Forum

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Euh j'ai du mal à comprendre la question?

On se fait chatouiller mais on ne chatouille pas c sa?

Oui on n'a pas le droit.

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J'ai mis non car je ne pense pas tenir la promesse!

J'ai eu une petite histoire où je ne devais pas chatouiller, ou plutôt que je ne devais pas céder à la tentation. Et devinez qui était mon bourreau? Élise (se réf. à mon histoire vraie). Laissez-moi vous peaufiner les détails. Elles s'était mise en tête que j'étais un accro des chatouilles. Vous me diriez mais bien sûr que tu l'es, sauf que je la connaissais trop bien et je savais pertinemment qu'elle en n'avait pas l'ombre d'un doute, mais qu'il s'agissait en fait une de ses énièmes tentatives mutines pour me déstabiliser afin de trouver un point faible à exploiter, ou devrais-je dire sur-exploiter.
Donc, comme elle me mit au défi, et ne voulant en aucun cas rentrer dans son jeu, j'ai été enclin à accepter son épreuve avec bravade sans redouter un seul instant de ce qu'elle allait me faire subir. Cette fois-ci, je l'ai sous-estimé et je savais que dès que je tombais dans les griffes de "la veuve noire", il n'y avait aucune échappatoire possible.
Je me suis donc rendu au lieu comme convenu sans aucune crainte, sauf que lorsque je suis rentré dans la salle de classe (c'était la pause de midi, il n'y avait donc pratiquement personne dans l'établissement scolaire), on n'était pas seul. En effet, Jennifer, sa meilleure amie, et Vanessa étaient également présentes. J'étais intrigué, mais loin d'être effarouché par ce qu'il ne faisait pas partie de ce que j'avais prévu. (En même temps, je n'ai pas cherché les détails avant, je savais juste que je ne devais pas chatouiller).
Mais voilà que celle qui avait orchestré toue la mise en scène me dit de venir à elle, ce que je fis sans hésitation. Elle était assise dans l'une des chaises de la classe et m'invita à m'asseoir, non pas à la première chaise qui se trouvait juste en face d'elle, mais à sa jumelle juste derrière. Je pris place en me demandant pour qu'elle raison cette chaise qui me séparait de mon interlocutrice était positionnée de sorte à ce que quelqu'un d'autre s'assoit en faisant face à elle. Mais avant qu'elle exécuta son plan, ça a fait "tilt" dans ma tête. Elle retira ses baskets aux pieds d'un geste et déposa ses pieds protégés encore par des chaussettes bleus marines sur la chaise en me faisant signe qu'elle me les offre à mes propres soins.
Je fis un petit sourire victorieux car j'avais la confirmation absolue qu'elle ne savait rien à ma knismolagnie. Car si cela aurait été le cas, elle aurait retiré ces baskets avec des gestes lents et sensuels pour m'inciter à passer à l'acte (ce qu'aurait fait une personne pour exciter un fétichiste des chatouilles en tout cas). Élise interpréta mon sourire du genre "tu croyais une seule seconde que j'allais tomber dans le panneau". Mais c'est à cet instant qu'elle fit signe à Vanessa et Jennifer de venir prendre des chaises et s'installer au-près d'elle. Je ne compris pas quel rôle leur a-t-elle donner, mais je vis à ma grande surprise qu'elles prirent place chacune à côté d'Élise de sorte à se trouver en face de moi et déposèrent à leur tour leur pieds à côté de ceux de celle qui m'avait lancé le défi. Mais cella ne s'arrêtait pas là, Élise pris soin de retirer avec zèle toutes les chaussettes ainsi que les collants de Jennifer qui protégeaient encore leurs pétons à l'air libre et se débarrassa des morceaux de tissu en main en les débarrassant par-dessus son épaule.
- Tu peux te défouler avec qui tu veux, sans retenu.
M'assura Élise avec un faux sourire aguicheur.
Vanessa cambra légèrement ses orteils en sentant l'air frais de la pièce et m'adressa un sourire gêné. Élise étira le plus possible sa peau et afficha un visage, sans même me le cacher, mais d'une façon très habile "vas-y, sers-toi!". Tandis qu'à sa gauche, Jennifer gigota ses pieds, non pas pour me forcer à accomplir la volonté de sa meilleure amie, mais comme si elle avait parcouru une centaine de mètres de marche sans interruption et que c'était le seul moment de la journée où elle pouvait enfin laisser ses pétons se reposer.
