Histoire : Une amie qui nous veut du bien (F/FM ; Fictif)

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Histoire ajoutée le 15/11/2019
Épisode ajouté le 15/11/2019
Mise-à-jour le 03/07/2021

Une amie qui nous veut du bien (F/FM ; Fictif)

Une petite histoire fictive :


Ma compagne et moi aimons les chatouilles. Cependant, elle les supporte bien moins que moi. C'est pourquoi je me retrouve la plupart du temps dans le rôle du ticklee. Sachant cela, je ne comprend toujours pas comment notre amie à réussi à la persuader de vivre la séance que je vais vous décrire.



C'était un soir d'hiver. Nous avions invité une amie à dîner chez nous. Après le repas, nous étions tous les trois assis dans le canapé, entrain de regarder je ne sais plus trop quelle émission de variété tout en discutant. Et puis, il y a eu le premier événement. Ma copine m'a lancé une vanne face à laquelle je n'ai trouvé aucune répartie. Alors, pour laver le sympathique affront, je me suis jeté sur elle pour lui chatouiller les hanches. Elle s'est immédiatement mise à rire en gigotant follement et en me demandant d'arrêter. J'ai mis fin à la « torture » au bout de quelques secondes mais à peine eu-je arrêter qu'elle s'est jeté sur moi pour se venger. Nous nous engageâmes alors dans un bref mais intense duel de chatouilles dont aucun ne sortit victorieux. Après cela, nous primes conscience de la présence de notre amie et fûmes un peu gênés. Nous nous étions un peu trop emballés. Qu'elle ne fut pas notre surprise lorsqu'elle nous regarda avec un sourire attendri en nous disant que nous étions adorablement chatouilleux. Puis elle se pencha vers la tête de ma compagne et lui murmura quelque chose à l'oreille. A peine eu-t-elle fini de lui parler que ma copine se jeta de nouveau sur moi pour me chatouiller. Et cette fois, notre amie en profita pour me saisir les jambes, les mettre sur le canapé, s’asseoir sur mes tibias et me chatouiller les pieds à travers mes chaussettes ! Mes pieds étant une zone particulièrement sensible, j'explosa de rire et me mit à furieusement me tortiller mais ma compagne pesa de tout son poids sur mon torse et passe ses doigts sous mon t-shirt pour s'attaquer directement à mon ventre et mes côtes. Dans ma folle hilarité, j’arrivai tout de même à saisir ma copine et à l'éjecter du canapé. Puis, toujours hilare, je fis un grand effort pour me mettre assis, m'emparer de notre amie et l'éjecter à son tour. Alors que je reprenais mon souffle, les deux filles se relevaient. Prévenant toute tentative de nouvelle attaque, je me mis debout aussi. Souriante, ma compagne me demanda si ça m'avait plu. Je dû bien admettre que oui, ce fut plaisant. Alors notre amie dit qu'elle avait une bonne idée et elle entraîna ma dulcinée dans notre chambre tout en me demandant d'attendre là. J'ignore ce qu'elles se sont dit mais ce fut le deuxième élément déclencheurs. Lorsqu'elles revinrent au salon, ma copine me demanda si ça me dirait d'être attaché avec elle sur notre lit pour être tout deux impitoyablement chatouillés par notre amie. Pendant un temps, je resta muet de stupeur. Commet avait-elle pu accepter ça ? Je me retrouva à dire malgré moi que oui bien sûr je sera ravi de faire ça. En vérité, être chatouillé en couple était un de mes plus grand fantasme inavoué.



C'est ainsi que nous nous retrouvâmes tous les trois dans notre chambre. J'étais en caleçon et ma compagne en culotte. Elle faisait du sport avec notre amie et elles se voyaient régulièrement nues sous la douche. Ainsi, exposer son adorable petite poitrine ne la gênait absolument pas. L’instigatrice de la séance était resté habillée en jean et débardeur. Je fus le premier à m'allonger sur le lit. Les deux filles m’attachèrent avec des écharpes. Ma compagne me noua les poignets ensembles aux barreaux de la tête de lit pendant que notre amie m'attachait séparément les chevilles aux barreaux du pied de lit en m'écartant légèrement les jambes. Après cela, elle accompli un acte qui me fit frémir. Sortant de petites cordelettes de ses poches de jean, elle attacha chacun de mes orteils aux barreaux du lit. Sur le moment, je ne m'étonna pas qu'elle eu des cordelettes dans ses poches. Ce ne fut qu'après que je me dis qu'elle avait peut-être tout prévu d'avance. En vérité, cette pensée ne me vint pas car mon esprit était trop préoccupé par autre chose : jamais mes pieds n'avaient été aussi bien immobilisés. D'habitude, ma compagne utilisait une des ses mains pour m'attraper les orteils, ce qui faisait qu'elle ne pouvait me chatouiller qu'avec une main et que je pouvais quand même agiter un peu le pied attaqué. Là, ça n'allait pas du tout être la même. Là, elle pourra me chatouiller les deux pieds parfaitement immobilisés. Allais-je pouvoir le supporter ? Alors que je m'interrogeais ainsi, ma copine se faisait ligoter à son tour. Bientôt elle fut aussi bien attacher que moi. Notre amie vint se placer à genoux entre nous et le supplice commença.



