^ (je pense comprendre mais le mot je le connaissait pas)

Re: Fallen World

Ostinage, je connaissais pas non plus alors j'ai regardé mon dico ... il est pas dedans .

Alors j'ai cherché sur le web, et ça semble être un synonyme de "dispute" ^^

Re: Fallen World

Exelent chapitre *Répète les autres* mais la prochaine fois... Mariko et Amesis ruineront Carnage! Ou pas  :D

Re: Fallen World

Ostinage, je voulais dire obstinage, du verbe obstiner. je l'ai mal écrit, désoler. En effet, c'est un synonime de dispute. :D

Re: Fallen World

chose promis, chose du. Je dois avouer que je n'étais très inspiré pour les événements de l'histoire, alors je radote un peu... et on découvre un côté de fenix... disons, plus humains...


« - Je ne crois pas qu'il convienne de vous faire part ni du registre des armes ni de renseignements qui pourraient mettre notre sécurité et le bien fondé de cette organisation en péril, M. Fenix. Nous ne savons absolument rien de vous et jusqu'à  preuve du contraire, vous n'êtes pas un allié. Garde…
- J'ai des informations qui pourraient vous être utile, coupa le colosse. »
Campbell le scruta un instant…
« - Je vous écoute. Faite vite !
- Peut-être aurez vous de la difficulté à  gober ce que je m'apprête à  vous dire, mais c'est l'entière vérité. Je suis né sur la planète Alpha-02. C'est une planète colonie de notre planète Mère qu'on appelait Terre mais qui as été anéantis par une espèce plus forte et plus ancienne que nous, humains. Il y a près de quatre cents ans maintenant que nous sommes en guerre contre cette race, les Ombre, comme on les appelle. Il s'agit d'êtres constitués de particules énergétiques. Ils sont sadiques, intelligents et incroyablement forts. Au corps à  corps, nous n'avions aucune chance de les battre. Il nous a fallut plusieurs décennies pour réussir à  leurs tenir tête. Nos gouvernement on du s'allier et mettre de côté leurs guerre interne pour réussir à  mettre au point des systèmes de défenses capable de les garder à  distance. Mais leur ruse est grande et ils ne cessent de s'adapter et de déjouer nos tentative pour les mettre définitivement hors d'état de nuire.

« Je suis moi-même un soldat de la CTR, la Confédération Terrienne Réunis, pilotes et agent d'interventions des forces spéciales. Notre planète Mère détruite, nous nous sommes réfugier sur les dizaine de planètes colonies éparpillées dans la queue ouest de la galaxie. D'après ce que nous savons, les Ombre sont originaire de la partie sud ouest de la galaxie, un endroit très chaud et très riche en étoiles. Votre planète ce trouve à  l'extrémité de la queue est, sur la crête extérieur. C'est pour cette raison que vous n'avez pas été touché par cette guerre. Il y a environ un an, j'ai reçu l'ordre d'aller explorer cette région car les ressources diminuaient rapidement sur nos colonies et la guerre faisait rage plus forte que jamais. Je suis donc parti dans un de nos vaisseau Valkyrie, en quête de nouvelle planète habitable et riche en ressource et minéraux.

« Mais il s'est produit un événement que je n'avais pas prévu. Un Ombre, sans que je sache comment, s'est glisser à  bord du vaisseau. Ce n'est qu'après plus de deux semaine de voyage que l'ordinateur de bord a enfin détecté sa présence. Il était resté cacher, sans agir, comme s'il attendait un signal. Lorsque je fus enfin informé de sa présence, j'entrepris de le traquer et de le tuer avec mon pistolet à  impulsion électromagnétique.
- Votre quoi? L'interrompit Le chef de l'ARM.
- Mon pistolet à  impulsion électromagnétique. C'est l'arme que vous m'avez confisqué. Elle crée un champ gravitationnel artificiel dans la direction que je veux. C'est une arme qui n'a été mis au point que très récemment par nos équipes de chercheur. C'est la seul arme que nous possédons capable de les détruire complètement. Les système de défense que nous utilisions avant n'était capable que de les tenir à  distance, nous donnant ainsi le temps de mettre aux point des armes plus puissante. Le champ magnétique créer par le pistolet désorganise les atomes structurelle de l'organisme composant le chant d'énergie vitale de l'Ombre. Nos scientifiques ont mis plus de cent ans à  comprendre la structure vitale de notre ennemi avant de pouvoir créer une arme capable de les détruire complètement. Le coup n'est cependant pas toujours mortel. Tout dépend de la distance et de l'angle d'impacte.
- Mais pourquoi diable me dîtes-vous tous ça? Reprit Campbell.
-Parce que l'Ombre dont je vous parle est présentement en liberté sur cette planète, Monsieur. Comme je vous le disais, j'ai tenter de l'éliminer sur mon vaisseau mais sans succès. Il sabota l'ordinateur de bord et quelque heures plus tard, nous nous écrasions sur cette planète. Mais tout comme moi, il a survécu. Je suis resté inconscient plusieurs jours. Le gouvernement de ce monde l'a capturer. Il devait être très faible pour qu'ils réussissent un tel exploit. Puis, Dieu seul sait comment, ils en on fait des copies. Je les ai détecté lors de mon incarcération dans leurs établissement. Il y en avait trois. Mais leurs signatures énergétiques n'étaient pas celle de l'Ombre qui était à  bord de mon vaisseau. Et il y a environ une semaine, le quatrième c'est échapper. C'est ce jours là  que j'ai rencontré Karù, Axel et la fille qu'il portait sur son dos. Ils étaient poursuivis par quelque chose, qu'ils disaient. Axel l'a vue, sans aucun doute. Monsieur, c'est un Ombre qui poursuivait Axel cette journée là .

« Ce qui me trouble maintenant, et qui m'a troublé durant toute l'année qui s'est écoulé depuis l'écrasement, c'est pourquoi l'ordinateur de bord du vaisseau l'a détecté si tard et comment les membres du gouvernement l'ont repérés si vite. Ils devaient forcément savoir qu'il était là . Je vais vous dire, je ne croix plus m'être écraser sur cette planète par hasard. »

Campbell resta un moment silencieux, plongé dans ses pensées. Fenix avait pondu sont histoire sur un ton monocorde sans la moindre note d'émotions. Les informations qu'il venait d'apporter soulevaient de nouvelles questions dans l'esprit du chef de l'ARM.

« - Garde, laisser nous, finit-il par dire. Ces derniers s'exécutèrent. Campbell reprit pour Fenix :
- Très bien. Que voulez vous?
- Je l'ai déjà  mentionné. Je veux parler à  la fille.
- Je ne peux pas vous autoriser ça pour l'instant. Il s'agit du sujet d'expérience Oméga-709, classé top secret. D'ailleurs, comment avez-vous eu vent de son existence?
- Peu de temps après avoir repris conscience, elle m'es apparu. Je ne l'ai vu que très peu de temps mais elle a éveillé certaine chose en moi. Vous dites qu'elle a été un sujet d'expérience? Quel était le but de cette expérience?
- C'est top secret. Quoi qu'il en soit, vous m'avez l'air de quelqu'un de fort, et qui en a vu d'autre. Et le fait que vous ayez trouvé cette base témoigne de vos aptitude. Si vous le souhaiter, je peux vous offrir repos et calme en échange de vos service comme élément actifs au sein de cette organisation. Nous combattons, comme vous, le gouvernement oppresseur de ce monde. Vous serai sous mes ordres et devrez répondre de vos actes à  moi. Si vous acceptez, nous vous montrerons vos nouveau cartier. Si vous refuser, nous ne pourrons vous libérer car vous connaissez maintenant l'entré de cette base et vous serez emprisonné pour une période indéterminé.  Répondez, maintenant !
Fenix prit son temps pour répondre.
- Mon but premier est de retrouver et d'éliminer l'Ombre. Si je peux être utile ici, j'accepte de vous aider mais n'espérez pas de moi que je vienne répondre de mes actes devant vous. Je fais ce que je veux, quand je veux. Je m'engage néanmoins à  ne rien faire qui puisse nuire à  votre bande ni à  dévoiler rien que ce soit vous concernant. Avons-nous une entente? »

Campbell le scruta un cours moment.
« Décidément, cet homme en a vu d'autre… et c'est exactement le genre d'individu qu'il nous faut. »
« - d'accord ! dit-il en lui tendant la main pour sceller le contrat.
Fenix lui rendit la pareille.
- Je peux récupérer mon arme maintenant? Demanda le colosse.
- Oui. Nos hommes vous montreront vos cartiers, la base, nos salles d'armement, etc…
- Merci. Il lui fit un signe de tête et sortit du bureau. »

Quelques heures avaient passé. Fenix errait dans les couloirs du complexe souterrain, perdu dans ses pensées. Pour la première fois depuis qu'il était atterri sur cette planète, il ne travaillait plus seul. Il faisait maintenant parti d'une organisation, avait des gens autour de lui sur qui il pouvait compter et qui comptait sur lui. Et paradoxalement, il ne s'était jamais senti aussi seul. Il se sentait intrus, mal venu. Tout les gens autour de lui se parlaient, s'aimaient, se haà¯ssaient, mais ne s'ignoraient pas. Lui, on se contentait de lui lancer des regards surpris, sans rien ajouter, ou on l'ignorait purement et simplement.

Il arriva devant une porte où un petit écriteau était accroché. Il indiquait : Axel, Karù, Youri. Fenix s'approcha et cogna trois coups timides. La discutions qu'il avait eu avec le garçons quelque heures plus tôt n'avait pas été veine. Il en avait suffisamment entendu pour éprouver du respect envers le jeune homme, de par la façon qu'il avait tenu son bout, qu'il lui avait tenu tête.

La porte s'ouvrit lentement. Youri, les yeux petits, endormis, ce tenait dans le cadre, septique.
« - Qu'est-ce qu'il y a? demanda-t-elle d'une voix pâteuse.
- Je voudrais voir Axel… s'il… s'il vous plaît.
- Il dort. Tu n'auras qu'à  repasser demain.
- Oui, d'accord… dit-il, l'air sombre. »

La porte se referma avec un bruit sourd.

Re: Fallen World

Oua ! Super suite Tonka, j'ai vraiment aimé.

Suite à  toi sangoku. :D

Re: Fallen World

cooool tOnka, j'adore ce que tu écris, la grande explication de Fenix était super et surtout j'ai adoré la fin, je me suis trop bie imaginé la scène. Et puis le petit bégaiement de Fenix est super bien foutu devant la petit Youri à  moitié endormie. ^^

Re: Fallen World

Merci pour vos commentaires, ça fait toujours plaisir à  recevoir :D

à€ goku!

Re: Fallen World

Euh, je pense que tu vas abandonné la suite que que avait en retard de l'autre fois, non ?  :D

Re: Fallen World

je pense en effet que ce serait mieux...  :D
et puis si tu pense que tu pourra pas finir, autant le dire tout de suite, ça fera gagner du temps à  tout le monde

Re: Fallen World

Et le temps c'est de l'argent...
Nan lol, il y a aucun rapport là   :D

Re: Fallen World

Petite correction : après tOnka,c'est à  moi ^^'

Je me met au boulot ...

