Histoire : Pris au piège par Nassim

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Histoire


Histoire ajoutée le 28/12/2010
Épisode ajouté le 28/12/2010
Mise-à-jour le 03/07/2021

Pris au piège par Nassim

Histoire fictive bien entendu....


Ça c'est passer quand j'étais plus jeune. Je devais alors avoir 15 ou 16 ans.

J'étais très complexer, en partie parce que j'ignorais et je n'acceptais pas que j'étais homo. Cet état de chose était encore plus fort à cause de ma grande timidité. Et je n'avais presque pas de copains. J'étais très renfermer.

Regarder les garçon me faisait de l'effet. Il y en avait notamment un qui m'attirais plus que les autres. Il s'appelait Nassim, il avait mon âge.

Nassim était de petite taille, mais comme il faisait du sport et que moi je n'en faisait pas, j'imaginai qu'il qu'il avait plus de muscles que moi !

Souvent je le regardais de loin quand il était avec ses frères et ses copains. Et quand, en été, j'avais la chance de le voir en tee shirt ou en débardeur, ça me faisait encore plus d'effet. Je fantasmais en m'imaginant avec lui. Je m'imaginais entre ses mains, qu'il s'occupait de moi. Je ne pensait cependant pas à quelque chose de sexuel. Mais plus de jeux ou de choses plus oser, enfin, je ne savais pas trop. Il m'arrivais souvent de l'observer de loin. Je n'aurais cependant jamais oser lui parler de quoi que ce soit.

On se connaissait bien sur. On se disait bonjours, bonsoir on parlait de temps en temps de chose et d'autres. Mais comme j'étais très timide et que je ne me mêlais quasiment jamais aux autres, on n'était pas vraiment des copains.

Mais ce que je ne soupçonnais pas, c'est qu'a force de le regarder et de l'espionner, il avait finit par s'en apercevoir. Il ne m'avais jamais rien dit, mais un jour, il me pigeât. C'était en été, pendant les grandes vacances. Beaucoup étaient partis, et la plupart de ses copains n'étaient pas là.

On s'était rencontrer, dans la rue, et, au hasard de la conversation, il un vain à me proposer de venir faire un jeu avec lui. Lui, il aimait beaucoup le foot et moi, j'avais horreur de ça. Il me dit que s'était pas grave, qu'on pourrait toujours faire un jeu de société.

Et il me donna rendez vous devant son entrée (on habitait dans un immeuble) au début de l'après midi. Je vint donc au rendez vous et on allât chez lui. « mes parents et mes frères ne sont pas là », me dit ils. « On sera tranquille pour toute l'après midi. », Après avoir bu un jus de fruit, on s'installa sur la table basse du salon et on commença à jouer. D'abord des jeux comme les dames, le jeu de l'oie.

Puis il me proposa de jouer aux cartes.

« je ne connait que la bataille , lui dit je.

Tu ne sait pas jouer au pouilleux ? »


Il avait dis ça avec un petit sourire. Je connaissait bien sur ce jeu. On y jouait souvent à cette époque là, au pouilleux massacreur notamment.

«-  c'est que, je n'aime pas trop les trucs qui font mal aux mains.
Tu est douillet ? Dit il en riant. C'est pas grave, on va jouer au des habilleur. »

Le principe était, bien sur, de retirer un vêtement à chaque fois qu'on perdait une partie. Je n'étais pas chaud non plus. J'étais très complexer par rapport à mon corps, et je n'osait même pas mettre juste un tee shirt. Je portait souvent une chemise par dessus. En été, je mourrais de chaud. Alors retirer mes vêtements devant quelqu'un alors que je ne le faisait pas devant ma propre mère.... Il finit cependant par me convaincre.

