Histoire : Le prix à payer

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Histoire


Histoire ajoutée le 09/01/2011
Épisode ajouté le 09/01/2011
Mise-à-jour le 03/07/2021

Le prix à payer

Bonjour à tous. Voici le début d'une histoire que je vais vous livrer chapitre par chapitre. Elle est bien entendu totalement fictive, bien que je la raconte à la première personne. Merci pour vos avis.

Prologue

J’ouvre les yeux. J’ai l’impression d’avoir dormi des heures. Où suis-je ? J’essaie de me rappeler… Mais avant, un constat : je suis dans le noir, allongé sur le dos, et je ne peux pas bouger. Mes jambes et mes bras sont comme solidement maintenus au quatre coins d’un lit. Ca c’est pas bon signe…

Mais qu’est ce que je fais comme ça ? Voyons… Ah, je me rappelle. Ou à peu près au moins. Ce matin, je suis allé à la piscine. J’adore nager et j’y vais au moins une fois par semaine pour parcourir au moins 2 km. Non, je déconne. En vérité, je ne suis pas très sportif. Le seul truc qui me pousse à aller la piscine, c’est une passion un peu particulière, une manie dont l’origine remonte à mon enfance (je ne suis pas plus psy que sportif, désolé !) : je suis irrésistiblement attiré par la vision des pieds nus des femmes. La piscine, c’est l’endroit idéal pour en observer des dizaines, toute l’année durant, même par temps froid. Un véritable paradis de fétichistes. Par exemple ce matin, j’ai été plutôt gâté : plein de jolies filles de mon âge, deux fois plus de divins petits pieds frétillant dans l’eau claire, que j’ai longuement pu observer en les suivant à tour de rôle dans le bassin. Et puis comme je suis gourmand, je me suis même offert un petit bonus : les vestiaires étant mixtes, il y avait encore moyen de se délecter un peu plus encore en se penchant et en regardant se qui se passait dans les cabines situées à côté de la mienne. Comble de bonheur, j’ai justement choisi de me placer juste à côté de trois nanas que je connaissais bien, puisque nous sommes dans la même fac. Etant rentré dans ma cabine après elles, j’ai pu choisir le meilleur emplacement et m’offrir un spectacle de choix.

J’ai attendu qu’elles sortent pour faire de même, histoire qu’elles ne se sentent pas gênées a posteriori de ma présence. Je vous confie ce petit truc, si un jour vous souhaitez comme moi observer de long moment des pieds au naturel : soyez discrets, ne vous montrez pas. C’est de cette façon que vous aurez le meilleur spectacle. Cette fois là, je dois dire que je n’ai pas regretté ma séance sportive : il y avait beaucoup de filles très jolies, et en plus ces trois là que je connaissais. Elles s’appellent Alice, Chloé et Sarah. Elles ont toutes les trois 22 ans, tout comme moi. Ce sont en toute franchise de jolies filles, accessibles et sympa. Et maintenant je vous le certifie : elles ont toutes les trois de très jolis pieds.

Une fois sorti du vestiaire, je les ai retrouvées en train de se sécher les cheveux. Bien sûr, j’ai feint la surprise.
- (moi) Salut les filles ! Alors on vient entretenir son corps de sirène, ou draguer les maitres nageur ?
- (Chloé) Salut ! Et toi alors, c’est le maître nageur qui t’intéressait ? Parce que sinon t’as mal choisi ton jour, pas une seule maître nageuse.
- (moi) Mais il y a vous, et donc je suis comblé…
- (Alice) Oh, flatteur ! C’est gentil. Sûrement pas pensé, mais agréable à entendre. Ca te dit de venir prendre le petit dej chez moi avec nous ? J’habite pas loin.
- (moi) C’est très sympa ! Avec plaisir !
Et nous voici partis chez Alice, avec juste une halte pour acheter des croissants. Le petit déjeuner était une bonne idée, surtout après l’effort. Les filles et moi avons parlé de tout et de rien, on a surtout déconné en fait. Un bon moment.

D’ailleurs mes souvenirs s’arrêtent là. Plus rien entre ça et cette curieuse posture dans la quelle je me trouve. Mes yeux s’habituent progressivement à la pénombre, mais je distingue à peine une lueur à travers un store fermé, et un peu de lumière sous une porte. Bon, c’est quoi ce bordel ? J’appelle, après tout c’est le meilleur moyen de savoir.

Ils aiment : Toi ?