Re: Fallen World

je pensait pourtant que l'ordre était bien enregistré >_>
squall,alors la tu fait pire que venom,lui s'il tue c'est pour survivre mais carnage,c'est pour le plaisir!il me fait aussi pensé a boubou dans dbz(en plus sanguinaire),tuer pour le plaisir,recherche d'adversaire digne de lui,peut pas tuer quelqu'un a cause de quelqu'un d'autre trop fort
sinon j'aurais pas imaginé fenix aussi timide  :grattementon:

Re: Fallen World

Moin non plus je pensais plus a un mec sérieux et surtout solitaire! Comme quoi les apparences sont parfois trompeuses!



Mince... c'est vrai en plus^^

La question est donc... comment a-t-on fait pour t'oublier à  la place de Goku...

Al


Hypothèse: il ne sait pas manifesté?

Re: Fallen World


Moin non plus je pensais plus a un mec sérieux et surtout solitaire! Comme quoi les apparences sont parfois trompeuses!

Hypothèse: il ne sait pas manifesté?

nahognas


Hyppthese relevée  :D
Toutes nos escuses chevalier  :ballecontent:

Re: Fallen World

aussi je me demande pourquoi tous le monde a peur de amesis,s'il aurait collé un sceau a carnage,il se serrait évanoui,mariko n'aurait rien put faire(dans l'état ou elle était)il se serait reviller peu de temp aprés et en aurait fait de la chair a paté
aprés si bibi lui rajoute des pouvoirs disons plus en rapport avec le combat...

Re: Fallen World

Ca semble pourtant tout simple, la créature nommé "amesis" est la crature la plus forte que nous ayons créé

Re: Fallen World

Maintenant que tu le dis sangoku! Qu'est ce qu'a foutu Amesis pendant que son amie se faisait détruire a ptit feu alors que normalement il est censé la protégée

Re: Fallen World


Ca semble pourtant tout simple, la créature nommé "amesis" est la crature la plus forte que nous ayons créé

chatouillesdu92


nous??on est pas dans l'histoire au cas ou tu aurait oublier ^^,et de plus,ya toujour aucune preuve qu'amesis peut démonter qui que se soit ne serait-ce plus de quelque minute(sceau avec effet temporaire)mais bon,je suis sure qu'il va montrer de quoi il est capable dans peu de temp

Re: Fallen World

Voila mon chap !



L'ambition . C'est cet étrange sentiment humain qui avait tout changé . Non pas par sa présence, mais par son absence . Avant, nous étions séparés . Désormais, nous sommes unis . Unis sous mon égide .

Grande Ombre, voila ce que j'étais devenu . La Grande Ombre de ma planète mesure plus d'une centaine de mètre de haut, et j'ai un instant naà¯vement espéré que le simple fait de devenir maître des Ombres de cette planète me rendrait semblable à  elle, mais je suis resté tel que je suis . Sur ce monde, les Ombres sont plus faibles, presque trop faibles . Il y en a des centaines de milliers, des millions, des milliards, mais la plupart sont trop faibles pour posséder une enveloppe physique, où bien ne mesurent guère plus de la taille d'un ongle humain . Mais il y en avait des puissants, qui se pensaient maîtres . Aucun ne m'a résisté, ils ont reconnu ma supériorité sans même essayer de me combattre . Là  d'où je viens, je suis puissant, mais ici, je suis le maître .

Et l'armée des Ombres était à  mes ordres . Dans le ciel nocturne me suivaient des dizaines de mes frères, tandis que nous volions en direction  de notre première cible . Nous allions briser l'A.R.M à  jamais . C'était facile, si facile .

Le ciel était presque lumineux malgré la couche de nuages grisâtres qui le couvraient comme chaque jour . Désormais, je savais où se trouvaient leur base, je savais comment y entrer, qui étaient les chefs, où étaient leurs bureaux, où vivait Axel . Et avec lui Samaà«l . J'avais lu son âme, j'avais lu et absorbé celle de Nagini, et avec ça leurs souvenirs . Chaque fois que Nagini avait composé le code d'entrée de leur base était gravé dans mon être . Chaque souffle de Samaà«l, chaque mot qu'elle avait murmuré à  son âme, chaque contact entre leurs peaux …

Mais j'allais la lui reprendre, détruire tout ce qui nous séparait . L'ARM allait brûler . Le gouvernement règnerait à  jamais sur les hommes, mais les histoires des humains ne me concernent pas . Il y aurait des morts, du sang, des pleurs . Chaque homme qui tombera sera pleuré par ces frères, chaque Ombre qui périra sera aussitôt oubliée . Mais celles qui auront la force de survivre se gorgeront d'âmes .

Il faisait jour et la masse sombre que formaient les cent plus puissantes Ombres de mes séides volant à  mes côtés attirait les regards . Non, nous ne seront plus des êtres de la nuit forcés de se cacher des forces humaines, des auteurs de meurtres inexpliqués, des rôdeurs misérables . Nous sommes une force, une armée . L'ARM vivait ses derniers jours . Mais je lui en laisserai encore quelques uns . Au contact de différentes civilisations, comme les humains contre qui je me battais avant de venir ici, j'ai appris l'art de la guerre en lisant dans les âmes . Alors que cela ne m'avait jamais servi à  rien par le passé, j'appréciait désormais ces précieuses connaissances . Pour détruire l'ARM, nous allions frapper le gouvernement . Ouvrir une plaie sanglante dans leur flanc malade, puis partir . L'ARM profitera de l'occasion et enverra son armée, laissant son QG défendu, mais trop peu pour repousser une attaque massive . Le ZAX détruit et Samaà«l trop fragile pour risquer sa vie au combat, Axel restera à  la base . Et c'est là  que je frapperai .

Nous approchions de notre première cible, un quartier général de la milice employée par le pouvoir en place . Une grande bâtisse grise donnant sur la Place de la Victoire, une des plus grandes de la ville, toujours grouillante d'humains . Des banderoles colorées incitaient les jeunes hommes à  devenir milicien pour apporter la paix au monde, vaincre les rebelles et protéger le peuple . Ceux qui étaient assez naà¯fs pour se joindre à  eux finissaient plus souvent en corps brisés sur le trottoir qu'en héros .

« Descendez . Et tuez . Â» Ordonnai-je à  mon armée . Un frémissement d'excitation parcourut la centaine de guerriers qui formaient mes troupes . Nous volions à  une cinquantaine de mètres de hauteur, attirant les regards interloqués et les cris de surprise . Mais quand nous piquâmes en direction de nos victimes ébahies, ce furent des cris d'horreurs qui nous accueillirent . Le soleil se refléta sur nos griffes .

Et ce fut le massacre . La nuée se sépara quand chaque Ombre fondit sur une victime différente, rattrapant les fuyards ou embrochant ceux que la peur avait paralysé . Les griffes lacérèrent, écorchèrent, les poignes broyèrent, les os se brisèrent, les chairs furent déchiquetées . Des lambeaux de tissu déchirés, des chairs sanglantes, des entrailles exposées et des morceaux d'os rompus jonchèrent le sol de béton sale aux côtés des cadavres démembrés des humains massacrés . La place fut remplie d'âmes flottantes qui furent dévorées par mon armée . J'en absorbait une au passage, et pointa un doigt griffu et sanglant vers les portes du bâtiment . Enfin, les miliciens arrivaient pour nous affronter .

Portant des uniformes verts sombres, ayant dans les mains fusils, pistolets, boucliers anti-émeutes ou épées, un bataillon d'entre eux se déversa des portes grandes ouvertes de leur QG . Ils manquaient de discipline, attaquant à  la hâte . A la vue de notre armée, faites de créatures qui pour eux n'existaient que dans leurs cauchemars et les histoires les plus horribles, la peur les envahit . Celle-ci se mua en terreur lorsqu'ils aperçurent les ruisseaux de sang qui coulaient entre les pavés et la boucherie qui s'étendait sur la place . Certains parmi ceux de devant s'enfuirent, bloquant l'accès à  ceux se trouvant derrière eux, d'autres en voyant les premiers fuirent les imitèrent en hurlant sans rien comprendre, un officier se mit à  tirer sur ses propres troupes en essayant d'abattre un fuyard afin de montrer un exemple, et peu furent ceux qui parvinrent à  rester groupés et en ordre de bataille .

Et c'est dans ce chaos que nous chargeâmes . Toutes griffes devant, je menais l'assaut contre cette masse humaine désordonnée, suivis par mes cent soldats . Je décapitais en soldat d'un puissant coup de griffe, avant de saisir son corps mutilé et de le projeter dans la foule, faisant chuter plusieurs hommes . Un coup de feu au son étouffé partit d'un des ses objets que les hommes nomment « fusil à  pompe Â» et pulvérisa une Ombre à  ma gauche, avant qu'une autre n'éviscère le tireur . Je reculais en hurlant quand une rafale de balles légère me frappa de plein fouet, puis repartit à  l'assaut de plus belle . Je parais la lame d'une épée avant de riposter en envoyant la pointe de mes griffes s'enfoncer dans le visage de mon adversaire . Les protections des simples miliciens de garnison étaient réduites et les soldats inexpérimentés, aussi furent ils largement dépassés . Je vis l'officier jeté à  terre par deux des mes soldats et son corps réduit en charpie . Un soldat effrayé tenta de se cacher derrière son bouclier pour échapper à  notre fureur assoiffée d'âmes, mais il fut soulevé par quatre Ombres et écartelé en l'air, son corps retombant en plusieurs parties inégales au sol .

Les derniers survivants se ruèrent vers les portes de la structure, que les employés tentèrent de fermer . Le blindage des portes était assez épais pour nous tenir en échec, mais leur poids les rendait lentes à  être fermées . L'un des miens lança un corps entre les plaques blindées, les ralentissant tandis que le bruit du squelette broyé par l'acier se faisait entendre . L'espace ainsi formé était réduit, mais nous pûmes passer en nous étirant, et ainsi pénétrer dans la structure affaiblie au plus haut point . Sans soldats pour les protéger, les employés coururent se réfugier dans les zones protégées et les systèmes de défenses furent activés . La horde noire se dispersa dans les couloirs, fauchant dans leur course paniquée les fuyards désarmés et les derniers soldats, perdant par moment l'un d'entre eux sous le feu nourri des mitrailleuses de défense sortant des murs . Les impacts lourds sont dangereux pour nous, mais une multitude de petits impacts l'est nettement moins . Par contre, tandis que je peux me reformer plusieurs fois d'affilée sans trop de problèmes, même si je risque de mourir si je le fais trop en une courte durée, la plupart de mes soldats sot incapables de se reformer ne serait-ce que plus d'une fois par jour .

Les faibles humains furent massacrés comme du bétail, les portes blindées intérieures finissant par tomber sous nos coups et les tourelles à  mitrailleuses par être déracinées des murs ou du sol par nos bras puissants .

Dans la salle de réunion du complexe désormais désert, je comptais mes hommes . L'effet de surprise nous avait été d'une aide majeure, nous n'avions perdu que sept Ombres contre plus de deux cent cinquante humains, civils et soldats . Cette attaque, ce massacre frappant l'un des plus grand symboles du gouvernement, et perpétrée par un ennemi jusque là  inconnu - pour eux, moi et mes clones représentions les seules Ombres de la planète - ne faisant pas la différence entre soldats et civils, entre hommes, femmes et enfants . Ce carnage serait plus tard appelé le Massacre de la Victoire, du nom de la place qui fut baignée de sang . Il était le premier acte de ma guerre, le premier combats de la race des Ombres, une porte ouverte pour l'ARM, un coup de fouet pour le pouvoir en place .

