Histoire : Les pensées d'un supplicié (F/M Fictif) Deuxième partie

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Histoire ajoutée le 28/04/2019
Épisode ajouté le 28/04/2019
Mise-à-jour le 03/07/2021

Les pensées d'un supplicié (F/M Fictif) Deuxième partie

Bonjour à tous,



Après un long moment, j'ai enfin écrit une suite à mon histoire.



Vous trouverez les chapitres :



1- https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=38&t=21056

3- https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=38&t=21549

N'hésitez pas à me faire des retours constructifs.

Je prends également les corrections pour les fautes d'orthographe ahah !



Bonne lecture et soyez bien veillant !



L’heure du bain




Si Amaury n’avait pas besoin d’être contraint pour se rendre à ses séances de torture, c’est parce qu’il savait ce que le moindre pouvait entrainer. Tout son esprit et tout son corps craignaient la fureur de Madame.



Il entra dans la grande pièce, bien plus moderne, confortable et lumineuse que sa cellule. A chaque fois, la clarté de cet endroit l’aveuglait. Au fond de la pièce, à droite, un grand lavabo était accolé au mur, surplombé d’un miroir. A sa droite, une dizaine d’étagère regorgeaient de savon, crème, lotion, huile et autres produits de beautés tous plus luxueux les uns que les autres. Parallèlement, à gauche, il y avait une grande douche à l’italienne. Le robinet argenté étincelait. Dans le sol en granit rose poli, se reflétait un petit anneau métallique, fixé au plafond, qui servait à maintenir les bras d’Amaury au-dessus de sa tête lorsqu’il était lavé. Plus bas, deux autres anneaux servaient à lui immobiliser les jambes. Au centre de la pièce, une table de massage un peu particulière faisait trembler Amaury. Il détourna les yeux et ne préféra pas y penser.



Il se trouvait actuellement dans le sas d’entrée dans lequel se trouvait un petit banc, une machine à laver et un sèche-linge. Une ligne rouge délimitait ce sas. A partir de cette ligne, il ne devait plus porter aucun vêtement. Il retira donc son caleçon et son t-shirt, les seuls vêtements qu’on l’autorisait à porter. Il les mit à laver immédiatement. Il sorti du sèche-linge le même tenu, qu’il sera autorisé à remettre après le cours d’aujourd’hui.



Là il regarda l’heure : « 8h14, pensa-t-il, Mademoiselle J ne devrait arriver dans une minute. » Mademoiselle J, c’était sa laveuse attitrée : elle le lavait, l’épilait, s’occupait de sa peau et de son hygiène. Elle avait 45 minutes tous les jours pour effectuer sa tâche, et lorsqu’elle était un peu en avance, elle en profitait pour s’amuser un peu… Parfois même lorsqu’elle était en retard d’ailleurs, de toute façon, c’est Amaury qui était blâmé et puni, pas elle.



Amaury entendit des pas : Mademoiselle J arrivait. Il se mit en position d’inspection : debout derrière la ligne, nu, jambe légèrement écartée et mains sur la tête. Mademoiselle J entra.



Elle était très jeune, une vingtaine d’année peut être. Elle portait une tenue très sobre : une paire de basket blanche, un pantalon de lin blanc et une blouse blanche. Tout ce blanc ressortait à merveille sur sa peau mate. Ses yeux noisette avaient un air très malicieux. Cependant, ces cheveux bruns remontés en chignon très stricte lui donnaient un air très autoritaire.



Elle scruta Amaury de la tête au pied



- Pas d’épilation pour aujourd’hui, déclara-t-elle.



Elle avança jusqu’au lavabo. Amaury avait l’habitude et la suivit. Arrivé devant, il lui tendit les deux mains jointes, elle sortit de sa blouse une paire de menotte en métal épaisse et lui attacha les mains. Elle commença alors à lui brosser les dents, sans dire un mot. Lorsqu’elle eu finit, Amaury la vit nettoyer la brosse à dent. Cependant elle ne la rangea pas et la déposa dans la poche de sa blouse. Amaury comprit que ce n’était pas bon pour lui.



- Ne t’inquiète pas, tu as encore quelques minutes de répit, ricana-t-elle en voyant son regard inquiet.



Ils longèrent le mur pour se diriger vers la douche. En passant, elle attrapa sur les étagères plusieurs produits, une fleur de douche et une brosse massante. Elle déposa le tout sur le sol de la douche. Elle attacha alors les mains d’Amaury au-dessus de sa tête, et pris bien soin de tendre les chaines de façon à ce qu’il ait les bras bien tendus et ne puis absolument pas les bouger.

