Histoire : Recrutement Acte 5

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Histoire


Histoire ajoutée le 30/04/2010
Épisode ajouté le 30/04/2010
Mise-à-jour le 03/07/2021

Recrutement Acte 5

Pour info, les 4 chapitres précédents n'étaient pas dans la section adultes .

Après cette première séance avec sa patronne dont elle sortit éprouvée, clarisse retourna travailler avec tout de même un immense soulagement d’avoir conservé son travail et veilla malgré ce qu’elle venait de supporter à être active et efficace.
Laurence surveilla de près son travail et lui donna quelques conseils et elle fit très attention à ne pas la contrarier, sachant que celle-ci avait une légère rancœur car elle avait elle-même dut endurer une séance pénible dans le cabinet de Mme Berri, étant responsable de son recrutement et devait y passer encore avant le we ce qu’elle redoutait.
Elle essayait d’éviter de la provoquer mais sentait les regards lourds de Laurence braqués sur ses petits pieds et avait du mal à rester neutre ou indifférente et était réellement troublée et assez gênée de sentir qu’elle provoquait une excitation immédiate chez cette jeune femme fétichiste. D’ailleurs, à deux reprises, Laurence lui demanda d’aller se mettre sur le fauteuil en face d’elle, à genoux face au dossier et ôter ses mules, réunir ses pieds souples et rester ainsi plantes frémissantes sous son regard. Elle était très rouge et n’osait rien dire, comme si elle montrait une partie intime et surtout ne bougeait pas et ne regardait pas Laurence derrière elle pour ne pas croiser son regard ou la voir se caresser en fixant ses pieds.
Laurence ne trouva aucun motif pour punir Clarisse dans l’après midi et finalement dut se résoudre à regret à ne pas exagérer sachant que celle-ci avait du endurer deux séances difficiles avec elle et Mme Berri. Elle la laissa donc partir en we et alla en fin de journée chez sa patronne qui avait du s’absenter et lui avait laissé une note disant que « la séance » était reportée au lundi.