Un pas de plus en direction de mon but suprême .



Je vais changer le titre du topic et supprimer les messages inutiles au début, histoire de clarifier un peu tout ça ^^

Re: Fallen World

wow, Bravo chevalier !

Les choses ce complique... est-ce que l'ARM va tomber dans le piège?? suspence...

Sangoku, nous attendons maintenant ton chapitre ! Bonne chance !

Re: Fallen World


Ca semble pourtant tout simple, la créature nommé "amesis" est la crature la plus forte que nous ayons créé

chatouillesdu92


C'est ce que je crois aussi, et une créature de ce genre dont les pouvoirs restent cachés est bien plus impressinnante. Aucun besoin de concret, Amésis est un être à  part qu'il ne vaut mieux pas provoquer. Inutil de lever le mistère sur ses facultés, c'est bien mieux de ne rien savoir !

Chevalier, c'est répugnant ^^ la guerre commence...

Re: Fallen World

dite j'ai l'impression que cette histoire se transforme en massacre a la tronçonneuse,alors s'il vous plait,allez-y mollo avec"l'explosion de sang","l'ecartelement" ou "le déchiquetage de corp"

bon pour ma partie vous l'aurez demain soir

Re: Fallen World

Sangoku, que veux tu, c'est une guerre avec d'un côté des monstres armés de griffes tranchantes et dotées d'une force et d'une agilité surhumaines ...

De plus je pense que tu pourrais être mieux placé pour critiquer ...

Re: Fallen World

c'est pas une critique mais une demande.....

Re: Fallen World

Qui ne sera malheureusement pas écouté...

Re: Fallen World


De plus je pense que tu pourrais être mieux placé pour critiquer ...

Chevalier_de_la_plume


De toute façon personne n'est qualifié ici pour critiqué les autres et personne n'est mieux placé que d'autres.

Chevalier, ta partie est franchement impressionnante, certes gore à  souhait mais pas désagréable pour autant bien sûr !


Allez goku

Re: Fallen World


Qui ne sera malheureusement pas écouté...

SQUALL



pour une fois jsuis bien daccord moi même n'aimant pas le sang enfin ce genre de scène ben ça ma rien fait ça ma plus excité du fait que il y a de l'action, que c'est plus les duels c'est la grosse baston qui fait bien mal!

Re: Fallen World

De toute façon, nous ne sommes pas ici pour nous disputer . Je trouve la façon de décrire le carnage causé par les Ombres adapté, et pas hors sujet (pas comme Patrick par exemple) .

De plus, Squall, ton chapitre sur Carnage était presque du même genre par endroits, je pense donc que tu pourrais te passer du "malheureusement" dans ta phrase ...

Re: Fallen World

Calmons nous mes frères, soyons de toute douceur et allons prier chaque semaine

Amen :D xD

*Sort*

Re: Fallen World


pas comme Patrick par exemple

Chevalier_de_la_plume


Vlan (et mérité)


De plus, Squall, ton chapitre sur Carnage était presque du même genre par endroits, je pense donc que tu pourrais te passer du "malheureusement" dans ta phrase ...

Chevalier_de_la_plume


Double Vlan !


Bref, ton chapitre était parfaitement adapté mais il nétait psa comme celui de Squall, il était bien plus gore mais absolument remarquable.

Voilà  POINT BARRE !
On a arrête l'engueulade maintenant !
Quesqu'un veut discuter ? (sors une grenade de sa manche)

Re: Fallen World
Re: Fallen World


De plus, Squall, ton chapitre sur Carnage était presque du même genre par endroits, je pense donc que tu pourrais te passer du "malheureusement" dans ta phrase ...

Chevalier_de_la_plume



T'a pas compris ce que j'ai voulu dire ! Je te défendait banane ! (et je couvrait en même temps mes arrières car comme tu la dit mon chapitre de Carnage est tout aussi violent)
Compris cette fois ou je réexplique encore ?

Re: Fallen World

bon voila ma suite

Je venais une fois de plus de me reveiller dans la rue,pleine de cadavre de gens totalement vidé d'énergie vitale.Il fait chaud,comme tous les jours,je me demande si ça va s'arreter un jour,toute cette pollution,cette chaleur étoufante et ce ciel atrocement noir.....
J'entend des cris a quelque rues d'ici,des dizaines de cris a glacer le sang,ce n'est qu'a quelque rue d'ici,je me demande ce qui ce passe.Je pense que je devrait me sauver mais je ne sais pas pourquoi,quelque chose me dit d'y aller sans que je sache pourquoi.
Mon Dieu!Mais que c'est-il passer ici?Tous n'est que mort et desolation,la place est couverte de sang,les gens sont en morceau,ils sont éventré,décapité,tous ça dans un bain de sang,ce spectacle atroce me donne envie de vomir.
Mais qu'est-ce que c'est que c'est chose noir dans le ciel?Elles sont couverte de sang,en particulier sur leurs longue griffes,ces choses diforme sont-elle la cause de tous cette boucherie?Je ne sais pas pourquoi,mais j'éprouve une profonde haine envers elle,alors que c'est la premiere fois que j'en vois.J'ai une envie de leur faire subir le meme sort,c'est comme si j'avais déja eu affaire a eux,mais je ne me souvient de rien,je me rappelle juste que c'étaient de puissants combattants,D'ailleur l'une d'elle approche a toute allure les griffes en avant,toute cette haine en moi,je la sent ressortir...aaa......aaaa..aaaa!

La puissante ombre transperça mike au ventre,mais le sang qui en sortit était aussi noir que de l'encre,la masse noire tenta d'extirper sa main griffus,mais quelque chose le retenais a l'interieur,ce qu'elle croyait etre un simple humain lui jeta un regard noir,avec un sourire plein de mechanceté,les yeux devenu totalement blancs,des tentacule noiratre sortirent de cette meme blessure,s'enroulerent autour de l'ombre,puis se ressererent d'un seul coup ce qui la fit exploser en de multiple petite partie qui s'écraserent sur le sol.La blessure cicatrisa instantanément puis l'homme devint monstre.Quand les ombres virent cette horrible masse hideuse,elles fondirent sur lui meme si elle se fichaient pas mal de la mort de leur soeur,elles réussirent a coupé un bras de venom,qui devint liquide et rentra dans la jambe de venom,qui vit son bras repoussé instananément.Il réussi a se débarrasser des ombre avec quelque blessure mortelle(pour un humain)et une décapitation qui pour lui était aussi dangereuse que si on lui coupé un ongle.
- Enfin ruu je vais pouvoir te tuer!Dit-il avant de se diriger vers l'entrer du batiment,comme guidé par son instinc.

Dans le batiment,la situation était critique.
- Bon sang!On peut pas attendre qu'il soit completement rétablit!Il faut le relacher sinon on est mort!dit un des officier
- Ok je lui ai rajouté une coque en acier la ou il a perdu sa queue,ainsi que quelque petite surprise,il devrait etre pret dans 5 minute.lui répondit un des genetitiens.
- Grouillez-vous!Nous somme débordé par les ombres!Relacher l'unité aurora 313 au plus tôt!

voila c'est fini vous aurez la suite.............juste en bas  :liscontrat:







- Eh!Ifrit reveil-toi!
- Mmmh?Qui que quoi quand ou mais ou est donc ornicar?dit ifrit,apparement sonné.
- Euh....t'es sur que ça va?lui demanda aang.
- Mais bien sur michel!Tous va bien!Depuis quand ton zebre vole?répondit ifrit.
- euh...
- Je plaisantait ^^!
- Quelle humour,c'est irrésistible.....
- Dis donc je sais pas ce qu'il m'a fait ce chat mais je me suis évanouit sur le coup!Au fait,ou est shiva?
- Elle est la....
- Shiva!Shiva tous va bien?dit ifrit apparement inquiété
- Ou....oui je crois que ça va,je sais meme pas par quoi je me suis fait frappé!Cette fille,elle est pas comme les autres!dit shiva
- Oh!Tu croit?se moqua ifrit
- Je vois pas ce qui pourrait arriver de pire que de rencontrer cette fille.dit shiva en ignorant la remarque d'ifrit.
- Dite c'est quoi ce truc rouge qui saute d'immeuble en immeuble?Demanda aang
- Shiva,t'aurais mieu fait de te taire >_>
En effet,cette chose a quelque centaine de metre s'approchait dangereusement du bison volant,jusqu'a finalement le percuté de plein fouet le laissant s'écraser sur le sol.
- Apa ça va?demanda aang
Il n'eu pour réponse qu'un"grouuuuuuumph",cri habituel de l'énorme mamifere.La chose devant lui était immonde,elle était rouge parcouru de veine noire bien visible,une sorte de liquide coulait de son corp,il avait une corpulence normale,mais a par ça,rien ne le comparait a un humain.
- Quoi?C'est ça mon adversaire?Je suis déçu....Lança l'ignoble masse rougeatre.
- Qu'est-ce que tu me veut?demanda aang.
- Me battre contre toi!Puis lui aussi,et ensuite vous tuer a petit feu,puis vous broyer les bras entre mes dent alors que vous etes encore conscient!Puis a la fin vous écraser la tete lentement,lentement.....
- Eh ben,t'es le descendant de mere theresa je suppose....lança ifrit
- Celui la il est pour moi!dit aang
- Quoi?Mais tu va te faire trucider!s'inquieta ifrit
- T'en fait pas,j'ai vu pire.le rassura aang
- Ok je te tue d'abord puis je m'occupe de ton pote aprés,le plaisir n'en sera que prolongé.dit-il suivit d'un ignoble rictus.
Aang se mit face a son adversaire qui fondit sur lui toute griffe sortit,aang réussis a les bloquer grace a son baton(qui je le rappelle peut résister a des épée)puis le repoussa en arriere.D'un grand mouvement aang fit une sorte d'arc de cercle en air que carnage réussi a évité de peu.Puis il répétat l'opération plusieur fois jusqu'a finalement le coupé en deux parties inégales.Ces derniere tomberent au sol et se liquéfierent instantanément.Mais le corp se reforma en quelque secondes.
- T'u m'auras pas avec ça,oubli!
Une multitude de tentacules partirent en direction de aang qui réussi a les évité en sautant,puis en faisant tourner son baton trés vite au dessus de sa tete(comme un helicoptere pour ceux qui voient pas),se qui le fit planer quelque metres derriere le monstre.
- T'es plutot doué pour un gosse.dit carnage
- Toi aussi t'es plutot doué pour un......un.......euuuu.
- Symbiote,je suis un symbiote,le plus puissant de tous les temp!Carnage!
- Ah merci!Toi aussi t'es plutot fort pour un symbiote!
:etmince: bon et si on continuait,j'ai de plus en plus envie de m'amuser!
Sur ce,le monstre fonçat sur aang,qui sauta une fois de plus,mais cette fois,le symbiote avais compris,des tentacules sortirent de son dos puis attraperent la cheville de aang,puis l'attirerent vers le monstre qui enroula ses tentacules autour de aang qui commençaient a l'écraser.
- Finalement je vais plutot te réduir les os en miettes.dit l'ignominie incarné avec son horrible sourire.
- aa...AAAAAA!hurla aang
De leger craquement se firent entendre,ce qui exitait le monstre qui sera encore plus son étreinte.
- Aang!on arrive!dirent ifrit et shiva en devenant l'élément qu'il controlent
- V...vous inquiété pas!répondit-il
Sur ce,grace a sa maitrise du vent,il aspira une poigné de poussiere dans sa bouche en esquissant un"berk"il souffla tous ça dans les yeux du monstre qui relacha son étreinte.Ce qui laissa a aang le temp de faire un saut de plusieur metre en arriere.
- AAAAAA mes yeux!Tu va me le payer!
De ses bras il embrocha les murs a coté de lui,et se mit a jeté les énorme bloc de béton qui les constituait,frolant aang a la tete,en produisant une petite émoragie et un leger recul en arriere,carnage lança une derniere offensive en plantant ses griffes et tentacule dans le sol en soulevant un rocher de 10 metre de diametre!Aang voyant ça,se mit a courir en rond,de plus en plus vite,se qui peu a peu créat une tornade,qui grandissait de plus en plus.Carnage avec asser de difficulter lança son énorme rocher en direction de aang,le rocher fut pris dans le tourbillons et se mit a tourner autour de plus en plus vite.Jusqu'a ce qu'il soit réduis en plusieurs centaine de petits cailloux,puis aang se mit au milieu de la tempete,et en écartant viollement les bras,la tornade "explosa" et tous les petit projectile partirent dans toute les direction,shiva réussi a protégé ifrit et apa grace a une barriere de glace,carnage lui fut transpercé de toute part par tous ces projectiles et tomba sous forme de liquide.
- Bravo aang tu lui a bien réglé son compte!le félicita ifrit
-.....
- Qu'est-ce qu'il y a?demanda shiva
- Ca lui a rien fait du tous,on devrait vite partir avant qu'il reprenne sa forme!
- Euh,si tu le dit aller mon gros décole!tenta ifrit
- Depuis le tep t'a pas comris quil faut dire yip yip pour qu'il décole?dit aang
- Euh bien sur je le savais ^^' pour qui tu me prend ?
- mmmh...
L'énorme quadripede décolla et disparut au loin.
- Héhéhé,on dirait que j'ai trouvé un adversaire a ma taille,la prochaine fois je ne te ferais pas de cadeau,et je te réduirait en boullie,et cette fois,tu ne pourras pas t'échapper!dit le monstre qui s'était déja reformé.


