Histoire : Les pensées d'un supplicié (F*8/M Fictif) Troisème partie

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Histoire ajoutée le 05/10/2019
Épisode ajouté le 05/10/2019
Mise-à-jour le 03/07/2021

Les pensées d'un supplicié (F*8/M Fictif) Troisème partie

Bonjour à tous,



Encore une fois s'est écoulé une longue période entre le second et ce nouveau troisième chapitre.



Pour ceux que ça intéresse vous trouverez les chapitres :

1 - https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=38&t=21056

2- https://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=38&t=21340



Encore une fois, je prend les critiques constructives et les corrections d'orthographe (je m'excuse d'ailleurs pour toutes ses fautes d'orthographe).



Bonne lecture à tous :)



PS : Merci à Nicoach, il n'y a pas de meilleur compliment que de se faire demander une suite :D



PPS : Je pense qu'il y aura encore 1 ou 2 chapitre avant que je ne clôture cette histoire.



Un cours pas comme les autres




Au bord de la folie, Amaury se demandait combien de temps s’était écoulé depuis que Madame l’avait laissé en posture si inconfortable. Il y avait une bien une horloge dans cette salle, mais Madame avait bien pris soin de positionner Amaury de façon qu’il ne puisse pas la voir.



Enfin, il entendit une sonnerie retentir. « Plus que quelques minutes, pensa-t-il, avant que ça s’arrête ». Il interrompit sa pensée puis la compléta « Pour mieux recommencer … ».



Huit élèves entrèrent calmement dans la classe et s’assirent chacune à une place. Dans ce cours, il s’agissait uniquement de filles, les garçons préférant les méthodes d’interrogatoire plus musclées. Elles avaient toutes entre 20 et 24 ans.



Le cours avait lieu en petit comité pour que chacune ait le temps de « s’entrainer » à la technique enseignée. Ce cours durait en général trois heures. Durant les vingt première minutes, Madame expliquait la nouvelle technique d’interrogatoire et donnait l’exemple. Le temps qu’il restait, chaque élève avait vingt minutes pour s’exercer, en compagnie de Madame qui corrigeait les positions de mains, donnait des conseils sur les accessoires à utiliser, et parfois, prêtait main forte uniquement par plaisir de voire ce pauvre Amaury souffrir.



Madame entra dans la pièce. Sans un regard pour Amaury, qui riait toujours aux éclats dans sa combinaison, elle installa ses affaires à son bureau, sortit un tissu de sa poche et le fourra dans la bouche du pauvre garçon afin d’étouffer ses hurlements.



- Bonjour à toute, vous pouvez vous assoir et sortir votre matériel, annonça Madame. Aujourd’hui ne sera pas un cours comme les autres : nous allons simuler un vrai interrogatoire.



On entendit des chuchotements, accompagnés de sourires sur le visage des élèves : elles attendaient ce jour avec impatience.



- Ce n’était pas prévu pour aujourd’hui, mais compte tenu du comportement de notre cher modèle, dit-elle en désignant Amaury d’un revers de main, je pense qu’avancer ce cours permettrait de discipliner tout ça. Vos cours de demain sont donc annulés car celui-ci durera bien plus longtemps que prévu : vous allez tous ensemble interroger notre ami Amaury, jusqu’à ce qu’il parle ou jusqu’à ce que je décide que c’est assez.



Elle sorti la télécommande de sa poche pour libérer Amaury de son supplice afin qu’il soit bien attentif à la suite.



- Amaury écoute bien, ces huit élèves vont avoir tout le temps nécessaire pour t’interroger et te faire parler. Je vais te donner un code. Ensuite, ils auront carte blanche pour te faire le leur révéler. Le jeu s’arrête lorsque tu as parlé ou lorsque j’ai décidé que ça suffit. Bien sûr, pour te donner envie de résister un peu, la divulgation du code entraine bien évidemment une punition.



Elle se retourna alors vers ses élèves.



- Chacune d’entre vous va donc choisir une partie du corps d’Amaury et utilisera les méthodes qui lui plaisent pour le faire parler.



