Histoire : F/M EXPLICITE Mon premier hogtied : embarrassant...

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Histoire ajoutée le 14/08/2015
Épisode ajouté le 14/08/2015
Mise-à-jour le 03/07/2021

F/M EXPLICITE Mon premier hogtied : embarrassant...

Bonjour à tous.

Petite introduction:
Il y a 3 ans j'ai eu une histoire avec une fille de 26 ans (j'en avais 24) très branchée sadomasochisme.
Nous avons pu réaliser plusieurs fantasmes, communs ou individuels, mais ce que je raconterai ici concernera au moins les chatouilles.
Notre histoire prit fin car je voulais construire quelque chose de sérieux et durable ce qui n'étais pas son cas.
Ma compagne d'aujourd'hui me rend très heureux bien qu'elle ne connaisse pas mon fétichisme, et je me projette avec elle dans l'avenir. Je ne sais pas si un jour je lui en parlerai ou même si j'en ai envie.
Enfin mes histoires comportent de la nudité(e), attaché(e) et bailloné(e) un peu de sadisme et de masochisme mais relativement gentil. je préfère quand même prévenir.
L'histoire est très longue, j'ai essayé de me rappeler chaque détails mais certains passages sont romancés, je l'admet.


L’histoire se passe dans son appartement parisien. Tard le soir après un film et une bouteille de vin nous étions assez excités, alors quand elle me demanda si je voulais jouer: je lui répondis oui!
"Je vais être gentille je te laisse choisir ton sors, esclave" me dit-elle avec son petit sourire en coin.
Mes souhaits étaient clairs: je voulais essayer le hogtied (sur le ventre les mains attachées aux chevilles dans le dos) tout nu bien-sur et être chatouillé, caressé, un peu malmené mais pas trop...

Elle m'ordonna de me déshabiller, elle aimait garder ses vêtements quand j'étais nu, elle trouvait que ça renforçai "l'humiliation". Elle gardait donc sa jupe/rope rouge qui lui arrivait aux genoux, et son débardeur noir. Les jambes et pieds nus, je savais qu'elle l'était aussi sous sa jupe.
Pas plus d'1m60, faisant du 39, menue, rousse avec les cheveux en carré, de grands yeux clairs et une petite bouche rieuse.
Pour ma part: 1m70, mince, voir très mince, brun, les cheveux en batailles.
Elle n'avait pas de matériel de bondage à part des baillons souvenir d'un ex qui l'avait initié aux pratique les plus "durs" du bondage.

Une fois nu elle me mis un de ces bâillons, très utile dans ces appartements mal insonorisés. Un de ceux noirs qui recouvrent toute la bouche, comme une muselière.
Pas de corde: nous avions une consommation très élevé de gros scotch gris type gaffeur / duct tape. Utilisé avec des chaussettes trouées pour empêcher de coller sur la peaux c'est redoutable!
Toujours nu et bailloné donc, j'enfilais donc les 4 chaussettes troués qu'elle me donna en suivant ses consignes: une à chaque cheville et les deux dernières recouvrant complétement les avant bras.

A ce point j'étais déjà beaucoup trop excité, et ça se voyait, mais mon embarras n'allait pas s’arrêter là...
"Couché! Sur le ventre" je m’exécutais en m'installant sur un tapis sans pouvoir dire quoi que ce soit avec le bâillon en place... Elle s’assied sur mes fesses, face à mes jambes, attrapa mes chevilles puis d'un geste brusque et assuré me les croisa, les liant avec le gaffeur par dessus les chaussettes trouées: impossible de les décroiser.

L’excitation était de plus en forte, et j'avais du mal à me contenir: nu et bailloné, les chevilles attachées et mes pieds vulnérables, à ça s'ajoutait la pression de mon ventre contre mon pénis et le tapis qui me rendait fou, et l’appréhension de deviner ce qui m'attendait n'aidait pas...
Elle fit demi tour et me pris les avant bras chacun recouvert d'une chaussette trouée: elle me les croisa aussi, les poignets alignés avec les coudes, deux cerclages en gaffeur et ils étaient immobiles à leur tour.
Elle se leva de mes fesses pour passer une dernière longueur de gaffeur pour relier mes avant bras à mes chevilles en tirant suffisamment pour limiter au maximum mes mouvements.

C'est alors que l'accident arriva: j'étais encore relativement nouveau dans ces pratiques qui m’excitaient au plus haut point, et la sensation d'être complètement nu, attaché, bailloné et à sa merci, m'emplit d'extase; je luttait pour garder le contrôle en essayant de prendre de grandes inspirations!
Mais elle s'en rendit compte et se jeta sur l'occasion pour me taquiner verbalement
"Et bien alors? On est tout excité hein? Ma petite chose toute nue et attachée, tu vas être salement puni si tu continu de te frotter au sol sans ma permission!"
Il n'en fallut pas plus: elle me vu pris de spasmes écartant mes doigts et mes orteils dans mes entraves; poussant des gémissements étouffés dans le baillon alors que la pression de mon corps sur mon pénis couplé à ses menaces m’emmena au septième ciel.

