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Ecriture

Anyway, just jump.

Anyway, just jump.


Si quelqu'un se sens l'âme de lire, voilà pour toi :

Partie 1.


Et toi, pourquoi tu vis ? Pourquoi tu décides de te lever tous les matins ? A quoi tu aspires ? Que ce qui te rends heureux ? Pour tu ne t'arrêtes pas de respirer ? Pourquoi tu gardes les yeux ouvert ? Comment fais tu pour ne pas hurler ? Pour ne pas sauter ? Pourquoi ne pleures tu pas ? Pourquoi ne ris tu pas ? Pourquoi me regardes tu comme ça ? Tu penses que je vais sauter ? Tu penses que je veux tout arrêter ? Tu penses que je craque ? Que je ne supporte plus la vie ? Que je ne supporte plus les autres ? Que je ne crois plus en rien ? Que je n'ai plus rien à quoi m'accrocher ? Est ce une larme de rage ou de tristesse ? Est ce du désespoirs ou de la pitié que je lis dans tes yeux ? Comment es ce que tu le vis ? Accepterai tu de me voir sauter ? Es ce toi qui va me pousser ? Tenterai tu de me rattraper ? Crois tu que ça fait longtemps que j'ai sombrer ? Regarde mes poignets, que penses tu ? Y crois tu ? Penses tu que je suis fais du mal ? Que j'ai essayé de vider mes peurs par le sang ? Oserai tu encore une fois m'embrasser ? Encore une fois m'enlacer ? M'aimes tu ? Penses tu que je t'aime ? Nous aimons nous ? Qui sommes nous ? Pourquoi sommes nous là ? A quelle hauteur est cette falaise ? Vois tu les rochers en bas ? Sais tu qu'ils sont comme moi ? Sais tu que moi aussi je suis usé ? Que j'ai subis l'érosion de mes contemporains ? Sais tu que je suis lassé tout ça ? Lassé du monde ? Lassé des autres ? Crois tu qu'on puisse survivre ? Ou sommes nous conditionnés à la mort ? Que ce que la mort ? Un soulagement ou une punition ? Est ce que tout ça vaut le coup ? Peut on encore regarder les choses en face et y croire ? Décider qu'on peut encore changer quelque chose ? Est ce que les gens se rendent compte de leurs ignorance ? Sommes nous les seuls érudits ? Y en a t'il d'autre en ce monde ? Ou sont ils tous écrasé sur les rochers ? Ou peut être noyé dans la mer ? Pendus à un arbre ? Ou simplement allongé sur leurs lit, vide de leurs sang ? Que me conseilleraient ils ? De mourir ? De vivre ? De survivre ? D'accepter la réalité ? De changer les choses ? De se lever et de courir vers ses rêves ? Quels rêve ? Mes rêves ? Leurs rêves ? Mes pensées sont elles toujours mienne ? Ou est ce celles des autres ? Celles qu'on a voulus m'inculquer ? Les ai je choisis ? Ai je vraiment décidé de mon sort ? Ou tous cela est peut être un plan ? Une conspiration ? Pourquoi me regardes tu encore comme ça ? Que vas tu faire ? Tu penses que je vais sauter ?

Et bien tu as raison. Mais pas tout de suite. Assiez toi à côté de moi, n'ai pas peur du vide, cela fait longtemps que l'humanité chute inexorablement vers sa fin, et crois moi que la chute est beaucoup plus longue que celle que tu risques de subir si tu glisses. Alors, explique moi. Pourquoi toutes ces questions, et surtout, où sont les réponses ? Personne ne les a. Alors donne moi une bonne raison de pas sauter. Une seul bonne raison pour continuer de vivre.



Je t'aime.



