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Adultes : Histoires

(F/F) Révisions au chalet <2> : Explorations (fix-adult)

(F/F) Révisions au chalet <2> : Explorations (fix-adult)

Natalya venait de s’ouvrir un jardin secret inattendu…

Mais qu’allait être finalement cette semaine de révision ?

Amber et Clarisse convertiront-elles Natalya à leurs penchants lesbiens mais aussi à leurs pulsions fétichistes ?

Natalya plongera t’elle dans ce monde de délicieuses perversités ?




(F/F) Révisions au chalet <1> Sensations (fiction)

https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=23&t=21381



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Révisions au chalet <2> : Explorations - (fiction - adulte)



Moi, Natalya, pudique et réservée comme pas deux, jeune étudiante disciplinée, je venais de découvrir une facette de mon moi profond des plus inattendue !

Ce que j’ignorais encore, c’est que Clarisse et Amber avaient tout vu, à mon insu, de ma petit incursion dans la valise et le placard d’Amber…

Pour tenir notre programme, tout en prenant du bon temps, nous avions convenu de ne pas trop trainer au lit, et après un bon petit déjeuner, nous avons attaqué nos révisions matinales.

Amber m’avait aidé sur un petit pavé de traductions complexes en anglais et Clarisse sur un chapitre de droit, sur le code du travail.

Vers 11h30, tandis que nous commencions à préparer le repas et que nous étions seules à la cuisine, Clarisse me demanda :

- “Natalya, mon coeur, maintenant que tu connais notre secret et si tu le désires, je voudrais t’aider à assumer ta féminité un peu plus, mais vraiment si tu le désires profondément… Si tu veux bien y réfléchir ?”

Je la regardais en rougissant un peu :

- “Tu es adorable Clarisse, mais je ne voudrais pas...”

Elle me coupa la parole :

- “Amber m’a appris l’épilation à la cire et sache, ma chérie, que nous nous faisons tous nos soins esthétiques !

Mais pour que tu ne te sentes pas mal à l’aise, je ne t’épilerais que là où tu voudras… Ce sera seulement ce que tu veux et comme tu veux !”


moi : - “... merci Clarisse, je… heu… vous êtes tellement… adorable… c’est… je t’avoue… que… que cela me tente...”

Je baisse la tête en rougissant et bafouillant, je finis par dire :

- “... heu… je… j’avoue… que… que...en te voyant… hier soir… nue… ton… ton sexe épilé… je… heu… c’était… trés… trés mignon...”

Clarisse, en me prenant dans ses bras :

- “Merci chérie, tu es adorable aussi, si tu arrives à me faire confiance, je te guiderais à ta féminité, avec ou sans Amber !”

moi : - “Ho Clarisse… Je ne veux pas… Votre couple ?”

Clarisse me prenant à nouveau dans ses bras :

- “Ecoutes chérie, sans te choquer, nous sommes très libertines et puis, toi, tu n’es pas n’importes qui bébé, tu comprends ?”

moi : - “... mais… heu… Amber… elle...”

Clarisse : - “Amber est au courant, elle est même en partie à l’initiative de notre proposition, elle t’aime autant que moi !”

Moi, un peu tremblante dans ses bras :

- “Oh… je… vous… comment... ?”

Et alors Amber entrant dans la cuisine, lançant d’une voix encourageante :

- “Say yes, it’s so simple… Sorry… Dis “oui”, simplement, Naty !”

Et tandis qu’Amber me prenait en sandwich, en bafouillant un peu, je dis :

- “Heu… I say yes, comme tu dis… Amber... je… heu… oui… alors je... m’abandonne... à vos… à vos bons.. vos bons soins… mes... mes chérie !”

Prise entre les deux, qui m'embrassaient les joues bruyamment, je sentis une main passer sur mes fesses en me faisant lâcher un petit cri de surprise :

- “Hhhooo !”

Et c’est dans une bonne humeur générale que se passa le repas.



XxXxXxXxXxXxXxX



Nous étions au dessert, en tandis que Clarisse et Amber buvait un grand café, je buvais un thé à la menthe fait par Clarisse : un thé délicieux mais très chargé avec une petite note piquante que je ne saurais définir.

Au fur et à mesure que nous rangions la vaisselle, je sentais monter en moi la même sensation que la veille au matin : un étrange trouble intérieur.

Clarisse tendit la perche :

- “Bon les filles, on joue aux esthéticiennes, si Naty est toujours d’accord, avant de reprendre nos “rév’s” de l'après midi ?”

Amber, se tournant vers moi, avec un sourire enjôleur :

- “Do you want ? Tu veux ?”

Accusant une grosse bouffée de chaleur, je répond :

- “Hhhmmm ! Comment puis-je me refuser à vous ? Permettez que j’aille juste me doucher ?”

Amber : - “Yes, yes ! On te prépare le… heu… la séance, … proche de la cheminée, pour être bien au chaud !”

Et je pris la direction de la douche, les laissant là.

Je revins, couverte de mon peignoir molletonné et de mes ballerines et arrivée devant la cheminée, je défis la ceinture du peignoir et me révélait nue devant mes cop’s.

Amber et Clarisse se regardèrent avec un sourire complice, échangeant un clin d’oeil, tandis que je disais d’une voix un peu espiègle :

- “Ben voilà, les filles…. Je suis à vous !”

Pendant ma douche, elles avaient préparé une table de soins de fortune, toute proche de la cheminée, qu’elles avaient généreusement rechargée pour faire monter la chaleur, et sous la table de soins une brassée d’encens brûlait.

Suivant les instructions et les explications qu’elles me donnaient, je m’allongeai sur le dos, cuisses légèrement écartées, pour qu’elles m’épilent le sexe : j’en avais envie, envie d’être comme Clarisse, totalement lisse.

Clarisse m’expliqua qu’elles ne commenceraient pas par mon intimité, trop violent pour une première fois et elle démarrèrent de mes jambes et de quelques poils disgracieux qui trainaient sur mes pieds.

Amber avait porté un baume apaisant qui soulageait immédiatement le feu de l’épilation et je ne sais si c’est les vertues du baume, ou la sensualité délicieuse des mains de mes copines, mais j’étais aux anges et je m’abandonnais totalement.

Ayant fini par fermer les yeux, je gémissait parfois, soit sous la douleur ponctuelle de l’épilation, soit par le plaisir de leurs attouchements délicats.

Quand mes esthéticiennes de charme entreprirent mes cuisses, mes gémissements s’intensifièrent et je commençais à me cambrer de plus en plus.

L’épilation de mes zones intimes fut plus douloureuse et mon excitation s'atténua quelque peu, jusqu’à ce qu’elles m’appliquent le baume : aucunes de nous ne parlaient, mais moi je me mis à gémir de plus en plus, en ondulant mollement sur la table et en me cambrant, avec de petits coups de reins que je ne maitrisais même pas.

Le soin s’arrêta avec un doigt qui s’insinua entre mes lèvres en massant plus fermement mon clitoris durant quelques secondes, m’arrachant un râle profond :

- “Aaaahhhmm !”

Amber dit alors :

- “Hhhooo mais notre Naty prend du plaisir, you see Clarisse, she’s a little bitch !”

Clarisse en riant :

- “Pour sûr… Mais reste les aisselles !”

Moi docilement, relevant alors mes bras pour offrir mes aisselles, mais commentant avec une voix espiègle :

- “Elles sont à vous mes délicieuses esthéticiennes !”

En disant cette phrase je réalisais que ce n’était pas moi, je n’étais plus moi, mais j’avoue que j’adorais ce qu’il m’arrivait.

Fermant à nouveau les yeux, j’attendais mon épilation des aisselles, lorsque Clarisse commenta :

- “Heu chérie, vu ta sensibilité… ta sensibilité chatouilleuse, ça risque... heu... de...”

Mais elle n’eu pas le temps de finir, comme je l'interrompis :

- “Allons… bah… essayez… nous verrons bien...”

Mais bizarrement cela ne me fit qu’à peine frissonner et même à l’application du baume, je ne fis qu’une petit tressaillement avec un léger gloussement.

En gloussant, je finis par dire :

- “Ben voilà ! Toutes mes terminaisons nerveuses sont finalement dans mes pieds !”

