Histoire : John et la Directrice du second cycle

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Auteur


Histoire ajoutée le 21/06/2019
Épisode ajouté le 21/06/2019
Mise-à-jour le 03/07/2021

John et la Directrice du second cycle



Bonsoir les gens!



J'ai lu pratiquement toutes les histoires sur Tickling Fr (sauf les M/M), et à un moment, je me suis dis: aller, je me lance!

Je me suis donc lancé dans l'écriture d'une histoire (qui sera en plusieurs parties) autour des chatouilles. C'est ma première histoire rédigée, donc je n'ai pas vraiment de notions de structures narratives, je penses même que j'ai un peu cafouillé entre le PS, le PC, l'imparfait etc...

Tout ce petit speech pour me dédouaner des erreurs de construction, d'orthographe (et de frappe mais j'ai fais le tour normalement) et dire que c'est pas moi en gros^^



De toute manière, "It's Ericsson fault"



J'accepte évidemment toute forme de critique, de conseils/suggestions, et serais même ravi d'en avoir!



Enfin bref, voici la première partie de mon histoire, F/M, et sachez que je n'ai pas encore imaginé le reste 😁.

Bonne lecture !👌



GTX




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C'était le mois de Juin. John à 21 ans, et est à l’école supérieur de physique astronomique. Il vient de valider son semestre avec brillo. C'était le genre d'étudiant qui sort du partiel de modélisation spatiale 30min avant la fin, et qui vous dit que ce n'était pas si compliquer de trouver la métrique de Schwarzchild, qu'il suffisait de bricoler l'équation des géodésique à partir des nombres de Christoffel. Brillance, qui d'ailleurs contraste avec son aptitude particulière à ne penser à rien. Ou trop de choses, on ne sait pas. Toujours est-il que le voilà dans les couloirs de son école, une pochette à la main. Dans cette pochette se trouve son certificat semestriel, un document qu'il doit faire signer par la directrice du second cycle. Sans sa signature, il ne pourra pas passer en 5ème année. Le voilà se dirigeant vers le bureau de la scolarité.



*Toc toc toc*

-"Entrez"

-"Bonjour, j'ai mon certificat à faire signer par la directrice du seconde cycle, elle est encore là ?"



La secrétaire devait avoir dans les 50ans, mais n'en restait pas moins séduisante. Du fait de sa petite taille, elle portait toujours des talons aiguilles, et profitait des chaleurs de l'été pour mettre en avant ses atouts corporels, ce qui ne déplaisait en aucun point John. Elle le regarda d'un air suspicieux :



-"Vous venez faire signer votre certificat à 18h30 ?"

-"Ben, c'est aujourd'hui la deadline, du coup, je n'ai pas vraiment le choix".



Elle le jugea de la tête aux pieds, toujours les mains sur le clavier de son ordinateur, expira et lui lança d'un ton entre le désarroi en le mépris :



-"Oui, dans son bureau"

-"Merci beaucoup !"



John sortit en fermant à peine la porte, d'un pas rapide vers le bureau de Mme Leroy. Il marcha quelques minutes, du fait de la taille du site universitaire. Une fois devant le bureau, il s'apprêtait à frapper, quand un détail l'interpela.

La directrice, nettement moins séduisante que sa collègue, s'appelait madame Leroy. Elle était au moins aussi vieille que le campus, pas très sympathique, mais rigoureuse. Mais sur la porte, la platine gravée n'indiquait pas "Mme Carole Leroy". Non, elle indiquait une certaine Mme Julia Maniani. "Pourquoi donc ce n'est plus le bureau de Mme Leroy", se demanda John. Intrigué, il frappa à la porte.