Clarisse ne put penser à autre chose tout le we et n’arrivait pas à chasser de son esprit les liens, les horribles chatouilles et cette obsession fétichiste sur ses pieds, et malgré un job superbement payé et un cadre agréable, sentait que cela serait progressif et avait le ventre noué. Elle rêva de la semaine à venir et se réveilla plusieurs fois plutôt humide et excitée en imaginant des situations assez gênantes.
Elle retourna donc travailler avec une impatience bizarre car elle aimait déjà ce cadre et de collaborer avec Laurence qui la modelait et la dressait pour en faire leur objet de plaisir à partager avec Mme Berri, laquelle surveillait avec ses caméras tout ce qui se passait en douce.
Laurence l’habitua très vite à devoir venir montrer ses pieds régulièrement et d’un signe du menton, elle indiquait à clarisse le grand fauteuil où elle s’installait rougissante et mal l aise, se déchaussait et se laissait regarder comme un objet et se liquéfiait la gorge serrée.
Laurence prit la sale habitude de la placer ainsi fréquemment et avançait vers elle avec son fauteuil à roulettes, se plaçait derrière Clarisse puis lui touchait doucement les pieds, sans essayer de la chatouiller mais avec insistance. Elle faisait en général toujours des commentaires plus que gênants en les palpant, en pressant mollement les talons ronds et doux ou en pinçant un peu les bords charnus des petits pieds de Clarisse et sa respiration s’accélérait en la tripotant ainsi de longues minutes.
Ricanant légèrement, Laurence ne cessait de lui dire qu’elle avait des petits pieds vicieux et la faisait plisser lentement devant ses yeux en la culpabilisant et Clarisse repensait à chaque fois à sa jeune cousine qui elle aussi lui tripotait les pieds avec les mêmes réflexions.
Le mardi, eut lieu un incident avec Laurence et sa patronne et Clarisse entendit les éclats de voix car la porte était restée un peu ouverte et Mme Berri était apparemment furieuse et exaspérée d’une énorme bourde qui lui avait causé du tort, avec un dossier hyper urgent qui n’était pas finalisé et n’avait pas été posté.
Clarisse n’y était pour rien et elle entendit Mme Berri vociférer après Laurence qui sanglotait ce qui l’excita bizarrement et elle entendit Mme Berri lui ordonner agacée d’aller dans la pièce du fond et se préparer. Elle ne pouvait pas voir ce qui allait arriver et voir Laurence en larmes entrer dans le cabinet privé et aller vers la table de soin pour s’y allonger après avoir du ôter ses vêtements à l’exception d’un mini string .
Mme Berri entra, ferma la porte et attacha immédiatement Laurence à la table , collée sur le ventre, en veillant à laisser sa poitrine lourde passer dans les trous rembourrés prévus à cet effet, puis attacha solidement les bras écartés, poignets aux anneaux des pieds de la table, puis lia également grâce aux sangles présentes les cuisses, genoux et chevilles après avoir passé un coussin sous le ventre de Laurence. Elle l’examina un moment en regardant les gros seins dépasser de la table dessous et pendre vers le sol et resserra chaque lien en provoquant à chaque fois de petits grognements de surprise chez sa jeune victime impuissante.
« Cette fois, nous allons bien prendre notre temps, ma chère Laurence, franchement, on dirait que vous le cherchez … » Elle s’assit sur le coté contre elle et alla à la rencontre des deux gros seins ballotant car elle savait que c’était une zone aussi érogène que réceptive chez Laurence et immédiatement ses attouchements légers provoquèrent les premiers rires chez Laurence.
Calmement, elle commença à lui chatouiller les seins faisant enfler et durcir terriblement les bouts sensibles et attentive à bien chatouiller les bords regardant Laurence rire et déjà supplier mais sans grand espoir et elle se sentit déjà mieux de la punir et la voir rire sous ses doigts.
C’était aussi l’occasion de lui tripoter la poitrine et Mme Berri adorait amener ses jeunes victimes à une excitation permanente, sans avouer ouvertement sa tendance sexuelle mais avec une insistance évidente et elle était ravie que Laurence soit aussi chatouilleuse à cet endroit, ce qui lui permettait de la torturer longuement en lui touchant constamment ces gros seins excitants et lourds.
Elle avait d’ailleurs prévu également de les travailler autrement plus tard avec des objets adaptés tels que des tire lait et même une jolie trayeuse électrique car elle avait très envie de mêler les chatouilles et ces pratiques, et pouvoir traire littéralement cette jeune pouliche bustée tout en la chatouillant aux larmes pour l’empêcher de résister. Elle y pensait en regardant fixement son assistante rire stupidement et bafouiller, essayant sans succès de se relever de la table où les liens la collait, et continuait à rire en sentant sa patronne chatouiller sa poitrine lourde et pendante sans répit.
Cela dura déjà presque 20 mn, le temps nécessaire à mettre Laurence dans un état où elle riait bêtement sans cesse et commençait à perdre son contrôle et Mme Berri ne cessa que parce qu’elle avait très envie de s’occuper de ses pieds. Elle cessa donc mais ouvrant un pot d’huile lui enduisit les seins et étala lentement l’huile tiède en massant les gros seins à pleines mains, les faisant enfler et se tendre, lourds, luisants et hyper sensibles et vit que Laurence avait des mouvements nerveux , râlait et devait commencer à être très humide.
