Forum

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.

Adultes : Histoires

(F/F) Révisions au chalet <3> : Addictions (fix-adult)

(F/F) Révisions au chalet <3> : Addictions (fix-adult)

Natalya venait de plonger dans le vice, sous la houlette de ses deux amies, en cet fin de 4ème jour de cette semaine de révisions !

Cette fin de séjour promettait une grande vague de chaleur dans le chalet !




(F/F) Révisions au chalet <1> Sensations (fiction)

https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=23&t=21381

(F/F) Révisions au chalet <2> Explorations (fiction - adulte)

https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=23&t=21392



XxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxX



Révisions au chalet <3> : Addictions - (fiction - adulte)



Toujours saucissonnée sur mon banc, je m'apprêtais à interpeler les filles, lorsqu’au moment précis où j’ouvris la bouche une boule de tissus s’y engouffra :

- “Mmmhhhffff !”

Et pour caler la boule, je sentis un bandeau être noué en couvrant ma bouche, puis la voix de Clarisse, en mode “directrice” me mit au parfum :

- “Vu la sonorité vocale de vos rires, mademoiselle Natalya, il est nécessaire de prendre cette précaution pour ne pas subir un traumatisme sonore !”

J’étais résignée, de toute façon je n’avais pas le choix, et puis la situation était réellement excitante tout de même, même si je ne savais pas trop à quoi m’en tenir.

Par reflex je m’étais un peu crispée et je craignais que mes ballerines me soient retirées dans l’instant, ce qui n'arriva pourtant pas immédiatement.

Ce fût mes seins qui reçurent les premiers honneurs : je ne mis pas longtemps à reconnaître la sensation d’une plume, plus exactement l’une des dernières plumes qui avaient taquiné mes pieds le premier jour, après la pédicure.

Les premiers effets ne mirent pas longtemps à se faire ressentir : une douce sensation commençait à irradier mes seins et avait tendance à persister en une sorte de fourmillement similaire à celui que je ressentais sous mes orteils.

Je ne savais pas si ma “collègue de révisions” Amber, participait ou regardait pour le moment; mais ce que moi je réalisais c’est qu’il était plus qu'évident qu’autant mes aisselles et mes côtes n’étaient pratiquement pas chatouilleuses, autant mes seins seraient, à ma plus grande surprise, une zone potentiellement chatouilleuse !

C’était amusant de réaliser que mes seins étaient si sensible alors que mes aisselles presque pas du tout et dès que la plume taquinait l’un ou l’autre de mes aréoles, je ne pouvais m'empêcher de laisser échapper de petits gémissements.

Je ne peux pas dire que je pouvais me cambrer étant bien solidarisée au banc, mais mon corps trahissait ses réactions par des crispations violentes ou des cris étouffés.

En tout cas le cocon vinyle était impressionnant d'efficacité !

Le jeu de plumes ne dura pas tellement longtemps et mes chères cop’s tortionnaires cherchaient un contact plus physique : deux mains “différentes” prirent possession de mes seins en me faisant de nouveau gémir un peu plus fort.

- “Hhhhffffmm !!!”

Les caresses et attouchements alternaient : tantôt douces et sensuelles, tantôt prenant une connotation plus sadique, lorsque mes tétons étaient tiraillés ou pincés, ou lorsque mes seins étaient un peu malmenés, comme un pétrissage vicieux.

Mais d’un coup les filles changèrent totalement de tactique, me chatouillant les seins franchement, en me faisant me crisper violemment et partir dans un fou rire étouffé :

- “Mm… mh… fff… hhiii… hhm… iihhh… ffff… mmm... !”

Depuis le début du séjour, j’avais découvert ma sensualité et ma sexualité, mais ma surprise fût de découvrir à quel point j’étais réactive et que mon plaisir me faisait mouiller terriblement, sentant mon entre-cuisse déjà bien moite.

Les filles se consacrèrent ainsi à mes seins pendant de longues minutes, ayant réussi à m’amener à la limite de l’orgasme, mais sans me faire jouir : dans cette état, avec le peu de clairvoyance que j’avais encore, je me rendis compte que tout mon corps était devenu “hyper sensible”; mains l’un des effets les plus surprenants sur mes seins fut cependant cette espèce de rémanence sous les caresses de mes chéries : leurs attouchements m’irradiaient et semblaient persister comme un écho en ne s’estompant que très lentement.

Si l’on peut dire, l’excitation accroissait ma réactivité, car même sans qu’elles ne sollicitent d’autres parties de mon anatomie : l’épiderme de mes zones stratégiques captait toutes choses autrement et en particulier le contact du nylon sur mes pieds.

Dés que je remuais un peu fort, le cocon vinyle me faisait une sensation étrange sur les cuisses et les jambes, et quand je remuais mes pieds, j’avais toujours l’impression que mes ballerines, qui étaient un peu trop grandes, allaient s’envoler de mes pieds en glissant.

Les chatouilles s'atténuèrent et revinrent en caresses, qui diminuèrent peu à peu et je pus reprendre un peu mon souffle.

De nouveau des bruits étouffés de chaise, de murmures et de rires me parvenaient étouffés aux oreilles, annonçant de nouveaux préparatifs de la part de mes chéries.

Je m’étais à nouveau un peu crispée, car c’est indubitable que cette fois mes pieds allaient être le centre d'intérêt de ma traîtresse de collègue et de la perverse directrice et effectivement je sentis un gros cousin se placer sur mes tibias.

Un commentaire faussement acerbe de “Miss Clarisse” inaugura cette seconde partie de ma punition de vilaine collégienne :

- “Ainsi donc, puisque mademoiselle Natalya a fomenté de me chatouiller...”

Un court silence, le temps de sentir une de mes deux chéries s'asseoir confortablement sur le coussin, à cheval sur mes tibias…

- “... et qu’en plus cette écolière sans cervelle n’a pas intégré la notion de devoir ne pas exhibitionner ses pieds...”

… je crispais alors mes orteils de toutes mes forces, provoquant un petit ricanement sadique de la part d’Amber, tandis que Clarisse finissait de dire :

- “... je vais devoir sévir sans pitié et vous punir contre mon bon gré !”

A peine la phrase finit que je ressentais une traction du talon droit de la ballerine, appliquée avec une lenteur sournoise : je sentais le cuir glisser progressivement sur la fine soquette de nylon tandis que je crispais mes orteils de plus belle tout en songeant :

- “Contre son bon gré ??? Je suis morte de rire !”

Mais j’avoue que cette magnifique mise en scène était absolument merveilleuse et me faisait prendre goût aux jeux érotiques et aimer mon corps !

La vision de ma crispation “inutile” provoqua un nouveau petit rire vicieux chez Amber et un commentaire ponctué de Clarisse :

- “Ah bon, c’est ainsi ? Il semble que mademoiselle Natalya se rebelle et veuille faire preuve de résistance ?”

En même temps qu’elle parlait, l’arrière de la ballerine se dégagea de mon talon. mais au lieu de me la retirer totalement elle la laissa en place.

Immédiatement je secouais mollement mon pied pour essayer de remettre la ballerine, mais ce fut peine perdue car le cuir trop souple ne voulait pas reprendre sa place sur mon talon, pour que je puisse me rechausser.

La seconde ballerine se trouva bientôt dans le même état que sa jumelle et je me souvins aussi à ce moment que c’était aussi un peu ce que j’avais fait à Amber, quand tout à l’heure, j’avais ses pieds offerts à ma disposition..

“Mademoiselle la Directrice” commenta alors :

- “Voici donc mademoiselle Amber, un cours pratique sur l’art et la méthode des supplices de chatouilles aux pieds.

Prenez donc exemple, attentivement : vous me regardez et vous reproduirez les exercices scrupuleusement et surtout sans état d'âme, est-ce bien compris mademoiselle ?”


Je ne pus réprimer un tressaillement de surprise : ce serait donc mon sort que tout ce que j’allais subir serait doublé !

Amber dans son simulacre de voix de fillette suraiguë, malgré son accent américain :

- “Je suis toute attentive mademoiselle la directrice !”

Mais décidément, quelle mise en scène extra que les copines avaient mis en place !

Tandis que je sentais que celle des deux qui était installée sur mes tibias ajustait son assise, les premiers attouchement de “miss Clarisse” se firent sentirent sur ma cheville gauche : une main à droite et une main à gauche qui commencèrent à caresser la cheville, les malléoles, délicatement du bout des doigts, à la limite du liseré dentelle qui bordait mes socquettes.

Mes premières réactions ne se firent pas attendre : je recommençais déjà à pouffer doucement, et mon pied se mit à tressaillir en remuant de plus en plus, tant j’étais sensible et alors que les attouchements n’étaient encore qu’un doux titillement.

Le plaisir que j’éprouvais à cette situation ne tarda pas à se faire sentir dans mon bas ventre et je sentais les doigts vicieux de ma tortionnaire commencer à approcher du talon, mais toujours évoluant de part et d’autre, sur le fin nylon de la socquette.

- “Hhhmm… mmhh… mmmfff… ffffhhhmm !”

Mes gloussements étouffés devenaient peu à peu des gémissements plus sonores et mon pied se mit à remuer de façon plus nerveuse et plus désordonnée : il commençait à s’affoler et son frère commençait à s’agiter aussi.

La ballerine de mon pied gauche se mit à balloter doucement, c’était inévitable, tandis que le fourmillement continuait de prendre de l'intensité alors que les doigts fouineurs s’avançaient vers l’arrondi du talon mais aussi doucement vers le creux de la plante de mon pied.

