Histoire : Leçons particulières

Pour une fois, je ne raconte pas un de mes plans (quand mon partenaire est d'accord), ce sera une fiction. Bi mais plus gay qu'hétéro, je n'ai pas encore fait de tickling avec une fille, pour le moment !



1ère partie : M/M :



Pierre, 24 ans, grand et bien proportionné, sportif et bi, est un brillant étudiant en droit qui prépare un doctorat. Il donne quelques cours particuliers à des jeunes de bonne famille pas toujours très doués pour les études.

Aujourd'hui, il a Arnaud, petit brun de 1ère année, qui arrive trempé en moto. Arnaud lui conseille de poser chaussures, cho7 et jean pour qu'ils sèchent et il lui prête un de ses shorts. Assis à côté de lui, il essaye de lui faire retenir des définitions importantes mais Arnaud a du mal. Ce dernier est assis sur une de ses jambes et son pied est tout proche de la jambe de Pierre qui admire ce pied taille 40 et poilu sur le dessus.

Négligemment, il effleure le pied avec sa main et Arnaud tressaille et dit "ouf, attention, Pierre je suis hyper chatouilleux".

Pierre : ah oui ? Ecoute, je vais te donner un conseil mnémotechnique pour retenir : à chaque mauvaise réponse à ma question, je te chatouille. Tu verras, cela t'incitera à retenir.

Arnaud : tu crois ? J'ai un partiel dans 15 jours !

Pierre : on essaye ?

Arnaud : OK.

Pierre : définition de la Nation ? (réponse fausse), bon chatouilles !

Il lui passe les doigts sur la plante et l'autre se tortille en riant.

Deuxième question, idem et Arnaud retire son pied en disant : c'est trop, je ne peux pas me retenir.

Pierre : en effet, allonge toi sur mon lit, mets tes pieds à travers les barreaux et je vais t'attacher les bras et les pieds, puis je te ferai réviser.

Arnaud : tu crois, dit-il très surpris ?

Pierre : je t'assure que je l'ai déjà fait et cela marche très bien (en fait, ce petit mensonge, il l'utilisait souvent sur ses conquêtes pour, disait-il, les déstresser !)

Après réflexion, Arnaud accepta, enleva sa chemisette et Pierre lia les pieds et les mains avec les cordelettes qu'il avait dans son tiroir. Au fond de lui, il n'imaginait pas que cela pouvait arriver lors d'un cours ! C'était inespéré ! Il se demandait seulement où seraient les limites car il avait une réputation à tenir !

Il repris donc les questions en chatouillant à 8 doigts les 2 plantes à sa disposition après chaque erreur. Le pauvre Arnaud avait beau faire des efforts il répondait à côté et pleurait de rire en suppliant que cela soit moins fort. Pierre accepta et lui dit que les aisselles cela irait mieux, il les attaqua à peine que sa victime faillit exploser: il était hyper sensible et ses petits poils bruns étaient dressés comme sous l'effet de l'électricité !

Pierre descendit vers les côtes puis remonta en posant ses questions mais...sans laisser à Arnaud la possibilité de répondre! Ce n'était plus une leçon mais un plan en bonne et due forme !

Pierre : on dirait que tu ne retiens rien ou que tu aimes, non, petit coquin ?

Arnaud : non, pitié, je n'en peux plus ! Dit-il en riant aux éclats et en bougeant tout son corps pour se détacher. Stop ! Je serai attentif ! Arrête et je fais tout ce que tu me diras !

Pierre : trop tard, il fallait bosser avant ! Puis il chatouilla le bout des seins, le nombril et il alla vers le haut et l'intérieur des cuisses.

Arnaud : non, pas là !!! Arrête, ça me fait bander ! En effet, une bosse pointait sous le short et faisait des mouvements significatifs.

Pierre : mais c'est vrai, tu es plus que coquin, tu prends ton pied ! Si je continuais plus fort ?

Arnaud : non, tout ce que tu veux mais non !!!

Pierre : je te fais une proposition : pause branle ou je continue ? En même temps, il avait une main sous l'aisselle droite d'Arnaud l'autre main sur les côtes.

Arnaud : branle -moi mais arrête s'il te plait !

Pierre, de ses longs doigts aux ongles longs, gratta les couilles et la verge, à travers le tissu. le sexe était bien raide et les couilles semblaient très réactives et sensibles.

Pierre : tu aimes et je crois que c'est la première fois qu'on te branle, non ?

Arnaud : oui, je suis puceau mais hétéro. Doucement, je sens que je vais jouir.

Pierre : ce serait dommage de te salir, dit-il en baissant en même temps le slip. Apparurent une belle touffe noire avec une bite courte mais recourbée vers le haut, épaisse et 2 belles couilles ! Tu n'as jamais fait de branlettes avec un pote ? Dit-il en continuant sa branle doucement pour ne pas le faire jouir.

Arnaud : non jamais, dit-il en soufflant mais c'est géant quand c'est fait avec une autre main que la sienne.

Pierre : je vais être sympa, je vais aussi te faire connaître autre chose. Là, il le prie en bouche dans toute sa longueur en lui grattant les couilles.

Arnaud : ah ah ah ! Stop ! Hi hi hi ! Je viens !!!

Pierre fit glisser son majeur au niveau de l'anus d'Arnaud et le gratta, tout en continuant simplement sa branle. Au moment où il sentit qu' Arnaud allait éjaculer, il fit glisser son doigt dans l'anus pour aller tâter sa prostate tout en continuant sa branle; Arnaud transpirait tellement que cela se fit tout seul; l'effet de surprise y contribuât aussi !

Arnaud : ah !!!!!!!!! 3 longs jets de foutre sortirent et s'écrasèrent sur son torse et son menton ! Il fut pris de spasmes et ses membres s'agitaient partout.

Pierre : c'était bon, on dirait que tu as joui, dit-il avec un grand sourire !

Arnaud : j'en reviens pas ! Il me tarde de faire l'amour à une fille si c'est pareil ! Tu me détaches maintenant ?

Pierre : à une condition, c'est que cela reste entre nous et que l'on recommence, OK ?

Arnaud accepta et, croyant que Pierre allait le détacher, il vit qu'il était à genou devant ses pieds : que fais-tu, dit-il ?

Pierre : avant de te libérer, petit cadeau ! Là, il attrapa un pied et passa sa longue sur ses orteils et entre eux. Ce ne furent pas des rires mais des larmes et des cris qu'Arnaud proféra : il venait de découvrir qu'après la jouissance, on avait les sens encore plus sensibles et Pierre le savait ! Il avait 2 ou 3 orteils en bouche et en même temps il chatouillait la plante du pied. Arnaud pleurait comme un fou ! C'était divin et horrible à la fois ! Un sentiment inconnu pour lui !

Pierre arrêta, détacha les pieds, s'approcha de lui et lui dit : je te libère mais tu remarqueras qu'il n'y a que toi qui a joui, pas moi. Là, Arnaud vit Pierre baissait son pantalon de jogging et sortir une bite énorme ! Un gland circoncis et épais était à quelques centimètres de son visage.

Pierre : allez, rends moi la pareil et je te libère. Sans lui laisser le temps de réfléchir, il approcha son sexe du visage et Arnaud, vaincu, pris le gland en bouche pour quelques succions. Pierre était à crans (normal, non ???) et se retira très vite pour juter sur le corps d'Arnaud en poussant un grand râle.

Puis, il détacha Arnaud, déposa un baiser sur ses lèvres et lui dit avec son beau sourire : prochaine leçon quand tu veux !