*toc toc toc*

-"Entrez"



John ouvrit ainsi la porte, et découvrit, debout devant l'étagère de dossiers, la plus sublime femme qu'il n'ait jamais vue...Elle devait avoir dans les 35 ans, très grande, et fine comme une aiguille. Elle avait de longs cheveux roux, pour ne pas dire orange, qui descendaient jusqu'à ses fesses. Ses yeux de biche étaient bleus comme du Lapis Lazulis, et prenaient place sur un visage des plus harmonieux, sur lequel venait se poser une bouche recouverte d'un rouge passionnant. Un collier de cristaux était à son cou, assortit avec ses boucles d'oreilles. Ce collier venait serrer un robe bleu nuit, moulante, qui ne laissait apparaître que ses jambes de statues, bien que sa robe ne laissait aucunement place à l'imagination quant à la beauté de sa poitrine. Elle était ce celle qui ne sont pas assez volumineuses pour paraître vulgaire, mais que l'on devinait très agréable pour se réchauffer une froide nuit d'hiver. Cette robe venait finir cette silhouette divine sur ses cuisses, prolongées par des jambes à rendre jaloux un mannequin, qui se terminaient par des pieds aussi vernis que ravissants, soutenus par une élégante paire d'escarpins, dont la hauteur des aiguilles était proportionnelle à la beauté de celle qui les portaient.

Elle ferma une pochette, qu'elle rangea dans l'armoire avec ses mains sublimées par de longs ongles rouge sang. Elle venait de fermer l'armoire quand elle regarda John dans les yeux :



-"Vous désirez quelque chose, jeune homme ?"

John se rendit compte que 10 ou 25 secondes s'étaient écoulée depuis qu'il était rentré, et qu'il n'avait pas décrocher un seul mot tant il avait été absorbé par la jeune femme

-"Uh.........Bonj...soir, navré de vous déranger à cette heure, savez-vous où je peux trouver Mme Leroy, j'ai un document à lui faire signer..."

-"Oh...Mme Leroy a pris sa retraite, je suis la nouvelle directrice du second cycle, Je m'appelle Julia Maniani, enchantée."



Elle lui tendit une main, que John serra évidemment.



-"Enchanté, je suis John Crémier, étudiant en 4ème année. Eh bien, j'aurais besoin que vous me signiez mon certificat semestriel...s'il vous plaît"

-"Bien sûr, pas de soucis, assied toi. Tu as de la chance, j'allais rentrer chez moi"



John lui donna la pochette avec le document dedans. Elle était très sympathique, et incroyablement sexy dans chacun de ses gestes. John se demandait si elle était la plus grande allumeuse du monde, ou si elle était comme ça naturellement. Dans les deux cas, elle lui plaisait énormément. Il s'assied donc devant son bureau. Il ne la quittait pas des yeux, pendant qu'elle ouvrait la pochette, et lisait le document. Au bout de quelques secondes, elle signa, avec une élégance incroyable, et rendit à John le document.



-"Et voilà, bienvenue en 5ème année" avec un jolie sourire

-"Merci beaucoup !" dit-il d'un rire légèrement gêné



Il sortit du bureau, et elle le précéda. John partit dans le couloir, vers la gauche, et elle vers la droite, en direction du parking, sûrement. Il était encore tout émoustiller de la femme qu'il venait de rencontrer, et qu'il continuerait surement de croiser durant sa 5ème année. Il sortit le document de sa pochette, pour admirer en détail sa signature. Ce qu'il remarqua le laissa de marbre. Dans le coin en bas à droite, près de la signature étaient écris quelques mots, qui le firent frissonner :

"Ce soir, 20h30, 42 rue des Voyages, appartement 75 ❤".

Il se retourna, et évidemment, elle n'était plus là, partit. Ce qu'il ressentait était incroyable, il ne savait pas quoi penser. Il s'efforçait de ne pas se faire de films, mais il était fou, rien qu'en pensant à ce qui pourrait se produire. Il essaya de se calmer. "Après tout, ce n'est même pas son adresse ça se trouve". Il n'avait jamais réussi à se convaincre aussi peu. Il sortit du bâtiment, presque tremblant, et monta dans la GT turbo pour aller à l'adresse indiquée.