“La directrice” commenta, en haussant un peu la voix, pour couvrir mes gémissements :

- “Voyez-vous mademoiselle Amber : on progresse doucement, en allant progressivement vers les zones les plus sensibles...”

Et Amber, répondant en simulant toujours la fillette à la voix suraiguë, tout en se dandinant mollement sur mes tibias :

- “Ho oui mademoiselle, je comprend... et j’apprends : c’est très intéressant !”

Les doigts délicats de Clarisse étaient maintenant dans entre la zone du talon et la zone de la plante du pied, là où commence aussi à se dessiner le coup de pied : elle me prodiguait ses attouchement toujours du bouts des doigts, quand elle se mit à commenter de nouveau à l’attention de son “élève” :

- “Comme vous pouvez voir, mademoiselle Amber, là je travaille du bout des doigts et vous pouvez déjà observer certaines réactions...”

Amber toujours avec sa petite voix de fausset :

- “Oui, oh, oui mademoiselle, je comprend... Je vois… Mais… heu… Mademoiselle, puis-je poser une question s’il vous plaît mademoiselle ?”

Rigolant en moi-même, je me dis :

- “Quelle fayotteuse cette chipie d’Amber !”

Clarisse, toujours avec son ton de professeur hautaine :

- “Oui mademoiselle Amber, je vous écoute ?”

Amber : - “Hé bien, heu… Mademoiselle, je pense que… que si on commence à mettre les ongles cela doit… cela devrait être beaucoup plus terrible ?

Ou du moins, j’imagine… mademoiselle la directrice ?”


Clarisse : - “Ho bien sûr mademoiselle Amber, vous êtes perspicace et nous allons y venir d’ici un petit moment !

Vous verrez que cela va être très intéressant !”


Amber : - “Oui.. Oh oui, mademoiselle, tout ce que vous m'apprenez est tellement intéressant et enrichissant !”

Et elle se mit à glousser comme une petite fillette, tout en se dandinant sur mes tibias.

Et les doigts d’Amber de remirent en action, me provoquant une crispation nerveuse du pied gauche, qui se remit à gesticuler de plus en plus, entraînant la ballerine dans un ballotage de plus en plus intense : je la sentais qui dansait, encore accrochée sur mes orteils et son mouvement oscillant la faisait glisser de plus en plus sur la fine socquette.

Ces attouchements durèrent quelques longues minutes, où les doigts de promenaient sur les faces externes et internes du pied simultanément, mais malgré les secousses de mon pied, la ballerine n'était pas encore tombée.

“Mademoiselle la directrice” Clarisse se remit à commenter alors :

- “Comme vous le constatez, mademoiselle Amber, il semble que nous ayons atteint une première limite…”

Marquant une courte pause, puis reprenant, d’une voix faussement attristée :

- “... je vais donc devoir me montrer… disons… plus sadique… et ce n’est pas de guettée de coeur pourtant...”

A ses mots je répondis par une nouvelle crispation inutile de mes pieds, en me raidissant sur le banc, coincée par le vinyle et les fesses d’Amber sur mes tibias.

Clarisse ajouta, d’une voix résignée :

- “...mais… voyez-vous... mademoiselle Amber… une punition est une punition… et je dois me montrer ferme et intransigeante pour votre éducation !”

Amber toujours en fillette :

- “Oui mademoiselle, oh bien sûr... je comprend... c’est… triste… mais c’est normal... puisque Natalya ne vous a pas obéit...”

Mais la phrase de ma “copine de classe” se perdit quand ma crise de rire aigu se déclencha dans la soudaine attaque des ongles de Clarisse qui se mit à grattouiller sadiquement mon talon de part et d’autre, sous la malléole :

- “Mmuuhh… iiiihhhh… fffhhh … hhiii… hhuuuum… iihhh… ffff… mmmwww... hhhaaaannn… hhhhiiiiihhh… !”

L’effet de surprise fut foudroyant et mon fou rire instantané, mais ce fût la ballerine du pied droit qui sauta la première en moins de dix secondes, car mes deux pieds étaient parti dans une chamade, même si mon pied gauche seul était pris à parti !

Clarisse réduit un peu l’intensité de son attaque, pour que je puisse “encaisser” son traitement punitif, qui dura encore de longues minutes : la boule de tissus que j’avais dans la bouche était trempée, je bavais et j’avais des larmes qui coulaient de mes yeux tant j’étais sous l’emprise d’un rire saccadé, mais incessant :

- “Hhééé hhmm hhho ooohh hiii iiiiiihh hhmmm aaahh… !”

Elle s’amusait ainsi à grattouiller et titiller de ses doigts fins sous mes orteils, au travers du fin nylon de la socquette, alternait des passages plus ou moins furtifs sous ma plante, elle s’offrait les courbes sans callosités de mon talon, revenait sous la plante ou les orteils, tandis que pour ma part, je ne pouvais que constater que mon excitation continuait crescendo; mais mon supplice s’arrêta avant que je ne jouisse…

Tandis que je reprenais mon souffle lentement, je sentis que les filles devaient intervertir leurs places tandis que “Miss Clarisse” commenta :

- “Or donc, mademoiselle Amber, vous allez passer à la pratique !

Je vous corrigerais au besoin...”


Amber toujours répondant en mode fillette :

- “Bien entendu, mademoiselle la directrice, je ne vous décevrais pas et je vous obéirais en tout pour vous satisfaire !”

Clarisse, tout en s’installant à son tour sur le coussin sur mes tibias :

- “Par contre étant donné que mademoiselle Natalya a déjà perdu ses ballerines, nous allons élargir l’expérimentation aux différentes sensations entre la peau nue et les pieds couverts de fins nylons !”

Amber : - “Je suis toute ouïe, mademoiselle !”

Clarisse : - “Voyez, mademoiselle Amber, nous allons jouer avec la socquette du pied droit pour entamer vos exercices pratiques...”

Et je sentis Clarisse qui faisait glisser l'élastique de la socquette à la limite de mon talon, puis une petit tension du nylon au niveau des orteils, gestes ponctués par un nouveau commentaire qui me permettait de comprendre ce que faisait les filles :

- “Mademoiselle Amber, vous allez pouvoir passer à la pratique : comme vous le voyez, je vais tenir légèrement en tension la socquette et indubitablement lorsque mademoiselle Natalya va remuer son pied droit, la socquette va finir par glisser et nous livrer son petit pied nu !”

Ce coup là Amber ne put réprimer ses anglicanismes :

- “Wwwhhhooo Very good ! Really vicious !”

Amber avait aussi des ongles bien faits, mais moins longs que Clarisse, et tout comme “notre directrice d’étude” l’avait montré elle commença à jouer autour de mes malléoles : mais cette vicieuse m’entreprit directement du bout de ses ongles, provoquant directement mon fou rire saccadé et le battement désordonné de mon pied :

- “Hhiii… hhhoooww... ooouuuuww... hiii… iiiiiihh… aaahhiiii… mmmhhhhoo… nnnaaahhh !”

A chacun de mes mouvements du pied droit un peu trop sec, la socquette glissait, Clarisse réajustant sa tension au fur et à mesure, et je sentais déjà la moitié de mon talon dénudé.

Amber, volontairement ou par nature, se montrait moins patiente, moins sensuelle et raffinée que Clarisse malgré tout, et elle cherchait mes réactions moins subtilement : dés que mon talon commença à se livrer, à demi dénudé, elle se mit à gratouiller ma peau, au fur et à mesure que le nylon glissait.

Mon rire monta dans les aigus et je recommençais à baver, mais aussi à transpirer dans le chaud cocon de vinyle.

Mon excitation ne diminuait plus et j’avais le sentiment qu’un orgasme allait finir par m’emporter sous le supplice qui prenait de l’intensité : plus la socquette glissait, plus Amber approcher de ma plante de pied, plus je sentais mon plaisir couler et j’avais peur de ne plus savoir si je risquais d’uriner ou de jouir.

Amber ne jouait que de deux doigts dans le coeur de ma plante mais c’était horrible, un mouvement brusque avait fini par m’arracher la socquette tendue par Clarisse et une seconde paire de doigts vinrent forcer le passage de mes orteils crispés et tout juste dénudés en s’insinuant vicieusement entre chacun d’eux !

- “AAhh ooouhh mmiiihhmhh... fffhhh iiihhhhuuu huu... hhhoouu hhuumm... hhouu aahhhh mm hhhuuu... mffff iihhh hhooo… Rrrrrhhhaaaaaaa !!!”

Il ne me fallut que quelques secondes pour que ce supplice sadique d’Amber me fasse exploser en un orgasme puissant que je n’aurais jamais imaginé sous les chatouilles en lâchant les flots de ma jouissance !!!

Mais les filles avaient décidé de pousser le vice et le supplice à son paroxysme : deux mains (vraisemblablement celles de Clarisse) entreprirent mes orteils pour les maintenir en arrière, mettant ainsi mes deux pieds en extension, plantes tendues, l’une dénudée et l’autre sous la fine étoffe de nylon, offertes aux ongles d’Amber qui se mit à les grattouiller impitoyablement, pendant de longues minutes qui m'entraînèrent dans un deuxième orgasme plus violent encore que le premier, me laissant à la limite de l'inconscience.

Bien que solidement assujetti au banc, la secousse de mon orgasme avait dû alerter Clarisse qui cria à Amber :

- “No Amber, stop-it now !”