Elle fixa également ses deux pieds au sol, les écartant d’un bon mètre. Amaury était donc nu, ses points les plus sensibles exposés à Mademoiselle J.



- Je pense que tu vas arriver en retard au cours de Miranda. J’ai très envi de m’amuser un peu avec toi…

Elle sorti alors un masque de sa bouche et le déposa sur les yeux d’Amaury.

- S’il vous plaît Mademoiselle J, Mir… Madame va se fâcher si j’arrive en retard, je serai puni… Si vous voulez demain j’arriverai plus tôt pour que vous puissiez jouer avec moi…



Elle fourra alors un linge dans la bouche d’Amaury puis le bâillonna à l’aide de scotch.



- Apparemment, elle ne l’a pas encore assez fait puisque tu veux toujours l’appeler par son prénom, se moqua Mademoiselle J. Ne t’inquiète pas, elle en sera informée. En attendant je m’occupe de toi.



Elle alluma l’eau et s’assura que la température était idéale : ni trop chaud, ni trop froid. Elle mouilla le corps d’Amaury qui se décrispa au contacte de l’eau. Elle déposa le pommeau sur son support de façon à ce que le dos d’Amaury reçoive toujours le jet d’eau agréable. Il senti alors qu’elle commençait à lui savonner le corps. Ses mains glaçaient sur sa peau. Quand elle arriva aux l’aisselles d’Amaury, ce dernier se raidit. Les caresses des mains de Mademoiselle J se transformaient progressivement en effleurement du bout de ses doigts. Elles les agitaient de plus en plus vite sur sa peau, qui glissait grâce au gel douche appliquait. Amaury tenta sans succès de baisser les bras.



- MMMMMMMMMMHHHHH, cria-t-il à travers son bâillon

- Qui a-t-il ? Questionna innocemment Mademoiselle J.

- MMMMMMHHHH

- Ca chatouille c’est ça ?

- MMMMMMMHHHHHH

- Non ??? Bon, je vais chatouiller un peu plus fort, mais c’est seulement parce que tu insiste.



Elle insistait de plus en plus sur les aisselles du pauvre Amaury qui ne pouvait ni voire, ni bouger, ni crier.



Il eut l’impression qu’elle lui chatouillait les aisselles pendant vraiment longtemps.



Après ce long moment, elle finit de laver à l’aide de la brosse massante et de la fleure de douche. Mais chaque contacte sur sa peau sensible était insupportable pour lui. Quand elle eut fini, elle le sécha, le détacha, retira son bâillon et l’emmena sur la table de massage. Elle lui appliqua différente crème sur tout le corps. Il sursautait à chaque contacte. Il avait conservé son bandeau sur les yeux et ne savait donc pas ce qu’elle allait lui faire.



- Bon, il est 9h15, quoi qu’il arrive tu es désormais en retard, expliqua-t-elle. J’ai quand même envie de faire un petit jeu avec toi. Il peut être très court et ne durer que 30 minutes, tout dépend de toi, je t’explique ?

- Oui Mademoiselle J.

- Tu vas rester allonger sur la table, les bras au-dessus la tête, bien tendu, les jambe écartées, plante de pied tendu et oreilles écartés. Tu ne dois pas bouger d’un millimètre pendant trente minutes… Trente minutes durant lesquelles je ferai ce que je veux de toi… Si tu bouges, juste un demi-millimètre, je rajoute trente minutes à ton supplice. A toi de voire de combien de temps tu souhaites être en retard pour le cours. Tu as tout compris ?

- Oui Mademoiselle J, dit Amaury en déglutissant.

- Je lance le chronomètre alors.



A ses mots, Amaury entendit trois petit bip. Puis le silence. Soudain, il sentit les mains de Mademoiselle J parcourir son corps de haut en bas, puis de bas en haut, effleurant le moindre centimètre de son corps nu. Les chatouilles commençaient à se faire ressentir lorsqu’elle s’arrêta net. Amaury entendit le son d’une vibration.



- Non pas ça, supplia-t-il, s’il vous plaît Mademoiselle J… Pas ça.