Ce n'était pas à côté, c'était même à l'autre bout de la ville. Il se trouvait devant un immeuble, ou plutôt une tour. Oui, c'était une tour, très moderne, comme celles qu'on voit à la Défense ou à Manhattan. Il entra, et se retrouva dans un grand hall, ultra moderne, dont le luxe était de mise apparemment. Il y avait deux vigiles, deux petits gringalets de 120kg pour 1m90 qui le regardait avec suspicion...



-"Monsieur, je peux vous aider ?"



John se retourna, un homme se trouvait derrière un comptoir, qu'il n'avait pas vu car il avait regardé partout, sauf devant lui. John s'approcha du comptoir.



-"Euh, une femme m'a laissé son adresse tout à l'heure, elle est à l'appartement 60..."

-"15, oui elle m'a prévenu de votre arrivé. 8ème étage, l'ascenseur qui se trouve là-bas, monsieur"

-"Merci beaucoup, bonne soirée !"

-"Vous aussi, monsieur"



John se dirigea alors vers l'ascenseur, se rendit au 8ème étage et trouva le n°75 après quelques dizaines de mètres de couloirs. Il était à la fois anxieux, et impatient une fois devant la porte. Il respira, et frappa.

La porte s'ouvrit, et elle était là devant lui, aussi sublime que tout à l'heure, mais avec ce regard de braise incroyable dont ses yeux ne pouvaient pas se détacher. Elle lui fit un grand sourire :



-"Entre, John, je t'en prie" dit-elle de son regard torride

-"Avec plaisir, madame"



John entra dans l'appartement surexcité, dans tous les sens du terme. Elle ferma la porte à clef, et rien que le *clac* du verrouillage le rendit tout chose. C'est alors que Mme Maniani sortit de son dos un foulard rouge, quelle mis autour de son cou. Elle le tira vers lui et lui dit tout bas :



-"Alors, jeune homme, dis-moi ce que tu pourrais faire pour me faire plaisir" dit-elle de son regard de braise, en arborant le sourire le plus sexy qui soit.

-"Oh, madame, je ferais tout pour satisfaire une telle déesse" avant de la serrer contre lui

-"Oh, voilà qui est intéressant, grrrrrrrrrrr" et lâcha un petit rire des plus sexy.



Elle jouait les dominatrices, et il adorait ça. Il était aux anges, jamais ses fantasmes n’auraient pu l'emmener jusqu'ici, c'était au-delà du rêve. Il l'embrassa dans le cou pendant plusieurs secondes. Pendant qu'il l'embrassait, elle l'amena à reculons dans la chambre, où elle se laissa tomber en arrière. John se pencha pour s'allonger sur elle, mais elle appuya l'un de ses talons haut sur son torse. Son regard passionné l'ensorcelait presque:



-"Est ce que je pourrais t'avoir en caleçon ?"



John ne répondit pas, et se contenta de voir qu'elle se mordait la lèvre en le voyant se déshabiller. Il en était flatté ! Il se pencha alors, mais elle posa de nouveau son escarpin sur son torse.



-"Tu ne pensais pas que ce serait si facile, trésor..."



John saisit alors l'escarpin avec ses mains, et embrassa le haut du pieds du pied chaussé dans ce dernier. Il l'embrassa plusieurs fois, avec passion, puis retira l'escarpin, pour caresser son pied délicat. Il l'embrassait de légers baisers, mais il ne put résister à l'envie de chatouiller cette petite beauté. Alors, il glissa légèrement ses doigts sur la plante de madame, qui ne manqua pas de réagir...



-"Hi ! Arrête, ça chatouille" dit-elle d'une petite voix qui se voulait très sexy

-"Madame est chatouilleuse ?", d'un sourire malicieux

-"Peut être…" en fermant les yeux et en souriant



La dame enleva sa jambe, comme pour inviter John à appréhender son corps, ce que John fit évidemment. Il s'allongea sur elle, embrassa son cou, et attrapa les mains de la jeune femme. La respiration sensuelle de cette dernière l'excitait comme un fou. Il mit de la distance, afin d'embrasser les mains de Mme Maniani, avec un mélange de fougue, de respect et de passion. Elle rougissait presque :