On commença donc la partie. Et il perdit la première, à mon grand soulagement ! Il retira donc son tee shirt. En dessous, il avait mis un débardeur. Et on recommença à jouer. En même temps que je jouait, je ne pouvais m'empêcher de regarder ses bras nu que je voyais maintenant de prêt, ses biceps bien développer qui bougeaient un peu quand il manipulait ses cartes. Son débardeur dégageait bien ses aisselles sous lesquelles il n'y avait que peu de poils. Et tout en continuant la partie, je promenait discrètement – du moins je le croyais- mes yeux de ses bras nu à sa poitrine que l'on devinait sous son vêtement. Et je la perdit, cette partie !

Je retirais donc ma chemise et me retrouvait en tee shirt. Et on recommença. Cette fois, c'est lui qui perdit. Et il retira son débardeur, dévoilant ainsi un torse nu que je n'aurais jamais penser pouvoir regarder. Si ses bras étaient bien développés, ses pecs l'étaient aussi, et je pouvais voir ses tétons. Et si ils n'avait pas de tablette de chocolat comme on dit, son ventre n'était ni trop plat ni trop gros, bien proportionner au reste de son corps. De plus, il n'avait quasiment pas de poils.

« On reprend la partie? Fit il, me sortant ainsi de mon rêve.

-Allons y !
- on va apporter un petit changement. Celui qui perd doit laisser l'autre retirer lui même le vêtement.
- Heu.. oui.. pourquoi pas...
- On y va donc »

Et la partie repris. Et à ma grande angoisse, je la perdit.


« - il va falloir que je te retire ton tee shirt, me fit il.

- Heu... Ben … va y.
- N'est pas peur ! Dit il en riant. Il n'y a que toi et moi ici. Personne ne te verra ! »

Il s'approcha donc de moi et me retira mon tee shirt. Le voir ainsi prêt de moi, me toucher me mis dans une sensation bizarre. Cependant, après me l'avoir retirer, il repris sa place en on recommença a jouer. Je n'étais pas à l'aise, car être torse nu devant quelqu'un d''autre me gênait considérablement, et je me sentait très complexer en comparant mes muscles aux siens. Il n'avait bien sur pas manquer de le remarquer mais il ne me dit rien. Et cette partie cette fois encore, il la perdit.

«  - tu n'a plus qu'a me retirer mon froc, dit il.
- c'est que..
- Et bien quoi, va y. c'est je jeu. Il y a rien de mal.
- Bon. »
Je me déplaçais jusqu'à lui, tandis qu'il retirait ses chaussures et se levait pour me permettre de lui retirer son pantalon. C'est en tremblotant que je lui défit sa ceinture et baissait son pantalon.

«  Laisse, va. Dis il. Je vais l'enlever moi même. Je vois bien que tu est gêner. »

A voir ainsi ce garçon en slip, les cuisses puissantes, j'en était tout retourner. Il se dit sans doute qu'il était temps d'en finir, car soudain, avant que réagisse, il s'avança sur moi,et, en un éclair, ouvrit ma braguette (je n'avais pas de ceinture) et baissa mon froc d'un coup. Je m'attendait si peu à une telle réaction que je restais sans réagir. Il regarda fixement mon slip gonflée, qui trahissait mon état.

« J'en était sur ! Tu bande comme un petit taureau ! C'est moi, qui te donne la gaule ? »

Moi, rouge comme une pivoine, je restais debout sans savoir quoi faire, désarçonné par cette situation inédit, n'osant pas regarder dans les yeux Nassim qui se tenait devant moi, les mains sur les hanches. Sa voix n'était cependant pas coléreuse. Mais je n'en menait pas large..

«  Et bien alors ? Continua il, tu ne dis rien ? Tu a avaler ta langue ? »

Je ne savais pas comment m'en sortir. Je reculais instinctivement, mais ayant mon pantalon sur les chevilles, je me pris les pied et je trébuchai sur la chaise derrière moi, me retrouvant ainsi les quatre fers en l'air.