Après ce massage ferme et quelques pinçons des bouts qui firent couiner et sursauter la jeune femme, elle se releva , resserra encore les liens et se plaça près de la table pour aller caresser la jambe gauche, descendre avec des ongles légers vers le bas et voir Laurence trembler et pouffer puis sa main droite alla enfin se nicher dans le creux délicieux du pied droit et à nouveau le rire mécanique monta sous les ongles.
« Voila, ma petite Laurence, nous y sommes cette fois, nous pouvons commencer « dit elle d’une voix presque maternelle et souriante, elle se mit à chatouiller calmement et avec joie le pied sensible et agité de son assistante, le regardant rire de plus en plus car ses ongles allaient grattouiller les bords et le creux sensible de la plante là où Laurence supportait le moins.
Elle la maintint ainsi avec un pied chatouillé fortement, accentuant par moments le grattouillis affreux pour déclencher en elle des cris aigus au milieu des rires incessants et de l’autre main alla discrètement examiner son état en palpant son entrecuisse. Elle tira sur le petit nœud et ôta le string léger et sa main s’enfouit entre la cuisse chaude pour aller toucher le sexe tiède et déjà très humide et du bout des doigts ouvrir le sillon et insister avec ses ongles sur le pied en tripotant vicieusement le sexe offert.
Laurence ne pouvait que bégayer mais surtout rire aux larmes en hurlant par instants sous les ongles et essayer vaguement de protester en sentant sa patronne lui fouiller un peu le sexe , elle riait de plus en plus et devenait rouge, échevelée et par instants criait quand Mme Berri changeait de pied et reprenait encore plus fort pour la rendre folle.
Elle secouait sa tête dans tous les sens en bavant de rire sans pouvoir faire cesser le supplice horrible et devait laisser sa patronne gratter sadiquement avec ses ongles les plantes des pieds exposés et sans défense et la masturber légèrement elle sentait qu’elle mouillait atrocement malgré le degré affreux de torture et d’exaspération .
Mme Berri n’avait en fait aucune raison de cesser et chatouilla ainsi la pauvre Laurence de longues minutes , changeant de pied , reprenant à chaque fois dans le creux des plantes ou allant sous les orteils , ne cessant de la tripoter entre les cuisses pour aller se placer derrière elle et chatouiller les deux pieds en même temps.
Quand Laurence commença à perdre tout contrôle, baver de rire et bégayer des mots incompréhensibles, elle se mit à cesser, rependre, cesser, reprendre, lui faisant croire à chaque fois que c’était fini, faisant mine de la détacher pour changer d’avis et reprendre les chatouilles et amené avec art et patience sa jolie victime vers une crise de nerfs inévitable.
Tout le monde sait, qu’arrivée à ce stade, une jolie femme très chatouilleuse devient folle et que les sensations dues aux chatouilles sont multipliées par 10 , qu’elle est beaucoup plus réceptive et n’arrive plus à s’abstraire du supplice, et n’arrive plus à garder la raison en riant aux larmes et en vociférant.
Mme Berri la contrôla donc avec science et la rendit suffisamment à bouts de nerfs pour enfin, après presque une heure 20 de supplice la voir entrer dans une énorme crise de nerfs et se mettre à hurler de toutes ses forces et se débattre faiblement dans les liens.
A ce stade, Laurence sentait des doigts lui pénétrer et fouiller le sexe et coulait malgré elle sur la main perverse dans ses cuisses mais surtout devenait hagarde et au paroxysme de supporter ces ongles horriblement insupportables sur ses pieds et si la pièce n’avait pas été capitonnée et insonorisée, on l’aurait entendue hurler et brailler horriblement.
Voyant qu’elle avait presque disjoncté, Mme Berri souriante mais absolument sans pitié, la calme quelques secondes et essuya le visage avec une lingette fraiche ce qui fit croire stupidement à Laurence que c’était fini, avant d’aller reprendre une nouvelle fois sous les pieds et immédiatement faire devenir Laurence hystérique et en larmes et quelques minutes après une seconde crise de nerfs plus violente que la première car elle avait l’impression que cela ne finirait jamais et se serait cogné la tête contre un mur pour faire cesser ces ongles acharnés à lui gratter les plantes des pieds.
Mme Berri finit par cesser et vit que son assistante était complètement brisée et pantelante, et en profita pour la calmer à voix basse, en lui caressant doucement encore le sexe, comme un animal qu’on flatte de la main.
Inexplicablement, Laurence, immobile et épuisée sentit monter en elle le plaisir et jouit plusieurs fois sur la table sous la main qui la fouillait sans pouvoir se retenir comme si le plaisir refoulé avait attendu la fin du supplice terrible pour sortir.
Sa patronne la laissa jouir, la détacha enfin et sortit pour la laisser reprendre ses esprits et une tenue plus convenable.

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