Madame détacha alors Amaury pour que ses élèves l’attachent elles-mêmes. Elle lui retira sa combinaison. Complètement nu, il s’assit au sol pour reprendre son souffle. Il regardait avec craintes, ses huit demoiselles discuter pour se mettre d’accord sur la stratégie à adopter. Madame lui ordonna de se relever et lui révéla le code qu’il devait garder pour lui « 4875 ». Pendant ce temps, les huit jeunes filles préparaient le matériel de bondage. Amaury eut à peine le temps d’apercevoir un carcan, que l’une d’elle vint sans prévenir lui bander les yeux.



- A genoux et mains sur la tête ordonna-telle !



Amaury reconnut Marina, une jolie blonde à la peau très claire, aux cheveux lisses et fins. Elle avait un certain charisme et une autorité naturelle. Les autres la suivaient souvent. Ce serait sûrement elle qui dirigerait l’interrogatoire.



Elle lui lia les deux mains ensemble et les redescendit au niveau de son abdomen, avant de tirer sur la corde, forçant Amaury à se remettre debout. Elle avança jusqu’à ce que qu’Amaury, aveuglé par son bandeau, heurta une table plutôt basse. Elle lui ordonna de s’agenouiller dessus puis de se retourner. En se retournant, il senti que cette table disposait d’un carcan. Ses pieds furent alors immobilisés dedans. Les trous de ce carcan devaient être réellement espacés car les jambes du pauvre garçon étaient très éloignées, dévoilant ainsi des zones qu’il savait très sensible. Ses gros orteils furent tirés vers le bas et attachés afin de tendre sa plante de pied au maximum. Il sentit qu’on tira sur le lien de ses poignés pour les relever au-dessus de sa tête et tendre les bras au maximum. Enfin, l’une des filles sangla ses jambes au niveau des chevilles et du aux des mollets afin qu’il ne puisse absolument plus bouger.



La position n’était pas très confortable et le rendait plus que vulnérable. Mais il savait qu’il devait tenir, car il redoutait avant tout la punition de Madame. Il l’entendit donner le départ :



- Je lance un minuteur : lorsqu’il sonne, Amaury a gagné et vous avez perdu les filles, mais je ne vous dis pas le temps que je mets. Vous pouvez commencer.



Puis le silence. Quelques secondes passèrent lorsqu’Amaury senti qu’on lui tirait les cheveux en arrière.



- Quel est le code ?!



Amaury reconnut la voix de Marina : il avait raison, c’était elle qui dirigeait l’interrogatoire. Il ne répondit pas.



- Quel est le code ?! répétât-elle



Amaury ne répondait pas, sachant pertinemment ce qui l’attendait. La sanction ne se fit pas attendre, il entendit un claquement de doigt et senti tout d’un coup un nombre indéfinissable de doigt s’agiter sur sa peau : ses pieds, ses cuisses, son dos, son ventre, les cotes et ses aisselles. Il était incapable de dire si les huit filles s’y étaient mises en même temps. Les mains le chatouillaient n’omettant aucun centimètre de sa peau. Il riait fort, mais ne disaient toujours rien. Après ce qui lui parut durer une bonne heure, Marina lui retira la tête en arrière pendant que ses complices continuaient leur ouvrage. Elle s’amusait à lui titiller les oreilles et le cou en même temps.



- Ce premier quart d’heure t’as plus ?



« Quoi ! Seulement un quart d’heure, pensa Amaury ! A ce rythme là je ne tiendrai pas très longtemps »



- Tu ne me réponds pas, repris Marina, c’est très malpoli ! Quel est le code ?



Amaury riait mais ne répondait toujours rien, ce qui agaça profondément Marina. Elle saisit un linge et l’enfonça dans la bouche d’Amaury. Elle la recouvrit ensuite de scotch afin qu’il ne puisse réellement plus parler ni émettre aucun son. On distinguait cependant ses rire à travers son bâillon.



- Puisque tu ne veux pas parler, tu n’en auras plus la possibilité pendant… Une bonne heure ? Qu’en pensez-vous les filles ?

Les sept autres bourrelles acquiescèrent et continuèrent de chatouiller le pauvre garçon ligoté et incapable ni de bouger ni même de protester.



Cela en devenait insupportable. Amaury voulait parler, révéler le code. « Heureusement que je ne peux pas parler » se dit-il. Car il craignait réellement la punition de Madame.