Nassim m'aida alors à me relever, et, me redressant le menton de sa main, me regarda avec un sourire moqueur.
« Ne fait pas cette tête, je ne vais pas te manger ! Aller, assis toi donc ! »

Il approcha alors sa chaise de la mienne, n'assis à son tour, et repris :

« Tu sait, ça fait un moment que je me rend compte que tu t'intéresse à moi, que tu m'observe, de loin où de prêt. Tu croyait peut être que je n'avais rien vu, un petit idiot ? »

Je restais sans répondre tandis que lui reprit :

«-  tu est pd ? Demanda il soudain.
- non, je te jure que non...
- c'est ça oui. Tu regarde les mecs torse nu, tu chope la gaule quand tu me voit en slip, et à part ça, t'es pas pd ! Tu crois que je suis con ?
- Je te jure...
- Ne jure pas, va. Dis il en souriant. Tu t'enfonce. Mais écoute moi bien.
- Je t'écoute
- Rassure toi, t'a pas a avoir peur. Je suis pas en colère et je veux pas te faire de mal mais il faut que tu sache une chose. Dans le quartier, les pd, c'est pas bien vu. Si les copains le savaient, et même, mes frères, tu pourrait avoir de gros problèmes. Tu as de la chance, je suis moins con que les autres. Mais tu doit faire gaffe. Faut que tu reste discret.
- Je t'assure que...
- Ah ! Ah ! T'es pas pd, c'est ça ! Bah, que ce soit vrai ou non, peu importe. Moi je suis sure que tu l'es et tu le découvrira un jour. Mais en attendant, il s'agit d'aujourd'hui.
- Aujourd'hui ? Dis je avec angoissé.
- Et ben tient ! Tu crois tout de même pas que je t'es fait venir juste pour te prouver que je sais que tu chope la gaule en me voyant ! Je t'es dit ce matin qu'on allait jouer, c'est ce qu'on va faire. Seulement maintenant, les règles, c'est moi qui les décide !
- Comment ça ?
- Et ben oui, le pouilleux, c'est bien pour les gosses, mais moi, j'ai autre chose en tête.
- Autre chose ?
- Je te prévient, je suis pas pd, moi. Ce sont les gonzesses qui m'intéressent. Mais c'est pas pour autant que je néglige d'autres passe temps.
- Qu'est ce que tu as en tête.
- Mais jouer bien sur ! Mais pas de trucs sexuels . Justes de petits trucs entre mecs...
- Que propose tu ?
- Je propose pas mec, j'impose !
- Qu'est ce que tu va me faire ?
- Tu me fait confiance, n'est ce pas ?
- Ben...
- Je ne t'obligerais pas par la force. Mais si tu veut que tout ça reste entre nous, il va falloir que tu fasse ce que je dis. »

Nassim devina à ma tête la crainte que j'éprouvais par rapport à la suite. Il repris bientôt :

« - Aller, fait pas cette tête ! C'est juste un jeu. Tu me fait confiance, oui ou non ?
- Oui, dis après avoir hésiter.
- Alors, tu accepte ?
- Oui, j'accepte.
- Bon Et bien, on fait une pause avant ou on y vas ?
- Je ne sait pas.
- Et bien allons y dis il en se levant. Et d'abord, retire moi complètement ce froc. Il te servira à rien dis il en souriant. Suis moi, on va dans ma chambre. On y sera plus tranquille. ».

Après avoir retirer complètement mon froc, je suivit donc Nassim dans le couloir, jusqu'à sa chambre dont il ouvrit la porte.

« -entre, dit il. »
J'entrais donc dans la pièce. Nassim partageait sa chambre avec ses deux grand frères. Deux lit superposés étaient visibles contre un mur, un autre lit simple en face.

« - moi, j'occupe le lit seul, me dit il. Tu est prêt ?
- On va faire quoi ?
Toi, tu te laisse faire me dit il en souriant. Allonge toi sur le lit. »

Je m'approchais donc du lit. Un drap qui n'avais pas l'air tout jeune avait été posé au dessus.