Un grand rire nous secoua toutes tandis que je me redressais.

Nous fîmes un peu de rangement avant de nous remettre sérieusement au travail, ou du moins d’essayer d’être sérieuses, car j’éprouvais toujours cette profonde excitation au bas du ventre.



XxXxXxXxXxXxXxX



J’avais entrepris de rester en peignoir et en ballerines : j’étais bien car le tissus était très doux et sur ma peau toute lisse, la sensation était délicieuse.

Vers la fin d'après-midi, alors que nous commencions à ranger nos cours et bouquins, Clarisse nous proposa :

- “Si ça vous dit, les miss, même motif, même punition : comme hier soir, on mange et on se fait une soirée SPA ?”

Rêveuse, j’avais les jambes tendues sous la table, tandis qu’Amber disait :

- “Hhhooo it’s all right for me, yes, yes,yes !”

Toujours absorbée dans mes pensées, je répondis vaguement :

- “Heu… je...heu hhooo… oui… oui… bien… bien entendu !”

Dans ma tête j’étais en train de trouver une excuse pour arriver après elles : je voulais retourner dans les chambres des filles, faire une petite exploration.

Je ne sais pas ce qu’il m’arrivait, mais je ne luttais plus du tout contre les appels de sensualité que je sentais de plus en plus profondément en moi.

Amber venait de quitter la table en prétextant un besoin urgent.

Ce qui me tira de ma rêverie, c’est Clarisse, toujours assise en face de moi, me faisant du pied : je ne sais pas comment elle s’y était prise, mais elle réussit à m’enlever une de mes ballerines avec ses deux pieds.

moi : - “Oohhoo, chipie, tu es douée !”

Et je me mis à rire de bon coeur.

Nous nous miment à l’ouvrage pour préparer le souper, mettre la table et tout le bardas pour optimiser la soirée et profiter du SPA.

Durant tout le repas, je fus un peu rêveuse et à plusieurs reprises les cop’s me taquinèrent : Clarisse ayant réussi à me subtiliser une nouvelle fois mes ballerines sous la table et Amber s’étant déchaussée s’amusait à promener son pied le long de ma cuisse.

Amber me donna la bonne excuse que je cherchais :

- “On dirait que notre “dear Naty” a une grosse fatigue ?”

Clarisse : - “Tu es sûre que ça va Natalya ? Tu sembles un peu absente ce soir...”

moi : - “Non... heu… oui… toutes ces émotions, ce… ce que vous me… ce que vous me faites découvrir, ma féminité… c’est… heu… très… c’est super agréable... c’est juste que… tout cela est… tellement… nouveau !”

Clarisse : - “Tu es vraiment trop mimi !

Ecoutes-moi chérie, si tu es fatiguée, reposes-toi un peu et tu nous rejoindras au SPA, si tu ne t’endors pas avant...”


moi : - “Ah… heu… oui… c’est… c’est une chouette idée… Merci Clarisse de mon coeur !”

Et alors, ravie d’avoir mon échappatoire, j’ajoute espiègle :

- “Heu… vous savez, comme cela, je vous laisse en… en… en amoureuses !”

Amber : - “Like you want, baby ! Tu ne nous déranges pas Naty, tu sais que nous… nous sommes des… coquines !”

Moi : - “Hhhooo oui les filles, ne vous inquiétez pas !”

Et Clarisse me dit :

- “Allez feignasse, file dans ta chambre !”

Une petite plongée sous la table, pour récupérer mes chaussures, me permit de voir qu’Amber avait un de ses pieds entre les cuisses de Clarisse.

Sans m’attarder, je ressortis de dessous la table avec mes ballerines en main, et après m’être rechaussée, je fis la bise à mes cop’s en disant :

- “P’être à toute à l’heure les filles, si je ne sombre pas avant !”

Amber : - “I hope, really !”

Clarisse, avec une voix très envoutante et sensuelle :

- “J’espère moi aussi te voir !”

moi : - “Je ne vous promets rien, mais si je ne dors pas, ce sera avec plaisir !”

Et je pris le couloir, puis l’escalier, pour aller aux chambres.



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Un coup d’oeil dans le couloir derrière moi : non les filles ne me suivaient pas.

J’entrepris de faire un petit tour rapide chez Clarisse, pour commencer : elle était assez maniaque du rangement et tout le contenu de sa valise était bien rangé dans son placard.

Je fis la découverte de belles choses, comme j’avais vu dans la valise d’Amber, hier soir : bas et collant, belles lingeries et lingeries coquines, une paire d’escarpin très échancrée et très sexy, deux paires de mules et aussi quelques paires de ballerines et une paire de baskets.

Nous n’avions pas la même morphologie et je ne pouvais pas faire d’essayage de ses affaires, sauf éventuellement les bas, mais je ne savais pas bien comment se définissaient les tailles.

- “Hhhmmm, j’aurais plus de chance chez Amber !”

Me dis-je en refermant le placard.

La lumière du couloir était éteinte et je fis un coup d’oeil à l’escalier : en bas plus de lumière, les filles devaient déjà être au SPA.

- “Génial !”

Me dis-je en me dirigeant vers la chambre d’Amber, qui était vers le milieu du couloir en songeant que je devais laisser la porte ouverte :

- “... oui, avec la porte ouverte, quand elles allumeront l’escalier, j’aurais le temps de disparaître et si elles me surprennent dans le couloir, je pourrais prétendre de les rejoindre, puisque je suis toujours nue sous mon peignoir...”

Plus que tout, il y avait une chose dont j’avais vraiment trés, trés envie, mais vraiment “grave” comme on dit, c’était essayer des bas ou un collant : hier soir, en découvrant ce contact sur ma main, j’avais été électrisée et je me disais :

- “Hhhmmm, je crois que vu mon hyper sensibilité des pieds, ce devrait être une expérience fascinante que ce contact sur ma peau, avec cette matière !”

Evidemment je ne savais pas que deux fouines silencieuses m’observaient dans l’obscurité du couloir, depuis le seuil de la porte, et j’étais tellement absorbée par mes envies que j’en avais totalement baissé mon attention.

Je commençais par examiner une boite de collant pour comprendre l’échelle des tailles tout en réfléchissant à ce que j’allais faire ensuite :

- “Je pense que… mmhh… oui ?... oh oui !

Voilà c’est çà : en prenant une paire de bas qui trainait en vrac dans la valise, cela passerait inaperçu, car Amber est moins ordonnée que Clarisse !

Et puis… une paire de bas… je pense que ce sera plus facile à enfiler et à gérer...”


M’étant mise accroupi, j’entrepris d’ouvrir une valise pour prendre une paire de bas :

- “Hhhooo, ouuiii ! Celle-là… dans le coin de la valise… noire… parfaite !”

Et je la pris tout en me relevant pour m'asseoir sur le bord du lit.

Maladroitement j’entrepris d’enfiler le premier bas : j'essayais de le rouler, comme j’avais vaguement vu faire des copines.

Tant bien que mal, je finis par arriver à positionner le bout du bas sur mes orteils : immédiatement je fus prise d’une sensation absolument indescriptible et délicieuse, et ce qualificatif était faible !

Comme une sensation électrisante, au fur et à mesure que j’enfilais le bas, une sensation qui irradiait ma peau, en me faisant frémir de façon incontrôlable.

C’était indéniable : je découvrais cette sensation et j’étais déjà accro...

- “... comme les chatouilles… c’est hallucinant !”

J’avais fini d’enfiler les deux bas et je fis quelques pas sur la moquette : la sensation était totalement envoutante; tellement, que je défis la ceinture de mon peignoir.

- “Allez ! Ressaisie-toi ! ”

Me dis-je en songeant que les copines risquaient de se pointer à tout moment.

Je me rassis sur le bord du lit pour ôter les bas, le plus délicatement possible : si je filais une maille, je risquais de me faire attraper car Amber avait un instinct surprenant.

Ayant rangé les bas, je me rechaussais en songeant que j’étais bien trop excitée pour dormir et que finalement j’allais rejoindre les filles au SPA.

Refermant la porte de la chambre, je me disais toute émoustillée :

- “Et je me baignerais nue, comme mes chéries !”

