Histoire : Une étape de franchie

Je n’ai jamais eu l’occasion d’avoir une vraie séance, autrement dit, une séance où la victime est attachée à la merci du bourreau.

Eh bien, ce jour est arrivé. Où j’ai été la victime et le bourreau s’appelait Natalya. Enfin Maîtresse Natalya, on respecte la position de dominatrice par rapport au soumis, s’il vous plait.



Alors avant qu’on demande, le prénom est faux, par respect envers la personne et son intimité. Le texte a été validé par elle également.



Je connaissais Natalya depuis longtemps, c’est une très bonne amie, on se voyait et discutions régulièrement, on se faisait nos petits jeux de chatouille genre, je tenais mes bras en l’air et elle me chatouillait mais ça durait 5-10 min tout au plus.



Mais un jour, on a eu l’opportunité de faire une vraie séance chez moi, elle ramène les cordes et menottes, moi j’ai les plumes et une brosse à cheveux.



On commence par jouer à la console, elle me met une branlée au jeu de combat puis m’aide sur un autre jeu où j’étais coincé et enfin arrive la séance.



Elle se rend compte qu’elle a oublié un blindfold heureusement j’ai un foulard qui fera l’affaire. J’installe les deux longues cordes au pied et à la tête du lit. Je me désape pour ne garder que mon caleçon et short et m’installe sur le lit en X.

Elle commence par me lier une cheville puis l’autre, je m’assoie pour la regarder faire, et je reste admiratif par sa technique de bondage qu’elle emploie, mais aussi craintif par mes mouvements limités. Elle s’occupe ensuite du poignet droit puis gauche.

Le stress monte car je ne sais pas du tout comment elle va procéder.

_Bien, maintenant, enlève tes lunettes.



Ah oui, le foulard, alors j’essaye de ramener mes bras mais bon, je les rapproche de quelques centimètres à peine. Natalya se marre en me voyant gesticuler avant de s’en occuper et de nouer et placer le foulard autour de ma tête

Coopératif, je l’aide comme je peux en me penchant. Le foulard est assez large pour couvrir tout mon visage. Etant sadique, je me demande si elle va laisser tel quel mais heureusement, elle replie le tissu sur mes yeux. Je reste aveugle mais je peux respirer normalement.



Elle commencera par effleurer mes aisselles, mes côtes et mes tétons du bout des doigts, puis essayera 3 différentes plumes.

La partie douce est supportable pour que je puisse me retenir de rire, mais ça chatouille quand même. C’est là que je réalise que j’ai beau bougé comme je veux, je n’arrive pas du tout à échapper à ses assauts.

Lorsqu’elle utilise la partie dure de la plume, c’est autre chose. J’émet des gloussements selon l’endroit où elle picore, voire des rires quand qu’elle gratte avec.



Elle finit par se mettre à califourchon sur moi pour m’immobiliser encore plus. Et de ses deux mains et plumes, joue complètement avec mes nerfs, passant de la droite à la gauche ou bien les deux en même temps.

Et comme si ce n’était pas assez, ses hanches sont placées contre les miennes. Et Maitresse Natalya, se permet d’alterner les chatouilles par des petits mouvements de bassin tout en jouant avec mes tétons.



Quand elle en a assez, elle veut alterner avec les pieds mais faisant 2 mètre de haut, la pauvre n’arrive pas à atteindre le haut et le bas en même temps et doit faire un demi-tour pour s’attaquer aux pieds.



Autant le dire, je suis plus chatouilleux dans cette zone-là. Natalya s’en donner à cœur joie et j’avais beau la supplier, c’était dans le vent.

Je pensais avoir vécu le pire, quand la brosse à cheveux arriva, l’instrument de torture ultime qui puisse exister.

Surtout qu’avant la séance, Natalya l’avait testé sur elle, sur ses côtes mais ne ressentait rien. Alors, elle n’est pas trop chatouilleuse, d’accord, mais j’espérais qu’elle ait une réaction quand je voyais les réactions des victimes sur la vidéo du net, d’où ma raison de l’avoir acheté.



Mais en voyant que ça ne faisait rien sur Natalya, je me suis dit que ça ne me fera pas grand-chose à moi non plus ou tout autant que les plumes.

Eh ben, j’étais content d’être attaché parce que bon dieu que c’est efficace. C’est là que le mot torture prend tout son sens et tant qu’à faire, elle essaye également sur mes côtes, un peu moins pire mais tout autant insupportable.



La séance dura 1h environ, elle enchainera les assauts entre le bas et le haut de mon corps, toujours au même endroit qu’avant, avec cette alternance d’excitation parce que si ça avait été que des chatouilles, ça n’aurait pas été drôle.



A la fin, j’en ressort plus exténuer, que je pensais (Merci la brosse à cheveux) mais ravi et serein. J’avais qu’une envie, c’est d’en refaire une prochainement voire que ça monte en échelon.



On verra ce que l’avenir nous dira.