« -j'ai mis ce vieux drap pour ne pas salir. Mais rassure toi, il est propre. Aller, allonge toi ! »

Je m'allongeais donc, pendant que nassim prenait dans une armoire un sac à dos qui, lui non plus, n'avais pas l'air tout jeune. Il en sortis un paquet de cordes et s'avança.

« Je vais tout d'abord t'attaché. Tu ne voit pas d'inconvénients ? » me dit il en ricanant.

ET joignant le geste à la parole, il m'attacha solidement, les poignets au dessus de la tête, puis les deux jambes écartés. Il avait mis en dessous des cordes des poignets en tissus, comme en portait des fois certains garçons qui faisaient du sport, pour que les cordes ne me fasse pas mal, m'avais il dit.

« - Tu vois que je ne suis pas méchant ! » Dis il.

I l s'installa alors directement sur le lit, a genoux entre mes jambes. Je le regardais. Ses muscles était particulièrement impressionnants dans cette position. Il avait croiser ses bras et je voyais ses biceps.

« - Je vais te raconter une histoire. Dis il en ricanant.
- une histoire ?
- Oui ! Tu connait l'histoire des petits indiens ?
- Les petits Indiens ?. J'en ai déjà entendu parler mais je ne sait pas trop ce que c'est.
- C'est une histoire que mes frères adoraient me raconter quand j'étais plus petit. Ils se mettaient à deux, l'un me tenait pendant que l'autre faisait l'histoire. Ils faisaient ça quand ils estimaient que je faisait trop de bêtises, où quand je les agaçait, où quand ils en avaient envie ! Je l'est fait plusieurs fois sur des camarades de foot après des paris perdus ! Je suis particulièrement douer pour le faire ! On t'a déjà fait les petits indiens ?
- Non. C'est quoi ?
- Tu va voir, dis il. Il était une fois... »

En prononçant ces paroles, il décroisa les bras et me montra ses mains.

« -des petits indiens, dis il en agitant ces doigts qu'il posât sur le bas de mon ventre.
- qui marchaient, poursuivit il en agitant ses doigts sur la peau de mon ventre tout en avançant, faisant ainsi des chatouilles.
- Puis qui galopaient,dis il »

Et disant ça, il tapota de plus en plus vite sur la peau de mon abdomen avec deux doigts, un de chaque mains.

«  puis ils ralentissent... reprit nassim, en agitant de nouveau ses doigts sur mon ventre.
- Et se remettent a galoper. Reprit il joyeusement en recommençant a tapoter de ses doigts. »

Comme j'étais très chatouilleux, la sensation était terrible. Je commençais à rire, à crier, me débattant en le suppliant d'arrêter.

Nassim arrêta, se leva leva pour prendre quelque chose dans son sac à dos avant de revenir. Il me fourra alors dans la bouche un chiffon et me ferma les lèvres avec du scotch.

« - il ne faudrait faire trop de bruits à cause des voisins » dit il en reposant son barda à terre. Puis il revint prendre sa position initiale.

« Continuons notre histoire »

fit il avec un sourire. Puis il repartis de plus belle. Ce fut atroce, j'avais beau me débattre il m'avais bien attacher et mon bâillon ne permettait d'émettre que des sons incompréhensible.

Il alternait les chatouilles en promenant ses doigts de mon ventre jusqu'à ma poitrine, et les tapotements avec ses deux doigts, tout aussi redoutables. Il explora chaque centimètres carré de mon torse, n'épargnant pas les flancs, il eu tôt fait de découvrir les points les plus sensibles. Il alternait alors chatouilles fortes où plus légères, points sensibles et moins sensibles. J'avais beau me débattre, tirer sur mes liens, rien n'y faisait.

« Ne remue pas comme ça, voyons. Ça ne sert à rien, fit il avec un ton moqueur. Quand le sol de la plaine est tremblant, les indiens galopent plus fort... » Et ce disant, il tapota de plus belle avec ses deux doigts.