Un extase aussi intense que l’embarras qui le suivi.
Honteux d'avoir fait preuve d'un tel manque de self contrôle, il n'y avait rien que je pouvais faire, et l'excitation passé j'avais même envie d'être détaché...
Tant bien que mal j'essayais de dire à travers le bâillon:
"MmmMMMmmMMmmMMMMMmm"
(Je suis désolé, détache moi et je vais nettoyer, si tu...)
*CLAQUE*
Une claque sur mes fesses nues me stoppa net.
(Hmm!!)
Comme si elle avait (en partie...) compris ce que je voulais dire, elle se posta devant moi, un de ces jolie petit pieds nus juste sous mon nez, l'autre sur mon dos. je sentais ses orteils entre mes omoplates et en levant difficilement la tête j’apercevais presque sous sa jupe.
"Hein hein hein! Si tu crois qu'on va s’arrêter là tu rêves! Tu as pris ton plaisir et moi rien du tout, à part de te saucissonner, alors maintenant on va s'amuser que tu le veuilles ou non, tu es à moi pour toute la nuit et j'ai bien l'intention d'apprécier chaque secondes que je vais passer à te torturer!"

Mon excitation tombée renaissait déjà, alors que pour jouer le jeu je fis semblant de protester en gémissant dans mon bâillon et en tortillant mes fesses!
Elle me mis sur le côté, parti et revint avec du sopalin et de l'eau pour nettoyer rapidement le tapis.
Sans ménagement elle s'occupa aussi de mon ventre et mon sexe, répondant à mes gémissement:
"patience, je reviendrai à cet endroit plus tard si tu es un bon esclave et endure ta punition..."

Une fois fini elle me remis sur le ventre et parti, éteignant la lumière et fermant la porte de la chambre. Elle aimait bien faire ça pour ménager son entrée.
Toujours nu, attaché sur le ventre, les bras croisés dans le dos reliés aux chevilles croisées aussi, et bailloné j'attendais en essayant de mieux gérer mon excitation...
Quand elle revint elle était entièrement nue, si ce n'est un long voile transparent sur les épaules.
Mon excitation monta d'un cran quand je vis ce corps superbe tenir à la main différents outils: pinceau, roue avec des piques, cravache...
"Tu vas maintenant être punis pour t’être comporté comme un goret" dit elle en riant, elle appréciait beaucoup cet accident et la situation...
Je jouais le jeu en gémissant dans le bâillon et en me débattant ce qui , vu comment j'étais entravé, ne ressemblait pas à grand chose à part un postérieur qui se tortillais...
J'allais bientôt arrêter la comédie et me débattre vraiment.

Elle mis de la musique, histoire de masquer au maximum le bruit si je gémissais trop.
Mon supplice commença par la roue dentelé qu'elle fit passer sur mes plante de pieds, le long des cuisses et des jambes, sur les fesse et en haut de la raie et dans le bas du dos. Alors que je sursautait et que je grognais dans mon bâillon elle riait cruellement en me narguant:
"C'est sensible ici, ici aussi, quel plaisir de te torturer alors que tu peux rien faire, c'est si relaxant, apaisant, ça me fait du bien tu sais!" et elle riait de plus belle.
Le circuit de la roue faisait de plus en plus de détour par mes plante de pieds. C'était l'enfer et le paradis en même temps, être à sa merci, ne rien pouvoir faire, nu, attaché, bailloné, dans mes plaintes se mêlait des petits cris, des rires et même un peu de pleurs.
En tournant la tête du mieux que je pouvait j'apercu qu'alors qu’elle passait la roue dentelée sur mes pieds, elle se touchait avec son autre mains. Ses joue rougissait alors qu'elle commençait à gémir aussi, puis elle s’arrêta. je savais qu'elle voulais faire durer le plaisir pour elle aussi.

Elle se leva et j’eus droit à une séance de coup de cravaches sur les fesses et les pieds. Rien de trop long car elle savait que je n'étais pas fan.

Puis elle ressorti le gaffeur, en passa une longueur devant mon bâillon pour le relier à mes chevilles, de sorte à ce que m'a tête soit relevée et immobile. C'était assez inconfortable!
Elle s’allongeât sur le ventre fasse à moi. Nue comme moi, je voyais ses jambes se replier sur ses fesses en un mouvement de va et vient, la vue de ces petits pieds et leurs oreilles qui gigotaient m'excitait, et elle le savait.
"Tu as été très sale, goret, je vais donc être très cruelle et tu va devoir endurer" et elle rit, c'était un réflexe de ponctuer ses phrases par un rire mi sadique, mi enfantin.

Elle avait le pinceau dans la main et me chatouilla le visage; le front, sous les yeux, les joue, les ailes du nez, les narines. C'était insupportable, pas mi plaisir-mi douleur, juste insupportable. Je n'arrivait pas à éternuer dans mon bâillon et bavais dedans jusque sur le sol, des larmes me coulaient des yeux, je les révulsaient presque. J'aurai sincèrement voulu qu'elle arrête mais c'est le risque quand on est attaché nu et baillloné... Et quelque part au fond de moi je sentais que ça m’excitait.
Elle continua encore un peu, se mettant en tailleur devant moi, se servant d'une main pour se toucher puis de l'autre pour me torturer le visage avec le pinceau.

Puis elle se releva, détacha le lien entre ma tête et mes chevilles pour que je soit plus à l'aise, passa derrière moi et s'attaqua à mes pieds avec ses doigts fins.
A nouveau un mélange d'extase et de frustration.
Elle fit des détour par mes côtes, mes fesses, promenant un doigts le long de ma raie pour que me faire dire dans le bâillon:
"hm hm!"
(non non!)

Enfin elle me remit sur le côté, passa lentement le pinceau sur mon sexe tout en se touchant elle. C'était une délicieuse agonie, je n'en pouvait plus.
Elle finit par me masturber tout en se touchant jusqu’à que nous ayons un orgasme en même temps.
Puis elle me détacha, et ce fut un long câlin qui se poursuivit sous la douche et se termina dans le lit.

En espérant que cette première histoire vous a plus.

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