Je ne sais si c’était un code, mais Amber stoppa immédiatement : je m’étais totalement lâchée, j’avais sans doute un peu fait pipi, beaucoup jouit, beaucoup bavé et pleuré, bref j’étais complètement annihilée physiquement !!!

Je restais longuement amorphe sur le banc tandis que les copines me libéraient, dégageant ma bouche en premier pour que je puisse respirer plus facilement et j’entendis vaguement la voix de Clarisse :

- “Heu ça va Naty ? Toujours en vie ? Pas trop secouée ?”

J’ouvris la bouche pour ne laisser qu’un gémissement sortir, reprenant mon souffle encore saccadé, mais je réussi à affiner un petit sourire : j’étais vraiment en “PLS” comme on dit.

J’entendis Clarisse houspiller Amber, tandis qu’elles me libéraient de ma prison de plastique :

- “Putain Amber, là tu déconnes, pour la première fois, tu aurais pu y aller un peu mollo quand même, merde tu...”

La voix encore un peu étouffé, je l'interrompis tout de même, en bafouillant :

- “Non Clarisse… ça va… c’était… divin… hyper intense... mais divin… vraiment… merci… merci les copines...”

Je repris une longue inspiration pour continuer :

- “Heu… je vais… nettoyer… laissez… laissez moi juste... reprendre...mes esprits… un peu...”

Amber, la voix un peu gênée lança :

- “Heu… I’m… I’m sorry, Excuse-me Naty...”

Prenant une nouvelle grosse inspiration, je dis, la voix plus claire et plus joviale aussi :

- “Non Amber... ne t’en fais pas ! Ça va… Je n’aurais jamais imaginer... de sensations si intenses et… et aboutir non plus... à un tel plaisir…”

Je m’interrompis pour reprendre une profonde inspiration et dire :

- “… vous m’avez fait... un sacré cadeau... cette semaine les chéries...”

Je finis par m’assoir sur le banc, chancelante et Clarisse vint m'embrasser sensuellement sur la bouche, puis m’aida à me lever en disant :

- “Tu go la douche : ton peignoir est dans ma chambre et tu reviens souper !

Avec Amber on gère le repas et le reste !”


Amber vint m’embrasser à son tour et je pris le couloir, encore un peu titubante, m’appuyant de temps à autre sur le mur.

Ereintée, mais ravie, en voyant la pendule dans la salle de bain, j’avais estimé que j’avais passé plus de deux heures attachée : quel moment fantastique !

J’avais fini par rejoindre mes deux amies à la cuisine et nous avons souper tout en nous remémorant cette journée un peu fofolle.

Clarisse m’avait discrètement fait du pied tout le repas : il se passait à l’évidence quelque chose de fort entre nous deux, malgré qu’elle m'ait avoué être libertine; et d’ailleurs, me concernant, je la rejoignais dans ce sentiment, car si les jeux avec Amber me plaisaient énormément, j’avais réellement envie de quelque chose de plus avec Clarisse.



XxXxXxXxXxXxXxX



Ce soir là, après souper, ce fut pour moi un aller direct au lit : j’étais vidée.

J’avais dormi d’un lourd sommeil sans rêves et je m’étais réveillée un peu plus tôt du coup : ce qui me laissa le temps de trainer sous la couette, au chaud, et de repenser à toute cette journée qui m’avait épanouie.

Je me mis à penser à Clarisse et tout en même temps je commençais à me rendre compte que j’avais des pulsions un peu sadique, car si j’avais aimé ce que j’avais subit, j’avais envie de faire subir un sort équivalent à ma chère Clarisse.

J’entrepris de mettre mon peignoir et mes petites ballerines molletonnées et de faire une incursion dans la chambre de Clarisse : j’avais un peu peur de la jalousie éventuelle d’Amber, mais mon désir pour Clarisse était trop fort.

Je réussis à gagner la chambre de Clarisse sans que le parquet du couloir ne craque trop et de même je pus ouvrir sa porte dans un grincement très faible.

J’y étais et durant quelques secondes, je me tins pensive, accroupie près de la porte, tout en la regardant enfouie sous sa couette :

- “Est-elle nue ? Dort-elle vraiment ou somnole t’elle ? Ho elle bouge... Mais… Oui… Je… Oui c’est cela : je vais essayer de défaire le bas de la couette, elle est à moitié débordée, je pourrais voir ses pieds !”

J’avais de la chance car malgré son lit à barreaux, comme Clarisse était un peu de travers dans sur son matelas, un de ses pieds était quasiment au bord : je n’avais plus qu’à soulever la couette pour voir l’objet de mes toutes nouvelles convoitises !

A quatre pattes je me glissais jusqu’au coin du lit qui m'intéressait : j’étais un peu fébrile et mes mains tremblaient légèrement quand je me saisis de l’angle de la couette pour le soulever délicatement et dévoiler le pied.

Malgré la pénombre, la différence de couleur me révéla immédiatement que ma Clarisse avait ses jambes finement nylonnées : bas ou collant, je ne savais pas, mais peu m’importait.

Rien que du spectacle, je me mis à ressentir une douce chaleur dans mon bas ventre et je me mis à approcher alors mon visage du pied pour le sentir : je n’avais pas vu qu’une mèche de mes cheveux pointait tout juste vers les orteils et au moment où j’allais embrasser délicatement le talon, le pied remua mollement.

Clarisse bougea dans son lit et j’eus peur de voir disparaître profondément le pied sous la couette : mais tout en contraire, en étendant sa jambe, le pied se mit à dépasser du matelas.

- “Hhhhmmm superbe ma Clarisse !”

Je connaissais les pieds de ma chérie : fins, déliés, très cambrés et une plante creuse et plissée, malgré son jeune âge, avec des talons légèrement plats, mais sans aucune callosité et toujours parfaitement soignés; mais là je savourais l’instant d’en être aussi proche.

Il en émanait une douce odeur de nylon chaud légèrement teinté de la transpiration de la nuit dans le lit surchauffé : je ne pus m'empêcher de déposer un délicat baiser sous son talon.

J’avais honte car il était encore un peu tôt et je ne savais pas si les filles s'étaient couchées beaucoup plus tard, mais je pourtant je mourrais d’envie de la chatouiller pour la réveiller.

En évitant soigneusement la plante, j’entrepris tout de même de commencer à caresser son pied et advienne que pourrait.

Dès le premier contact avec le fin nylon j’eus la chaire de poule, c’était divin, ce pied de Clarisse qui s’offrait à moi : du bout de mon index et de mon majeur j’en effleurais les contour délicatement, fébrile et tremblante.

Par moment son pied tressaillait mollement, mais tans pis, j’en avais trop envie et je dirigeais mes attouchements maintenant un peu plus vers le dessous des orteils ou sous le talon.

Je l’entendis gémir et elle remua à nouveau dans son lit : son second pied vint se placer timidement à l’endroit où la couette était rabattue et tout le dessous m’était devenu accessible.

Je ne pus me retenir de passer une main entre mes cuisse pour constater que je commençais à être déjà très moite et je ne pus réprimer un gémissement à mon tour.

Je n’en pouvais plus et je savais que je n’avais pas grand chose à perdre, sinon de réveiller Clarisse un peu tôt et qu’elle me le fasse payer : je me pris au jeu alors de faire avancer ma main gauche à plat, ondulant sur drap comme un serpent, pour approcher de la plante du second pied qui venait de se montrer à moi.

Je tendis mon index pour parcourir la partie la plus creuse de la plante, en partant du côté des orteils et en glissant furtivement vers la zone du talon : son pied tressaillit plus vivement avec un nouveau gémissement de la part de Clarisse.

Je refis un second passage, identique provoquant la même réaction, ce qui commençait à m’amuser beaucoup.

J’entrepris donc un troisième, puis un quatrième passage, mais dans un laps de temps plus rapproché, ce qui provoqua cette fois une réaction différente : le pied disparut sous la couette pour réapparaître presque aussitôt, longeant doucement la jambe déjà tendue, jusqu’à venir sagement se placer parallèlement à coté de son jumeau.

J’étais aux anges : volontairement ou pas, Clarisse venait de m’offrir ses deux plantes de pieds dans leurs écrins de nylon anthracite.

Je me remis à faire mes petits attouchements, alternant un pied, puis l’autre, délicatement, pour ne pas engendrer une chatouille trop forte pour le réveille : j’essayais d’être au seuil de la caresse, juste pour que ma chérie ressente un fourmillement.

J’étais tellement obnubilée par les pieds de Clarisse que je n’avais pas réalisé qu’elle s’était éveillée et avait tenue cette position pour s'offrir à moi, en me laissant jouer avec ses pieds.

Elle tressaillait et gémissait de plus en plus et parfois un de ses pieds se dérobait et revenait rapidement se positionner, jusqu’au moment où je finis par entendre sa douce voix encore un peu ensommeillée qui susurrait sensuellement :

- “Naty chérie, si tu veux en profiter, tu peux !”

Pourtant, à cette instant, je n’avais que le désire de caresser sensuellement les pieds de Clarisse, juste partager un moment de tendresse et de douceur, elle et moi en toute intimité.

Au bout de quelques minutes, moi toujours caressant avec un énorme plaisir ses pieds livrés : Clarisse se retourna sur le dos et ses deux pieds revinrent se livrer à moi.

Elle se mit à gémir doucement et en relevant la tête, je vis la bosse de sa main sous la couette venir s’attarder vers son entre jambe.

Même si l’envie de la chatouiller me tentait énormément, je pris le parti de plutôt la caresser mais je voulais aussi goûter ses pieds au travers du nylon et je me mis à lécher ses plantes et ses talons, à sucer ses orteils.