-"Oh, eh bien... Voilà un jeune homme des plus élégants...grrrrrrr"

-"Il me faut bien toute l'élégance du monde pour espérer étreindre une déesse"



John lâcha prise, et se mis à embrasser Mme Maniani. Il n'avait jamais embrassé comme ça, et ne s'était jamais retrouvé avec une femme qui embrassait comme ça non plus. Elle semblait être comblée, par ces attentions, elle avait la tête en arrière, les bras étalés au-dessus d'elle et elle souriait. En apercevant ses aisselles, John ne put de nouveau s'empêcher de venir les effleurer. Encore une fois, la réaction fut immédiate, elle replia les bras, avec un léger cri, des plus mignons.



-"Ah !"



Elle tourna la tête vers lui, avec un regard à faire tomber une armée. Elle colla son visage contre le sien, avec un de ses plus beaux sourires.



-"Tu le fais exprès, hein…"

-"Eh bien..."

-"Oh, si tu le fais exprès…" Elle se serait contre lui et faisait danser ses formes divines sur son corps, tant elle était excitée.

-"Dois-je en déduire que madame est chatouilleuse ?", dit-il d'un sourire provocateur

-"Oh, oui, je suis extrêêêêêêêêmement chatouilleuse"dit-elle d'un sourire atrocement diabolique

-"Voilà qui est intéressant..."

-"Pourquoi, tu aimes les chatouilles ?"

-"J'en suis fou, madame !"

-"Ah oui, et qu'est-ce que tu préfèrerai, me chatouiller, ou que je te chatouille, mon beau ?"

-"C'est à vous de voir, madame"

-"Olala, voilà qui est très bien répondu"

-"Vos désirs sont des ordres, madame"



Elle se leva et alla chercher quelque chose dans sa commode. Chaque geste, chaque mouvement de bassin paraissait tel une danse, à cause de ses talons hauts qui élançaient sa silhouette. Il était complètement fou d'elle, en plus d'être dans ce qui lui semblait être le paradis. Elle revint avec une multitude d'équipements destinés au BDSM : des bracelets en cuir, un collier, des plumes, des brosses, des huiles, des menottes, et des baillons. Elle le regarda, en se mordant la lèvre pour la n-ième fois :



-"Est ce que ce beau jeune homme aimerait que je lui mette tout ce beau matériel ?"



Elle semblait un petit peu gêné, mais très excitée à l'idée d'attacher John.



-"Je ne saurais refuser, madame"



En guise de réponse, elle sortit son plus beau sourire. La belle se mit sur les genoux, à califourchon sur John. Pendant qu'il admirait les formes de la poitrine de la jeune femme, il la sentit lier ses poignets avec des bracelets, et les attacher aux coins du lit. La pression qu'elle exerçait sur lui ne manquait pas de l'exciter, et elle le savait. Elle recula, afin de mettre son visage en face de celui de John.



-"Tu aimes ça, dis-moi ?" Elle lui gratouilla le dessous du menton de ses longs ongles

-"Oh, oui, madame"



Elle posa ses mains sur le visage de John et l'embrassa.



-"Mais dis donc, il me reste une paire ! "dit-elle en agitant ladite paire devant John



Son visage exprimait plusieurs sentiments : de la diablesse, de l'excitation, et du bonheur. C'est alors qu'elle se retourna, pour attacher les chevilles de l'étudiant. Une fois mission accomplie, elle se leva du lit, et se dénuda. Elle descendit la fermeture à glissière de sa robe, dans son dos, qui produisait un son faisant frissonner John. Elle desserra son collier, qui serrait la robe par le haut et fit descendre la robe le long de sa silhouette. John se retrouva devant ce qui semblait être une déesse, en lingerie bordeaux. Sa robe au sol, madame Maniani grimpa de nouveaux à califourchon sur son étudiant préféré.



-"Grrrrrrrrrrrr, c'est la première fois que j'ai cette occasion avec un si beau jeune homme. Alors, tu es chatouilleux ?"