A l’approche du SPA j’entendis rire et je rentrais dans la véranda toute nue en regardant les copines enlacées : à ma vue, elle se mirent à applaudir de concert en disant :

- “Welcome! Bienvenue ! Notre Naty nouvelle ! You’re so beautifull !”

Et se levant dans le SPA, chacune d’elle me tendit une main, pour m’accueillir comme une princesse, descendant l’escalier du SPA entre elles !

Clarisse me tendit une coupette de champagne, tandis que chacune prenions une place dans le SPA et qu’Amber agissait sur la console de commande pour augmenter le flux des bulles.

Je n’avais jamais été aussi émoustillée, enjouée, sereine et je n’avais également pas envie de lutter contre moi-même, j’étais bien trop heureuse : je n’avais en rien perdu mon envie de réussir ma vie, mais tout en en profitant et en la savourant pleinement, et non en restant une petite femme pudique et coincée, comme j’avais été jusque là.

La soirée fut délicieuse et j’essayais de ne pas trop dévorer les copines des yeux, pour ne pas trop montrer le désir sournois que j’avais de partager mon plaisir avec elles.

Au moment d’aller me coucher, je ne sais pas si c’était mon état général ou autre, mais il faisait excessivement chaud dans ma chambre, si bien que fis le choix de dormir complètement nue.



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Avant de dormir, j’avais cédé au plaisir et je m’étais masturbé sous ma couette, comme jamais je ne l’avais fait et j’en avais retiré un immense plaisir.

A mon réveil, une sacrée surprise m’attendait : émergeant mollement, j’allais enfiler mon peignoir et mes ballerines pour aller déjeuner avec les copines, mais rien n’était à sa place.

Finissant d’interconnecter mes neurones, je me dis :

- “Ok je vois… les cop’s ont sévi cette nuit !”

Et en me dirigeant vers ma penderie, je vis que ma valise avait aussi disparu et je fus prise d’un étrange pressentiment :

- “Hhhooo non ! Les chipies, les garces !”

Puis ouvrant les portes du placard, j’eu confirmation de ce que je craignais : plus aucun vêtements, sinon un étrange petit baluchon abandonné au milieu d’une étagère.

Je pris le colis sur l’étagère, puis en retournant vers mon lit, je fis la découverte du contenu très sommaire : un collant et un body semi-transparent noir.

L’esprit totalement clair, je ne mis pas bien longtemps à imaginer ce qu’il c’était passé : ou les filles avaient envie de me dévergonder, ou elles avaient vu ou su, d’une façon ou d’une autre, que j’avais fouillé dans les chambres.

Dubitative un petit moment, j’en pris mon parti : une tenue moulante et sexy était une nouvelle expérience qui me tentait énormément !

Je pris un temps considérable à enfiler le collant, du mieux possible et j’entrepris de passer le body et de le fermer par dessus le collant, un peu à la façon des danseuses : c’était délicieusement envoûtant cette sensation.

C’est en me relevant que je pris conscience qu’il me manquait tout de même un élément crucial : des chaussures et un rapide coup d’oeil, y compris sous le lit et sur le dessus de la penderie me confirma que j’étais sans rien aux pieds.

- “Allons ! Donc ? Les copines me veulent ainsi, assumons !”

J’avoue que bizarrement la situation me plaisait énormément, et la surprise suivante n’allait en rien gâcher mon sentiment de douce sérénité : en ouvrant la porte, une sorte de paire de ballerines noires avec de petits talons de deux ou trois centimètres m’attendait, et je les enfilais immédiatement.

Faisant quelques pas, pour m’y habituer, je pris conscience qu’elles me tenaient tout juste aux pieds, ce qui était logique : c’était forcément une paire appartenant à Amber avec qui nous avions la même pointure, mais Amber avait un pied plus fort que moi !

Après avoir déambulé dans le couloir, je pris conscience que cette sensation de chaussures ouvertes, tenant juste à mes pieds, m’excitait énormément : mes pieds, que je savais maintenant hyper sensibles, étaient en quelques sortes devenus plus vulnérables et accessibles, et j’étais en compagnie de deux femmes vicieuses qui appréciaient ce genre de situation.

Il était plus que temps d’aller déjeuner et de retrouver les miss à la cuisine, car l’étage était bien calme et je devais donc être la dernière.

Je me fis vite à la sensation de ses chaussures un peu larges et j’y prenais un goût réel, lié directement à l’exposition de mes pieds sous cette nouvelle forme : d’une part, j’acceptais ces attributs de la féminité, je commençais à y prendre goût et d’autre part la découverte des jeux fétichistes était en train de m’épanouir.

En passant le seuil de la cuisine je pus me rendre compte que la comédie était bien orchestrée : Amber et Clarisse portaient des tenues similaires à la mienne, ce qui donnait le ton de la journée, outre nos révisions.

Dès le petit déjeuner, les hostilités commencèrent : jeux de pieds et captures de chaussures sous la table, et quelquefois des pieds “plus baladeurs” qui se montraient très entreprenants.

Néanmoins, restant sages et studieuses, nos révisions du matin se déroulèrent selon le planning prévu de chacune...

Au repas de midi, l’ambiance taquine reprit de plus belle et le repas se passa en “chasse ballerines” sous la table, jusqu’au dessert où j’eus la joie de découvrir que mon amie Clarisse était elle aussi chatouilleuse.

Clarisse venait de sursauter fortement tandis que Amber commentait avec un petit sadique:

- “Yes ! I get it !”

Clarisse, hilare : - “Arg ! Flute !”

Je n’avais pas réelle percuté sur leurs propos et comme je voulais récupérer mes ballerines, pour aller chercher le café, je fis un passage sous la table, en y découvrant une scène savoureuse : je ne sais comment, mais Amber avait réussi à coincer un pied de Clarisse entre ses genoux et je vis sa main descendre sournoisement vers le pied offert.

De dessous la table j’entendais Clarisse flagorner :

- “Oh non ma chérie, tu ne vas pas me faire cela mon coeur, n’est ce pas ? Tu ne vas pas oser mon amour à moi ?”

Mais pour toute réponse je vis les doigts d’Amber se tendre vers la plante nylonnée de Clarisse, tandis que celle-ci crispait déjà ses orteils dans un réflexe défensif en gloussant.

Amber se mit à titiller doucement le pied de Clarisse, faisant monter en sonorité son gloussement et provoquant de petits sursauts et de petits battements d’orteils : je voyais bien que c’était une chatouille relativement douce et amicale.

De là où j’étais je me mis à éprouver une soudaine envie de participer au jeu.

N’osant pourtant pas intervenir dans cette intimité, je finis par récupérer mes ballerines et par ressortir de dessous la table.

En croisant le regard d’Amber, celle-ci me dit d’un ton vicieux :

- “Hey ma Naty, tu aurais dû en profiter...”

Je me mis à rougir et sans rien dire, sinon de répondre d’un timide sourire, je me mis à desservir la table.

Les copines finirent par se rechausser aussi et m’aidèrent à terminer le rangement et de préparer la table pour le souper.

Clarisse prit alors la parole :

- “Hier nous avons un peu perdu de temps pour jouer les esthéticiennes, mais je propose que nous reprenions nos rev’s plus tôt cet après midi, pour nous garder une soirée plus conviviale, qu’en dites vous les filles ?

A moins bien entendu que l’une ou l’autre ai des envies de balade en raquette en nature pour se changer d’air ? Auquel cas il vaudrait mieux y aller assez tôt...”


Nous nous sommes regardées un moment silencieuse, puis Amber argumenta :

- “I think it will better tomorrow : the weather will be better… heu… je.. le météo… sera mieux demain... ”

Clarisse : - “Mmmhh, ouais en principe c’est vrai...”

moi : - “Comme vous voulez les filles !”

Clarisse : - “Okay, validé, on verra demain pour la balade !

On se met au taf vers 14h, jusque vers 17h - 17h30 et on se fait une soirée plus relax : SPA, billard et tout ce que l’on veut !”


Amber : - “Really ! All we want ? Good job ! Heu je… si on organisait une séance de chatouilles ?”

Je ne sais pas pourquoi alors, Amber et Clarisse me regardèrent avec un regard plutôt vicieux et au moment où j’allais ouvrir la bouche, Clarisse clama :

- “Naty chérie, ne dis rien, mais réfléchit à cette proposition, puisque tu sais maintenant que nous aimons ces jeux fétichistes…

Ce ne sera pas pour ce soir de toute façon, prends ton temps, mais si tu y consens nous partagerons des jeux ensembles, à trois !”