Elle retira soudain ses pieds et se redressa en gémissant :

- “Naty chérie, il vaut… arrêter… Amber risque de se réveiller...”

Elle sortit de sa couette, entièrement nue, juste en bas, et tenant un godemichet dans sa main.

Elle s’approcha de moi, à genou sur son lit, m’embrassa et dit d’une voix douce :

- “Je t’aime, depuis le premier regard posé sur toi et même si je suis “sex-friend” avec Amber, je m’étais tournée vers elle car physiquement elle me rappelait toi.

Mais là je découvre la sensualité que je ressentais... en toi… et je... souhaite... que….”


Sa voix se serra et elle se mit à trembler dans mes bras et je n’eus pas de mal à percevoir une réelle émotion tandis qu’elle commençait à bafouiller.

C’est à la limite d’un sanglot ému que je lui interrompis la parole en hoquetant à mon tour :

- “Clarisse… heu… je... moi… aussi… j’ai… eu… depuis… toujours une… un… désir… une attirance… des… heu… sentiments pour… pour… pour toi...”

Et nos voix s’étouffèrent dans un baiser amoureux profond.

Un éternuement très bruyant de la chambre voisine nous sortit de notre moment intime : Amber se réveillait.

Un nouveau baiser et je pris la fuite vers ma chambre en ajustant mon peignoir.

J’étais émue et une toute nouvelle relation s’ouvrait entre mon amie de toujours : comment pourrais-je faire face à Amber maintenant et comment Clarisse allait agir aussi ?

Un sms de Clarisse fit vibrer mon téléphone sur ma table de nuit :

- “Natalya, mon coeur, nous allons essayer de garder nos sentiments réels cachés : pour le moment soyons “sex-friend” à trois, avec Amber et nous verrons l’évolution.

Petit à petit j’espère que nous pourrons nous éloigner d’Amber et vivre pleinement notre relation à nous !”


Je lui répondis :

- “Clarisse chérie, si tu veux en profiter, tu peux : pour ma part je ferais tout ce que tu voudras, du moment que je suis avec toi !”

Réponse :

- “Merci chérie : je te promets que je ferais tout ce que je pourrais pour toi !”

Je répondis :

- “Je suis toute à toi et je te fais totalement confiance !”

Songeuse, je me doutais que nos jeux à trois seraient passionnants et vicieux, mais j’aspirais plus personnellement à l’amour de Clarisse et je savais maintenant que ces sentiments intimes seraient réciproques.

Néanmoins, en attendant, la fin de la semaine allait sans doute me laisser des souvenirs sublimes et c’est sur cette pensée que je pris la direction de la cuisine pour commencer à préparer le petit déjeuner pour les copines.



XxXxXxXxXxXxXxX



La journée s’annonçait plutôt belle et Clarisse et Amber envisageait de s’offrir une matinée sur les planches : il était encore assez tôt et la première station n’était pas loin du chalet.

C’est Amber qui me tendit une belle perche, à la fin du petit déjeuner, avec son accent américain :

- “Natalya, puisque tu n’es pas fan de glisse, si tu veux, tu pourras choisir un tête de jeu pour notre après midi de révision...”

Et Clarisse prit le relais en disant :

- “Nous savons que tu vas bosser un peu ce matin pour t’avancer et cet après midi nous bosserons aussi, mais nous pourrions envisager la soirée avec un thème comme hier les school-girls, si tu trouves l’inspiration ?”

Et Amber renchérit :

- “You can… Tu peux voir mes affaires : je te fais confiance !”

Et elle ajoute d’une voix plus vicieuse :

- “And now, I know you’re a little hussy… tu es une little coquine… and you are in our secrets dear !”

Essayant de cacher mon excitation je laissais malencontreusement échappé la réponse suivante qui me fut fatale :

- “Et bien je ne vais pas vous priver de votre plaisir d’aller skier et moi je ferais la petite soubrette et je vais ranger la cuisine et préparer le repas de midi, pour vous réchauffer !”

Je n’avais pas réellement réalisé ce que j’avais dit, mais Clarisse elle s’engouffra dans la brèche en riant vicieusement :

- “Oh ça… c’est une super bonne idée : ce soir tu seras notre soubrette… Hum d’ailleurs non, pas que ce soir… mais dès notre retour !

Tu seras la soubrette de deux rombières bourgeoises ! C’est décidé !!!”


Dans ma tête mon sort était scellé, j’étais la victime toute désignée ; mais je ne dis rien, me contentant de sourire à mes antagonistes joviales.

Elles retournèrent à leurs chambres se préparer pour le ski et vinrent m’embrasser avant de partir, tandis que je me préparais à me faire mon programme de révision de la matinée : je m’étais imposée trois heures de révisions avant de m’amuser et les filles ne rentreraient que vers le début d'après midi…

Seule et au calme, j’avais réussi à me conditionner pour travailler correctement et j’avais réussi à faire tout le pavé de révisions que je m’étais fixé.

Après le rangement de mes affaires de cours, j’allais en cuisine pour préparer le repas et mettre la table : nous avions prévus une fondue pour le jour où les copines feraient du ski et donc comme tout avait été anticipé j’avais peu à faire et il me restait pas mal de temps pour farfouiller dans la chambre d’Amber.

La conscience enfin tranquille je me rendis à la chambre de notre américaine vicieuse, pour découvrir plus en détail un peu son petit monde : j’avais très envie de devenir une soubrette aguichante et sexy, pour plaire à ma chérie Clarisse surtout, je voulais mettre le paquet !

Même si les jouets sexuels m'intéressaient, je pris le parti de me concentrer sur ma tenue et au bout d’un petit quart d’heure d’exploration, j’avais trouvé : une paire de bas couture noirs, des petites soquettes dentelle blanche, un porte-jarretelle blanc en dentelle, une jupette plissée qui devait arriver à la hauteur de la lisière des bas, un chemisier blanc transparent, un petit tablier blanc, une paire de mitaine dentelle noire et un petit serre tête coordonné et même un joli plumeau pour la touche décorative.

J’avais ensuite tout disposé sur mon lit pour me préparer, avant une bonne douche.

Avant tout, je pris la direction de la salle d’eau, pour me pomponner : pour la première fois, je voulais aussi me faire une touche de maquillage discrète.

Sous l’eau, je me sentais déjà tellement excitée, que je ne pris pas le risque de me caresser : j’avais trop peur de jouir prématurément et de perdre en partie cette excitation que je voulais préserver pour jouer avec mes chéries.

Une fois séchée et timidement maquillée, je reviens à ma chambre pour me préparer : j’y met une application toute particulière, veillant à ce que les mailles des bas soient bien alignées.

Une fois habillée, je me regarde dans la glace de ma penderie et réalise qu’il me manque un accessoire d’importance :

“Oh flûte… j’ai oublié…. oh… des mules… à l’évidence, ce serait le plus en adéquation…”

Emoustillée je repris le couloir pour la chambre d’Amber : une paire de mules qui me seraient sans doute un peu grandes, mais qui offrirait la vulnérabilité de mes pieds à mes comparses.

Je n’ai jamais mis de chaussures aussi ouverte et je choisi alors la paire la plus adéquate à ma tenue : une paire de mules noire à petit talon carré de quatre centimètres environ.

Pour m’y familiariser, je commence à marcher avec dans la chambre, puis retourne vers le salon : les filles ne devraient pas tarder à rentrer de leur matinée de ski…

Outre de déambuler dans le chalet pour m’habituer aux mules, je me met dans l’esprit d’une soubrette : je devrais être docile, obéissante, tout en imaginant que mes fausses notes pourraient être punies...

Livrée à moi même pour le moment, je m’ébahissais à tous ces changements de ma vie, durant ces quatre derniers jours : mon homosexualité, je m’en doutais un peu, mais le fétichisme, les chatouilles, les pieds, quelle surprise pour moi !

Pour en revenir aux mules, tout en déambulant avec, et en y trouvant de plus en plus de plaisir, cette sensation sur mes pieds faisait accroître mes nouvelles pulsions fétichistes.

Il ne me fallut pas trop de temps pour finalement m’habituer et même arriver à adopter une démarche un tantinet provocatrice, si bien que dès que les copines arrivèrent, j’étais au pas de la porte, pour les accueillir comme il se devait.

Je fus ravie de leurs têtes en me découvrant, tant et si bien qu’à peine arrivées, remisent de leur surprise et quasiment sans rien dire, elles montèrent se changer pour incarner mes deux garces de rombières, dans notre mise en scène du jour.

Vu l’heure, je me mis à l'oeuvre à la cuisine en attendant que mesdames soient rendues, pour commencer mon service.

Au bout d’une vingtaine de minutes des bruits de talons dans les escaliers attirèrent mon attention, me donnant le signal du début du jeu.

Ma Clarisse chérie arborait une tenue similaire à celle de la directrice de nos jeux de la veille et dès son entrée dans la cuisine sa voix directive claqua :

- “Ah voilà qui est bien mademoiselle Natalya… Je reçois ce jour ma cousine américaine et j’espère que votre service sera irréprochable !”

Je m’inclinais respectueusement tandis qu’elle allait s'asseoir : la mise en scène était si parfaite que je n’avais placé que deux couverts en tête à tête.

Amber entra, moi distinguée que ma chérie Clarisse, mais très élégante tout de même dans un tailleur et dit d’un air assez hautain avec son accent :

- “Ho dear cousin Clarisse, I hope that your maid is really irreprochoachable !”