voilaaaaa

Re: Fallen World

PAs mal du tout, personnellement je trouve que c'est ton meilleur chapitre! Je voulais jsutement un combat le trio vs carnage ou venom! ^^

Je me demande juste comment Aang savait qu'il allait se reconstituer?

Bon je vais me mettre au travail!
Normalement ce soir vous l'aurez.

- Eh ben,t'es le descendant de mere theresa je suppose....lança ifrit

:s c'est quoi le rapport avec ce qu'a dit Carnage?

Re: Fallen World

BOn chapitre!

Nahognas, c'est ironique: Ce qu'a dit Carnage était violant et plutot gore, c'est pour ca que ifrit le compare avec mère thérésa qui est une religieuse (si tu sais pas)

Après j'ai peut être mal comprit? xD

Re: Fallen World

T'a parodié ma belle créature...il répète tellement de fois le mot souffrir ou souffrance que ça en devient ridicule.
Et je ne parlerais pas du problème qu'à  soulevé Al. T'a rien compris à  la partie de chevalier ou quoi ? Ruu et ses troupes ne sont pas à  l'ARM !

Re: Fallen World

Bon, bon, bon ...


En effet, Sangoku c'est trompé ... Les Ombres ont attaqué un bâtiment du gouvernement, pas de l'ARM . Ensuite, seul le gouvernement a des créatures expérimentales, l'ARM fait plutôt dans les ZAX ^^

Le vocabulaire manque de variété (sang et souffrance ... c'est bien, répété et répété encore c'est agaçant) et, même si tu t'améliores, tes scènes de combat sont toujours aussi floues .

Re: Fallen World

bon voila j'ai éviter les repetitions,"déparodier"carnage,mit un peu plus d'explication sur le pourquoi du comment,et au passage corrigé quelque faute de frappe
alors content?

Re: Fallen World
Re: Fallen World

Et puis il a été précisé que les ombres avaient tués TOUT LE MONDE, donc qu'est-ce qu'ils foutent là  eux ?
Et ta partie manque totalement de sentiments, on dirait que tu met en scène des batons de surimis.

Par contre, j'étais morte de rire du bébut à  la fin (sur tout à  Ornicar et mère térhèsa).
Et c'est bien mieux écrit que d'habitude et il y a du style ! :D

A toi Nahognas !

Re: Fallen World

Voila cette fois c'est à  mon tour de posé une partie un peu triste ou révélateur à  vous de voir!





Notre trio était maintenant bien loin de la scène de combat ! Apa était encore déboussolé par l'attaque de Carnage mais arrivait néant moins à  voler !
- Franchement Aang je ne te pensais pas si fort ! Tu montes dans mon estime. Affirma Ifrit.
- Merci mais tu sais j'en ai vue des plus costaud que lui. Annonça Aang.
- Mouais, tu dis ça juste pour te la raconter ! Dit Ifrit.
:xp: !
Shiva n'arrêtait pas de rigoler pendant que les deux autres débâtait pour savoir qui était le plus fort.
- Dites messieurs ? Demanda Shiva
- Mmmh ? répondit en même temps Ifrit et Aang.
- Vous ne trouviez pas que Carnage était prétentieux et puis on n'a pas idée d'avoir un nom pareil !
- Comment sa prétentieux ? demanda Aang
- Et puis Shiva je te signale que nos noms a nous sa ne cours pas les rues ! Rétorqua Ifrit.
- Oui, oui, bon peut être que pour les prénoms j'ai eu tord mais n'empêche que ça façon de parler était d'un ridicule :
« Je vais te tuer petit à  petit et ensuite je tuerai tes amis de la même manière ! »
Hein ! Comme si nous on allait le laisser faire !
- Ouais ta raison sur ce point là  il était prétentieux. Pas vrai Ifrit ?
-Hein euh oui…oui il était un peu prétentieux !
- Tu es sûr que ça va ? demanda Shiva
- Oui, ne t'inquiète pas^^', c'est juste que je suis un peu fatigué après la journée qu'on vient de passer !
- On devrait peut être trouver un endroit pour se reposer ! Proposa Aang.
- Bonne initiative, on va retourner à  la taverne où on s'est rencontré ! Félicita Ifrit !
- … :hum:
- Ne t'inquiète pas, on ne jouera pas au poker si c'est ce que tu veux savoir !
- Dans ce cas, je suis d'accord !^^ Dit Shiva.
Ils prient la route donc vers la taverne. Arrivé a destination, Aang cacha son bison pendant que Shiva et Ifrit s'occupait de réserver une chambre.
- Tiens mais qui voila nos deux héros ! Haha ! Annonça le Patron.
- Très drôle, au lieu de vous moquer, vous feriez bien de servir vos clients ! Dit Ifrit.
- Oh la, c'est quand même grâce à  vous que je suis débarrassé de ses motards !
- Je les avais oublié ces trous du cul ! -_-‘
- Ifrit, voyons ! Veuillez excusez la grossièreté de mon amis mais il se laisse parfois un peu emporté ! Dit Shiva.
- Oh ce n'est pas grave, j'en ai vu d'autre par contre si il y a bien une chose que je ne supporte pas c'est les sales mômes surtout le dernier, il a faillit me ruiner a vouloir tout casser !
- Ah il ressemblait à  quoi ? Demanda Shiva.
- Mesurant vers les 10 12 ans, chauve avec de drôle de dessin sur la tête et les mains avec des habits un peu indigènes !
- Ah ?^^'dirent Shiva et Ifrit.
- Mais dites moi, c'est bien vous qui êtes partis avec lui la dernière fois, nan ?
- Qui nous ? Ah non nan pas du tout ! Affirma Shiva.
- Ce devait être son frère jumeau ou sa sÅ“ur ! héhé ^^' Compléta Ifrit.
- Ah, bon tan mieux ; alors une chambre pour vous deux c'est bien ça ?
- Oui, c'est ça ! Dit Shiva.
- Hé Shiva, Ifrit, vous avez pu loger une chambre ? Cria Aang
Les regards des deux visés se croisèrent en pensant dans leur tête un certain « Oh, oh ! »
- AAAAAH C'EST LUI, JE LE RECONNAIS, JE CROYAIS QUE VOUS LE CONAISSAIS PAS !
- Oui bon on s'est peut être trompé ! Ce n'est pas si dramatique que ça !^^' Dit Ifrit.
- AH VOUS CROYEZ, ON VOIT BIEN QUE VOUS NE CONNAISSIEZ PAS LA CATASTROPHE QU'IL Y A EU IL Y A 10 ANS !
Le visage joyeux de Ifrit changea en de la peur, les paroles prononcés pas le barman lui fit rappelé un passé dont il aurait voulu oublier. Il savait ce qu'il c'était passé il y a 10 ans, il le sait mieux que personne !
- Qu'elle catastrophe ? demanda Shiva.
- Un démon qui avait ravagé un village entier et tué tous ses habitants, heureusement pour nous le démon fut neutralisé. Vous savez c'est ce village situé près des volcans.
« Johnny va t en, c'est trop dangereux, il risque de te tuer ! » Cette phrase résonnait dans la tête de Ifrit.
- Arrêter ! dit il a voix basse.
Mais le barman continuait son histoire ne l'ayant pas entendu.
- Et puis une rumeur circule comme quoi, des monstres rodent dans la ville en tuant toutes vies qui osent croisés leurs chemins. Je vous conseille d'être prudent.
Le visage de Shiva changea aussi, elle pensait avoir une idée d'un de ses monstres.
- On sait a quoi ils ressemblent ? demanda t elle.
- Pas vraiment, tous ce qu'on sait, c'est que ils sont soit noirs ou rouges et une taille imposante, d'autres sont capables de voler ! C'est vraiment terrifiant !
- En effet ! Confirma Shiva.
- Rassurez vous monsieur, on va vous débarrasser de cette menace !
- TOI !
- Bon écouter si je on vous débarrasse, nous trois, de ces monstres avec l'aide de ce gamin est ce que vous passerez l'éponge sur les dégâts qu'il a causé !
- Vous n'y penser pas ! Ils vont vous massacrer comme le démon la fait à  cette famille !
- CA SUFFIT ! Hurla Ifrit entrain de se réchauffer.
La taverne fut d'un silence l'espace d'une seconde et repris ensuite son ambiance habituelle !
- Ifrit ! dit Shiva terrifié par le regarde de Ifrit.
- Je vous en donne ma parole, le massacre qu'il y a eu il y a 10 ans
« Pauvre humain, souffrez de ma puissance ! »
N'arrivera plus jamais !
« Vous n'êtes pas de taille ! Abandonner pendant qu'il encore temps ! »
On mourra si il le faut mais on ne laissera personne détruire cette ville !
«  Allez tous en enfer ! »
JAMAIS !
La taverne fut plonger une fois de plus dans un silence total mais cette fois c'est le barman qui le coupa.
- Mon garçon, la ville a besoin de personne tel que vous, tenez il reste une chambre de 3 lits, rester le temps que vous voulez ici, les héros n'ont pas besoin de payer !
- M…Merci pour votre hospitalité ! répondit Shiva.
-C'est à  l'étage supérieur ; reposer vous bien.
- Oui ! répondit le trio en chÅ“ur !
Ils montèrent donc les escaliers, Shiva regardait Ifrit d'un air inquiet, c'était la deuxième que Ifrit avait un air aussi sérieux, il lui cachait quelque chose et elle devait savoir quoi !
La chambre, comportait en effet trois lits cote a cote, elle était spacieuse !
Chacun choisit son lit et si écroula comme une tombe ! Aang regardait par la fenêtre, Ifrit lui regardait le plafond en tentant d'effacer de ça mémoire, l'incident qu'il venait de se passer mais Shiva l'entendait une autre oreille.
- Ifrit, qu'est ce qui c'est vraiment passé il y a 10 ans ? Je vois bien que tu me caches quelque chose et je veux savoir quoi !
Aang regardait Shiva puis Ifrit. Il se sentait un peu comme un intrus ! Il préférait sortir discrètement.
- Tu sais que tu peux tout me dire ! On se connaît depuis…depuis 10 ans ! Balbutia Shiva.
- Aang ! Reste ici ! Ordonna Ifrit.
- Mais…
- Il vaut mieux que je vous dise la vérité maintenant, avant qu'il ne soit trop tard !
- Trop tard pour quoi ? demanda Shiva.
- …
- Ifrit, je t'en pris dis moi ce qui ce passe ! Supplia Shiva
Ifrit venait d'entendre pour la première fois son amis le supplié. Il savait qu'il étant temps qu'elle sache cela n'a que trop durée et il en était conscient !
Il se leva du lit, se mit dos à  elle, il faut dire que Ifrit et Shiva se changeait toujours dans une pièce a part, pour Shiva c'est compréhensible ! Mais pour Ifrit…
- Je te préviens que ça ne va pas te plaire !
Il ôta son tee-shirt et ce que vit Shiva et Aang les pétrifia ! Un tatouage rouge en forme de bête avec un air terrifiant était sur le dos de Ifrit.