Je ne savais si à cet instant mes yeux s'était soudainement écarquillés ou si mes pupilles s'étaient dilatées. Mais je ne devais pas me soucier de ses détails. Je devais rester le plus impassible possible, ne pas transpirer, ne pas serrer les poings, ni même les jambes, et surtout ne pas détourner le regard de ce spectacle très convoitant. Bref, je ne devais montrer aucun signe qui trahirait mon intérêt et fixer la scène comme si c'était la chose la plus ennuyante qu'il m'était donné de voir dans mon existence.
Celle qui avait tout orchestré tenta de m'inciter avec quelques phrases affriolantes qui, pour quelqu'un qui ne connaissant en aucun cas Élise aurait facilement été tenu dans le creux de sa main, mais qui ne fonctionnaient pas sur moi. Je lui répondis avec un soupir rébarbatif factice en posant mes mains derrière ma nuque, sans doute fois trop exagérer sur la situation.
Voyant que cela ne me faisait ni chaud, ni froid, enfin c'est ce qu'elle croyait, voilà qu'elle me dit:
- Tu me déçois énormément. Je t'offre de quoi assouvir tes fantasmes de notre plein gré, et toi tu ne veux même pas en profiter. Nous étions pourtant toutes prêtes à se sacrifier rien que pour toi.Tu es vraiment cruel. Conclut-elle avec un sanglot.
Elle était vraiment, ou devais-je dire une fois de plus, très forte. Ces belles-paroles, n'importe quel inconnu fétichiste des chatouilles serait tombé dans son piège.
- Tu n'as rien de mieux à me proposer?
lui répondis-je comme si j'allais m'endormir d'un instant à l'autre.
Elle pris conscience que ce petit jeu ne marchait pas, et donc opta pour un autre plan de secours.
- Bien. Tu ne me laisses pas le choix. Je n'espérais vraiment pas en arriver là. Mais visiblement je suis obligée de passer par-là.
Je haussa les sourcils d'un air air interrogateur pendant qu'Élise fit d'un signe de main pointé dans ce que je pensais ma direction.
- Tu es sûr?
Fit Vanessa un peu hésitante, mais d'une façon comme s'il s'agissait d'une simple formule de politesse.
- Ne t'en fais pas pour ça. Lui assura Jennifer. Même si elle nous le ferait sûrement payer le double un jour.
J'étais vraiment intrigué par ce que venait de dire sa meilleure amie . Qu'avait-elle encore fomenter comme plan tordu? Je suivais les deux filles se diriger vers moi, sauf qu'elles s'arrêtèrent au niveau de la chaise où était posé les pétons d'Élise. Elles s'agenouillèrent et prirent chacune une cheville.
Mon cerveau venait de comprendre ce qu'il allait se passer et revoyait la scène qui se déroulait sous mes yeux en plusieurs ralentis. Et pour combler le tout. Voilà que j'entendis celle qui m'avait lancé cette épreuve dire:
- Allez-y, chatouillez-moi les pieds.
D'une voix comme si c'était la plsu grand envie de sa vie.
Il n'en fallait pas plus pour nos deux amies qui se mirent immédiatement au travail suivi instantanément du rire survolté de la suppliciée.
Cette fille ... J'étais directement emprisonné dans sa toile. Je savais que maintenant je ne pouvait plus partir au risque d'éveiller les soupçons. Même si ses deux bourreaux adoucissaient leurs attouchements car sinon, leur "victime" se débattrait avec trop de force, je savais qu'elle m'épiait sous ses avalanches de rires, bien que retenues. Il ne me restait plus qu'assister à la torture en me retenant de toutes mes forces et toute ma volonté à y prendre part. J'étais comme un insecte pris dans la toile se débattant pour échapper au venin mortel de la veuve noire.
Les deux filles quant à elle s'échangèrent un sourire amusé car pour tout dire, il était rare de voir Élise dans une situation qui lui était défavorable. Et même si elle supportait un peu son supplice, elle parvenait à glisser tant bien que mal des "oh oui, chatouilles les pieds!" ou d'autres phrases du même genre. Elle était allé jusqu'à se sacrifier elle-même pour me faire craquer. Un geste rarissime venant de sa part.
Je ne sais pas combien de temps ont passé. À peine deux petites minutes, un dizaine, non, ça je ne le savait pas. La chose qui était sûre en tout cas que je passais la pire épreuve de résistance psychologique de ma vie. Obligé à regarder cette terrible mais néanmoins amie se faire tendrement chatouiller par nos deux amies. Luttant contre moi-même, aussi désespéré qu'un insecte qui se débat pour s'arracher à cette maudite toile mais duquel la soie se répandit de plus en plus sur son corps. Heureusement que j'avais gardé mes mains derrière ma nuque qui se mettaient à presque à gesticuler, ou que plutôt j'avais prévu cette situation auparavant. Je ne voyais aucune une voie échappatoire à ce traitement que m'imposait Élise.
