Histoire : Comme promis… Avec un peu de retard…

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Histoire ajoutée le 23/07/2016
Épisode ajouté le 23/07/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

Comme promis… Avec un peu de retard…

Comme promis… Avec un peu de retard…







Une fois les propriétaires partis, je me jette sur mon téléphone et envoie le message. Pour être honnête je m'y reprends à plusieurs fois pour l'écrire, mes doigts tremblent un peu.



Comme promis... je n'envoie que l'adresse.



Est-ce que tu t'en souviendras, après tout ce temps ? Je te fais confiance.

Je jette un coup d’œil à la pendule et il est 19 h 30 passé.

Pour le moment c'est toi qui a le pouvoir, moi, je ne peux qu'attendre et cette position d'impuissance fait monter mon stress.

Tout ça repose sur un pari peut être un peu trop osé. Mais je veux que ce message t’atteigne comme un doigt entre les côtes : une surprise venu de nulle part à la fois étonnante et plaisante.

Attendre…

Encore faut-il que tu viennes…





Peut-être travailles-tu de nuit ?









Comme promis… j'ai loué un chalet loin de tout.



Ici, pas de voisin pour t'entendre, se demander pourquoi quelqu'un rit et crit depuis plusieurs heures et nous mettre face à notre bizarrerie. Ici, nous n'aurons pas besoin de bâillon qui retient ton rire que j'aime tant entendre, ou alors, seulement pour le jeu. J’aimais tout particulièrement ces moments où, après plusieurs heures de torture, ton mutisme forcé t’empêchait de supplier, tu ne pouvais plus que pousser des râles de plainte, entre rires et larmes.

Alors je n’avais qu’à te murmurer à l’oreille “Plus que deux heures” pour te faire craquer et voir tes cris étouffé redoubler d’intensité.

Ce chalet est une bulle en dehors du temps où pour quelques instants ça ne sera que toi et moi.

Mieux, ça sera nous...

Encore faut-il que tu viennes…





Peut-être n'es-tu pas en ville ?









Comme promis… il y a des poutres..



Au milieu de la chambre, un lit double occupe la plupart de l'espace, surplombé par une mansarde boisée. Cette mansarde est soutenue par de magnifique poutre. Magnifique parce qu'elles permettront de nous essayer à de nouvelles positions, de t'attacher debout et d’étirer tout ton corps qui s'en trouvera d'autant plus vulnérable. Je suis sûr que cette position mettra en valeur tes courbes généreuses. Puis une fois ta limite largement dépassée, je prendrais un grand plaisir à te détacher de cette position et malgré que tu ne puisses plus en supporter d’avantages, tu me laisseras immédiatement t’attacher au lit, trop curieuse que tu es de savoir ce qu’il se passe si l’on va encore un peu plus loin.

Dans mon impatience, je commence à nouer les cordes sur la poutre la plus haute.

De cette façon, le chalet t'attend aussi...

Encore faut-il que tu viennes…





Peut être as-tu quelqu'un dans ta vie ?









Comme promis… je te prépare une séance comme jamais nous n'en avons vécu.



Sur le bureau de la chambre, je commence à aligner mes accessoires. Des plumes de toutes formes, des pinceaux de toutes tailles, des brosses à cheveux, une brosse à dent électrique et des aiguilles à tricoter…

Je me souviens te voir tricoter ce qui devait être une écharpe. Mais de mon coté je ne pouvais m’empêcher d’imaginer la pointe douce des aiguilles parcourir la plante de tes pieds nus, gratter avec précision entre tes orteils et passer encore et encore sur quelques centimètre carré de peau, jusqu'à te rendre folle. Je me souviens aussi ne pas avoir été déçu lors que nous avons mis tout cela en pratique.

J'ai hâte de ravivé les couleurs de ces souvenirs devenu un peu flou avec le temps.

Encore faut-il que tu viennes...





Peut-être n'as-tu tout simplement plus envie de jouer avec moi ?









Comme promis… Avec un peu de retard, tout est prêt.



Alors, je m'allonge sur le lit. J'étire mes bras et mes jambes aux quatre coins du lit pour mieux t'imaginer dans cette même position.

Naturellement toutes mes pensées vont vers toi. Je me souviens de cette époque où nous étions en couple. Deux amoureux d'un doux supplice peu commun, deux amoureux des jeux sans limites, deux amoureux… Je me souviens de nos discussions d'après séance, où sans gêne, je pouvais tout te demander sur ce que tu avais ressenti pendant la séance, chaque détail, comment tel ou tel action t'avais fait perdre la tête. Pour satisfaire notre envie mutuelle d’aller chaque fois plus loin, tu me livrais en toute confiance les armes qui se retourneraient contre toi lors de notre prochaine rencontre. Et après tant d’instant de jeu, j’ai plus d’armes qu’il n’en faut pour te faire capituler.

Mais si tu ne viens pas vite, je vais m'endormir.

Encore faut-il que tu viennes…



Peut être as-tu envie de me torturer en prolongeant mon attente ?

Je m'endors...

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