- Shiva !
- …
- Aang !
- …
- Depuis 10 ans, le démon qui avait détruit le village et les habitants et scellé en moi !
Une ambiance lourde venait d'être posé sur la chambre !

Re: Fallen World


Nahognas, c'est ironique: Ce qu'a dit Carnage était violant et plutot gore, c'est pour ca que ifrit le compare avec mère thérésa qui est une religieuse (si tu sais pas)

Après j'ai peut être mal comprit? xD

Bibi


c'est surtout que mere thérésa ebbergeait beaucoup d'enfant de pays pauvre chez elle(dans les 80-90)et qu'elle ne pensait qu'a aider les pauvres,en bref,c'est l'abbé pierre au féminin,donc tous le contraire de carnage


Et puis il a été précisé que les ombres avaient tués TOUT LE MONDE, donc qu'est-ce qu'ils foutent là  eux ?
Et ta partie manque totalement de sentiments, on dirait que tu met en scène des batons de surimis.

chatouillesdu92


eh ben ça fait une belle jambe au gouvernement.....mais ça ferait un peu beaucoup passionément a la folie s'il avait tuer tous le monde,puis les labos s'étendent sur(ou plutot sous)toute la ville alors il dois quand meme rester quelque survivants.

sinon sangohan je trouve que tu a fait la un trés bon chapitre,meme si c'est vrai que ça fait beaucoup de monstre,mais bon ça fait des possibilité en plus.
bibi,it's your turn!

Re: Fallen World

moi cette histoire de démon scellé me plait. Jusqu'à  présent on parlait d'extraterrestres et de créature biologique créé en laboratoir, l'arrivé d'une créature qui me semble tout à  fait surnaturel me parait tout à  fait envisageable.

Re: Fallen World

Superuite Nahognas, j'ai vraiment aimé.

Nanjii traversa le couloir pour la énième fois en un temps record. Il s'attendait à  tout moment à  ce que sa radio se mette à  vibrer et annonce que lui et ses hommes doivent se sacrifier pour leur patrie. Il entra à  nouveau dans la salle où une cinquantaine d'homme étaient réunis, tuant le temps de la façon qu'ils pouvaient, certains jouant aux cartes, d'autres fumant au balcon ou s'endormant sur une chaise, la bouche ouverte et ronflant de manière peu élégante. La radio grésilla, Nanjii fit un bond de trois mètre, faisant tourner tous les regards vers lui tandis qu'un homme, pris de surprise, chut de sa chaise.
- Nenji ?
- Presque…
- Quoi ?
- Nan rien…
- Mariko a appelé l'attaque ne peut avoir lieu elle est reportée faites disposer  vos hommes.
Le jeune militaire reposa le moyen de communication à  sa taille, se questionnant sur la façon d'annoncer à  un groupe qui patientait depuis longtemps que tout ce dérangement avait été inutile.
- Excusez-moi messieurs ! commença-t-il.
- Hum hum ! fit une personne devant lui.
Une femme était là , ses cheveux blonds attachés d'un nÅ“ud serré.
- Pardon, fit-il en lui souriant, messieurs ET mesdemoiselles, je vous annonce que la mission est repoussée et que vous avez le champ libre pour une durée indéterminée. Ceux qui habitent près d'ici peuvent rentrer chez eux, je conseille aux autres de rester près d'ici.
Un brouhaha se constituant majoritairement de propos de contestation s'éleva. Nanjii profita de cet instant pour se retirer. Il se dirigea vers la sortie, décidant une fois de plus de rentrer chez lui pour voir Leike, comme s'il n'allait plus jamais la revoir. Plongé dans ses pensées, il manqua de renverser une personne possédant une béquille sous le bras.
- Robert, hurla la voix d'une personne qui s'était trouvée à  l'arrière du blessé.
- Mais c'est vous ! s'exclama le supérieur de ce trio.
- Caporal en chef !
- Général en chef !
- Vous êtes sortis de l'hôpital ?
- On nous a chassé, caporal en chef, il se trouve se Bernard a accidentellement arraché le fil éclectique de son bouton d'appel, et que le bout encore crépitant est tombé sur ma couverture, qui à  alors pris feu et puis l'infirmière est arrivée, puis les pompiers, la moitié de l'hôpital a été évacué mais il n'y eut aucune victime, et on nous a dit que nous pouvions marcher de nouveau…
- Euh, d'accords, je comprends, vous allez voir votre oncle ?
- Oui, général en chef, répondit le maladroit.
Puis il y eut un silence dans la conversation que Nanjii brisa par un chaleureux, et presque sincère :
- Je suis content que vous soyez de retour…
- Nous ont est content de vous revoir, caporal en chef !
Sur ce, en s'encombrant de sourires stupides, ils « coururent » vers le bureau de leur parent. « Coururent » car la béquille de Robert glissa et les deux s'étalèrent au sol, pour partir en suite d'un éclat de rire douloureux mais joyeux.
Après quelques couloirs fins et froids, il poussa la grande porte de sortie, gardée par deux gardes.
Il arriva en cinq minutes, temps qu'il lui fallait en se dépêchant pour faire le trajet gouvernement-maison. Il était tout de même content que la mission soit annulée, comme si cela égalait à  un peu  vie en plus, le militaire ne savait pas pourquoi il associait cette mission à  une mort certaine, peut être parce qu'il n'avait aucune idée de quoi trouver la bas, de qui trouver là -bas, et aussi quand trouver cette base secrète, peut être jamais, peut être dans deux minutes…
Il fit tanguer sans le vouloir un seau rempli d'eau, cela lui rappela celui dont il avait faillit se prendre le contenu en pleine figure le matin même, ou la veille il ne savait plus trop. Un envie enfantine lui passa par la tête : celle de se venger de sa petite sÅ“ur et de jouer avec elle. Il monta donc les marches de l'immeuble, attrapant au passa l'anse du récipient.