- Dis voir, est-ce qu'on peut passer au ventre maintenant?
S'exclama soudainement Jennifer en s'adressant à sa supplicié et interrompant momentanément la douce torture espiègle, imitée par sa consœur. Je vis la concernée hésité un court instant, puis elle afficha un sourire en s'adressant moi.
- Tu as beaucoup de chance. Mon ventre est l'endroit le plus chatouilleux.
J'ai déjà chatouillé pas mal de fois Élise par simple amusement ou en guise de vengeance mutine. Cependant j'ignorais que son ventre était son point faible. J'avais taquiné plusieurs fois ses côtés ou ses aisselles, sans oublier deux rares occasions où j'ai pu également m'occuper de ses pieds, mais j'ai jamais touché à son ventre. Une erreur de ma part, car si j'étais au courant, j'aurais été plus préparé psychologiquement. Hors, il se trouve qu'au fond de moi, une curiosité grandissait en moins à ce sujet intéressant et indépendant de ma volonté.
Cependant, je me rendis compte qu'il fallait que je réponde pour montrer que cela me laissait indifférent. J'allais à l'encontre de certaines pulsions viscérales qui étaient sorties de leur hibernation jusqu'au début de la mise au supplice et avaient maintenant avait presque atteint un stade exacerbant.
- Comme si cela allait changer quelque chose.
- C'est ce qu'on verra.
Je ne voyais vraiment comment m'en sortir. La veuve noire n'allait pas tarder à poser sa morsure sur moi. Je la sentais qui s'approchait au rythme de ses pattes, plutôt de ses rires qui encraient encore dans ma tête, alors que le traitement de celle qui en était la cause n'avait même pas débuté.
Puis soudain, mon ventre émit un bruit semblable à un rugissement d'un lionceau. Un élément extérieur ... une rafale de pression d'air tel le vent libérant l'insecte de sa prison de soie m'avait sorti de mon emprise. Les filles s'étaient toutes retournées vers moi d'un œil sourcillant.
- Je crains qu'il va falloir remettre ça à une autre fois. Mon ventre ne tient plus. Allons plutôt manger quelque chose à la cafétéria.
- Quel dommage. Fis la victime volontaire que je devina qu'elle était en train de se revêtir de ses chaussettes. Juste au moment où l'on arrivait au plus intéressant.
- Si tu y tiens tant que ça, demain je te trouverai un vieil entrepôt vide, isolé et hors d'atteinte de toute communication pour te chatouiller sauvagement jusqu'à en perdre la raison. En attendant, je vais réserver des places.
Vanessa et Jennifer rirent de cette blague tandis que je sortis de la classe en bénissant de n'avoir rien avalé à mon déjeuner ce matin. Après avoir fermé la porte derrière moi. Je me laissais affaler contre le bois de la porte, glissant jusqu'à ce que mes fesses touchent le sol froid, en me remémorant cette épreuve. Ce qui devait être un énième jeu innocent et taquin pour Élise a été un véritable test pour moi. Je ne pensait pas que cela était si dure. Pour un garçon de 12 ans, je ne me trouvais pas assez fort pour dominer tous mes sentiments que je ne souhaitais pas voir le jour. Et pourtant, j'avais résisté à la tentation.
Je me consentis enfin à me relever, poussant un soupir de soulagement et j'avais en même temps une étrange sensation qui me parcourait le corps. Un peu comme si quelque chose avait changé en moi. Comme si ... je me sentais ... murir.
À présent, je connaissais mes limites, je savais jusqu'où je pouvais aller et mettre les points sur les "i" à mes pulsions que je ne souhaite en aucun cas qu'ils prennent le dessus sur moi.
J'entendis tout à coup la porte s'ouvrir derrière moi et les filles sortirent de son encadrement.
- Tiens? Tu n'es pas parti devant?
Dit Jennifer un peu stupéfaite.
Je leur répondit avec un sourie enjoué. (Je ne savais pas pourquoi je leur souriais)
- Je préférais qu'on y aille tous ensemble.
Élise et sa meilleure amie me regardaient un peu étonnées de cet accueil chaleureux tandis que Vanessa qui ne s'en préoccupa pas me dit avec un grand sourire qu'elle avait une faim de loup en me tirant le bras dans la direction de la cafétéria.