-"Oh que oui, madame"



Elle l'embrassa avec passion. C'est alors que John sentit 5 long ongles, se poser sur son torse. Il frémit, en sentant le contact, de plaisir et de sensibilité. La dame se releva, puis commença son œuvre. Elle fit descendre ses ongles le long du torse de John, tout en dessinant des cercles de temps à autre. John sortait de petits sons de temps en temps, qui amusaient beaucoup madame Maniani. Elle faisait glisser ses ongles sur son torse, puis ses côtes, avant de pincer celles ci, ne manquant pas de faire rire John. Elle cessa, puis posa un ongle sur le bras de John. Elle le regarda avec amour, tandis que John savait exactement ce qu'elle comptait faire. Et elle le fit : elle se mit à descendre son ongle, chatouillant le bras de John, en se rapprochant dangereusement de son aisselle. John était de plus en plus crispé à mesure qu'elle descendait. Il se retint de rire quand elle arriva au point fatidique. Même si John réussi à se retenir se sortir le moindre son, elle tourna l'ongle, et insista avant de le faire craquer. Elle utilisa alors ses 10 doigts maléfiques pour chatouiller ses aisselles, le rendant complètement hystérique. Elle le mit au supplice des aisselles pendant au moins 5 bonnes minutes, avant de le laisser souffler.



-"Tu es affreusement chatouilleux, mon chaton, j'aime beaucoup, rrrrrrrrrrrr..."

-"Fiouf…eh…eh…"

-"Dis-moi, où es-tu le plus chatouilleux ?" lui demanda-t-elle en caressa son torse, pour l'exciter...

-"La plante des pieds, madame"



Il savait très bien qu'elle n'aurait aucune pitié envers lui, elle adorait chatouiller les hommes, de toute évidence, et elle le trouvait particulièrement attirant, ce qui ne faisait qu'aggraver son cas. Mais John s'en moquait, car il adorait ça, il vivait le moment le plus fou de sa vie.



-" Tu n'as pas beaucoup hésité, dis donc... Dois-je en conclure que tu adore ça ?"

-"Oooooooooh oui"

-"Hihi"



Elle se leva, se dirigea d'un pas pressé vers le bout du lit, en faisant claquer ses talons au sol. Elle s'accroupi, se plaça devant l'un de ses pieds, et de la même manière que pour ses aisselles, appliqua son ongle sur la plante du pied de John, en bougeant extrêmement lentement. La contraction du corps de John fut immédiate, tandis que la dame accélérait le mouvement.



-"Ahahahaaah, pitié "dit-il instinctivement

-"Oh, ne dis pas ça, ça m'excite encore plus trésor"



Elle rajoutait de plus en plus d'ongles, et John devenait vraiment hystérique, il se débattait corps et âme en implorant la pitié de Julia, qui se délectait de sa torture. La pointe de ses ongles dansait sur ses pauvres pieds. Elle allait de haut en bas, la plupart du temps. Parfois, elle chatouilllait très rapidement, d'autres fois, elle appuyait son index et son majeur, et faisait marcher ce petit bonhomme chatouilleur sur la plante de John. C'était diablement efficace ! Parfois elle s'amusait du bout de la langue, en le poussant toujours plus dans ses limites. De toute manière, John était attaché, et était complètement soumis aux désirs et vices de madame. Et cela, elle le savait très bien.



-"Eh bien, tu es effectivement ce que l'on peut appeler "chatouilleux des pieds" haha"



John n'eut pas la force de décrocher le moindre mot. Après seulement quelques secondes de répit, il sentit quelque chose lui couler sur les pieds. Une sorte d'huile...