A peine installée qu’elle commencèrent à se faire du pied et à jouer sous la table ce qui m’excita presque instantanément : je devais pourtant rester vigilante car j’étais la soubrette et elles ne manqueraient pas le moindre prétexte pour s’en prendre à moi…

Ma première erreur fût de vouloir servir la maîtresse de maison en premier, au lieu de son invitée : j’avoue que pour le coup, j’avais loupé le protocole.

A peine repassée du côté d’Amber, pour la servir, que celle-ci passa sa main sous ma jupe, sans vergogne et commença à me caresser l’entrecuisse en forçant un peu le passage, me faisant lâcher un petit cri étouffé en un sourd grognement :

- “Ahhh…. mmmmhhhhfffffff !”

Cette chipie de Clarisse, me voyant sursauter, compris sans problème ce qu’il m’arrivait en se saisit de l’occasion pour me houspiller :

- “Mademoiselle Natalya, je vous serez reconnaissante de servir en silence et de ne pas incommoder mon invitée !”

Et Amber, histoire d’en remettre une couche, ajouta, sans masquer son accent :

- “Ah ma cousine, saviez vous que votre maid… heu… soubrette ne portait pas de culotte ? Ce peut-il ? ”

- “Hé bien cousine Amber, voyez-vous, aujourd’hui le petit personnel n’a plus aucune classe, ni aucun raffinement !”

Et me regardant par dessus ses lunettes, elle me dit :

- “Allez vous donc enfin me servir espèce de petite étourdie ? Ou vais-je donc mourir de faim sous vos yeux ?”

Je ne puis m'empêcher de sourire tant les jeux de rôles étaient magnifiques.

Et tandis que je m’approchais de Clarisse, elle me réprimanda de nouveau :

- “Quelque chose vous fait sourire, mademoiselle Natalya !”

Tandis que j’essayais d’effacer mon sourire de mes lèvres, à peine à ses côtés, que la main de Clarisse plongea sous ma jupe, me faisant sursauter et je me mordis les lèvres, car de façon bien plus adroite et plus en finesse qu’Amber, elle avait réussi à placer son majeur directement sur mon clitoris.

J’étais tétanisée et crispée : si j'écartais les cuisses, elle allait en profiter et si je cherchais à me dérober, je risquais de faire une boulette.

Amber en profita pour remettre une pièce dans le jukebox

- “Si je peux me permettre, cousine, peut-être serait-il de bon aloi d'exercer quelques punitions pour bien dresser votre soubrette : je pratique moi-même certains supplices pour corriger mon petit personnel !”

Dur de rester de marbre quand le plaisir vous tenaille le ventre et que votre sexe est déjà moite, sous les attouchements d’une main diaboliquement adroite !

Clarisse rétorqua, hautaine :

- “Oui ma chère, je crois qu’il le faudra : cela serait une bonne chose et nous procurera un excellent divertissement pour la digestion...”

Je ne puis me retenir de gémir de nouveau et de sourciller, sous les attouchements de Clarisse qui me reprit aussitôt :

- “Quelque chose ne va pas mademoiselle ?”

Amber dit alors:

- “Mademoiselle Natalya, j’ai fait tomber ma serviette !”

Je n’avais plus qu’à me mettre à quatre pattes, sous la table de la cuisine, car je savais pertinemment que je ne pouvais me contenter de me baisser pour ramasser la serviette sans autre forme de procès.

Sous la table Amber avait les jambes croisées et son pied en l’air se balançait nonchalamment, avec l'escarpin qui pendait au bout de ses orteils.

Clarisse avait les jambes un peu écartées et tandis que je me mettais à genoux sous la table, elle se mit un peu de biais.

Amber avait sciemment son pied posé au sol sur un coin de la serviette et n’avait pas l'intention de me faciliter la tâche : je m’en rendis compte en essayant de tirer mollement la serviette, mais celle-ci était bien coincée sous son pied.

Mais à peine étais-je positionnée sous la table, que cette chipie de Clarisse qui c’était silencieusement déchaussée, avait adroitement relevé ma jupe de son pied et insinué ce même pied entre mes cuisses, me faisant pousser un petit gémissement.

Ma position n’était pas non plus inintéressante : sous la table, je pouvais disposer des pieds de mes deux rombières, même si cela allait sans doute m’attirer un rude châtiment en retour.

Essayant de ne pas faire immédiatement cas du pied de Clarisse qui me taquinait intimement, je cherchais un moyen de faire craquer Amber, pour récupérer la serviette coincée : de toute façon, ce qui me semblait le plus adapté c’était de tenter une attaque chatouilleuse.

Tout en me cambrant et en essayant de m’approcher au mieux des pieds d’Amber, je ne pus m'empêcher de gémir plus fortement sous les attouchements adroit du pied de Clarisse qui jouait sensuellement sur mon intimité.

Tandis que mes deux miss papotaient de choses et d’autres, comme si de rien n’était, j’entrepris le pied d’Amber qui coinçait la serviette : d’abord doucement, je me mis à caresser son coup de pied, pour voir comment elle allait réagir.

Hormis un léger gémissement sous l’effet de surprise et quelques bafouillements en parlant, elle ne manifesta aucune réaction particulière.

En même temps que je faisais mes premières armes, je découvrais la joie de jouer les tortionnaires, si l’on peut dire.

- “Il faut que je force un peu, si je veux un résultat !”

Me dis-je, tout en commençant à accentuer mes attouchements sur le coup de pied, mais aussi à insinuer mon index entre le cuir de l’escarpin et la plante.

Les effets escomptés commençaient à se faire sentir : Amber commençait à lâcher de petits gémissements entre-coupant sa discussion avec Clarisse, mais avait aussi de plus en plus de mal à tenir son pied en place.

Son autre pied se balançait sous mon nez et j’eus alors une idée, histoire de tenter une nouvelle attaque : guettant une accalmie de son pied en l’air et déchaussé, j'ouvris ma bouche pour saisir son gros orteil entre mes lèvres.

- “Aiiiee ! Mais cette garce m’a mordu ! Ce peut-il ?”

Couina Amber en simulant.

- “Oui décidément ! Oui cousine, vous devez châtier cette soubrette irrévérencieuse : je vais vous y aider, avec votre permission !”

Et tandis qu’Amber décroissait ses jambes pour se rechausser et se lever, j’entendis Clarisse glousser tout en continuant de me caresser de son pied :

- “Je vous crois et m’en remets à vous, ma chère !”

Amber, de la porte de la cuisine :

- “Je reviens de ce pas : je vais chercher des accessoires nécessaires !”

Et elle disparaît dans un bruit de talons.

J’étais encore sous la table, lorsque Clarisse me dit à voix basse :

- “Tu mouilles comme une cochonnette ! Inutile de te demander si tu prends du plaisir ma petite chérie ?”

- “Inutile !”

Dis-je en gloussant tout en me dégageant pour sortir de dessous la table.

- “Ooohhhhh l’opportunité est trop belle...”

Dis-je en attrapant la cheville de Clarisse.

- “...c’est ce vilain petit peton qui m’a fait gémir !”

- “Quoi ! Tu ne vas pas oser ?”

Me répondit-elle d’un ton que la surprise avait rendu plus aigu.

Et tandis que je calais solidement sa cheville sous mon bras, elle essayait de se débattre mollement en bafouillant :

- “Non Naty...Heu...Tu….Non...Pas vrai...Tu ne vas pahhha hhiiii... hhouuuu...”

Mais elle n’eut pas loisir de finir sa phrase, car c’est assez sadiquement que je me mis à gratouiller le creux de sa plante de pied.

J’étais assez fière de moi et j’avais si bien assuré ma prise que je pus lui chatouiller un peu tout le pied, la plante, sous et entre les orteils et le talon pendant quelques minutes, la tenant dans un fou rire léger mais continu.

- “NNooo… Hiiihh… Aaahh… Pfffhho… Hoouhhhhm... !”

Le hasard faisant bien les choses, j'arrêtais mon attaque, pile au moment où nous entendîmes les talons d’Amber dans l’escalier.

Je sortis vite de dessous la table, me rajustant, prête à la suite des événements, lorsque nous vîmes Amber la mine déconfite à l’entrée de la cuisine :

- “Mauvaise nouvelle les filles...”

- “Quoi ? Que ce passe t’il ?”

Rétorqua Clarisse, moi le regard appuyé sur Amber.

- “Rien de grave, mais je dois être au laboratoire demain !”

Immédiatement Clarisse :

- “Ok on plie bagages et on décolle !”

- “Non Clarisse : je fais mes valises, je vous laisse les jouets, des tenues pour Naty si besoin et tu m’accompagnes à la gare : j’ai le temps de prendre le dernier train...”

Elle nous sourit affectueusement et termine sa phrase :

- “... vous finirez le séjour tranquillement en pensant à moi : vous savez que malheureusement même si je suis encore étudiante, je suis sur un gros projet !”

Je n’osais rien dire, un peu attristée, mais Clarisse reprit avec véhémence :

- “Ne sois pas bête, tu...”

- “Tais-toi, de toute façon tu n’as pas le choix...”

- “Mais je...”

- “Shut-up !”

Et Amber rebroussa chemin vers sa chambre…

Nos regards se croisèrent avec Clarisse et nous ne pûmes nous empêcher un petit sourire réciproque malgré tout : sans parler, nous allions finir le séjour toutes les deux et c’était une belle aubaine.

- “Allons voir si Amber a besoin d’aide !”

Dis-je enfin, en prenant la main de Clarisse et en lui posant un bisou sur la joue.