Ce fut tout d'abord nos ventres qui furent la cible de ses doigts extraordinairement agiles. Nous nous tortillâmes tous deux autant que le pouvions mais notre marche de manœuvre était bien trop faible pour échapper à la terrible sensation des doigts s'agitant diaboliquement sur nos abdominaux. Ma compagne fut la première à rire. Ma crise d'hilarité suivie de très prés la sienne et nos rires retentirent dans la pièce pour le plus grand plaisir de notre sadique amie. Alors que je ne faisais que contester légèrement, ma dulcinée en était déjà à supplier. Cela dura environs deux minutes puis notre bourreau se mit à califourchon sur mes hanches. « Toi aussi tu vas me supplier ! » dit-elle tout en se mettant à faire courir ses doigts sur mon torse. D'abord mon ventre puis mes côtes et enfin mes aisselles. Horreur ! Avec mes pieds, cette zone est la plus chatouilleuse de mon corps. Lorsqu'elle s'y attaqua, je me retrouva instantanément à supplier. Ma tortionnaire en fut enchantée et fit durer la torture des chatouilles sous les bras pendant un temps qui me semble infini ! Jamais ma compagne n'avait osé me faire subir ça aussi longtemps. Je riais et suppliais comme un dingue tandis que les doigts diaboliques s'acharnaient sur la si sensible peau de mes aisselles.



Puis enfin, cela pris fin et tandis que je peinais à retrouver mon souffle, la tortionnaire se mit à califourchon sur ma copine. Celle-ci dit qu'elle ne pourrait jamais supporter ce que je venais de subir. Pour toute réponse, la démone lui chatouilla le ventre, la faisant hurler de rire. Son jolie ventre est très chatouilleux et quand je m'y attaquais, ce n'était qu'avec de petits baisers pendant quelques secondes. Je savais qu'elle ne pouvait pas en supporter plus. Et là, dix doigts dansaient dessus sans lui laisser le moindre répit. Des supplications désespérées se mêlaient à son adorable rire tandis que sa tête s'agitait dans tous le sens. Puis ce fut au tour de ses côtes et de ses aisselles d'être chatouillées. Ces deux zones sont à peine moins sensibles que son ventre. Ainsi continua-t-elle de rire follement. J'étais comme paralysé par ce spectacle. Souffrait-elle vraiment ? Je m'auto-persuada que non. Après de longues minutes d'impitoyable tourment, la femme sadique lui accorda enfin une pause. Alors elle se leva et se dirigea au pieds du lit. Elle regarda nos petons attachés avec délectation. Nous paniquâmes simultanément. Nos pieds sont à l'un comme à l'autre, une de nos zones les plus sensibles. Et vu de quoi la tortionnaire était capable, nous ne pouvions pas supporter l'idée même qu'elle nous les chatouille alors qu'ils étaient si parfaitement immobilisés. La chambre résonna d'une cacophonie de nos tentatives de la dissuader : « Non pas ça ! Pas mes pieds ! Ils sont trop chatouilleux ! Je ne le supporterai pas ! Pitié, je t'en supplie, ne fais pas ça ». Bien entendu, cela ne fit qu'augmenter le plaisir de l'impitoyable diablesse. L'abominable torture des chatouilles sous les pieds était inéluctable.



Notre bourreau fit durer le suspens quelques instant, agitant ses doigts dans la direction d'une de ses victimes puis de l'autre. Elle répéta le processus plusieurs fois, s'amusant de nos réactions paniquées à chaque fois que ses mains dansaient en notre direction. Puis soudain, mes voûtes plantaires subirent l'assaut des terribles doigts. Je hurla de rire comme jamais ! Avoir mes pieds totalement immobilisés et chatouillés ainsi était un supplice d'une cruauté innommable ! L'horrible sensation ravagea mon système nerveux et la réalité elle-même sembla se révulser ! Je perdis la conscience de mon environnement et, à ce moment, la seule chose qui existait était cette insupportable sensation de chatouilles sous les pieds. J'étais dans un tel état de démence hilare que je ne me souviens plus quelles zones de mes pieds furent la cible des horribles assauts mais nul doute que la démone profita de tous mes points les plus sensibles. Puis soudain, mon ineffable agonie prit fin et alors que je revenais doucement à la réalité, j'entendis les hurlements de rire hystériques de ma compagne. Elle aussi avait sombré dans la folie la plus totale et il y avait de quoi ! En temps normal, chaque effleurement de ses mignons petits petons provoquait des mouvements d'échappatoire paniqués. Et là, il n'y avait aucun échappatoire possible. La cruelle femme la chatouillait avec grand talent, alternant entre acharnement sur les endroits les plus sensibles et balade sous les pieds. Quand elle s'attaqua à la zone entre et sous ses jolis orteils, ma copine sembla devenir encore plus folle de rire, si cela était possible. Son magnifique corps se cambrait en de furieuses ruades tandis qu'une hilarité démente s'écoulait presque en continu de sa bouche grande ouverte. Lorsque son ignoble supplice cessa enfin, elle perdis connaissance. Je fut de nouveau pris de panique, la croyant littéralement morte de rire ! Mais soudain, je me rendis compte qu'elle respirait encore. Notre amie nous détacha.

Au réveil de ma compagne, nous fîmes un débrief de la séance. Si cela m'avait semblé terrible sur le coup, j'étais en fait prêt à recommencer. J'adorais décidément les chatouilles. Ma copine, quand à elle,avait vraiment trouvé la séance trop terrible. Malgré tout, elle ne gardait pas de ressentiment envers notre cruelle amie. A la fin de la discussion, une nouvelle surprise m'attendait. Il fut décidé de refaire dès demain une séance à trois. Cette fois, je serais le seul ticklee, je serais nu et les deux femmes me chatouilleraient. Ma dulcinée s'occuperait également de moi de façon plus intime. Jamais je n'attendis le lendemain avec une telle impatience !

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