Pour seul réponse, Amaury senti les poils doux et vibrant de la brosse à dent électrique qu’il avait tantôt utilisé pour se laver les dents, se déposer entre son gros orteil droit et le second orteil. Instinctivement, il replia les orteils. Le bruit s’arrêta, remplacé par la voix de Mademoiselle J et trois nouveaux bips.



- Remets-toi en position, il te reste cinquante-huit minutes, ricana-t-elle.

Amaury retendit son pied et serra les dents. La vibration repris et Mademoiselle J repris son travail là ou elle l’avait arrêté.

- Nooooahahahah, pitié pas ici…

- Ça chatouille beaucoup ? Demanda Mademoiselle J.

- Ouiiiiiihihihi, c’est horrible.

- Tant mieux !



Mademoiselle J continuait à passer la brosse à dent entre les orteils du pauvre Amaury qui riait aux éclats et suppliait sans pour autant bouger. Chaque millimètre carré de cette peau si fine entre les orteils était exploré. Elle s’attardait un peu plus lorsqu’elle sentait que c’était plus sensible qu’ailleurs, notamment sous le plus petit des orteils.

De son autre main, elle grattait tantôt le dessus de son pied, tantôt la plante.



- Pitié, j’en peux plus arrêtez !!!!



Mademoiselle J stoppa net son activité.



- Il reste trente-six minutes.



Il entendit qu’elle fouillait quelque part. Il sentit alors qu’elle lui scotchait quelque chose au niveau du nombril. « Pas la brosse à dent quand même pensa-t-il ». Il comprit rapidement que si lorsqu’il senti que les poils souples de celle-ci se logeaient dans les petits plis de son nombril. Lorsqu’elle l’alluma Amaury du retenir son souffle pour ne pas se recroqueviller sur lui-même.



- Pourquoiahaha vous faîtes ça !!! S’il vous plaît… Arrêtez ! Pitié, Je vous en supplie éteignez làààààahahah !!!

- Pourquoi ? Comme ça j’ai mes deux mains libres pour m’occuper d’une autre zone de ton corps.



Il sentit alors sa main soulever ses testicules, dégageant ainsi la zone entre ses fesses et le petit pli de la peau sous les testicules. Amaury riait à cause de la brosse sur son nombril, mais savait que ce qui arrivait était pire. Elle maintenait ses bourses avec trois doigts et avait astucieusement placé son pouce et son auriculaire au niveau de son aine de chaque côté. Puis elle lui posa, sur la zone ainsi dégagée, un instrument qu’Amaury connaissait bien et qu’il redoutait plus que tout. Un vibromasseur surmonté d’une grosse boule de plastique blanc. Il vibrait vraiment, vraiment très fort.



- Non ne l’allumez pas, je ne tiendrai pas c’est sûr ! Pitiééé ahahah noooooon STOOOOOOP !!



Elle ne lui avait pas répondu et avait simplement allumé l’appareil. Elle agitait également ses doigts placés dans le creux de l’aine.



- On continu comme ça jusqu’à la fin, qu’en dit tu ?



Pour seul réponse, Amaury replia une de ses jambes qu’il rabaissa aussitôt. En réponse, trois nouveaux bips.



- C’est dommage, on est reparti pour une heure.



Amaury ne parvenait plus à se maîtriser. Le supplice dura ainsi 4h de plus. Quatre heures durant lesquelles il avait lutté pour ne pas bouger.



Lorsqu’Amaury fut libéré, il courut pour gagner au plus vite la salle de cours. Madame l’attendait, assise au bureau. Amaury entra dans la pièce, il n’y avait plus d’élèves. Il se mit à a genoux devant le bureau de Madame.



- Le cours est reporté à cet après midi dit-elle. En ce qui concerne ta punition pour un retard de presque cinq heure, et surtout pour avoir osé prononcer mon prénom, elle aura lieu demain puisque c’est ton jour de repos. Et bien sûr, notre séance quotidienne est maintenue. Repose-toi bien, car à partir de tout à l’heure, tu n’en auras pas beaucoup l’occasion.



A ses mots, Madame lui tendit une combinaison très moulante qu’il enfila aussitôt. Son calvaire commençait maintenant. Elle l’attacha à une table, tendant tout son corps autant que possible et sorti une télécommande de sa poche. Elle appuya sur le bouton et monta la puissance au maximum.



- Le cours commence dans trois heures, à tout à l’heure.



Elle sorti de la pièce et laissa se pauvre Amaury seul dans sa combinaison vibrante, riant aux éclats et suppliant en vain que ça s’arrête.

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