-"Pitié, madame, pas ça…"

-"Bien sûr que si, haha"

-"Oh non…"

-"Mmmmmmmm....siiiiiiiiiiiiiii…" dit-elle en caressant son pied avant d'embrasser sa plante



D'un coup, elle mit ses dix doigts à la tâche, afin de mettre John au supplice, ce qui fut un réel succès. A nouveau, il se débattait, et implorait le supplice la pitié de la directrice à maintes reprises. Madame Maniani n'essayait même pas de chatouiller ailleurs, elle se concentrait sur la plante des pieds glissant ses longs ongles délicats sur sa plante des pieds. Parfois, elle faisait mine de s'arrêter, mais gardait un ongle vicieux maintenir le supplice... Plusieurs minutes, elle fit durer cette torture insoutenable, lorsqu'elle s'arrêta enfin. Elle se leva, s'approcha lentement de John, avec le déhanché le plus sexy qu'elle trouva pour venir s'asseoir à côté du lit.



-"Je t'aime beaucoup, John hihi" avec un petit sourire malicieux



Elle caressa son torse, puis embrassa celui-ci. Elle se releva :



-"Cependant, tu es très bruyant, j'aimerais remédier à cela, tu veux bien ?"



John, encore rouge mais toujours excité, répondit :



-"N'ai-je jamais rêvé de me faire bâillonner par une femme tel que vous ?"



Julia rougit un petit peu, elle était très sensible à cette galanterie et ces belles paroles. Très exaltée, elle alla chercher un bâillon, et s'empressa de l'enfiler sur John, tout exalté. Après un léger baisé, elle se releva et remis son étudiant favoris au supplice. Cette fois ci, elle testa toutes les zones de son corps. Elle commença par ses aisselles, elle savait que John était très chatouilleux ici. Elle y resta un moment, à tournoyer avec ses ongles malicieux, à grattouiller et à glisser ses ongles sur cette zone si sensible. Quelques minutes de supplices passèrent, avant que madame Maniani ne change d'endroit. Elle descendit sur son torse, continuant de torturer John, tout en prenant un plaisir intense. La tigresse n'entendait qu'un fond de hurlement, étouffé par le bâillon. Elle pinçait ses côtes, de temps à autre, et parfois même, lui chatouillait le cou, ce qui ne rendait la dame que plus attirante aux yeux de John. Cette dame se leva, ne pris pas la peine de s'attarder sur les cuisses du jeune homme, et se dirigea vers les pieds du supplicié, toujours avec son déhanché diaboliquement sexy. Elle prenait beaucoup de plaisir, sur les pieds de John. Passer ses ongles et entendre les cris de John était son pêché mignon. La encore, elle dessinait des formes abstraites avec ses doigts, ou grattait sa plante des pieds, encore luisants de l'huile de massage. Après une bonne demi-heure de supplice, madame Maniani arrêta, et s'assit au bord du lit. John était aussi rouge que son sexe était raide ! Elle se pencha et enleva le bâillon.



-"Tu es tellement sensible, mon chéri, j'adore ça" avant de l'embrasser

-"Eh...eh...oui, madame...eh..." dit-il essoufflé

-"J'espère que tu as aimé hihi ! D'après ce que je vois je pense que oui :"

-"J'ai adoré, je le ferais tous les jours si c'était possible"

-"Oh, tu es adorable" et elle embrassa son torse. "Mais avant de te libérer, pourrais-tu me rendre un petit service ?"

-"Tout ce que vous voudrez, madame, évidemment !"

-"J'ai une...collègue, qui aimerait beaucoup partager un moment comme celui-ci, avec un beau jeune homme comme toi, tu serais d’accord ?"

-"Eh bien, je pense que oui, madame..."

-"Génial !"



Julia fit un signe de la tête, probablement à une personne dans le salon. Cette personne était là depuis le début ? Peut-être... Toujours est-il, que John entendait le claquement singulier de talons aiguilles qui se rapprochent. Lorsqu'enfin la "collègue" arriva, John était stupéfait.



Il avait en face de lui la secrétaire avec qui il avait parlé plus tôt dans la matinée ! Mais cette fois ci, elle portait une tenue des plus... Torride... Elle était vêtue de sous-vêtements noirs, à la fois très fin et peu large, sans être vulgaires. Elle n'était pas aussi belle que madame Maniani pour John, mais elle n'avait pas non plus grand chose à envier à cette dernière, de par sa cinquantaine d'années.