Et je pris le chemin de couloir et de l’escalier pour monter à l’étage.

- “Tu veux un coup de main Amber ?”

Dis-je en entrant dans la chambre dont la porte était restée ouverte.

Amber nous regarda, un petit sourire un peu triste aux lèvres et dit :

- “Non ça va aller…. Je te laisse la tenue de soubrette tu es superbe et pour le reste je ne prend que ma valise de vêtements : je vous laisse toute le reste !”

Les yeux brillants d’émotions je lui dis :

- “Merci tu es adorable !”

Amber affichant soudain un sourire plus joyeux et son regard redevenant brillant me dit alors :

- “Mais… Je voudrais te demander une petite faveur...”

Moi, pleine d'enthousiasme :

- “Tout ce que tu voudras !”

J’eus un petit frémissement quand son sourire prit un courbure vicieuse :

- “Juste que tu m’accompagnes à la gare dans cette jolie tenue !”

Je me trouve un peu embarrassée et Amber reprend en souriant, très amusée :

- “Mais ne te fais pas de soucis, tu resteras dans la voiture… Juste pour me tenir compagnie et tenir compagnie à Clarisse au retour.”

Moi, rassurée :

- “Ah… Oui… Je… D’accord… Bien entendu.”

Je ne vis pas le clin d’oeil échangé avec Clarisse.

Au bouts d’une grosse heure, tandis qu’Amber finissait de boucler sa valise, je vis Clarisse prendre deux grosses couvertures épaisses et descendre en disant :

- “Je vais faire chauffer la voiture !”

Amber me tendit un cabas fermé en me souriant un peu vicieusement :

- “Tu peux me prendre ça ma Naty chérie, please ? Je suis prête, on peut aller rejoindre Clarisse !”

Et je prie la direction des escaliers, suivie par Amber et sa grosse valise.



XxXxXxXxXxXxXxX



Dans le hall d’entrée Clarisse prit la valise d’Amber pour aller la mettre dans la voiture et tandis qu’Amber allait prendre sa doudoune et que j’allais prendre la mienne, la voix vicieuse de Clarisse me consigna :

- “Nan ! Ma chérie, pas toi ! Tu restes telle que, mais ne t’inquiètes pas !”

Tellement surprise que je n’osais rien dire et entre temps les copines m’avaient prise en sandwich, Amber avec une paire de menottes à fourrure entre les mains.

Dans mon dos, Clarisse me dit :

- “Naty chérie, tu tends tes bras en avant et tu ouvres ta jolie bouche, s’il te plait !”

Le “s’il te plait” donnait une touche très sarcastique à son propos, car je n’avais guère le choix de toute façon, et cette situation me troublait de nouveau tout en me faisant appréhender un peu, car j’étais novice et qui sait ce que les copines pouvaient avoir à nouveau en tête.

J’eus à peine le temps de voir passer dans mon champ de vision une sorte de boule, faite sans doute dans un vieux collant, qui vint s’engouffrer dans ma bouche et dont les extrémités se retrouvèrent nouées sur ma nuque.

- “Hhhmmmfff !”

Voilà qui confirma à mes perverses chéries que j’étais à nouveau à leur merci, tandis que Clarisse m'enveloppait dans une chaude couverture et le signal du départ fut lancé.

En sortant sur la terrasse, un frisson me prit car les températures étaient très fraîches surtout avec le soleil qui venait de disparaître et je découvris la suite de la mise en scène : la voiture garée en marche arrière au près des marches de la terrasse, le coffre ouvert, la banquette arrière de la voiture en partie rabattue et des couvertures placées comme une sorte de matelas.

Clarisse, en gloussant vicieusement :

- “Vas t’installer dans le coffre ma belle !”

Je n’osais rien dire et j’avais un peu de mal à avancer en mules sur les marches gelées.

Heureusement soutenues par mes tortionnaires, je finis par m’assoir dans le coffre sans savoir comment me positionner.

C’est le commentaire d’Amber qui finit de me mettre en condition :

- “Histoire de me consoler, je voudrais voyager en compagnie de tes pieds : tu vas donc t’allonger en mettant tes jambes sur la partie rabattue de la banquette !”

Tout en me tortillant comme un vers je pris position sur l’épais matelas de couverture et une fois bien allongée et ma tête calée sur un oreiller, je n’étais finalement pas si mal.

Clarisse commenta :

- “Tu ne le sais pas encore mon coeur, mais la chaleur est un facteur… disons… améliorant…. la sensibilité...”

Et tandis que Clarisse finissait de bien installer ma tête, Amber ouvrit la porte passagère pour m’emballer pieds et jambes dans un plaid.

Je dois avouer que dans mes petites mules, j’avais les pieds gelés.

Mais combien j’étais encore bien naïve, car une fois les pieds bien au chaud, avec une grande dextérité, Amber me sangla les chevilles.

Je ne puis m'empêcher de me remémorer la surprise de mon réveil, après la première nuit au chalet, quand les filles m’avait saucissonnée dans mon matelas.

- “Le temps de fermer le chalet et nous pourrons nous mettre en route !”

Finit par dire Clarisse, tout en fermant le coffre de la voiture et tandis qu’Amber fermait la porte du côté de mes pieds, pour aller prendre sa place à l’arrière, de l’autre côté.

Quelques dizaines de secondes après, un second claquement de porte me confirma que Clarisse était au volant et j’entendis :

- “Voilà ! Je laisse un peu le chauffage à fond, pour réchauffer complètement la voiture, puis je mettrais la régulation en automatique !”

La voiture commença à avancer, tandis qu’Amber posait son bras droit sur mes jambes, comme un accoudoir, en tapotant déjà sur le plaid au nouveau de mes pieds.

Le sifflement de la ventilation s'estompa quand Clarisse passa en automatique et alors j’entendis une phrase qui ne me rassura pas spécialement :

- “Selon l’état des routes, pour aller à la gare, nous en avons pour 45 minutes à une heure de temps !”

Je ne puis réprimer un sursaut qui fit glousser Amber : mes pieds étaient à sa merci et je me doutais que le timing serait plus proche d’une heure.

- “Prends ton temps et soit prudente ma chérie : nous avons de la marge car mon train est dans un peu plus d’une heure trente !”

Dit alors Amber en tâtonnant vicieusement mes chevilles au travers du plaid.

Je commençais déjà à me réchauffer et je savais que mon répit serait de courte durée, mais il semblait que malgré tout, Amber est choisi d'optimiser la situation et d’attendre que mes pieds soient très bien réchauffés et donc bien plus sensibles !

En pure perte j’essayais d’évaluer ma latitude de mouvement, mais Amber avait bien travaillé et mes chevilles ne pouvaient bouger, seuls mes pieds pouvaient un peu battre l’air.

Amber, ayant sans doute remarqué mon geste, me taquina :

- “Ne t’impatiente pas ma chérie, je ne vais pas tarder !”

- “MMmhhh... NNNhhhh !”

Répondis-je avec un inutile hochement négatif de la tête.

Et Amber ricanant sadiquement dit alors :

- “Bien ! Puisque tu insistes !”

- “Ffffhhhh… Mmmmaaannnnn !”

Et je sentis sa main droite commencer à glisser vers la zone de mes talons.

Il ne fallut que quelques secondes pour que mes pieds ne soient dégagés et Amber avait bien préparé son affaire : le tissus avait été plié de tel sorte qu’une fois que la partie coincée dans la sangle sous mes chevilles avait été libérée, les deux pans du plaid s’ouvraient comme un portefeuille.

- “Aaaaaahhhh !”

Amber venait de manifester bruyamment sa satisfaction, tandis que je crispais déjà nerveusement mes orteils dans les mules.

Autant une symbiose naturelle s’était établie entre Clarisse et moi, autant je savais qu’Amber était moins raffinée et avait des tendances plus rustres.

Sa main droite, qui venait de libérer le plaid, sans autre manière, se saisit du talon de ma mule droite et me la retira.

Et pour l’autre mule, Amber attrapa simplement l’extrémité de la mule, juste à coté de mon gros orteil et me la retira tout aussi directement.

Je ne pouvais nier mon excitation, mais je regrettais un peu ce manque de raffinement vicieux que nous partagions déjà avec ma Clarisse chérie.

Amber d’ailleurs ne mit pas plus de formes pour ce qui en fut de mes soquettes et c’est en attrapant les liserés en dentelles qu’elle me les retira.

Clarisse, avec une légère retenue dans la voix intervint :

- “Heu Amber, s’il te plait, en douceur, je t’en prie !”

- “Promis ma cousine !”

Dit Amber en gloussant et en reprenant son ton ampoulé de rombière.

- “Je ne voudrais pas non plus abimer les jolis bas couture que notre chère soubrette m’a emprunté !”

Le propos d’Amber m’avait en partie rassuré : elle ne me torturerait pas comme une sauvage !

Mais je savais déjà que j’étais hyper sensible et que le nylon n'arrangeait rien : le temps risquait d’être long jusqu’à la gare !

Je n’avais pas fini ma réflexion que je sentais des doigts commencer à me palper les orteils, me faisant à nouveau sursauter me crisper.

- “Mmmmmhhhh !”

Je mis quelques secondes à réaliser ce qu’Amber cherchait également : elle manipulait le bas, au niveau de mes gros orteils, de façon à pouvoir faire glisser le nylon entre le gros orteil et son voisin, comme si elle avait voulu m’enfiler des tongs.

Je ne pouvais pas décemment rester insensible à ses manipulations insistantes et je gloussais en continu au travers de mon bâillon.