Et Amber dit alors d’un ton plus affectueux, avec son petit accent américain :

- “Yes ! If you want… si tu veux… heu comment… parler... ask questions… Nous demander… des questions...”

Clarisse : - “Très juste ! Si tu veux discuter, avec l’une ou l’autre, ou même toutes les deux, sois le plus à ton aise possible chérie !”

Moi : - “Ben… heu… je… je prend note… vous… êtes… adorables !”

Clarisse : - “Dans ce cas, au travail, et qu’ça saute !!!”

Et nous nous sommes remise en mode étudiantes modèles.

J’avoue que sur ce coup là, j’eus plus de mal à me concentrer :

- “Une séance de chatouilles ? Amber plaisantait-elle ? Les chatouilles font-elles partie de leurs jeux érotiques ? Avaient-elles déjà fait ces jeux à plusieurs ? Est-ce que ces jeux de chatouilles s’appliquaient à tout le corps ? Est-ce que ces jeux de pieds pouvaient les amener au plaisir ?”

Et bien d’autres questions qui perturbèrent passablement mon programme de révisions de l'après midi, et tout cela ajoutait aussi à mon intérêt nouveau pour les pieds et ma découverte de ma sensualité et de ma féminité surtout…

Je m’étais un peu refermé et du coup pour moi la soirée fût plutôt calme et j’avais entrepris de me coucher un peu plus tôt que les copines, pour réfléchir.

Amber et Clarisse s'étaient montrées un peu plus réservées aussi et ne m’avaient fait aucun commentaire particulier.

Je m’étais en fait endormi comme une masse : toutes mes pensées érotiques n’avaient pas eu le dessus cette fois et vers 23h, une pressante envie me réveilla...



XxXxXxXxXxXxXxX



Etant dans une chambre des plus proche des toilettes, je n’avais pas allumé la lumière du couloir, me guidant juste grâce à la luminescence de la lune qui filtrait au travers d’une petite fenêtre, au bout du couloir.

C’est en ressortant des wc que je pris conscience qu’en bas des escaliers il y avait un peu de lumière qui rayonnait.

La curiosité me piqua en me disant que les cop’s n’étaient donc pas encore couchées :

- “Que font-elles donc ?”

Essayant de me faire la plus discrète possible, je descendis les escaliers et je pris le couloir en marchant le plus discrètement possible : j’avais heureusement récupéré mon peignoir et mes pantoufles molletonnées.

Le couloir débouchait sur le salon et c’est doucement que j'avançais la tête : la lumière était tamisée car elles avaient couvert de foulards deux des lampes sur pieds qui ornaient la pièce.

Je finis par apercevoir les miss : elle portaient toutes les deux de la lingerie fine et sexy, Amber au sol et Clarisse debout...

C’était Clarisse que j'apercevais le mieux pour le moment : elle portait une sorte de kimono en voile blanc au travers duquel je pouvais voir un soutien-gorge noir à balconnet, laissant ses aréoles et ses tétons accessibles; elle avait aussi un porte jarretelle de la même couleur et ce que je présumais être un string assorti; ses jambes étaient aussi voilées de bas noirs et elle portait la paire d’escarpins échancrés que j’avais vu dans son armoire.

Je me mis à quatre pattes pour approcher, cachée par une table, pour voir ce qu’il en était d’Amber : elle portait elle aussi un soutien-gorge à balconnet, mais ayant une forte poitrine comme moi (autant dire en comparaison : un string sur une paire de fesses charnues !), elle portait un tanga assorti à son soutif rouge, et des bas autofixants rouge.

Je dus changer de place pour voir le bas de ses jambes : Amber avait les cuisses un peu écartées et avait passé ses chevilles par la rambarde qui démarquait le coin cheminée qui était en soubassement par rapport au coin salon.

Elle n’avait visiblement plus de chaussures, ses chevilles étaient entravées de part et d’autre d’un des poteau de la rambarde et Clarisse était en train d'entraver ses poignets au dessus de sa tête, après qu’elle se fut allongée.

Clarisse finit son travail en tendant une corde pour maintenir les bras d’Amber en arrière.

Un moment de lucidité sur moi-même me fit constater que j’étais hyper excitée et que je mourrais d’envie de les rejoindre !

Néanmoins, la sagesse et la timidité qui était encore mienne, me firent garder la tête froide, mais sans pour autant ne pas vouloir assister au spectacle; j’allais m’instruire et je songeais :

- “Hhhmmm oui ma chérie Clarisse, vas-y, apprends-moi des choses que je pourrais te faire bientôt !”

De là où j’étais, il me semblait qu’Amber avait aussi quelque chose dans la bouche, sans doute une sorte de bâillon.

Clarisse alla ensuite chercher un tabouret de bar, prêt du comptoir massif qui trônait dans un coin, et revint vers Amber.

Elle positionna le tabouret entre les jambes de sa victime, pour l'obliger à écarter les cuisses, toutes les deux toujours silencieuses.

Je ne pus m'empêcher de penser, en sentant mon trouble augmenter :

- “Wwwwhhoo, que ma Clarisse, que je prenais pour une fille de bonne famille, est une sacrée vicieuse, finalement !”

Et je n’avais encore rien vu !

Clarisse se déchaussa alors langoureusement prés du visage d’Amber, puis plaça un de ses pieds entre les cuisses ouvertes, tout en s'appuyant contre le tabouret de bar.

Ayant ainsi une position stable, ma “demoiselle de bonne famille” était en mesure d’utiliser son autre pied à des fins tactiles : elle commença alors à caresser les seins d’Amber du bout de ses orteils et celle-ci se cambra en laissant échapper un gémissement étouffé.

Après quelques minutes sur les seins, Clarisse changea de posture, s’agit sur le tabouret, pouvant ainsi plus aisément disposer de ses pieds sur le sexe offert de sa chérie.

J’étais envoûtée par l’érotisme de la situation : Clarisse aurait pu enlever la culotte de sa proie, mais non, au contraire elle lui prodiguait ses attouchements au travers du tissus et je trouvais un charme séduisant à cette manière de jouer.

Sous les attouchements de Clarisse, Amber se trémoussait de plus en plus et ses gémissement étaient montés en intensité.

Clarisse redescendit de son perchoir et tendit un de ses pieds vers le nez d’Amber, le nylon sans doute imprégné de son odeur intime, et y posa ses orteils écartés en gloussant.

Je n’eus pas de mal à imaginer Amber respirant le parfum de son sexe moite sur le nylon de sa tortionnaire vicieuse.

Clarisse finit par se rechausser et fit le tour de la rambarde, pour descendre au coin cheminée et surtout avoir à sa disposition les pieds d’Amber, laquelle s’agita quelques peu.

Je n’avais pas un point de vue très intéressant, puisque l’action se passait au travers des traverses de bois, mais j’étais encore plus émoustillée.

Je devinais que Clarisse titillait maintenant les pieds offerts, mais sans vraiment forcer et Amber ne trahissait que quelques soubresauts accompagnés de quelques gémissements.

Peu après, au travers de la rambarde, je vis le visage de Clarisse s’approcher des orteils de sa victime pour les lécher et les sussauter, provoquant à Amber simplement quelques tressaillement et de petits cris aigus étouffés...

J’étais un peu déçue au final : jusque là les pieds d’Amber n’étaient pas trop à la fête, Clarisse ne l’avait pas également chatouillée non plus, et je réalisais que j’avais très envie de voir cela, surtout cela d’ailleurs, mais il fallait que je me sauve avant la fin de leurs ébats.

J’allais me relever silencieusement, lorsque je me pris les pieds dans le bas de mon peignoir, s'étalant bruyamment et en renversant une chaise : j’étais grillée et en me relevant, tout en remettant la chaise en place, mon regard croisa celui de Clarisse, puis je détalais dans ma chambre craignant les représailles.

Les filles ne vinrent pourtant pas et je les entendis se coucher chacune, bien plus tardivement, tandis que j’étais restée aux abois, assise sur mon lit, me remémorant le visage de Clarisse fendu d’un sourire des plus vicieux.