Ah ! C'est ça ta solution ? L'amour ? Autant sauter tout de suite. L'amour a été souillé par l'Homme, roué de coup par leur stupidité. L'amour est une fumée faite de la vapeur des soupirs. Il n'a plus de valeur. Il est gouverné par le monstre au yeux vert qui pose les frontières de la possession. Il est aussi dangereux que de laisser balancer ses jambes au bord d'un falaise. Je ne crois plus en l'amour tel qu'on nous le montre aujourd'hui. Un amour fait de mensonges, de trahisons, de fumisteries. Un amour superficiel, dont tout le monde se fou. Une source de conflit intarissable, une usines à larmes et cœur brisés. Accepté l'amour, c'est accepté de souffrir. Alors pourquoi ? Pourquoi tenter le Diable ? Pourquoi agir comme un poisson qui mordrait intentionnellement l'hameçon ? Se tirer une balle dans le pied pour le plaisir. Certain peuvent y trouver un refuge. Un moyens de s'échapper de leurs soucis, trouver quelque chose à quoi se raccrocher. Mais est ce judicieux de s'accrocher aux nuages ? La chute n'en sera elle pas plus dure ? Mais veux tu savoir le pire ? L'amour est comme la mort, personne ne peut y échapper. Tout le monde tombe un jour dedans. C'est une réel fatalité. L'amour est la pire des drogues, et pourtant parfaitement légal. C'est celle qui avec qui tu finis forcément en dépression. Pourquoi personne ne l'interdit ? On sauverai des vies je pense . Et donc ? Tu proposes de m'aimer ? Te rends tu compte que tu me propose de me détruire ? Avant de m'aimer, change l'amour. Injecte lui un peu d'honnêteté, redonne lui de sa superbe. Ne me dis pas que tu m'aimes, prouve le moi. Pousse moi dans le vide, et là je te croirai. C'est là que je serai certaine que tu m’a comprise. Et alors, étrangement, je pourrais sourire pendant ma chute. Je ne souffrirai pas.



Moi je souffrirai.



Tu es égoïstes. Si tu m'aimes, ne veux tu pas mon bonheur ? Mon bonheur est de fuir. De fuir cette société qui s'abrutis de jour en jour. Cette société sans esprit, sans âme, sans intérêt. Je suis fatigué de ceux qui m'entoure. A part quelque rare exceptions, les autres n'ont aucune saveurs. Ils sont transparent, vide de sens. Ils ne savent pas qui ils sont, où ils vont. Ils ne trouvent pas leurs place, leurs but. Ils avancent péniblement vers leurs mort, espérant trouver l'amour et un travail, aspirant à une vie monotone. Ils ne se rendent même plus compte à quel point ils sont triste à voir, à écouter. Tu vois de qui je parle ? C'est gens qui ne sortent jamais des sillons tracés. Qui ne font aucun écart, qui vivent comme ils sont censé vivre, sans réfléchir. Des âmes errante à qui l'on a bandé les yeux. Ce n'est même pas qu'ils ne savent pas, c'est qu'ils ne veulent pas savoir. C'est gens, pleins de préjugés, qui crache sur les autres par ce qu'ils sont différant. C'est gens je les méprises, je ne les considère même pas comme Homme. Ils ne méritent pas ce statuts, d'être humain. Ce n'est pas ça, d'exister. Nous ne sommes pas des machines, nous avons la capacité d'être notre propre maitre, de diriger notre gouvernail selon nos envie et nos choix. Se laisser porter par le vent ou prendre une destination réfléchie. Et rire devant ceux qui suivent les rails de l'ignorance.

Suis je une de c'est exceptions ?

Bien sur, sinon tu ne serai pas là à m'écouter. Tu serai déjà partis en courant, fuyant mes paroles.



Alors, me laissera tu t'aimer ?



Peut être. Mais lève toi, et danse. Dansons et chantons à la gloire de l'humanité décadente, à la gloire des génération perdue. Sourions à Voltaire et Hugo, qui doivent bien se moquer de nous. Sourions à Platon et à Socrate, qui doivent se rendre compte que personne n'a finalement rien compris à leurs sagesse. Rions, dansons, chatons, et sautons ensemble, car finalement rien à de sens. Le temps passe, le temps est perdue, nous perdons notre temps. Sautons, sautons comme nous n'avons jamais sauter. Baisons ? Peut être. Je peux voir ton désir dans tes yeux depuis le début. Tu me veux, et tu ne m'a pas. Alors accepte cette danse, accepte mon offre de passer c'est derniers instants avec moi. Vois comme le monde est beau quand on s'aime, quand on ris ! Vois comme les Dieux sont doués de nous faire croire tout ça. Vois, vois comme le monde est beau, vois comme le nous sommes seuls. Tu vois ? Tu le vois ? tu sens ta solitude ? Tu sens ton âme s'échapper vers l’horizon ? Tu la sens ?