- “Mm… mh… fff… hhfff… fffm… mmhhh… ffff… mmmhhh... !”

Je finis par sentir de façon très nette qu’Amber était parvenu à ses fins : mes gros orteils “isolés”, en quelque sorte, par le nylon : mais pourquoi ?

La réponse ne se fit pas attendre, car relevant légèrement la tête, je pus voir Amber sortit un autre vieux bas de je ne sais où et sans que j’ai le temps de réagir, la vicieuse avait fait deux fois le tour de mes gros orteils, les solidarisant l’un à l’autre.

Il s’en suivi une très forte tension sur mes deux gros orteils, m’obligeant à cambrer les pieds et bientôt je ne pus presque plus bouger les orteils : Amber avait tendu le bas à sa limite élastique, me tenant ainsi les plantes de pieds plus exposées.

Et les titillements reprirent, au niveau des orteils, d’abord : elle s’amusait à prendre mes orteils un par un et à les rouler entre ses doigts, un peu comme elle pourrait le faire pour mes tétons.

A ce stade là, j’arrivais encore à retenir mes gloussements, mais cela ne dura pas dès qu’elle se mit en quête d’explorer le dessous de mes orteils, en faisant crisser le nylon et s’en suivirent de petits fou-rires nerveux, étouffés.

- “Hhuuu hhm… Hhhfff hhho... Oooohh hii... Iiiiiiihh... Hhmmm aaahh… !”

- “Aaaahhh quelle douce musique !”

Clama Clarisse enjouée.

Après quelques minutes de guilis sous la zone des orteils, Amber changea radicalement de secteur et elle s’attaqua à mes talons, relançant mon rire saccadé :

- “Hhhhhiiiii… Mmmhhoooww... Hhhhoouuuuww... Hhhhiii… Iiiiiihhh… Aaahhiiii… Hhhhooommhhhhoo… Nnnaaahhhaaaa !”

Ses doigts allaient et venaient, tantôt faisant des volutes glissantes, tantôt grattouillant ponctuellement, et bien qu’elle n'eut pas de longs ongles, elle savait utiliser ceux-ci merveilleusement bien !

Amber s’attarda ainsi plus longuement sur mes talons.

Pour ma part, j’étais ravie et cette façon de me chatouiller d’Amber de rendait folle de plaisir et que ce soit mes tétons ou bien mon entre jambes, je ne pouvais nier mon excitation : elle avait trouvé un subtile équilibre où je ne pouvais plus me maîtriser, sans que cela fût insupportable, c’était le summum !

Finalement ma délicieuse tortionnaire changea à nouveau de point d'exploration : elle vint s’attaquer aux “coussinets” de mes pieds, cette zone particulière entre les orteils et la plante, cette zone où la peau un peu plus épaisse, comme sous les talons, peut présumer être moins sensible, ou pas !

- “Hiii iihhiii mmiii mmmmiii iihhiii mmiii mmhiii iihhiii mmiii mmhhhiii iiihhhh iiihhhiiihhiii iiihhhh iiihhhiii mhhhiii iiihhhh iiihhhiii !”

Il faut croire que non, pour ce qui me concerne, car sans doute l’excitation, mais aussi mon hyper sensibilité, donnèrent que mon rire fut plus aigu et bien plus continue et évidemment cette garce en profita aussi pour accentuer ses gratouillis !

Et ce fût de nouvelles longues minutes de ce supplice raffiné qu’Amber m’infligea, avec parfois une petite incursion dans le creux des orteils ou un petit débordement à la limite de mes plantes de pieds, qui faisaient monter mes vocalises dans les aigus.

Amber, continuant de jouer avec une subtilité que je n’attendais pas, avait réussi à me tenir dans un état second dans lequel j’étais pourtant assez lucide et consciente pour apprécier chaque instant à sa juste valeur.

J’avais perdu toute notion de temps, par contre je me mis à réaliser que mes plantes de pieds n’avaient quasiment pas encore été visitée et que cela ne pourrait plus trop tarder, pourtant Amber me fit une nouvelle surprise en changeant une nouvelle fois de zone, sur une partie à laquelle je n’avais pas spécialement pensé.

Les attouchements cessèrent quelques brèves secondes, avant de reprendre sur le dessus de mes pieds, depuis le dessus de mes orteils et presque sur toute appelée “coup de pied”.

Je découvrais ainsi méticuleusement le domaine des possibles dans ces nouveaux jeux auxquels j'étais initiés depuis le début de semaine...

Et grande fût ma surprise de constater que cette partie du pied n’était pas en reste dans les points les plus sensibles, surtout quand Amber se rendit compte que le dessus de mes orteils étaient tout particulièrement réceptifs !

- “Mhhooouuuhh... hhhiiihh... aahhaohhhhh... uuuhhhhffff... nnnaaahuhhheee… mmmhhhhaaaaa… ffhhhhuuuuu... !”

J’étais repartie dans mon petit rire saccadé, mais soutenu.

Amber savoura mon délicieux supplice à nouveau de longues minutes, me faisant pouffer de rire au travers de mon bâillon.

Je savais cependant que ma tortionnaire se réservait mes plantes de pieds pour son grand final, et connaissant assez bien Amber, rien ne me garantissait qu’elle ne me fasse pas un petit coup sadique pour finir.

Elle en finit avec le dessus de mes pieds et soupira d’aise :

- “Ahhh… C’est l’heure du désert !”

Cette fois mes plantes allaient dérouiller et peut-être plus, et histoire d’en remettre une couche, ma Clarisse claironna :

- “Le GPS annonce encore treize minutes avant la gare !”

Soudain prise de panique je me mis à gémir dans le “collant - baîllon” en essayant en vain de dérober mes jambes, mais seul le haut de mon corps pouvait un peu se tortiller dans les couvertures : il valait mieux que je me calme et que je garde mon énergie pour cet ultime supplice, avant qu’Amber ne nous quitte et que je sois seule avec ma Clarisse.

Comme pour m’apaiser, Amber caressa un moment mes tibias et le dessus de mes pieds.

Ces caresses douces et attentionnés firent l’effet escompté, car non seulement je m’apaisais de nouveau, mais mon excitation repris de plus belle : il n’y avait pas de doute qu’Amber, bien qu’un peu rustre, s’y entendais au registre de la sensualité.

Je me serais presque détendue si un léger fourmillement ne m’avait pas saisi les deux plantes de pieds simultanément, me sortant de la douce torpeur qui avait commencé à me prendre.

Il ne me fallut que quelques secondes pour que mon rire s’installe à nouveau, en continue, se perchant dans les aigus au fur et à mesure que le fourmillement s'intensifiait :

- “hhuu hhhoouu hhuumm hhouu mmmffff iihhhhh hoouu houu mmmffff iihhhhuumm hhooo houu mmmffff iihh”

J’avais l’esprit encore assez clair : Amber restait sur les plantes de pieds, mais ses attouchements gagnaient lentement mais sûrement en intensité.

Au bout de quelques minutes savamment évaluées, Amber stabilisa ses chatouilles à la limite de la torture : je pouffais en continue, la respiration un peu saccadée et commencent à baver dans le bâillon.

Mes plantes de pieds ne pouvaient se dérober et j’avais l’impression que la sensation, de plus en plus irradiante, s'enfonçait dans mes chairs, comme si les doigts sournois et adroits de ma tortionnaire voulaient gagner en profondeur : quelle effet incroyable !

Clarisse clama :

- “Encore cinq minutes !”

Amber :

- “Clarisse ? Je peux ?”

Clarisse :

- “Attends que j’arrête la voiture, je vais me garer dans un coin sombre !”

Amber, la voix plus vicieuse :

- “Oohh très bien, je crois que je te suis... !”

Clarisse, ricanant sadiquement :

- “On a une dizaine de minutes encore et je voudrais en profiter un peu !”

Amber sarcastique :

- “Chipie, tu vas l’avoir encore au moins deux jours pour toi seule, mais d’accord, avant mon départ, on s’offre une mini séance de torture !”

Moi, tressaillant plus fort :

- “Mmmmhhhhfff !”

Et j’entendis un petit rire sadique de Clarisse, tandis qu’Amber repris son traitement.

Je ne sais pas si c’est la pensée de ce que me réservait les copines qui m'excitait et m’effrayait en même temps, mais j’avais l’impression que j’étais un peu plus réceptive et Amber avait du mal à trouver l’équilibre, sans que je ne monte de plus en plus dans les aigus.

Clarisse avait fini par garer la voiture et d’un coup d’oeil au travers de la vitre, je pus constater que l'extérieur était totalement sombre : elle avait trouvé donc un coin tranquille…

Elle avait laissé le moteur tourner au ralenti, pour tenir la chaleur dans la voiture et j’entendis les déclics des ceintures de sécurité.

Autant Amber avait mis une tenue confortable pour voyager, en jean’s, pull et bottines, autant Clarisse avait gardé son tailleur et ses escarpins.

Je ne sais pas réellement ce qui se passa à ce moment là, car Amber m’avait envoyé sur le visage sa veste polaire, pour m'occulter la vue, mais Clarisse s’abattit lourdement sur mes jambes, le visage pile sur mes seins, une main coincée entre mes cuisses.

Elle poussa un petit cri qui tourna au fou-rire :

- “HHiii, non ! Amber non pahhhahaaaa... ouuhhh ...nnooon… ppaahhha… ammmbbhhhheeee… hhhiii... nnnaaaaa... !”