Je finis par me dénuder à mon tour, puisque les filles étaient couchées, disparaissant sous ma couette et essayant de m’apaiser pour trouver un peu de repos :

- “Demain, je vais avoir des problèmes… de gros problèmes, je sens…

Demain ?... Enfin… Disons tout à l’heure, vu l’heure !”


Me dis-je en regardant le réveil sur la table de nuit.

Tournant et virant, je finis par céder au plaisir en me caressant longuement et je remis mes boules “quies” et mon masque occultant...



XxXxXxXxXxXxXxX



Cette fois j’avais eu un mal fou à retrouver le sommeil et ce ne fut que bien après quatre heures du matin que je pus m’endormir.

Mon réveil fût un peu difficile et je mis plusieurs minutes à avoir l’esprit un peu plus clair.

En me redressant pour m'asseoir sur le bord de mon lit, je ne mis pas longtemps à m'apercevoir que mon peignoir et mes ballerines avaient disparu, ainsi que le collant, le body et les ballerines de la veille.

- “Bon ben… je suis dans la panade… je crois que je vais devoir rester nue toute la journée...”

Même si je me découvrais certains vices, je n’en menais pas large pour le coup et l’idée de rester nue toute la journée m'embarrassait quelque peu.

Ce n’est qu’au bout de quelques minutes de méditation, commençant un peu à regretter ma curiosité de la nuit, que je vis que j’avais un sms de Clarisse sur mon téléphone :

- “La curiosité étant un vilain défaut, la sanction du jour sera que tu seras à notre merci et à nos caprices...”

Interrompant la lecture en fermant les yeux, pensive :

- “Ah… Nous y voilà… Que me feront-elles ?”

Reprenant la lecture :

- “... et donc tu vas déjà porter une tenu pour nous plaire...”

moi, murmurant : - “... je ne serais donc pas nue, mais alors ? …”

Suite du sms : - “... et donc tu vas choisir entre :

-1- soubrette / -2- écolière / -3- infirmière / -4- escort-girl”


moi, sans trop réfléchir vraiment et plutôt embarrassée devant les choix proposés, prenant ce qui potentiellement serait le plus sage :

- “... moi ? en écolière… je pense... ?”

Fin du sms : - “... Nous attendons ta réponse par retour de ce sms.”

Essayant de farfouiller mon imagination, essayant de visualiser les tenues possibles pour chaque rôle, je finis par me résoudre à mon idée première :

- “Une écolière… c’est ce qui me semble le moins… le moins risqué… disons… encore que… vu le vice des cop’s… enfin bon… si je ne veux pas rester nue… va pour une petite écolière.”

Je prie mon portable et je pianotais “écolière” tout simplement et la réponse ne mit pas longtemps à revenir :

- “Très bon choix !!!” avec une collection de smiley en tout genre…

Je ne savais pas vraiment où j’avais mis les pieds, mais de toute façon, j’étais dans l’impasse.

Un peu dubitative, prise entre une légère inquiétude et malgré tout un sentiment troublant, j’attendais la suite des événements, lorsqu'un “toc-toc” sonore à la porte de ma chambre me ramena à la situation.

moi : - “Entrez !”

J’avais failli ajouter “chipies” mais je m'abstins, pour éviter de provoquer les filles, risquer d'aggraver mon cas et alors un nouveau “toc-toc”, plus fort, retentit.

J’allais répondre plus sèchement “entrez”, mais je me dis qu’il valait mieux que j’aille ouvrir docilement la porte : personne derrière la porte, mais un cabas m’attendait.

Sans même risquer un oeil dans le couloir je pris colis et je refermais ma chambre, pour découvrir le contenu en le vidant sur mon lit : une paire de ballerines rouges, une paire de socquettes à dentelles blanche mais fine comme des bas, une jupette plissée style écossaise rouge, un petit serre tête assorti à la jupe et un chemisier blanc transparent à nouer.

En constatant qu’il n’y avait ni culotte ni soutien-gorge, je me mis à rire en murmurant pour moi-même :

- “Une tenue… la moins risquée ??? Oui… J’ai encore… beaucoup à apprendre… et les miss… ne m’ont pas loupée !”

Il ne me fallut que très peu de temps pour éprouver une soudaine excitation et remettant les affaires dans le cabas, j’entrepris d’aller me doucher, avant de me la jouer baby-doll.

Une fois lavée, en me regardant dans une grande glace, je me surpris à me trouver aguichante et mon excitation me reprit de plus belle : je me sentis un peu mytho en constant que j’avais envie de moi-même et les copines étaient bien en train de me dévergonder.

Je dois avouer que je prenais également goût à découvrir ma sensualité et je commençais à apprécier sérieusement les plaisirs que mon corps pouvait me donner.

Je ne savais pas bien me maquiller, mais j’entrepris de mettre un peu de rouge à lèvres et un peu de mascara; puis je pris grand soin à valoriser ma tenue : j’étais fin prête à retrouver les copines et découvrir la suite du programme...

En sortant de la salle de bain, je tombais nez à nez avec Amber et Clarisse qui sortaient de la chambre d’Amber.

Le ton était donné : Amber était elle aussi en mode “school-girl” sexy et Clarisse portait un tailleur assez sexy tout en étant strict.

Je n’eus pas le temps de dire un mots que la voix de Clarisse claqua comme un fouet :

- “Mesdemoiselles, votre attention !

Je suis Miss Clarisse, la nouvelle directrice de cet établissement !

De vous deux l’on m’a rapporté un comportement indiscipliné que je ne saurais tolérer !

Si l’une ou l’autre se prend à faire la moindre faute de discipline, elle sera très sévèrement châtiée et votre comportement de ces derniers jours ne sera plus toléré !

Je serais intransigeante sur le programme de révision de la journée !

Je n’admettrais aucun mot, sans que vous ne leviez le doigt, aucun gloussement ou ricanement ridicule, non plus !”


Pour parfaire son look, Clarisse avait mis ses lunettes de travail (elle portait habituellement des lentilles de contact), sa jupe droite arrivait juste au dessus de ses genoux, elle avait les jambes gainées de noir, elle portait ses escarpins échancrés et pour le haut, elle portait un chemisier blanc et sa veste de tailleur était un peu cintrée et boutonnée en un seul point.

Elle était délicieusement charmante et j’adorais son look.

Amber avait un look similaire au mien : ballerines noires (celles que j’avais hier), bas autofixants roses, jupette plissée écossaise dans une dominante de couleur bleu marine et un chemisier rose, noué sur sa belle poitrine.

Tandis qu’elle était debout, durant le laïus de Clarisse, je pus constater qu’elle jouait avec son pied droit, faisant glisser sa ballerine et la remettant.

Clarisse prit la tête du cortège pour descendre l’escalier et se retourna brutalement, en cinglant sévèrement :

- “Ah ! Mesdemoiselles… une précision… Je n’aime pas le style de petites “pétasses” qui jouent à se déchausser et se rechausser !”

Nos regards se croisèrent avec Amber : elle avait un petit sourire vicieux qui évoquait bien qu’elle se prêtait au jeu avec plaisir.

J’éprouvais moi aussi une étrange excitation, mais aussi un léger malaise, car je n’avais jamais jouer à des jeux érotiques.

Dès que Clarisse se retourna pour descendre l’escalier, Amber se déchaussa un pied et le pointa vers moi en remuant les orteils, pour me narguer.

Elle se rechaussa rapidement et prit le pas derrière Clarisse : elle se dandinait devant moi en ondulant des fesses et remonta sa jupe, pour me montrer ses fesses.

J’étais amusée par la situation et très troublée, malgré toujours cette petite appréhension d’être “perdue” dans les jeux.

A l’entrée de la cuisine, Clarisse donna de la voix :

- “Mademoiselle Natalya, vous ferez le service du petit déjeuner… et en silence !”

Le ton donné par Clarisse à l’évocation de mon prénom me fit sursauter, mais je ne me fis pas prier pour agir, tandis que Clarisse prenait place en bout de table et que deux autres couverts étaient mis en place face à face sur le petit côté de la table.

Ne voulant pas prendre de risque, je servais Clarisse en premier, puis je m’approchais d’Amber.