Nassim était sans pitié, ce saligaud savait s'y prendre. Il continuait d'alterner tapotements et chatouillis et me débitant cette histoire d'indiens complètement farfelue. Je ne la suivais même plus. Je n'avais d'yeux que pour Nassim, et pour ces bras qui continuait à me tourmenter. Il avait changer de position et c'était mis en califourchon sur moi. Ses cuisses serrait le bas de mon bassin. Le contact de se corps dont je voyais s'agiter les muscles me faisait bander encore d'avantage, sensations amplifiée par les chatouilles. Il se concentra ensuite sur mon ventre, sur et autour de mes abdos pas suffisamment développés à ses yeux. Il tapotait énergiquement ses doigts autour et au dessus.

« Ça fait du bien aux abdominaux  ! » me sortait il en riant.

Il s'acharna alors sur cette partie. Il alla en diminuant d'intensité, puis s'arrêta finalement, après un temps que je jugeais infini.

Je poussait un soupir de soulagement sous mon bâillon et le voyant se remettre debout, les bras croisés. Je n'en pouvait plus. Heureusement, il avait arrêter au moment où cela devenait absolument insupportable. On aurait presque dit qu'il l'avais sentis. Je transpirait un peu, j'étais essouffler comme si j'avais fait un effort.

Nassim s'adressa à moi après m'avoir ôter mon bâillon.

«-  Alors, comment à tu trouver mon histoire ? Intéressante, n'est ce pas.
- C'était terrible. Vraiment, tu es...
- Redoutable, je sait ! J'avoue que j'ai été particulièrement dure avec toi. Je crois que tu en a assez pour aujourd'hui. Mais comme j'ai été assez dure avec toi, je vais te faire tester autre chose. »

Il s'assit alors a mes côté et me demanda en souriant :

«- Tu t'es déjà branler ?
- Ben heu... »

Je m'attendais si peu à une telle question que j'hésitais à répondre. Je n'avais jamais encore oser aborder un tel sujet avec quelqu'un.

« - Allons, répond moi ! Fit Nassim. Ou est ce que je doit te faire parler ? Fit il en ricanant et en agitant ses mains devant moi.

- Ben.. oui , lui répondis finalement, en baissant les yeux, les joues rouges comme une pivoine.
- N'est pas honte, voyons, tout le monde le fait. Es tu déjà fait ça avec quelqu'un ?
- Non, non, absolument pas...
- Eh bien, ce sera une première. Tu est le premier à qui je vais le faire, et sans doute le dernier. »

Il me remit alors le bâillon. « je te re-baillonne, fit il en souriant, je ne voudrait pas que tes gémissements soit entendus des voisins... »

Il farfouilla dans son sac à dos et en sortis un flacon qu'il déboucha, avant de se remettre en califourchon sur moi.

« Tu n'a jamais essayer ça, je pari ? C'est une huile de massage. Je l'ai chiper dans les vestiaires du stade un jour. Tu va voir, c'est géant ! »

Je devinait aisément ce qu'il avait l'intention de faire. Ce serais la première fois que quelqu'un d'autre que moi me toucherai le sexe. Et un mec en plus. Je voyait Nassim, le flacon dans une main, et l'autre me retirant mon slip., laissant dégager ainsi mon sexe qui se dressa droit comme un I.
Nassim, visiblement, appréciait. Et je me demandais si cette situation là ne l'excitait pas autant que moi ! Nassim se mis alors de l'huile sur le deux mains et en fit couler un peu sur mon sexe. La sensation était froide. Je tremblait, à la fois de peur et d'excitation devant cet événement inédit pour moi, alors que Nasim, posant les deux mains autour de ma tige, commença à officier.

Je ne puis décrire la sensation intense qui s'empara alors de moi, un mélange de peur, de plaisir et de honte. Je ne pouvait m'empêcher de gémir sous mon bâillon, tout en remuant. Les muscles saillants de Nassim bandaient tandis qu'il me travaillait de ses deux mains, alternant caresses, massages sur mon sexe qui envahissait alors de sensations intenses, aussi brulante qu'une braise. De plus l'huile augmentait considérablement l'effet.