Oui.



Alors sautons.

Re: Anyway, just jump.

Partie 2.


Non attends. Pas tout de suite. Je t'aime. Embrasse moi, juste une fois. J'en ai besoin, je ne pense qu'à ça, qu'à toi.


Mais, tu sais bien, je te l'ai dis avant. Je ne peux pas. L'amour n'a plus aucune valeurs à mes yeux. Je ne veux plus entendre parler d'amour, s'il te plait.



Pourquoi ? L'as tu déjà vraiment connus ? Le vrai amour ?



Je ne sais pas, peut être, je crois. C'est peut être pour ça que je ne veux plus en entendre parler. L'amour, ce n'est pas quelque chose de sein. Je le vois comme une prison. Chaque 'je t'aime' que tu vas me dire rajoutera un barreau à ma cellule. Si j'y répond, je ne ferai que jeter la clef de ma liberté. L'amour m'emprisonne, entrelace mon cœur de file barbelé, et je souffre le martyre à chaque battement de cœur. Et quand tu es là, c'est encore pire. Mon cœur bats de plus en plus vite, il tambourine dans ma poitrine, et j'en pleure de douleur. Je saigne jusqu'à ce qu'une larme de sang coule le long de ma joue, une larme remplis de sentiments, de colère, de doute, de folie. Car oui, l'amour est réservé aux fous. Ceux qui ne crois plus en rien, qui n'ont ni dieu ni maitre, plus de gout ni de saveur. Ceux qui sont perdu dans leurs vie, alors ils aiment. Ils ne trouvent plus que ça à faire, trouver quelqu'un, et le faire souffrir. Pourquoi ? Pourquoi les gens font ils ça ? Enfermer les gens un à un, en formant des couples, un par un, main dans la main. Au finale, l'amour n'est que la façon polie de dire que nous allons baiser. Une façon plus propre, plus digne. Le meilleur moyens de masquer l'attirance sexuelle bestial que tu portes en toi. Car au finale, avoue le, c'est tout ce qui t’intéresse non ? Tu veux voir mon corps ? Me voir nue, me transformer en jouet. Me transformer en esclave sexuelle. Et si tu te dis amoureux, c'est simplement pour que je n'aille pas voir ailleurs. Et une fois que tu auras formé le couple dont tu rêve, ce sera fini. Je ne pourrais plus aller ailleurs, je passerai pour une infidèle, une salope. Alors qu'au finale, je ne serai que bêtement tomber dans un piège, le plus vieux des pièges. L'amour est comme la mort, si inéluctable qu’elle prend tout le monde par surprise. Ça te tombe dessus alors que tu n'as rien demandé à personne. Comme un oiseau qui voudrai migrer vers le sud, et qui finirai dans une cage, à chanter pour notre plaisir. Je veux garder ma liberté, pourquoi faire comme bon me semble, sans limite. Je ne veux pas qu'on m'impose de limite. Je sais que tu veux le faire ! Laisse moi ! Laisse moi ! Retourne toi, ne me regarde pas. Tu me déshabilles du regard, tu me viole rien qu'à travers ton regard. Tu m'imagines déjà sur un lit, à me baiser comme un trophée. Heureux d'avoir gagner, bandant de ta putain de victoire. Et moi je vais souffrir, encore et encore, pleurer, jouir, te sourire, te dire que je t'aime. Mais il n'en est rien, ne te voile pas la face. Je ne veux pas, je ne veux plus d'amour. Je n'ai envie d'aucun amour. De personne. Mais tu as un avantage sur moi. Tu sais que je ne veux pas te perdre. Je tiens à toi, tu me fais voir le monde différemment. Tu me redonnes espoirs en cette humanité qui ne la mérite plus. Je ne veux pas que tu partes. Alors que vas tu faire ? Du chantage ? M'obliger à t'aimer pour ne pas que tu partes ? Ce serai la meilleurs solution, je sais que tu y as pensé. Tu sais que je n'y résisterai pas. Tu sais que si tu te retourne et pars, je te rattraperai. Alors, tu vois ? Déjà là, je suis emprisonné. Déjà là je n'ai plus le choix, plus de solution, plus de porte de sortie. Vois tu pourquoi je veux sauter ? Pour fuir. Tout est tracé devant moi, mon chemin est déjà prédéfinis. C'est ça que je refuse. Le couple est le début d'une routine, l'amour est source de conflit. Plus personne ne comprend rien. Oserai tu me dire le contraire ?