Je vis sa main droite glisser de la table et celle-ci s'approcher de ma jupette, mais la voix cinglante de Clarisse claqua comme un fouet :

- “Mains sur la table mademoiselle Amber !!!”

Amber fit mine de sursauter et se repositionna sagement.

Je finis par m’installer à ma place après m’être servi et j’eus la mauvaise idée de laisser mes jambes croisées un peu en avant.

Immédiatement, sous la table, Amber se mit à me faire du pied : je ne doutais pas qu’elle se fut déchaussé, car je sentais ses pieds nus.

Envoutée par ses attouchements, je tendis un peu plus mes jambes car ses caresses me plaisaient bien, lorsque, vive comme l’éclair, Amber réussi à me subtiliser une des ballerines en me regardant avec un sourire vicieux.

Immédiatement, je repliais mes jambes sous ma chaise, mais c’était trop tard et j’allais devoir finir mon service, car le petit déjeuner touchait à sa fin.

Ce n’était qu’un jeu érotique, mais j’étais à fond dedans et la voix que Clarisse, notre “directrice du jour” m’ordonna de desservir :

- “Mademoiselle Natalya, desservez la table !”

En une fraction de seconde, plutôt que d’être ridicule et sanctionnée de toute façon, j’ôtais ma seconde ballerine sous ma chaise et je me mis debout pour desservir.

Évidemment dès que mes pieds furent dans le champs visuel de miss Clarisse la sanction tomba, toujours avec ses allures hautaines :

- “Ah… On dirait que mademoiselle Natalya a quelques problèmes de compréhension : j’avais été claire à propos des “pétasses” et donc… je vais devoir sévir !

Je vous convoquerais donc en temps et en heure pour votre châtiment !

Maintenant finissez de desservir et vous viendrez dans le salon pour entamer les révisions du matin !”


Et sur ces paroles elle se leva et quitta la pièce, immédiatement suivi d’Amber : grand merci, celle-ci n’avait pa eu le vice de partir avec mes ballerines.

Je me rechaussais et selon notre organisation : je desservais et je préparais la table pour le midi, avant d’aller au salon, sauf que là, j’étais seule.

En arrivant au salon, là aussi la mise en scène des copines avait été travaillée : pour l’occasion un banc avait remplacé nos chaises et Amber était déjà installée.

Clarisse s’était installée à un guéridon, simulacre du bureau de la professeur qui surveille sa classe et au moment où je vis mon apparition, en me regardant par dessus ses lunettes, elle me lança sèchement :

- “Ah… enfin vous voilà : mademoiselle “dure de la comprenette” !

Installez vous à côté de mademoiselle Amber, là où sont vos affaires… voilà...”


J’allais m'asseoir lorsque…

- “Non ! Noonnn ! A genoux, sur le banc… pendant une demi heure !”

Et elle mit un minuteur à l’ancienne en service.

Là c’était un peu vache quand même, mais cette pensée ne me resta pas longtemps en tête, car dès que “Miss Clarisse” plongea dans ses propres bouquins, je vis la main droite d’Amber glisser de la table et commencer à me caresser les cuisses.

Elle était douce et langoureuse, et mon excitation ne mit pas longtemps à se faire sentir.

Il me vint alors une idée saugrenue et je pris un post-it qui traînait là pour griffonner quelques mots dessus :

- “Amber, nous sommes deux contre une : si nous l’attachions pour la chatouiller, histoire de se venger de son comportement !”

Amber prit mon post-it, le lu et me fit signe de son pouce gauche en l’air, avec un grand sourire approbateur et un clin d’oeil.

Je n’y fis pas attention, mais elle mit ensuite le post-it complétement à sa gauche, bien visible sur la table, mais hors de ma portée.

Dans cette position quelque peu inconfortable, je fis mine de me pencher sur mes cours, mais en réalité je songeais à cette mise en scène qui m'excitait terriblement.

Un petit coup d’oeil vers Clarisse, pour voir celle-ci, jambes croisées haut et l’escarpin pendre dangereusement au bout de son gros orteil : cette vision m’était enchanteresse et j’étais de plus en plus excitée.

Fascinée par le “dangling” artistique de notre surveillante, j’en oubliais Amber.

Par contre en remuant doucement mes pieds, je me mis à réaliser que je n’avais pas intérêt à trop bouger, car mes larges ballerines pouvaient très rapidement glisser sur mes socquettes.

J’étais totalement absorbée maintenant par le petit jeu d'exhibition des pieds de Clarisse, qui changeait régulièrement de position, lorsque un petit fourmillement se fit ressentir sur le côté de mon pied gauche, me faisant tressaillir.

Un rapide coup d’oeil me confirma que cette chipie d’Amber avait positionné sa main droit contre mon pied gauche pour le taquiner : j’avais de plus en plus de mal à me contenir sans bouger ni gémir.

Clarisse n’avait vraisemblablement rien remarqué pour le moment, et en me retournant vers Amber, je lui fis un regard implorant en secouant ma tête de la négative pour qu’elle cesse son attaque, car je ne pourrais pas résister longtemps.

En me crispant, j’arrivais à me contenir, mais je ne pouvais pas empêcher mon pied de tressaillir pour essayer d’esquiver les attouchements de cette garce d’Amber qui accentuait progressivement ses attaques.

A l'évidence, Amber voulait me faire punir et je sentais que je n’allais pas tarder à perdre ma ballerine qui commençait à glisser, et toute cette mise en scène délicieuse me plaisait de plus en plus quels qu’en soit les enjeux.

La ballerine avait glissé et finit par tomber bruyamment sur le parquet : “Miss Clarisse” relevant promptement sa tête, surprenant le geste d’Amber qui ramenait trop tardivement sa main baladeuse sur la table :

- “Mademoiselle Amber ne semble donc pas comprendre non plus ce que veut dire mains sur la table !!!

Je vais donc aussi devoir vous convoquer pour punition !

Mais nous réglerons cela plus tard !

En attendant, à genoux, vous aussi !”


Heureusement que Clarisse ne s’était pas levée, mais cette garce d’Amber profita de son changement de position pour me bousculer et relever ma jupe.

Quelques minutes après qu’Amber se fut mise à genou, le minuteur sonna bruyamment, relayé de la voix de “mademoiselle la directrice” :

- “Mademoiselle Natalya, asseyez-vous, et en silence autant que possible !

mademoiselle Amber, vous avez encore vingt-cinq minutes à genoux, alors n'aggravez pas votre cas !”


Un déclic dans ma tête me ravit : j’allais pouvoir me rechausser, mais surtout, si j’étais habile je devrais arriver à la déchausser, il fallait juste que Clarisse daigne ne pas relever la tête.

Un regard en coin me confirma que “la directrice” avait le regard plongé dans ses livres et j’entrepris donc de me lever doucement.

Une fois debout je pus me rechausser sans tumulte et comme Clarisse n’avait pas relevé la tête, je pus prendre le temps de me pencher sur le côté et de subtiliser les deux ballerines d’Amber en les posant ensuite derrière le banc.

Néanmoins, ne voulant pas prendre de risque, bien que me sentant totalement dans la mise en scène, je n’entrepris rien de plus sur Amber, même si l’envie de la chatouiller me démangeait.

Au bout de sa demi-heure à genoux, elle put reprendre sa place assise, et bien que excitées, nous avons tout de même un peu buché nos révisions comme prévu : c'était appréciable d’ailleurs que mes amies soient aussi équilibrées.

Vers midi, “Miss Clarisse” clama, en se levant et en venant vers Amber :

- “Donc mesdemoiselles, ce midi mademoiselle Amber fera le service, c’est équitable.

J’envisage que mademoiselle Natalya reçoive son châtiment, comme du en début d'après midi, avant de reprendre nos révisions et…

Qu’est-ce que cela, qu’est ce que ce post-it ?”


Je sursaute alors en songeant :

- “Aiiiie ! Je l’avais oublié celui là… Amber l’a laissé trainé sciemment !”

Clarisse : - “... ainsi donc mademoiselle Natalya fomente de m’attacher et de me chatouiller ?”

Délicieusement perverse dans son rôle, elle s’appuie sur la table en me regardant par dessus ses lunettes et dit d’une voix profondément perverse :

- “Et bien… et bien… mademoiselle Natalya, quelle déception !