Essayant de se débattre, la main de Clarisse se mit à solliciter fortement mon entrejambe et à secouer son visage, deux boutons de mon chemisier c'étaient ouverts !

Clarisse semblait comme une folle et hurlait de rire en se débattant mais visiblement coincé dans sa posture.

Je compris partiellement ce qu’il se passait lorsque j’entendis Amber, jubilatoire qui gloussait en américain :

- “Tickle ! Tiiiickle ! Tickle-tickle ! Pretty feet, tickle ! Tickle-tickle ! Hhhhmmmmm ! Tickle ! Tiiiiickle ! ”

La douce folie dura dix bonnes minutes avant qu’un buzzer ne retentisse, à peine audible dans les cris et les rires de Clarisse.

Tandis que Clarisse reprenait ses esprits, encore surprise de la trahison de sa collègue, Amber ouvrit sa porte, vint ouvrir l’autre porte arrière pour aider Clarisse à se dégager…

Il fallait aller vite : Clarisse repris le volant et Amber repris la place de passagère arrière.

Heureusement, il n’y avait quasiment personne à la gare et Amber me cacha sous une couverture tandis que je beuglais dans mon bâillon :

- “Mmmmhhh… mmmmhhhmm… MMMMHHHH… HHHMMMHHHHH !”

Clarisse tout en coupant le contact :

- “Désolée mon coeur, pas le temps de te libérer...”

Tandis qu’Amber était déjà dehors, elle ajouta à voix basse :

- “... et puis comme cela… tu es prête pour le retour !”

Et elle sortit en claquant la porte et j’entendis le mécanisme de fermeture centralisée.

J’étais un peu offusquée d’avoir été abandonnée ainsi, mais l’excitation repris vite le pas : j'étais enfin seule, avec ma Clarisse chérie… et dans l’immédiat, à sa merci !

Quelques minutes qui me semblèrent assez longues, et le bip-bip du mécanisme retentit, la porte du conducteur s’ouvrit et le moteur se mis en route très rapidement.

- “Allez on rentre, désolée de t’avoir abandonnée mais nous sommes enfin ensemble…. en amoureuses !”

Dit Clarisse très sensuelle.

- “Et désolée de te garder ainsi, mais l’aubaine est trop belle : j’ai très envie d’abuser de toi et de te faire jouir, là, dans la voiture !”

- “Hhhhmmm, voilà qui annonce la couleur !”

Me dis-je en un long gémissement sonore.

Et Clarisse continua un peu son monologue, ponctué de quelques gémissements, de moi ou d’elle, selon les phrases…

- “Cette chipie d’Amber… Elle m’a bien chauffée…. avant son départ ! Hhmm ! ”

En moi-même :

- “Lol ! Comme si tu avais besoin de cette excuse !”

Clarisse, d’une voix vicieuse :

- “Je t’explique ma chérie :

En fait, j’ai voulu passer à l’arrière, sur la banquette, pour vous rejoindre…

Je ne sais pas trop comment j’ai fait mon compte, mais Amber m’a totalement déséquilibré en relevant ma jambe droite, et je me suis étalée sur toi ...”


Elle gémit avec une courte pause

- “Hhhmmm… j’avoue être plutôt bien tombé… Mmmhhh !

Mais je n’ai pas eu le temps d’en profiter : Amber a ramené fermement ma jambe sous son bras, en s’appuyant lourdement sur mes fesses et … HHHOOOO ...”


Elle marqua une nouvelle pause et c’est moi qui gémit bruyamment, sur quoi elle reprit :

- “HHHMMMM comme tu dis, mais… mais… heureusement que… tu es là !”

Je sentis la voiture ralentir et enfin elle me dégagea de dessous la couverture, puis elle reprit de la vitesse, tout en commentant :

- “La route est assez praticable, j’avais pris mon temps à l'aller, mais là...”

- “Mmmmrrrhhhh espèce de chipie !”

Me dis-je tout en ponctuant d’un râle étouffé.

Clarisse, quoique toujours extrêmement prudente, avait tracé la route comme on dit, et vu son état d’excitation, je me doutais qu’elle était pressée de rentrer et j’avouerai que moi aussi !

Mon chemisier à moitié ouvert et mes pieds toujours bien assujettis !

A nouveau portée par l’excitation, je me demandais si elle allait déjà un peu profiter de la situation dans la voiture ou me libérerait dès que nous serions au chalet ?

Le ralentissement de la voiture et le crissement croissant de la neige verglacée sous les pneus me confirma que nous n’étions plus très loin de notre destination.

Les dernières secousses du chemin final, puis la voiture se stabilisa et j’entendis Clarisse remettre la ventilation à plein régime, pour garder la chaleur.

Vicieusement, tandis que je la voyais passer sur la banquette arrière, elle susurra :

- “Ahhh enfin, nous y voilà, juste toi et moi !”

Je ne sais si elle me vit, mais j’approuvais d’un signe positif de la tête : moi aussi je n’attendais que cela et je voulais tout partager avec mon amour secret.

- “Mmmmmhhhh mmmhhh !”

Je sentis ses premières caresses sur mes tibias, avec une douceur et une sensualité qui me firent frissonner au plus profond de moi.

Elle reprit :

- “On ne tardera pas à rentrer, car nous serons bien mieux dedans, mais là j’ai trop envie de taquiner tes petons déjà bien apprêtés !”

Avec douceur, ses doigts commencèrent à jouer sur le dessus de mes pieds, me faisant frissonner de plus belle : j’étais électrisée jusque dans la colonne vertébrale par les délicates caresses qu’elle me prodiguait.

Mais malgré toute sa douceur, je savais qu’à un moment ou l’autre, les doigts de ma chérie allaient sans tarder aborder mes zones plus sensibles et je les sentais déjà approcher de mes gros orteils solidement attachés et tendus.

Je me mis à pouffer dans mon bâillon dès que les doigts passèrent sous mes orteils et que le fourmillement s’intensifia naturellement d’un coup.

- “Mmff… ffmmm… hhmm... hhiii… hhmm… iihhh… ffff… mmmiii... !”

Pour le moment Clarisse restait délicatement sur le bout de ses doigts, mais elle avait les ongles parfaitement manucurés et d’une longueur suffisante pour être une redoutable arme.

Elle ne s’attarda pas non plus trop sous mes orteils mais se mit à faire de longues lignes sous mes plantes de pieds, alternativement, partant du talon et remontant vers le coussinet, puis inversant le mouvement, puis alternant avec l’autre pied.

Mes gloussement prirent une tonalité plus aiguë dès lors car ce genre de fourmillements ressentis m'électrisaient bien plus intensément.

Ce petit jeu dura sans doute une dizaine de minutes, puis Clarisse entreprit de me détacher.

Histoire d’en profiter encore, tout en détachant mes gros orteils asservis et tendus en arrière par un vieux bas, elle s’attarda en faisant coulisser le bas entre mes gros orteils, me faisant sursauter et gémir à chaque va et vient.

Elle finit de me détacher, sans se priver de laisser courir un doigt ou un ongle inopinément sur mes pieds, tant que mes jambes étaient encore entravées ; puis elle finit par me libérer totalement et nous nous miment à l’abri dans le chalet, tandis que la neige recommençait à tomber intensément.



(à suivre !)



XxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxX



Post scriptum :

Merci à toutes et tous !

En attendant de lire tous vos commentaires, vos compliments et parfois vos critiques…

Et navré pour le délais d’écriture un peu plus long de ce troisième opus : quelques préoccupations personnelles, qui m’ont un peu ralenti…

Et à ma décharge, j’avoue aussi m’être un peu dispersé en commençant à écrire des bribes de mes futures histoires, selon les inspirations qui me venaient ponctuellement !

JE VAIS ESSAYER DE FAIRE MIEUX POUR LE 4° OPUS DE CETTE HISTOIRE

Chatouilleusement votre !

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)

très bien écrite, j'étais totallement plongé dedans.



Et bon, merde, autant le dire, j'ai eu un orgasme. Voilà :perplexe:



Je pensais pas que ça serait possible, mais quand l'histoire t’adsorbe complètement, ben voilà ce qui arrive.



J'ai hâte de savoir comment ça va se finir.

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)

Fidèle à ton poste, toujours mon premier "posteur"... lol

Merci à toi et vraiment flatté de t'avoir donné du plaisir !

Je vais tacher de mettre moins de temps sur le dernier opus de cette histoire...

Merci pour ta fidélité !

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)

Pas la peine de rusher non plus ;) Prends le temps de bien écrire, ça serait dommage de bacler ^^ je saurais être patient.

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)


Pas la peine de rusher non plus ;) Prends le temps de bien écrire, ça serait dommage de bacler ^^ je saurais être patient.

nahognas post_id=150789 time=1567032287 user_id=562



:ralala: :ralala: :ralala:

Là je suis d'acc avec toi et je ne voudrais pas "bâcler et gâcher"...

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)

D'ailleurs, quand est ce qu'elle arrive la suite ?



Envoyé de mon STF-L09 en utilisant Tapatalk



Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)

Hello,



En ce qui me concerne, je serais toujours fan de la suite :D



Tchuss

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)

Salut !



Je trouve tes histoires très bien écrites et j'avoue comme kokos que j'aimerais bien une petite suite ;)

Re: (F/F) Révisions au chalet &lt;3&gt; : Addictions (fix-adult)


Salut !



Je trouve tes histoires très bien écrites et j'avoue comme kokos que j'aimerais bien une petite suite ;)

Chatouilleureux post_id=153534 time=1583058213 user_id=12738



Pourquoi petite ? XD