Histoire : WE d'enfer !

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Histoire


Histoire ajoutée le 16/02/2020
Épisode ajouté le 16/02/2020
Mise-à-jour le 03/07/2021

WE d'enfer !

L'institut supérieur d'informatique de Lyon était renommé pour ses formations post-bac. Situé sur les hauteurs, il avait un internat pour ceux habitant loin ou ne pouvant s'offrir un studio en ville.

Les étudiants étaient tous des fous d'informatique, ne vivant que pour ça et sortant peu. Le WE, il n'était pas rare que certains restent dans leurs chambres pour travailler.

Jordy et Kévin étaient dans le même chambre et ils étaient assez semblables par leur taille fine et leur air intello ; chacun, pour se détendre, matait des films de cul. Kévin avait un faible pour les films de tickling, avec des mecs ou des filles. Jordy avait été un peu étonné au début par ce type de trip mais, lui qui était fétichiste des cho7, s'y était intéressé. Très vite, ils avaient regardé des films ensemble, se branlant individuellement, puis échangeant leurs mains et se suçant.



Un samedi, Kévin proposa à son ami de se laisser attacher poignets et chevilles aux barreaux au bout du lit. Ils étaient tous les 2 en socquettes, boxers et tee shirt. Kévin attaqua les pieds en les mordillant et en chatouillant, arrachant des gloussements excités de Jordy, puis il essaya les côtes et les aisselles. Ce furent, pendant quelques minutes, des rires croissants, à mesure que Kevin découvrait les zones sensibles de son complice de jeu.

Voulant aller plus loin, sans alerter tout l'étage (même si le WE il y avait peu de monde), il lui proposa un baillon, lui enleva les socquettes et recommença ses tortures : Jordy explosa ! Il riait et pleurait en se débattant comme un fou. Ses pieds étaient chatouillés et léchés sans pitié ! Kévin alternait ses chatouilles, n'hésitant pas à tirer en arrère les orteils pour mieux tendre la peau des pieds : c'était atroce !

De temps en temps, il se plaçait derrière sa victime pour chatouiller les hanches et surtout le creux des aisselles. Là, les cris étouffés redoublaient, c'était aussi sensible que le creux de ses pieds.

Bandant comme un fou, Kévin se désabilla complètement pour être à l'aise, permettant ainsi à Jordy de souffler, lui enleva le baillon et lui dit : "Putain que c'est bon ! Et toi ?"

Jordy : j'ai cru mourir mais c'est super ! Par contre, il faut faire des pauses de temps en temps.

Kévin : OK et tu veux une pipe aussi parce que moi, je vais craquer !

Jordy : Ouais, on se fait ça aussi !



Kévin se remit aux pied du lit, léchant un pied en se branlant doucement pendant que son autre main caressait les couilles de Jordy à travers son boxer qui gonflait à vue d'oeil.

Dans leur excitation, ils n'avaient pas remis le baillon, croyant être seuls.

Erreur funeste ! Marc, l'intendant d'une quarantaine d'année, marié et père de famille, faisait à ce moment sa ronde pour vérifier que tout allait bien : il était de permanence ce WE, ce qui ne l'enchantait pas !

Passant près de la chambre, il entendit les rires déchainés et ouvrit doucement la porte. Le spectacle le sidéra ! Toutefois, il ne put détourner son regard et une gaule d'enfer le prit.



Marc, en rentrant doucement : Eh bien, on s'amuse ?

Kévin, sursauta : Oh ! Je...non... enfin...

Marc, tout sourire : je ne veux pas vous déranger les jeunes. Je peux participer ?

Il s'était approché et, du bout des doigts, avait commencé à chatouiller un panard, déclenchant de nouveaux rires. Très vite, les nouveaux compères chatouillèrent Jordy, en haut ou en bas. Les cris étaient dédoublés !



Marc se mit à l'aise : en chaussettes noires et tout le reste à poil, montrant une queue de belle taille et fine, avec du précum au bout. Celle de Kévin, courbée et plus courte était bandée à mort.

Marc : On va de détacher les bras et les mettre en haut du lit, ce sera mieux.

Ce qu'il fit sans attendre la réponse et Kévin en profita pour détacher un pied et enlever le boxer de Jordy puis le ratacha.



Jordy : On fait une pause, j'en peux plus, supplia-t-il ?



Marc se pencha sur lui et le pipa (il avait une vie cachée de bi et de crachait pas sur une queue !) pendant que Kévin vint se régaler de sa bite. L'excitation montait mais Marc annonça la fin de la pause. Le supplice repris mais, quel supplice !!!

Attaché en croix sur le lit, 20 doigts et 2 langues exploraient ses pieds, ses aisselles, toute son anatomie, ses pleurs étouffaient ses rires. il avait débandé mais ses bourreaux étaient à 2 doigts de cracher leur sauce ! Pourtant, ils étaient pris de furie tant ils étaient excités : Kévin était focalisé sur les panards tandis que Marc l'était sur les aisselles et le torse. Ce furent de longues minutes pour Jordy, rouge comme une écrevisse et le visage comme le torse en nage.



Marc stoppa et dit : Kévin, on fait un break et j'ai une idée !



Il pris son portable et appela le jeune cuistot de service, son pote (et amant à l'occasion) Adrien : C'est moi, tu peux me rejoindre à la 124 ? OK, tu ne sera pas déçu, ajouta-t-il en souriant !





En effet, le WE ne faisait que commencer, après tout !

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