Tans pis pour vous, vous aurez ce que vous méritez : un châtiment exemplaire !”


Je ne pus réprimer une petite appréhension, même si ce n’était qu’une jeu : Clarisse jouait à merveille son rôle et moi j’étais foncièrement novice, je ne savais pas jusqu’où pouvait risquer d’aller les supplices.

En coin je voyais le regard d’Amber vicieux.

Une fois à table, je pris soin d’éviter Amber : je ne voulais pas alourdir ma facture, pour le moment et je voulais découvrir les jeux avec modération, ne connaissant pas encore mes propres limites : je me savais tout juste hyper chatouilleuse des pieds.

L’ensemble du timing de la journée avait glissé, de part notre réveil tardif et il était déjà un peu plus de quatorze heure, lorsque “Miss Clarisse” commenta :

- “Nous allons rattraper le programme de révision et nous garderons la soirée pour les différentes punitions !

Mademoiselle Amber vous préparez la table de la soirée et mademoiselle Natalya vous venez immédiatement avec moi !”


Dit-elle en se levant et moi lui emboitant le pas.

Une fois éloignées de la cuisine Clarisse se jeta sur moi en m’embrassa à pleine bouche puis me dit affectueusement :

- “Je suis amoureuse Naty, tu es délicieuse et excitante, je ne veux pas te faire peur et j’espère que tu aimes nos jeux, mais je t’avoue que de te découvrir ainsi me ravi et je pense que tu as compris ce que je suis également : une lesbienne fétichiste et je joue avec Amber, mais depuis que je te connais j’ai eu du désir pour toi…

Je suis assez libertine, je l’avoue et ma relation avec Amber me comble, mais je voudrais plus, avec toi…

J’espère que tu ne m’en veux pas de te faire cet aveu ?!”


Je regardais Clarisse dans les yeux et mon coeur parla :

- “Je crois que c’est réciproque : je découvre ma sensualité, mon corps, mes désirs secrets et je veux tout t’abandonner !”

Puis sur une note plus badine, je finis par dire :

- “C’est mon initiation, je découvre ces jeux délicieux, mais j’espère bien te torturer à ton tour ma chérie !”

Et Clarisse m’embrassa en forçant sa langue dans ma bouche et me dis :

- “Ce n’est que le début baby !”

Et se décollant de moi, “la directrice” repris son rôle :

- “Mademoiselle Natalya, à votre place !”

Notre relation venait de prendre un accent nouveau et je compris que je n’avais plus à être gênée ni pudique entre Amber et Clarisse, même si je voulais jeter mon dévolu sur mon amie et son aveu venait d'allumer en moi un nouveau feu.

Amber finit par nous rejoindre et cette fois l'après-midi fut également studieuse.

- “Mademoiselle Amber, rangez vos affaires et veuillez aller à la remise me chercher le gros rouleau de film d’emballage et le rouleau de scotch, je vous prie !”

L’ordre de “Miss Clarisse” venait de mettre terme aux révisions et Amber se leva après avoir rangé ses affaires, pour obtempérer à l’ordre de notre directrice.

Je rangeais mes affaires tandis que Clarisse vint vers moi et me dit d’un ton un peu enjoué :

- “Ma Naty, souhaites-tu poser des limites à nos attouchement : seins, fesse, s...”

Je l'interrompis instantanément alors qu'elle allait dire :

- “...sexe ! Non Clarisse, je m’offre à toi, pour tout apprendre, je te fais confiance… une confiance absolue !

Et j’aimerais que ce jeu se prolonge demain...”


Clarisse : - “Merci mon amour !

Demain nous verrons si nous allons enfin balader, mais nous avons des tas de jeux à partager, tu t’en doutes !”


moi : - “Oh oui ! Vu le petit aperçu que j’ai...”

Mais je ne pus finir ma phrase, Clarisse collant sa langue dans ma bouche et m’embrassant langoureusement en laissant glisser une main sur mes fesses.

Puis elle se décolla en disant :

- “On va décaler le petit banc et on va te momifier dessus, tout en long… ”

Comme je ne dis rien à ce propos, elle continua :

- “... mais je te réserve une surprise, tu verras !

Je file à la chambre chercher quelques accessoires !”


Je me demandais de quels genres d'accessoires il pouvait s’agir, mais je n’eus pas loisir de trop y songer car Amber arrivait déjà, avec un gros rouleau de film plastique et un autre rouleaux de ruban adhésif…

En approchant, elle me sourit et me dit :

- “Sorry, that’s a game ! Tu ne m’en veux pas ?”

Moi hilare : - “No ! Je suis novice et je découvre, mais c’est un jeu que j’adore !”

Amber : - “Well done ! Je suis heureuse que tu entres dans notre...”

- “MESDEMOISELLES ! SILENCE !”

La directrice satire venait d’arriver :

- “N’y a t’il donc pas moyen de te faire obéir ici !

Il est donc temps de sévir !”


Tout en me prenant sans ménagement par la main Clarisse me plaça debout dans l’axe du banc en ordonnant :

- “Bras en l’air, droite comme un I, sans bouger !

Mademoiselle Amber, vous m’emballez fermement votre collègue !”


Amber et Clarisse commencèrent alors leur ouvrage : elles firent deux ou trois tours du large film autour de mes jambes, assujettissant le tout avec le scotch d’emballage, puis commencèrent à m’empaqueter comme dans un cocon de vinyle.

Mes jambes se trouvaient peu à peu entravées et essayant de bouger, je fus très surprise de l'efficacité de la méthode.

Mon corps se retrouvait immobilisé ainsi et seule la zone de mon nez et de ma bouche n’avait pas été prise, pour le reste, m’obligeant à fermer les yeux avant d’être recouverte aussi sur le haut du visage.

Sans aucun commentaire les filles m’aidèrent à m'asseoir sur le banc, puis à m’y allonger tout de long : mes chevilles dépassaient à une extrémité et mes mains et mes avants bras dépassaient de l’autre extrémité.

Elle peaufinèrent le travail en faisant quelques tours avec le vinyle, pour solidariser mon cocon avec le banc et quelques tours d'adhésif pour fignoler le travail.

Quelque part au dessus de ma tête régna pendant quelques minutes une nouvelle agitation et au bout d’un moment je sentis que mes avant bras se libéraient un peu.

Un doigt se posa sensuellement sur ma bouche et j’entendis une voix susurrer à mon oreille :

- “Cadeau, comme promis !”

J’entendis le bruit d’une chaise tirée sur le parquet et soudain au niveau de mes mains libérées je sentis une présence et entendis un gémissement étouffé.

Quelques mouvements à tâtons et j’avais confirmation du “cadeau” :

- “Clarisse venait de m’offrir les pieds d’Amber...”

Je tâtonnais à nouveau pour localiser la position exact des pieds qui m’étaient offerts : elle devait être à genoux, car ses pieds pointaient vers le bas.

La voix de Clarisse murmura :

- “Ne t’inquiètes pas, Amber est bâillonnée, elle a l’habitude, amuses toi bien !”

Elle m’embrassa sur les lèvres puis ajouta toujours à voix très basse :

- “De toute façon, tu te doute qu’il y aura des représailles…

Et puis... pour le moment… ben heu… comment te dire ? Oui… tu es à moi !”


Et je sentis sa main caresser mes seins au travers du vinyle.

Pour le moment je ne sentais plus les attouchements de Clarisse et en remuant les mains je repris le contact avec les pieds d’Amber.

Novice que j’étais, je pris un petit temps de réflexion pour savoir quoi faire :

- “Hum voyons… Je pourrais… Oui ce serait assez amusant… Si je peux… Je vais essayer de la chatouiller pour lui faire perdre ses ballerines…

Il me semble qu’elle a tendance à jouer à se déchausser et rechausser facilement…

Et de toute façon je pourrais la déchausser, si je n’arrive pas à mes fins !”


Tâtonnant de nouveau, je pus évaluer qu’Amber était entravée juste au dessus des chevilles, les pieds un peu écartés et je pouvais donc en profiter pleinement.

J’entrepris donc de démarrer mes attouchements sur un seul pied : passant une main à droite et une main à gauche, pour commencer à caresser la cheville, les malléoles, délicatement, du bouts des doigts.