Je ne peut dire combien de temps cela dura, une éternité pour moi, moins sans doute, mais cette fois, ce n'était pas difficile à supporter comme les chatouilles mais un plaisir infini. Enfin, la sensation se fit brulure, et devint presque insoutenable. Je me mis à remuer, à me cabrer pour tenter vainement de mettre fin à cette douce torture, et d'un seul coup, je sentit un liquide chaud couler sur mes parties, et Nassim alors s'arrêta.

Je me sentit apaiser, épuiser même. Nassim se leva, s'essuya les mains avec une serviette de papier et vint vers moi pour faire de même sur mes organes.

« Alors, comment c'était ? A voir la réaction que tu as eu, tu as apprécier ! »

Il sortis de la pièces et revint quelques minutes plus tard avec dans les mains, une coupelle contenant quelques chose que je ne pouvais deviner.

« Je ne peut pas terminer cette journée sans te faire un dernier petit cadeau dit il en ricanant. »

Il n'assis à côté de moi, et me remis mon slip.

« Il pris alors des objets dans la coupelle et me les glissa dans le slip. Je me cabrais soudain et ressentant un sensation glaciale. Ce qu'il m'avais glisser, c'était des glaçons ! Nassim rigolait en voyant ma réaction.

« Ça c'est une petite punition, que je t'ai réserver. Cela t'apprendra un peu à me suivre et à m'espionner ! » il se leva, et passant la main sur son slip qui avait gonfler :

« Moi aussi, tiens, il faut que j'aille faire quelque chose... » Il s'éloigna. Je gémissait en me débattant, torturer par le le froid des glaçons qui commençaient a fondre. Il se retourna en me disant :

« ne te fatigue pas, va. Et reste tranquille, où je te remet une deuxième fournée. Tu restera comme ça jusqu'à ce que tout les glaçons ait fondus. Tu as de la chance, on est en été, ça fond vite ».

Il sortis de la pièce en refermant la porte, me laissant seul. Il ne revint que 10 minutes plus tard, quand tout les glaçons avaient fondus. Il avait remis ses vêtements, et s'était mis en débardeur.

« Alors, comme ça va ? Calmer ? »

Il me retira mon ballon.
« -Alors, encore tenter de jouer avec moi ?

Je ne savais que penser, si je lui en voulait où pas. Mais lui continuât.

« Ce qui s'est passer cet après midi, bien sur, ça reste entre nous. De toute façons, je ne te voit pas raconter ça à quelqu'un ! »

Il me détacha, m'aida à me relever et me rendit mes vêtements.

« Allons, c'est le moment de rentrer chez toi. Mes parents et mes frères seront là dans une heure. J'espère que tu as passer une bonne après midi ! »

Je ne répondit pas.

Nassim afficha un sourire.

« Tu va revenir la semaine prochaine. »

Je redressais soudain la tête.

« Je n'en est pas encore finit avec toi ! Je te réserve un traitement inédit dont tu me dira des nouvelles. Et inutile de dire que tu a intérêt à être là ! Si tu veut que certaines choses restent entre nous. »

« Que va tu encore me faire ? Tu n'en a pas eu assez  ?»

« C'est toi qui n'en a pas eu assez, mon grand. Tu voulait être pris en main par Nassim, n'est ce pas ? Et bien tu as eu ce que tu voulait ! Allez, ne fait pas ta mauvaise tête. Je sait que tu n'a pas détester ce qui s'est passé cet après midi. Et ne t'en fait pas, tu ne le regrettera pas, je t'assure ! Après ça, ce sera finit ! Aller, rentre chez toi ! »

Il me raccompagnât jusqu'à sa porte.

Je doit dire que cette première journée, qui avait été fortes en émotions, n'avait pas été inintéressante pour moi. Et j'avoue que je tremblait, à la fois d'angoisse et excite ment, à l'idée de ce que Nassim me réserverais pour la fois prochaine.

Ils aiment : Toi ?