-"Bonsoir, mon chou..."



Elle utilisait une voie très suave, et sensuelle. John ne manqua pas de rentrer dans son jeu.



-"Bonsoir, madame la secrétaire..."

-"Te voilà dans une posture bien délicate, mon petit"



Tout en disant cela, elle faisait tournoyer un ongle sur le ventre de John, ne manquant pas de le chatouiller et de le crisper.



-"Dis-moi, tu as déjà fantasmé sur moi ?"



Elle le regardait droit dans les yeux, avec les yeux légèrement fermés, pour percer son regard.



-"Je mentirais si je vous disais que non, madame"



La secrétaire arbora un grand sourire satisfait :



-"Eh bien alors, nous sommes deux dans ce cas... Mais, trêve de bavardages. Que sais-tu faire avec ta langue, à part parler, John ?"

-"Oh, je sais faire beaucoup de choses, dont la plupart ne feraient que vous ravir, madame..."

-"Mais c'est vrai qu'il parle très bien ce jeune homme, Julia ! Voyons s’il utilise toujours sa langue à bon escient..."



La dame retira le peu qu'elle portait sur elle, permettant de dévoiler son intimité dont le temps n'avait apparemment eu aucune emprise.



-"Eh bien, de ce que je vois, je te fais de l'effet..."



En effet, l'appareil de John n'avait pas manquer de réagir à la situation. Et ce fut encore plus visible lorsque la secrétaire s'assit à califourchon sur son visage. Son intimité était posée sur la bouche de John. Ce dernier, excité comme jamais, caressa cette zone sensible du bout des lèvres, afin de venir la chatouiller avec sa langue. C'est alors qu'il sentit des ongles, dansant vivement sur ses plantes de pieds, et d'autres lui chatouillant les côtes et le ventre. Il s’était fait surprendre par les deux femmes, qui continuerai sans doute à le chatouiller comme il se doit tant que madame la secrétaire n'aurait pas eu ce qu'elle voulait. Il se mit alors au travail, enfonçant sa langue dans l'intimité de la dame, qui réagit instantanément :



-"Ouh....aaah…Eh bien, tu ne manques pas de vigueur, John...ouh..."



Elle poussait des petits cris d'excitation, à mi-chemin entre un vrai cri et un gémissement. John était tellement excité, qu'il en venait à se dire que les dames n'auraient peut-être même pas à toucher ses parties pour l'achever...

La torture dura une bonne dizaine de minutes, mêlant le supplice qu'étaient les chatouilles pour John, et le plaisir qu'il éprouvait à s'occuper de l'intimité de la dame. Celle-ci était d'ailleurs extrêmement habile, presque autant que sa collègue. De ses ongles longs, son toucher était insoutenable quand elle chatouillait ses côtes. De temps à autre, elle allait même prendre soin des aisselles de John, et il n'existe pas de mots pour décrire ce qu'il ressentait. Il était à bout, épuisé, au supplice, quand il entendit la secrétaire gémir pour de bon :



-"Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah...Ooooooh...Oooooh oui"



John senti les chatouilles s'arrêter, enfin, et la secrétaire s'enlever de son visage. Elle commençait à se rhabiller, en le regardant dans les yeux.



-"Eh bien, tu es aussi chatouilleux qu'habile de la langue, John"

-"Vous me flattez, madame"

-"Dommage, je dois y aller mon chat, mais j'espère que nous nous reverront très bientôt !"

-"Moi de même !"



Elle chatouilla une aisselle de John au passage, avant de faire la bise à madame Maniani et de s'en aller. Cette dernière s'approcha de John, et se pencha sur lui :



-"Je t'avais dit, que j'étais très chatouilleuse, j'adore chatouiller" lui dit-elle d'un clin d'œil

-"Et vous maîtrisez parfaitement votre art, madame"

-"Ooommmmm... Merci !" en lui donna un petit baiser

Elle détacha John, d'abord les pieds et ensuite les bras...


To be continued...

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