Les premières réactions ne se firent pas attendre, et tandis qu’Amber commençait déjà à gémir doucement, son pied se mit à tressaillir et à remuer de plus en plus.

Prenant de l’assurance dans mes gestes, les gémissement du début devinrent vite des gloussements et le pied se mit à remuer de façon plus désordonné et plus nerveusement aussi.

Je prenais de plus en plus de plaisir à la situation et je fis glisser mes doigts en approchant davantage du talon, mais toujours les doigts de part et d’autre sur le fin nylon.

Je ne sais pas comment le ressentais Amber, mais moi je savourais totalement la situation, le délicieux contact du nylon et il faut croire que je me débrouillais plutôt bien car elle gloussait presque continuellement, son pied s’affolait de plus en plus, son second pied commençait à parfois se joindre à la danse, mais surtout à chaque fois que j’effleurais la limite du cuir de la ballerine, je la sentais celle-ci de plus en plus basse sur le talon.

J’avais évalué que la ballerine était sortie de trois quart du talon et je n’étais pas loin du succès lorsque je fus perturbée par une étrange sensation : le vinyle qui contenait ma poitrine semblait se détendre.

Déconcentrée, j’avais temporairement abandonné le pied d’Amber pour réaliser que c’était bien ce que je ressentais : oui, Clarisse dégageait ma poitrine du cocon plastique et donc elle allait envisager de jouer avec mes seins.

Je me dis alors :

- “Si je veux m’amuser un peu avec Amber, je ne dois pas trainer, car je pense que d’ici un moment, je ne suis pas certaine de pouvoir encore me contrôler !”

Et essayant de ne pas faire cas du travail de Clarisse, je remis mes doigts sur la dernière position que j’avais sur le pied d’Amber mais c’était raté : la chipie avait profité de mon inattention pour crisper son pied et ramener sa ballerine à sa position initiale.

Il était plus que probable que Clarisse ne manquait pas grand chose de mes actions, tout en finissant de dégager ma poitrine, j’entrepris donc de passer la vitesse supérieure : en resserrant un peu mes doigts sur la ballerine je disposais d’une pince et j’entrepris donc de retirer “de force” cette protection qui me cachait encore le pied d’Amber.

Amber tenta de se crisper immédiatement et résista autant que possible, mais la ballerine souple quittait inexorablement son talon.

Au moment fatidique, au lieu d’enlever complètement la chaussure, j’entrepris de la laisser tel que : l’arrière de la chaussure était à la limite du talon et Amber ne pouvait plus se rechausser, même en se crispant et au contraire même, elle devait rester crispée pour que la ballerine de tombe pas directement.

- “Mmmmffff !”

Fut le gémissement désapprobateur d’Amber tandis que Clarisse me glissait à l’oreille :

- “Chipie de mon coeur ! Tu apprends vite ! Tu vas vite devenir une petite vicieuse sadique !”

J’étais ravie de ce compliment et tout en tâtonnant de nouveau j’évaluais la situation du pied d’Amber : l’arrière du talon et une bonne moitié de la face externe était accessible, la cambrure me donner un petit passage entre la ballerine et la plante; j’avais donc trois zone d’attaque pour le coup de grâce.

- “Va pour la face interne du pied, au plus proche de la plante !”

Me dis-je en serrant les cuisses et en pointant mon index sur la zone que je venais de me choisir pour chatouiller Amber : en moins de dix secondes la crispation se relâcha, libérant la ballerine avec un petit cri aigu étouffé.

- “Hhhhhhiiiiiii !”

Clarisse avait dû surveiller le moment, car c’est en même temps que je sentis le noeud du chemisier s’ouvrir et libérer mes seins.

Elle se mit à me caresser sensuellement et délicatement, faisant saillir immédiatement mes tétons que je découvrais d’une grande sensibilité.

J’approuvais sa caresse d’un long gémissement en serrant de nouveau les cuisses :

- “Mmmhhhhmmmm !”

La position étant ce qu’elle était j’entrepris de chatouiller comme je pouvais le pied fraîchement dénudé d’Amber et c’est sans manière que je me mis à grattouiller tout ce que je touchais du bout des doigts, à l’aveuglette, provoquant une avalanche de petits cris étouffés mais aiguës à répétition :

- “Rhhaahhaouu iihh aahhouuoh hhhuuu mmmmaaah nnnuuhh mmooohhhh iihh aahhoo mffffeeeeiiii mmmiihh aah rrrhoo…”

Selon toute vraisemblance Amber était effectivement très réceptive et même son pied encore chaussé commençait à chahuter gravement.

Clarisse, de son côté avait aussi capté ma sensibilité mammaire et cette fois elle jouait à rouler mes tétons entre ses doigts et je pris conscience que je commençais à mouiller et que je ne tarderais pas à lâcher prise.

Pendant que je le pouvais encore, j’entrepris de déplacer ma main qui était entre les deux pieds d’Amber, pour la mettre sur l’extérieur du pied encore chaussé : j’attrapais le talon de la ballerine au passage et celle-ci se détacha aussitôt du talon, tant le pied d’Amber battait maintenant frénétiquement l’air, accompagné de la musique de son rire aigu :

- “MMiiiiihhhiiih… hiiiiihhiiiiiiiii… hhhiiihhiiiii… hhiiiiii… iiihiiiiih… hiiiiih… hiiiiiiiii… hhhiiihhiiiii… hhiiiiiiiiihiiiiih…”

Sous les caresses sensuelles de Clarisse mon excitation devenait de plus en plus intense et si je n’avais pas été “scotchée” au banc je pense que je serais cambrée comme un arc.

Profitant du peu de lucidité qu’il me restait, je réussis à positionner mes doigts sous les plantes des pieds d’Amber et j’entrepris de grattouiller comme je pouvais le nylon en forçant Amber dans une crise de rire :

- “Mmhhaa… wwhhaouu... hhiihh... aahhowwoh... nnnoo… hhhuuu... mmaahhmmaaah... fffuuhh... ooohhhh... mmmffffhh…”

Je réalisais à ce moment que Clarisse venait d’abandonner mes seins et quelques secondes après, les pieds d’Amber me furent confisqués.

Le silence revint, entrecoupé par instant d’un bruissement ou d’un chuchotement : à l’évidence les cop’s me préparaient quelque chose.

J’étais pourtant sereine et mon excitation ne diminuait plus : je l’entretenais même par des crispations musculaires de mes cuisses et de mon bas ventre.

- “Mais que faisaient donc les cop’s ?”



(à suivre !)



XxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxX



Post scriptum :

Toujours un grand merci à toutes et tous qui me suivent !

J’ai voulu finalement une troisième partie à cette fiction, pour que chacune de nos trois adorable étudiantes puissent prendre du plaisir…

Après tout, nous n’en sommes qu’au 4ème jour au chalet !

A bientôt donc pour partager les jeux érotico-fétichistes de nos comparses : Amber, Clarisse et Natalya !!!

Chatouilleusement votre !

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)

Superbe histoire :) Très intéressante avec ce mélange d'érotisme comme il faut ^^



Hâte de savoir la suite, tu sais nous tenir en haleine ;)

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)

:D

Merci Nahognas !

J'avoue que sur ce coup là j'ai été un peu vache : j'ai coupé l'histoire "en pleine action"... :hum2:

Au début je voulais rester sur Natalya, puis je me suis dit que ce serais sympa que les trois étudiantes switch à tour de rôle finalement pour que chacune se trouve à tour de rôle victime ou bourreau...

A bientôt pour la suite ...

:lunettesnoires2:

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)

C'est pas une mauvaise idée ;) j'aime beaucoup le principe de rotation ^^

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)
Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)

:top: Merci...

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)

Hello

J'ai lu la partie 1 et 2 et je dois dire que j'ai très très hâte d'avoir la suite. Elle est prévue pour quand ?



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Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;2&gt; : Explorations (fix-adult)


Hello

J'ai lu la partie 1 et 2 et je dois dire que j'ai très très hâte d'avoir la suite. Elle est prévue pour quand ?



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kokos post_id=150570 time=1565300450 user_id=596



Coucou et merci pour ton post...



Je suis un peu au ralenti en ce moment, comme je te disais dans un autre message...

Mais j'espère retrouver mes étudiantes prochainement...



:D