Voilà, c'était une de mes histoires sur ma petite vie bien remplie. Cette expérience m'a permis d'un peu mieux me connaître, de voir certains aspects qui m'était alors peu connus jusque là. En somme, je me suis senti grandir un peu. J'espère que cette incise n'était pas trop longue, mais qui aura au moins intéressé.

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Merci du soutien t'en a pas toujour eu hein?!^^

Navré nukem, mais ceci est une histoire bien réelle qui m'est arrivée. En me réalisant, j'ai remarqué qu'ils manquent quelques détails que habituellement je mets, mais étant l'heure à laquelle j'ai posté (et surtout parce j'étais en patrouille de nuit), j'ai dû mâcher un peu mon travail. Mais je peux t'assurer qu'Élise peut-être définit comme une sorte de cauchemar éveillé duquel il est impossible de se réveiller. Et pourtant, jamais je n'échangerai pour tout l'or du monde. Elle taquine tout le monde, moi en particulier parce que je suis d'un naturel calme et trop gentil selon elle. Dès qu'elle a une idée en tête, elle l'exploite au-delà de l'imaginable et elle est prête à tout pour l'emporter sur quelqu'un.

Je me répète a dire que je ne t'ai pas traiter de menteur... J'ai seulement émis un doute

Je me répète a dire que je ne t'ai pas traiter de menteur... J'ai seulement émis un doute

Ne t'en fait pas, j'avais parfaitement compris, je voulais juste te préciser que c'était vrai.

C'est très bien écrit, bravo !

Merci pour ce beau récit qui t'as permis de partager ton expérience !

Merci sempai (écris-je l'air gêné en me caressant maladroitement les cheveux )

Et bien je sais pas si ma réponse va t'aider lol ! Moi j'ai mis oui, une fois j'ai rencontré une fille du forum et on c'était du pas de chatouilles à la première rencontre. Très belle journée, horriblement frustrante cependant... Je ne retenterai pas de sitôt

Moi j'arriverais à résister à la tentation si l'on m'attache bien et que l'on me chatouille de façon si insupportable que je n'aurais même plus la force de faire autre chose après mdrrrrr

Je relance le sujet pour les chatouilleurs

Dès que j'ai vu le premier message, j'ai tout de suite su pour quelle situation a été fait ce topic...

Ca dépend de la personne. A ce jour, exceptée deux trois personnes, j'ai jamais croisé quelqu'un qui détestait complètement ça... Mais j'éviterais ce genre de promesse, car je serais quasi sur de pas pouvoir la tenir.. Excluant le cadre d'une rencontre.. Pour se rencontrer, neutre, évidemment ^^

J'veux pas dire, mais avec toi, ils doivent être tellement crevés à la fin que ca leur coupe l'envie de tenter quoi ce soit.. ^^
Mais c'est vrai que le respect est très souvent présent, surtout quand aux promesses

Ça c est de la remonte de topic...

ben oui

Sinon moi je tiens tjr parole je promet d être sans pitié, et je le suis..