Leike était devant la télé. Elle ne regardait pas vraiment l'émission qu'elle avait lancée, elle était plongée dans ses pensées et réfléchissait à  tous les évènements récents, à  ce que lui avait dit son frère, avait-il tort ou raison ? Devait-elle se méfier de Youri, qui était si gentille, qui savait sourire comme personne ne savais le faire ? Elle secoua la tête de droite à  gauche, comme pour chasser ces vilaines questions de son crâne, elle cherchait à  savoir ce qu'elle voulait, et voulais chercher ce qu'elle savait.
Une sonnerie fine et régulière la tira de sa rêverie, elle posa un regard méfiant sur la porte d'où le bruit provenait, son frère ne sonnait jamais et, à  part Nanjii, personne ne venait jamais. Elle se leva quand même et ouvrit. Youri se tenait devant elle, les yeux rougis, la mine sombre et triste.
- Désolée de revenir…je…voulais…
- Entre vite ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu as un problème ? dis-je en la poussant à  l'intérieur et en lui apportant un mouchoir.
- Non rien…tout va bien…
- Mais oui bien sûr…
Elle ouvrit de grands yeux étonnés et les tourna vers moi. Ce fut à  mon tour de lui sourire, du mieux que je pus, comme si un sourire changeait les cÅ“urs des hommes.
- Tu sais, fis-je, dans la vie c'est comme ça, il y a des hauts et des bas, et lorsque tu es en bas, regarde autour de toi, l'amitié c'est fait pour ça. Youri, je peux te comprendre, tu m'as apporté le bonheur depuis que je t'ai foncé dedans, il y a des hasards bienheureux dans la vie, et quand on tombe sur ces hasards, il faut en profiter, dis moi ce qui ne va pas…
Ses grands yeux s'ouvrirent davantage.
- Ben…je…mon…frère…il…
Elle partit dans crise de sanglot. J'eu beau la couvrir de paroles rassurantes, rien ne l'arrêta, je tentai alors de changer de sujet :
- Je…je…oh ! Il est super beau ton collier !
- Mon…mon…co…co…mon collier…bou ou ou ou !
Et s'était reparti. Je saisis alors son pied et le déchaussait en deux seconde, puis le chatouillait sans pitié. Elle ne mit à  rire nerveusement en tentant de soustraire son pied à  mes attouchements. Une dizaine de seconde plus tard, je la relâchais, puis lui souri. Elle me souri à  son tour.
- Merci…Leike…
- De rien…dis-je ne fermant un Å“il et en pointant mon pouce vers le ciel, comme pour paraître confiante en moi et en elle.
Ce geste inhabituel la fit rire, d'un rire non forcé, il couvrit ses pleurs et m'emporta dans son élan. Youri se tenait devant la porte quand celle-ci s'ouvrit à  la volée, nous faisant perdre aussitôt nos sourires.
- SURPRISE ! hurla le nouveau venu.
SPLATCH
- Ha ! C'est moi qui t'ai eu cette fois, Lei…euh…
Mon frère était dans l'entrebâillement de la porte, un seau d'eau dans les mains dont le contenu venait d'être éjecté sur la pauvre Youri à  présent toute humidifié. Elle semblait surprise et mon frère, plutôt gêné, avait une tête de crétin.
- Euh…je suis vraiment désolé ! Pardon…mais…qui êtes vous ?
- Je…je…je..., bégaya Youri en se frottant les yeux.
- C'est elle, l'amie dont je t'avais parlé, grand-frère Nanjii ! dis-je en me plaçant devant elle comme pour la protéger.
Comme un silence lourd, pesant et ennuyeux s'installait, je rajoutais :
- Grand-frère, je te présente Youri. Youri, voici Nanjii !
- Euh…bonjour, fit timidement la jeune fille aux cheveux châtains.
Je crus un instant qu'il allait exploser et me crier dessus mais…
- Bonjour, Leike m'a beaucoup parlé de toi, je suis content d'enfin te rencontrer, Youri !
- Merci…
- Mais de rien, fit-il en la graciant d'un joyeux sourire.
Sur ce, il se retira et entra dans sa chambre.
- Oua ! Remarquai-je pour moi-même, chapeau la capacité à  changer promptement d'humeur !
- Quoi ? me questionna Youri.
- Nan rien…
- Tu dis souvent : « nan rien », c'est marrant !
- C'est de famille, viens par là  je vais chercher une serviette pour te sécher, je suis désolée…
- Bah, il n'a pas fait exprès…
Je l'a fit s'asseoir sur un tabouret dans la salle de bain et mis le chauffage à  fond. Je pris ensuite une serviette blanche et lui sécha les cheveux doucement et gentiment. Quand ils furent secs, je l'ébouriffais et lui mis les cheveux dans la figure.
- Hé !
S'en suivit une bataille de serviette qui ne stoppa qua lorsque le pot à  brosses à  dent chut de la hauteur de la table de salle de bain.
- Il est mignon ton frère ! commenta soudainement Youri.
- Ha ha ha ! C'est bien la première fois que j'entends une fille dire ça !
- Euh…ce n'est pas ce que…je voulais dire, dit-elle en rougissant et en ouvrant de grands yeux indignés.
- Ha ha ha HUMPH ! dis-je avant de me prendre une serviette en pleine figure.
- Tu veux que je te lave à  mon tour les cheveux ? me demanda-t-elle.
- Euh ! Non non non…c'est gentil, répondis-je un peu trop précipitamment.
Nous allâmes ensuite dans le salon et nous vautrâmes inélégamment sur le canapé vert. Nous entamâmes alors une partie de PS489, je ne sais pas combien nous en fîmes mais cela dura un certain temps. Nanjii apparut alors, les cheveux un peu ébouriffés.
- Tiens, tu as dormi ! lui fis-je remarqué.
- Et oui, je repars au bouleau ! Youpi ! fit-il d'un ton empli d'ironie.
Il passa devant nous et posa son regard sur la poitrine de mon amie. Je faillis gueuler mais il dit, me rassurant :
- Tiens, tu as un collier magnifique, Youri ! fit-il sans quitter du regard le pendentif en forme de dragon.
- Merci, monsieur Nanjii !
- Euh…tu peux dire tout simplement Nanjii si tu veux.
- Ah…d'accords…
Il s'en alla et ferma la porte derrière lui. Puis cinq secondes plus tard, il la rouvrit et retourna dans sa chambre, il en ressortit avec une corde dans les mains et quitta la maison de nouveau.
Lorsque notre partie fut finie. J'interrogeai mon amie.
- Tu crois que c'était pourquoi la corde ?
- Je suppose que c'est pour aller kidnapper une femme dans la rue et la chatouiller à  mort…fit elle en faisant un regard de psychopathe.
Je m'esclaffais :
- Ouais, surement…
- Bon, je devrais rentrer, au cas où mon frère serait de retour, mais avant, il faut que je te montre quelque chose.
Elle sortit du sac qu'elle avait apporté une sorte d'étui à  lunette en plus grand, elle l'ouvrit devant mes yeux intrigués et curieux. C'était une boite de métal. Elle se la fixa sur l'avant bras et, d'un mouvement de doigts, fit sortir de cette boîte deux lames semblables à  des griffes.
- Oua trop cool ! C'est des armes ? Tu sais de battre avec ?
- Oui, je les mets quand je rentre tard, le soir, en cas d'attaque quoi, et toi, tu sais te défendre ?
- Euh…oui…
- Cool, tu me montres tes armes ?
- Euh, désolée, j'ai pas trop le droit…
- Ah, d'accords ! Salut ! Je t'adore trop Leike ! A bientôt ! On se voit demain ?
- Trop cool ! Chez toi ?
- Euh…on verra, dit-elle avec un grand sourire d'ange.
Je décidais alors de la raccompagner au bas de l'immeuble, comme pour profiter de sa présence au maximum.
Nous nous fîmes la bise et elle sortit de l'immeuble. Je la suivis du regard, elle s'éloigna rapidement dans la ruelle tout en restant dans mon champ de vision. Et ce que je vis me coupa le souffle…