Après ce qui lui parut être une éternité Marina retira enfin le baillon.



- Pitié arrêteehehe, j’en peux plus ! hahahahaha

- Quel est le code ?

- Je peux pahahaha le diiiihihihire !

- Quel est le code ?

- Nooooon pitié !



Marina remit aussitôt le bâillon à Amaury.



- Les filles, une nouvelle session de silence pour le pauvre petit ? Mais cette fois-ci, on passe au niveau 2 ! Et puis, je ne veux plus perdre de temps : deux heures cette fois !



Amaury senti alors que quelques mains quittaient son corps. Il entendit farfouiller dans les sacs. On lui étala alors une substance glissante sur les pieds. Il s’avait ce qui allait se passer dans quelques secondes. Il fut quand même surpris lorsqu’il senti les brosses se déposer sur ses plantes et les brosser frénétiquement. Il tenta désespérément de bouger ses pieds pour échapper aux assauts de ses bourrelles. Mais rien à faire, il était solidement attaché et ne pourrait pas se libérer.



Presque au même moment, il senti une vibration très forte au niveau de son coccyx et de la zone entre son anus et ses testicules. C’était insupportable. Les autres mains continuaient leurs déplacements qu’Amaury ne parvenait pas à prévoir. Ses aisselles étaient chatouillées sans aucun répit. Son ventre, ses tétons, son nombril, ses côtes, ses fesses, ses cuisses, sa nuque … Rien ne lui était épargné. Après seulement quelques minutes de ce traitement de « niveau 2 », il commença à trembler. Il s’étouffait dans son bâillon, il tentait d’implorer, de supplier. Des larmes coulaient à travers le bandeau sur ses yeux. Mes ses huit demoiselles ne se s’arrêtèrent pas pour autant.



Lorsque Marina retira enfin le bâillon d’Amaury, celui-ci faillit craquer, mais se mordit la lèvre pour ne pas révéler le code.



- On en est à presque 3h30 de torture Amaury, il est temps de nous donner le code, car crois moi, tu ne vas pas apprécier le niveau 3, claironna Marina.

- Stoooooopppp ! Répondit Amaury, Pitié, stop, arrêtez ahahahah !

- Décidément les filles … Il n’est pas encore prêt… Bon je vais te remettre le bâillon mais cette fois, tu vas pouvoir voire ce que je vais faire. On y retourne pour deux heures les filles.



Marina le bâillonna une troisième fois, puis lui retira son bandeau. Elle attrapa un flacon de lubrifiant à coté d’elle et en arrosa généreusement sa main droite. Elle ne quittait pas Amaury des yeux, elle voyait la peur dans son regard. Avec sa main gauche, elle saisit le sexe d’Amaury et le décalotta. Elle commença à chatouiller son gland du bout des doigts. Elle agitait ses doigts avec une agilité tel qu’Amaury aurait voulut parler sur le champ. Elle le regardait dans les yeux et s’extasiait devant son regard désespéré. Elle ne s’arrêta pas durant les deux heures. Aucunes des jeunes filles ne s’arrêta d’ailleurs.



Amaury riait dans son bâillon et tentait de hurler le code. Tous son corps tremblait, il n’en pouvait plus.



Une complice de Marina arrêta son travail afin de retirer le bâillon, car Marina ne voulait pas lâcher cette zone qui semblait si sensible pour Amaury.



Dès qu’il eut la bouche dégagé Amaury hurla :



- 4875 ! 4875 ! Stop !! Pitiéhéhéhéhé j’ai parlé ! Arrêtez ! ahahah ! 4875 !! 4 – 8 – 7 – 5 !!!

- Tu es sûre que c’est bien le code, ricanna Marina !

- Ouiiiihihihi 4875 !



Soudain, on entendit un petit « bipbip bipbip bipbip ». C’était l’alarme. Amaury avait craqué à quelques secondes de la fin. Madame toujours à son bureau déclara :



- Félicitations les filles ! Vous avez réussi.



Elle se tourna vers Amaury, un rictus aux lèvres avant de lui dire :



- Tu passeras la nuit avec moi, je veux t’avoir à disposition à n’importe quel moment pour te faire subir ton châtiment ….

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