Oui, oui je vais oser. Tu ne comprends rien. Tu agis stupidement. L'amour ce n'est pas ça. Pas pour tout le monde. Tu crois que les sentiments sont les prémices d'une prison ? Tu t'égares. Tu as rencontré le mauvais homme. Tu es juste rentré dans la cellule qu'il t'as proposé, sans réfléchir. Qui te dis que tout le monde est semblable ? Combien en as tu connus d'ailleurs ? Deux ? Quatre ? Et tu oses croire avec ça connaitre tous de l'amour ? Tu es ridicule. M'aurais tu mentis ? Je commence à le croire. Tu as dis toi même que j'étais différents. Alors pourquoi me mets tu dans le même sac que les autres ? C'est contradictoire. Je ne propose pas ça moi, écoute moi bien. L'amour n'est pas une convention, ce n'est pas quelque chose qui se passe toujours de la même façon, avec les même personnes, pour les même raisons. Je t'aime, je ne peux rien y faire. Tu me parles de baiser, crois tu que le sexe rythme un couple ? C'est faux . J'aime ta façon de penser, ta façon d'être, de voir les choses, de voir le monde, d'être à part. J'aime comme tu crois savoir, comme tu aimes vouloir, comme tu utilises les mots et détourne les phrases. J'aime ta patience, ton insolence. Ta pensée, tes envies, tes besoins, tes rêves, ton histoire, ton être. J'aime croire en toi, j'ose croire que tu es toi. J'aime tes yeux, ton regard, ta bouche, tes lèvres. J'aime déjà leurs gouts. J'aime ton odeur, l'aura que tu dégages, ton corps, tes courbes, tes cheveux. J'aime ton rire, j'aime quand tu pleurs, j'aime même ta façon de marcher, l'odeur de ton café, la clope que tu fumes, tes poumons qui se noircisse. J'aime le son de ta voix, j'aime quand tu ne parles pas, le grain de ta peau, les clichés que tu prends, les messages que tu fais passer. J'aime que tu arrives, quand tu es avec moi et quand tu repars. J'aime te regarder jusqu'à ce que tu disparaisses dans la nuit, te revoir à l'aube. J'aime entendre ton cœur qui bats. J'aime t'aimer, j'aime que tu ne m'aime pas. J'aime quand tu me manques, j'aime quand tu me mens en me disant que je te manques. J'aime quand tu me laisse seul dehors alors que je t'attend et j'aime t'attendre. Voilà, ce que j’appellerai de l'amour. L'amour n'a pas de limite, pas de barreaux. Rien ne peut l'arrêter, c'est ça qui est important. L'amour est la clef qui ouvre ta prison, qui te libère. L'amour t'accompagne par la main, et te quitte lorsqu'il le faut. Il te comprend, t'enlace quand tu en as besoin, sèche tes larmes quand elles coulent quand il le faut. Le meilleur amis de l'Homme, c'est l'amour. Ce n'est pas une prison, c'est une expansion. C'est le seul moment où tu te sens vraiment vivre. Alors accepte le. Une bonne fois pour toute.