La pointe de l'épée de Nanjii était positionnée sur la gorge de la jeune fille, totalement étonné.
- Je suis désolé, mais il faut que tu me suives.
- Pou…pourquoi…
- Je te demande, au nom de la loi et du gouvernement, de me suivre…
- Au nom du gouv…attendez, qu'est-ce qui vous fait croire que je suis une ennemi du gouvernement ?
- Peut être cherches-tu à  te cacher de ce gouvernement mais tu n'en n'es pas capable. J'ai pus identifier le regard, rempli de haine que tu m'as jeté à  notre rencontre, par contre, tu as d'efficaces capacités à  cacher tes sentiments, mais peut être n'aurais-tu pas été repérée si tu m'avais regardé dans les yeux après cela, mais tu n'as eu d'yeux que pour mon uniforme à  chaque fois que j'apparaissais…as-tu tenté d'embobiné Leike pour avoir des renseignements ? Je ne sais pas mais tu as raté ton coup…
- Retirez ce que vous venez de dire…
- Que…
Youri se dégagea et frappa l'épée de ses griffes, forçant Nanjii à  reculer.
- LEIKE EST MON AMIE, JE NE SAVAIS MEME PAS QUE SON FRERE ETAIT MILITAIRE, J'ADORE LEIKE, ELLE N'EST PAS MON AMIE POUR DES RENSEIGNEMENTS ! hurla la féline.
- Hum, dit le militaire, en se forçant à  sourire méchamment, tu as tort, l'amitié n'est pas capable d'existé, l'amitié est superficielle et les liens se cassent rapidement, très rapidement, maintenant, suis moi !
- L'amitié n'est pas superficielle et je ne vous suivrais JAMAIS !
Sur ce, elle chercha à  lui transpercer l'épaule de son arme. Nanjii recula et la lame le frôla. Sans pour autant baisser les bras, la jeune fille l'attaqua de coups agiles et précis, et surtout, très rapides, mais le jeune homme les évitais tous, des plus violents aux moins prévisibles, Nanjii reculai, se penchant à  droite où à  gauche. A un moment, il toucha le mur qui était derrière lui, Youri attaqua à  la fois des deux côtés du visage de son adversaire. Nanjii évita de justesse le premier qui lui coupa maladroitement une mèche de cheveux et regardais l'autre lui foncer entre les deux yeux.
CLING
L'épée de Nanjii venait de se placer entre deux griffes, bloquant ainsi la main de la pauvre Youri dont on pouvait enfin lire la peur dans ses yeux. D'un mouvement, le guerrier à  la solde du gouvernement envoya valser l'arme ennemie. Youri attaqua de nouveau mais Nanjii utilisa le même mouvement pour parer l'attaque et ainsi désarmer son adversaire. Il lui assena du plat de la main un coup au ventre. Youri hoqueta et mis le genou à  terre. Nanjii en profita pour lui liés les deux mains avec la corde qu'il avait été cherché.
- Ne tentes jamais deux fois la même technique sur une même personne, ça ne marche jamais, dit-il à  sa prisonnière, ça va, tu peux marcher.
Youri tira sur ses liens qui ne cédèrent pas. Elle sentit soudain le contact froid du bout d'un pistolet sur sa nuque.
- Allez avance…
Elle fut contrainte d'obéir et jeta toutes les deux secondes des regards affolés autour d'elle en espérant de toute ses forces apercevoir un visage connu, son frère même, peut être, qui viendrait la sauver. Mais lorsqu'elle aperçu les gardes décontenancés de la grande porte du gouvernement, elle paniqua, deux larmes coulèrent de ses joues et elle tenta de fuir et tira sur la corde pour faire lâcher le grand frère de sa meilleure amie. Mais celui-ci ne lâcha pas et dit un :
- Ne t'en fait pas, tant que tu restes avec moi, personne ne te tueras.
Cette phrase n'était pas très rassurante. Youri se fit toute petite devant les militaires qui la lorgnaient bizarrement. Ils arrivèrent devant la porte du chef. Nanjii toqua.
- Libérez-moi ! Libère moi ! Je ne sais rien ! Je ne sais rien ! Libérez-moi ! se mis soudainement à  hurler la pauvre captive.
Elle gigota dans tous les sens, tous ceux qui étaient autour les regardaient étonnés. Nanjii passa son bras autour des hanches de sa prisonnière et la colla contre lui.
- Calme-toi !
Youri sanglotait et ils restèrent dans cette position jusqu'à  ce que le chef dédaigne ouvrir.
- Nenri ! Vous venez de briser nos…snif…émouvantes retrouvailles, entre moi et mes neveux…
- Nanjii, briser vos retrouvailles ? Mais cela va faire trois heures que vous vous êtes retrouvés !
- Vous ne connaissez rien aux sentiments familiaux ! Mais…quelle est cette personne ?
- Une prisonnière ennemi, camp des rebelles et…
- Donc elle sait où se trouve la base de ces crevards de rebelles !
- Bein…logiquement…
- Nan ! Nan ! Je ne sais rien ! riposta Youri.
- Et bien, pourquoi passez vous par mon bureau ? questionna le chef sans donner un intérêt quelconque à  la remarque de la jeune fille, allez directement en salle de torture !
- Quoi ? hurla Youri paniquant à  nouveau.
- Par contre, en ce moment, il n'y a plus aucun bourreau de libre, je vous donne donc la mission de torturer cette jeune demoiselle, utilisez les moyens que vous voulez, je m'en fou, ne la laissez pas partir tant que vous n'aurez pas de réponse à  vos question et…
- QUOI ? Mais…mais…je l'ai déjà  fait sur Fénix et…déjà  ce n'est pas ma spécialité et…je…je suis nul pour ça…
- Bon bah alors on va demander au docteur MacBoul…
- Celui qui a arrach…euh…non c'est bon, je vais le faire finalement, inutile de déranger le plus performent bourreau pour ça, j'en aurais vite fini.
Il ferma la porte.
Youri se mit à  hurler des « non ! Au secours ! Sauvez-moi ! » inutiles et dérangeants. Nanjii poussa la jeune fille jusqu'à  une salle de torture libre la plus proche. Très vite, un médecin accourut et aida Nanjii à  fixer Youri sur une table. Il se présenta comme l'infirmier bourreau, dont la mission était d'analyser les spasmes et les hurlements des victimes pour que ça fasse le plus mal et que ce soit vite fini. Sa blouse blanche couverte de sang lança un froid dans la pièce déjà  pas bien chaude. A l'aide d'une oreillette, le bourreau improvisé et le médecin pouvaient communiquer sans que personne n'entendent leur discutions.
« Tout est prêt, vous pouvez y aller, faites lui bien mal d'un coup, les scies sont à  votre gauche, et tout ce qui est électrique à  votre droite ».
La pauvre fille tirait sur ses liens et possédait un éclat affolé dans l'Å“il.
- Youri, commença Nanjii, écoute moi bien, on veut juste savoir où se situe la base des rebelles, enfin…de tes amis, notre objectif n'est de tuer personne, juste de les empêcher de tuer des gens innocents.
- Rien que ça…je ne peux pas parler, Nanjii ! Détachez-moi, s'il-vous-plait…
- Je ne peux pas.
- Faîtes-le pour Leike, s'il-vous-plait…
- Je suis désolé.
« Allez ! Commencez-là  cette torture bon sang »
« Oui oui ! »
Nanjii ne put s'empêcher de détester ce qu'il faisait, de haà¯r l'homme sadique qu'était son associé. Il s'approcha de sa victime et observait les objets proches de lui, tous étaient faits pour faire atrocement souffrir, pourtant, sans savoir vraiment pourquoi, Nanjii refusait de faire dû mal à  la fille fragile et sauvage qu'était Youri, toute ennemie fut-elle. Il pensa à  Leike et eut une idée qui lui parut être adaptée à  la circonstance. 
Il s'approcha de la fille et lui retira ses fines chaussures, puis approcha une main tremblante de gêne et de honte vers la plante de pied de sa prisonnière. Il glissa lentement ses ongles le long de sa plante, accélérant, prenant peu à  peu de l'assurance. Sa seconde main vint rejoindre la première dans sa hardie tâche. Youri était devenue de la couleur rouge des gracieuses écrevisses et tentait de ne pas se laisser impressionner par la torture. Pourtant le bourreau continua sur sa lancée, il remonta lentement vers les orteils.
Youri hurla un « non » avant d'exploser de rire.
Lorsque Nanjii atteint cette zone apparemment très sensible, il parvint à  glisser les doits entre les orteils, mais Youri poussa un hurlement suraigu crispa les orteils, retenant la main gauche de son bourreau prisonnier.
« Putain, vous êtes un pro ! Je n'ai jamais vu une torture faire réagir autant ! Allez-y, tirer lui les orteils en arrières et chatouillez cette zone, là  Â»
Nanjii fit ce qui lui était indiqué, il tira en arrière les orteils de Youri et gratouilla entre ses orteils, un torrent de suppliques se firent entendre :
- Nonpitiépasçananjiitoutsaufças'ilvousplaittoutsaufçanooon !
Celui a qui ces paroles étaient destinées ne comprit pas tout mais il ne lui avait pas semblé entendre la moindre envie de se plier aux volontés capricieuses du gouvernement. Il continua alors. La façon dont hurlait et se débattait Youri le poussa à  croire qu'elle considérait vraiment ces chatouilles comme une véritable torture et il en vint à  se demander si Leike aurait été prête à  avouer n'importe quoi après dix minutes de ce traitement. Mais il lui fallut bien chasser cette désagréable pensée pour se concentrer car, mine de rien, ce jeu enfantin en demandais beaucoup, de la concentration, surtout qu'il s'agissait d'obtenir des réponses rapidement.
Dix minutes passèrent, très lentement pour la pauvre Youri qui criait.
« Changez de zones, vos attouchements continus sont trop réguliers »
Nanjii s'approcha alors du haut du corps de la jeune fille attachée et fit glisser un ongle le long de son ventre, elle fut parcourue d'un frisson étrange. Le frère de son amie fit tournoyer son doigt autour de son nombril, elle ne pus que se mordre la lèvre pour ne pas repartir dans une crise de fou rire, pourtant elle ne put empêcher le bourreau d'entrer dans son nombril et de le chatouiller impitoyablement, la faisant supplier de nouveau. Elle n'aurait su dire ce qui la rendait soudainement si chatouilleuse, peut être le stress provoqué par son arrestation, peut être autre chose, mais quoi qu'il en était, elle riait aux éclats sans pouvoir s'arrêter.
De son autre main, Nanjii entreprit de chatouille franchement les côtes certes moins sensibles que les pieds ou nombril mais tout aussi difficile à  endurer pour la victime. Pendant qu'il s'efforçait de la faire avouer, il devait supporter les phrases sadiques du médecin qui lui donnaient l'impression d'être un expert en cette torture.
« Continuez comme ça » « Un peu plus haut » « Plus rapides les attouchements »
Bien que désagréables, ces conseils ne se montraient que concluant. Nanjii explora les aisselles de sa prisonnière, caressant ses avants bras d'avant d'atterrir dans le creux chatouilleux d'aisselles réceptives.
- Arrêtez ! Arrêtez ! criait inlassablement et inefficacement la victime dont les larmes tombaient à  présent sur la table froide de métal, l'éparpillant en une dizaine de gouttes d'eau salée de tailles diverses.
« Retournez sur ses pieds maintenant, elle devrait bientôt céder »
« Peut être » pensa le militaire.
- Non ! Pas mes pieds ! Par pitié ! hurla la jeune fille tout en observant le mouvement rapidement de l'homme paré d'une uniforme vert.
Elle était épuisée et ne chercha pas à  contenir ses rires et explosa dès qu'elle ressenti les affreuses démangeaisons sous ses pieds fins. Elle ne voyait plus que très flou, les larmes embuant ses yeux verts. Elle ferma alors les yeux, laissant de nouveaux des larmes coulées sur ses joues rouges en feu, son esprit ne pouvait plus supporter la torture, il voulait exploser, lui faire perdre tout sens de la réalité.
Elle poussa un hurlement quand la base de ses orteils, plus sensible encore que précédemment, fut attaquée. De longues minutes passèrent, plus longue les unes que les autres. La jeune fille toussa un peu et sentit les doigts de Nanjii se raidirent.
« Ne vous arrêtez pas pour ça » cria le docteur dans son micro, haletant d'une manière étrange.
Puis il continua :
« Dans dix minutes, c'est fini, assura l'homme, maintenant, c'est le bon moment, approchez votre visage de ses pieds et léchez les lui ! »
Nanjii ouvrit les yeux en grand, sans s'arrêtez de torturer les jolis pieds.
« Non »
« Faîtes le ! Ca va marcher »
« Non »
« Faites le »
« Non »
« Faites le, c'est un ordre ! »
« JE suis votre supérieur »
« Ah oui, zut, bon alors, tirez le tiroir qui se situ sous la table, devant vous »
Nanjii sur la poignée du dit tiroir et s'ouvrir, laissant place à  une brosse à  dent pour le moins étrange.
« C'est n'est pas une simple brosse à  dent électrique, elle possède un mécanisme faisant tourner des roues dans plusieurs sens à  la fois et avec des vitesses différentes, créant au cerveau des vict…euh…des prisonniers une incapacité à  mémoriser les mouvements et ainsi les empêchant de prévoir où les chatouilles vont avoir lieus, c'est moi qui est créer cette merveille, enfin…euh…euh…pour m'entrainer quoi, enfin…non…c'était quelque chose de raté, enfin…bref…vous y aller, le bouton se situ sous le manche, empêchant la prisonnière de l'éteindre involontairement, se créant ainsi une mini pause »
Le militaire observa l'objet comme s'il s'agissait d'une arme surpuissante, et il actionna l'engin, créant un vrombissement irrégulier.
- Que…eut le temps de dire la pauvre Youri.
Nanjii avait appuyé la brosse sur la base du petit orteil de Youri, la faisant hurler comme elle n'avait jamais hurlé, la faisant crier comme jamais. Elle ne put plus rien dire tant ses rires l'empêchaient de parler, et parfois même de respirer.
Nanjii entendit la respiration de l'homme avec lequel il partageait son micro s'accélérer et devenir plus bruyante.
Quinze minutes passèrent, exactement quinze lorsque la brosse cessa de vibrer.
« Merde ! Les piles ! »
- A…rrê…tez…je…ne…sais…rien…pitié…
- Je t'ai déjà  dit qu'il était inutile de mentir, dit Nanjii en posant son abaissant son micro.
Il s'approcha de Youri et elle crispa les avant bras, se préparant à  des chatouilles à  cet endroit. Mais Nanjii passa derrière elle et lui passa une main sous la nuque pour la soulever. Il réapparut devant elle, tenant dans sa main le collier ayant pour pendentif le dragon majestueux, se tenant dans toute sa splendeur.
- Qu…, ren...dez…moi ça…, tout…de…suite !
- Tu as l'air d'y tenir, qui te l'a offert ?
- P…personne…je me suis acheté…toute seule…rendez…le…moi…
- C'est Karù qui te l'a offert, n'est-ce pas ?
Youri ouvrit de grands yeux rougis.
- Vous…connaissez…mon…frère…
- Ton frère…
Relevant son micro, le militaire annonça :
- C'est bon, nous avons les informations dont nous avions besoin.
« Qu…quoi ? Mais c'est pas possible ! Je viens de retrouver les piles ! »
- Et bien vous vous en servirez pour la prochaine fois, je vous ordonne à  présent de la détacher et de l'amener dans une cellule, quoi que non, réflexion faîte, je vais demander à  quelqu'un d'autre…
Il s'approcha de la porte et tourna les yeux vers la jeune fille au regard suppliant. Il entrouvrit la bouche et chercha ses mots :
- Je…je…je suis désolé…
Puis il fixa le sol et sortit de la pièce.
- Hé ! Mon…collier !
- J'en ai besoin pour le moment.
- Hé ! Je…
Mais il avait fermé la porteâ€¦à  clé…

Nanjii resserra le précieux dragon dans sa main et fonça vers le bureau de son supérieur. Il se heurta à  un militaire étrange, qui avait une casquette verte, qui lui cachait les yeux, et des cheveux jaunes et rêches s'en échappaient, il avait un uniforme un peu grand et il annonça d'une voix de travestit :
- Je vais chercher la prisonnière, le chef m'envoi…
- Ah, d'accords, merci, faites-la se coucher elle doit être exténuée…
- Pas d‘blème !
A peine Nanjii l'avait-il dépassé que l'étrange soldat avait effectué un pas de danse aussi étrange que lui, passant habilement la main dans la poche de l'officier.
- Hé, hé, hé, ricana-t-il en s'éloignant.
Il arriva rapidement devant la salle où devait être attachée la prisonnière, à  la merci du premier venu. Il avait vu, il avait cette jeune femme se faire chatouillé, il l'avait vu, à  travers une vitre d'où elle n'aurait pas pu le voir.
Il entra. La jeune fille sursauta et lui jeta un regard méfiant et inquiet. Le militaire retira sa casquette comme il est coutume de le faire devant une dame, ses yeux verts apparurent à  la prisonnière, ses longs cheveux oranges lui tombèrent dans le dos, mélangés à  des brins de paille.
- Leike ! lâcha Youri dans un souffle.
Leike attrapa la ceinture de l'uniforme et la remonta, lui évitant ainsi de tomber. La jeune fille aux cheveux de feu détacha son amie avec les clés qu'elle avait volées à  son propre frère et elle la remit sur ses pieds.
Youri tremblait légèrement, autant blessée que choquée.
- Dépêche-toi, la pressa tout de même Leike, il faut s'enfuir…
- Oui…hé non ! Attends ! Il faut que je récupère le collier que mon frère m'a offert ! Je ne peux pas…
- Non ! Ecoute moi, je crois que ton grand frère préfèrerais te voir sans ce collier que morte, d'accords.
- Mais…
- Mais rien du tout, suis moi !
Leike remis sa casquette couleur feuille et attrapa son amie par le bras.
Elles sortirent de la salle froide et traversèrent les couloirs. Malgré qu'ils soient nombreux et tous identiques, Leike ne se perdit pas. Elle ignora même les regards étonnés et hautain des hommes et femmes que les deux jeunes filles croisaient. Pourtant, à  la sortie du bâtiment, les deux gardes nous barrèrent le passage.
- Halte ! Vous êtes nouveau ? Montrez votre passe s'il vous plait !
Leike tendit une carte blanche. Puis sans attendre son retour, elle sortit de cette prison, poussant son amie devant elle. Lorsqu'elles furent assez éloignées, l'homme cria à  leur intention :
- Hé ! Attendez ! Vous m'avez donné une carte de cantine ! Revenez !
- Maintenant ! cria Leike.
Les deux filles prirent la fuite, fonçant vers la ruelle la plus proche. Youri avait trouvé une force toute nouvelle, une force créée par la peur sans doute. Leike s'était attendue à  une avalanche de balle mais rien ne les avaient attaquées. Ralentissant peu à  peu, elles empruntèrent une dizaine de ruelles dans le but de distancer leurs adversaires qui n'étaient, visiblement, pas très rapides à  la détente. Leike risqua un coup d'Å“il en arrière pour être sûr que personne ne les suivaient, elle ne vit personne mais percuta une chose molle devant elle. Elle tombait à  terre après cette enfoncée dans cette chose rebondissant.
- Alors c'est vous les échappées ?
Un homme se tenait devant elles. Il avait une carrure impressionnante, il portait un uniforme vert un peu petit pour lui qui s'ouvrait sur sa poitrine impressionnante et poilue. Il avait des cheveux noirs bien lisses, propres, recouverts de gèle et ses dents étaient blanches éclatantes, les images se reflétaient presque dedans.
- Rendez vous, ou je vais devoir vous donner une bonne leçon…
- Merde, je n'ai plus d'arme, se plaignit Youri.
Leike lui lança ses griffes.
- Où tu as… ?
Mais elle enfila les armes de métal autour de ses avants bras. D'une petite pression de doigts, les lames en formes de griffes sortirent. L'homme les scruta un instant et éclata de rire. Il devint sérieux quand Youri se mis en position de combat.
- Oh ! Petite ! Tu m'impressionnes !
Il se rua sur elle, essayant de l'attaquer de ses poings énormes. Elle esquiva avec agilité et attaqua à  son tour. Les griffes transpercèrent le vent d'une vitesse incroyable, l'homme n'eut pas le temps pour esquiver l'attaque. Les lames s'enfoncèrent dans son épaule. Il ne put qu'hurler avant que l'autre main de Youri ne vient tenter une attaque sur sa gorge. Son cou se contorsionna de justesse mais les griffes s'enfoncèrent dans sa mâchoire. Il hurlait encore tandis que Youri commençait à  paniquer : en effet, elle avait le bras coincé dans le corps de l'homme. Lorsque se dernier eut finit de hurler, il remarqua la détresse de son agresseur et la saisis à  la gorge.
- Tu vas mourir ! Pétasse !
Il lui serra la gorge. Youri se voyait mourante, Youri se voyait mourir. Elle n'aurait pas pût gagner ce combat, encore affaiblie par la torture récente. Pourtant, elle put respirer. Elle ouvrit les yeux. Le bras de l'homme s'était détaché de son corps, le faisant desserrer son étreinte.
- Raaaa ! Tu oses ! Je vais te tuer ! Et je finirais avec ton amie quand j'en aurais terminé !
La phrase était adressée à  Leike. Celle-ci s'était relevée, et elle faisait face à  son adversaire, les cheveux imprégnés du sang du bras de l'autre. Elle avait les cheveux lisses et durs, comme ils ne l'étaient pas d'habitudes. Le militaire s'attaqua à  elle mais Youri, se plaça devant son amie et frappa au visage.
Le sang coula.
Le poing énorme s'était arrêté à  quelques millimètres du visage de Leike qui avait fermé les yeux. Youri avait enfoncé deux de ses lames dans les yeux du leur ennemi.
Elle les retira, et il tomba à  terre, mort.
Les deux filles s'entre regardèrent, toutes deux salies de sang.
- Oua…commenta Leike.
- Mer…merci…fit Youri.
- Merci à  toi.

- Alors selon vous, Nenri, il faut envoyer cette chose moche en forme de chien chez les rebelles et ils viendront à  nous.
- Nanjii, et c'est un dragon.
- Quoi ?
- Nan rien, bref, c'est bien cela mon plan.
- Vous pensez qu'ils viendront nous voir par ce qu'on leur a envoyé un truc moche ?
- Mais bien sûr que non !!! Ce collier appartient à  la fille que j'ai capturée et qui est une des leur, ils viendront la chercher !
- Mmmmh…réfléchit le chef.
- Oua ! C'est un super plan, Caporal en Chef ! fit Robert.
- Oua ! C'est un Peter Pan ! Général en Chef ! répéta Bernard.
- Bon, fit le chef, d'accords, je vais au préalable en parler à  Mariko…
A ce moment, un homme entra en courant.
- Chef ! Chef ! hurla le soldat, on nous annonce que le quartier général Est a été attaqué ! Ils sont tous morts ! Tous !
- QUOI ?
Un autre arriva.
- Chef ! Chef ! Un des nôtres vient de mourir, il a été attaqué par deux monstres !
- QUOI ? Bon, je m'occupe du QG Est, Nenri, vous allez sur le lieu du crime de notre homme.
- Nanjii, oui d'accords…
De l'homme il ne restait plus grand-chose. Un bout de bras, un flot de sang, une ombre de mort.
- Mon Dieu, c'est pas beau à  voir !
- Je voudrais savoir, s'interrogea Nanjii, pourquoi vous êtes venus avec moi ?
- Ben…on n'avait rien à  faire Général en chef !
- Oui, on ne faisait rien à  avoir, Caporal en Chef.
Regard noir.
« Cet homme a été tué par Leike, je peux reconnaître les marques de ses attaques. Il a été attaqué par Youri aussi, ces deux entailles le montre. Mais elles sont faibles, elles n'auront nulle part ou aller, notre plan peut continuer, Youri ne rentrera pas chez elle avec Leike…Leike…qu'est-ce que tu as encore fais ? »
- Vous savez qui a fait ça ? Général en ch…
- Non…
« Et surtout, prenez soin de vous, cette ville n'est pas faites pour deux jeunes filles comme vous… »

Elles étaient serrées l'une contre l'autre, ne faisant qu'une. Elles tremblaient à  l'unisson et reniflait de temps en temps. Elles pleuraient, ensemble, tous ce qu'elles n'avaient pu pleurer avant. Toutes les larmes qu'elles n'avaient voulues montrer et qu'elles partageaient.
- Qu'est…ce qu'on…fait…maintenant ? dit Youri entre deux sanglots.
- Je ne sais pas, on a…nulle…part où aller…et…et…et…
Elle s'essuya les yeux sans finir sa phrase.
- On peut aller chez moi, je suis vraiment désolée, de ne t'avoir rien dit à  ce sujet, je pensais…je voulais…pour une fois j'avais une amie et…je…
- Je comprends, mais…mais…je ne veux pas aller chez toi…parce…parce…parce que si…si tes amis ils…découvrent que je suis… suis…la sÅ“ur d'un officier…du…du gouvernement…et ben ils…vont…me tuer…
Et elle repartit d'une nouvelle crise de larme.
- Et…je…suis désolée de…ne rien…t'avoir dit pour…pour…mes cheveux…je suis vraiment…désolée…bou…mon grand frère il m'aime plus…ouin…
- Ce n'est pas grave…et puis, ton frère, il t'aime encore, c'est…pas ça qui va faire qu'il ne t'aime plus…
- Et j'espère que…je…je… suis toujours ton amie parce…que…après ce qu'il t'a fais…
- Bien sûr qu'on est toujours amis ! Ce n'est pas ce que nos familles font qui vont y changer quelque chose !
- Je suis…désolée de…ce qu'il t'a fais…
- Ce n'est pas ta faute…
- Et…et…si ton frère découvre que…tu as été...tor…tor…
- Chatouillée, et ce n'est pas la première fois tu sais, et surement pas la dernière !
- Ouin ! Ton frère il va vouloir tuer Nanjii…ouin !!!
- Meuh non, il n'est pas rancunier mon Karù ! En plus, ils se sont jamais parler, certainement, et on ne se tape pas dessus comme ça sans raison…écoute, je te propose que l'on trouve un coin tranquille loin de chez toi, loin de chez moi, loin du gouverne et de l'ARM…
- L'ARNm ?
- A.R.M c'est notre base, mais c'est un secret !
- Ne t'en…fais…pas…
Il y eut un silence comblé par un sifflement, un oiseau ou un meurtrier, personne n'aurait pu le savoir, mais ce bruit berça les jeunes filles qui s'enlacèrent dans la brise.

Re: Fallen World

Merci c'est gentil ( voix débile du petit garçon dans je sais plus quelle pub pour je sais plus quelle agence immobiliaire)
Je viens de réfléchir à  ce que tu a dit précédemment, à  propos des méchants et des gentils.
Le gentil est généralement celui qui a un but honette dans la vie et qu'il mene s quete sans embeter les autres.
Le méchant c'est cleui qui a un but malhonete et qui est pret a toutes les atrocité pour atteindre ce but.

Dans notre histoire, l'ARM a un but honnete mais pour atteindre ce but elle décide de tuer tous ceux qui se mettent au travers.
Le gouvernement a un but plutot négatif et bousille aussi tout le monde.
Donc l'ARM sont les méchants mais le gouvernement est encore plus méchant.
Si on applique la règle ci-dessus.
Apres il y a les gros montres qui tuent tous le monde sans aucun but, rien que pour le plaisir.
Bref, tous le monde est méchant, c'est juste une différence de méchanceté (je m'embrouille là )
Tous ça pour que tout le monde set méchant sauf ceux qui n'ont pas de but
conclusion : les gentils sont bernard et robert contre le monde entier.

....


Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'alu....

Re: Fallen World

Wouah !

Chatouillesdu92, c'ets un des tes meilleurs chapitres ^^

La scène de chatouilles est excellente, l'humour (peter pan xD) vraiment sympa et les scènes de combat vraiment agréables à  lire .

Seul bémol, ce chapitre est légèrement plus brouillon que ce que tu fais d'habitude, mais la quantité compense largement ce léger défaut .

Re: Fallen World

Et le trio il est méchant peut être?

Pour ton chapitre CH92 même remarque que Chevalier et puis vers la fin, Youri a l'air moins triste de la mort de son frère enfin peut être, qu'elle y pense pas?

Re: Fallen World

Escusez moi pour le côt brouillon, j'essairait d'y faire attention la prochaine fois, merci de vos remarques ^^

Et quand tu vient de te faire torturer, tu penses pas forcément à  ton frère...t'imagine le choc que ça doit produire un truc pareil ?
(perso si je me fait torturer comme ça et qu'on me délivre, je serai en train de penser à  un lit bien chaud avec un ordi, pas à  quelqu'un qui m'est cher, meme s'il est peu etre mort)