Je..je ne sais pas quoi répondre.



Inutile de parler, embrasse moi.

Re: Anyway, just jump.

Partie 3.


Non ! Non ! Non ! Je ne peux pas ! Pourquoi refuses tu de comprendre ? Je ne peux pas t'aimer ! C'est au dessus de mes forces. Même si ce que tu es vrai, même si tu me sembles sincère, même si...je pense peux être un peu la même chose à ton égard, je ne peux pas ! ce monde me dégoute, je le vomis. Je ne veux plus vivre dans un univers détruit par la civilisation nouvelle. Et ce n'est pas l'amour d'une personne qui me fera changer d'avis. Jamais. Plus jamais. Je sais que tu vas en souffrir, je le sais bien. Tu souffres déjà depuis bien trop longtemps à m'aimer en secret. Je me demande comment tu peux encore être là, à me regarder des étoiles pleins les yeux. Je ne suis qu'une pute, considéré comme un déchet bonne à rien dans cette société nouvelle. Je ne suis pas née à la bonne époque, je n'aurai peut être jamais dus naitre. Et pourtant je suis là, j'ai eu le temps de voir comment le monde à évolué, si l'on peut encore parler d'évolution. Et je ne veux plus en savoir d’avantage. Je veux à nouveau disparaitre, seule, comme je l'ai toujours été. Seule à en mourir, sans personne pour me comprendre. Seule avec mes idées, seule avec mon malheurs, seule avec moi même. Quand je sortais la tête de mon trou, je ne voyais que des ombres autour de moi. Personne ne peux me sauver, je ne ressens plus rien. Allez, vas t'en. Ne retourne pas, je ne vois pas que tu vois ça.

Non ! Moi je te comprend ! Je sais ce que tu ressens. Tu ne seras plus seule maintenant, plus jamais. Je suis là, pour toi. Si tu pars, c'est moi serai seul. Et là oui, j'en souffrirai. Tu sais ce que ça fait quand quelqu'un te manque ? Je ne crois pas, sinon tu n'envisagerai pas de sauter. Je crois que c'est un des pires sensations que l'Homme peut ressentir, le manque. Tout s’éteint autour de toi, plus rien n'existe. Tu n'as plus qu'a mourir car rien d'autre n'est aussi important que ce qu'il te manque. Toutes tes pensées sont prise, tu n'arrives plus à rien faire, tu ne parle plus, ne mange plus, ne ries plus. Tu y penses, tout simplement, tout le temps. Tu souffres, tu essais de te reprendre, puis tu abandonnes, et tu souffres. Le manque peux détruire une personne, j'en suis la preuve vivante. Saches le, tu es comme de la nicotine pour moi, comme de l'oxygène, tu es celle que j'aime. Tu es différentes de toutes les personnes que j'ai pus croiser dans ma vie. Tu apportes un souffle nouveau à ma vie. Quelque chose d'irréel. D'incroyable. Je ne m'étais jamais sentis aussi vivant qu'à tes côté. Si tu sautes, tu seras complice de meurtre. Ne sautes pas, ne me tus pas. Je sens qu'à nous deux, on peux changer quelque chose. Peut être pas changer le monde, mais au moins avoir le mérites d'essayer. Peut être provoquer une réaction, du courage. On aurai pus le faire ! Pourquoi ! Pourquoi tu as fais ça ! Tu n'aurai pas dus ! Tu es lâches. Tu me dégoute. Je te hais ! Et puis, pourquoi je dis tout ça, tu n'es déjà plus là pour écouter.

Re: Anyway, just jump.

Eh beh... c'est tres parlant, ton texte ^^
Deux trois fautes a droite a gauche (rien d'insurmontable, mais quand meme assez pour que ca soit dit), mais sinon, rien de bien folichon. Curieusement, j'arriverai a mettre deux visages facilement la dessus... :D

Vivement la suite ^^

Re: Anyway, just jump.

Il n'y aura pas de suite, pas encore.
D'autre textes peut être

Re: Anyway, just jump.

Eh bien travaille ca, y a du niveau :)