Histoire : Une belle brochette de tarés

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Histoire


Histoire ajoutée le 23/01/2012
Épisode ajouté le 23/01/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

Une belle brochette de tarés

Voila ma premiere fic, j'espere que ca va vous plaire. Ca raconte les aventures d'une bande ayant des aptitudes pour le moins... spéciales, c'est le mot.

Donc il y a une seconde fiction, pour les intéressés que j'écris, que vous pourrez trouvez ici



Je ferai donc un sommaire, avec les liens des chapîtres, ca serait sympa de savoir si cela vous est utile ou non, merci de m'en faire part dans tous les cas :)

Chapitre 1: Prologue

Chapitre 2 : Retour chez les français

Chapitre 3: Petit voyage

Chapitre 4: Retrait bancaire

Chapître 5: Souvenirs, souvenirs...

Chapitre 6: Un peu de compagnie n'a jamais tué personne...


Chapitre 7: Amat, cet éternel oiseau de malheur

Chapitre 8: Ryuu ou l'art de passer inapercu


Chapitre 9: Tsuku et la finesse, tout une histoire

Chapitre 10: Susano, Incarnation de la subtilité et de l'élégance


Chapitre 11: What's up, people? This feel... Madness? -Part-1

Sur ce, enjoy!


Chapitre 1: Prologue








La France, pays où on peut trouver des gastronomies raffinées, visiter des monuments historiques, bref on y voit la vie en rose. Si tout y est parfait, c’est parce que ce qui est considéré comme inapproprié pour la réputation y est immédiatement brimé. Nous allons nous pencher sur un bon exemple : les fétichistes. Bien qu’assumant facilement cette passion, ils la tiennent secrète, car ils seraient immédiatement mis à l’écart et vannés dès que l’occasion s’en présente. Cependant il existe des gens qui ne s’en cachent pas car ils ont des aptitudes particulières leur permettant d’assouvir ces envies tout en se moquant de la police, à qui ils échappent grâce à cela. Dans la prison la plus renommée, Impel down (repris de One piece, j’avais trop la flemme de faire des recherches), en sous-sol, a environ cent mètres de profondeur, il existe des prisonniers qui ont commis des crimes abominables, et ces personnes ont été « effacées » pour rassurer la population. Mais je ne vais pas vous parler d’eux, nous allons descendre encore plus profondément pour trouver des personnes bien spéciales.
A environ deux cent cinquante mètres de profondeur, on pouvait voir plusieurs cellules individuelles, plutôt spacieuses, contenant tout le confort dont on peut rêver : toilettes, douche, frigo, ect…
On aurait pu croire que c’était un mini-appartement normal, si la personne vivant dedans n’avait pas des chaines longues de plusieurs mètres attachées aux bras et aux jambes. Celui-ci pouvait se mouvoir comme il le voulait, mais ne pouvait atteindre les barreaux de sa cellule.
L’un d’eux était vautré dans un fauteuil, visiblement occupé a une lecture qui le laissait pensif. Il bailla, se leva, puis s’étira, faisant craquer ses articulations, qui n’avaient surement pas été utilisées de puis longtemps,, vu le bruit qu’elles firent. Puis il dit sur un ton visiblement curieux :
-Mhhh, les gars, vous en pensez quoi de ca ? demanda-t-il, pensif, en montrant un journal aux gardiens.
-J’en pense que tes amis faisant partie de ta « communauté » ont envie de te revoir, ca fait six ans que tu es ici quand même, la dernière fois, tu avais tenu quatre ans avant que tes "envies" se manifestent, répondit le gardien en baillant.
-Faudrait qu’on sorte, se plaignit un autre, je vais finir par m’emmerder, moi, si ce n'est pas déjà le cas...
-En tout cas, cet article me plait bien, commenta un prisonnier avec un sourire cruel, on a retrouvé une jeune fille à Paris baignant dans sa sueur, elle avait été enlevée, et elle a refusée de dire ce qui lui arrivée, même si j’ai ma petite idée sur le sujet. En tout cas tout le monde attend ton retour, « dragon pourpre » elle a bien transmit le message.
-Ca vous dit une partie de poker ? demanda un des gardiens pour changer de sujet.
-Je vais prendre une douche d’abord, répondit le premier prisonnier, à moitié endormi, et après pourquoi pas. Pour ce qui est de mon surnom, je préfère le terme « ryuu »
-Héhéhé, bonne douche.
-Merci Susano. Vous pourriez m’enlever ca, le temps que je prenne ma douche ? demanda-t-il aux gardiens, en montrant les chaines qui l’entravait.
-Ouaip, deux secondes, fit-il avant d’entrer dans sa cellule, et d’ouvrir les verrous des chaines.
-Ah la vache, ca fait du bien de plus avoir ce poids sur moi.
-Tu m’étonnes, commenta un autre, dont les yeux étaient cachés par un bandeau dont le bout tombait au milieu de son dos.
-Bon, fit-il en prenant une serviette, je reviens tout de suite, j’en ai pas pour longtemps.
-Si « pas longtemps », pour toi c’est trois quart d’heure, ricana-t-il, cynique, alors oui on est d’accord, c’est rapide.
-Humpf, abruti, va.
Puis il claqua la porte menant à sa douche après s’y être enfermé.
-On dirait que je l’ai vexé, commenta son compagnon de cellule, quel gamin, je vous jure.
-Je t’entends, je te signale !
-Si tu savais a quel point je m’en branle de ce que t’en pense et que t’entends….
Du côté de ryuu (bien que ce soit un surnom j’appellerais mes personnages le leur), celui-ci se regardait dans un miroir. Il avait 27 ans, cheveux noirs et yeux couleurs ambre-or, chose qui n’était pas commune, on l’avait souvent emmerdé a cause de ca. Sa musculature était correcte, sans être une montagne de muscle non plus, il s’estimait bien proportionné ; 1m92 pour 87 kilos. Un seul truc plutôt insolite au niveau de son torse : une énorme cicatrice de 1,5 cm de profondeur en forme de dragon dont la tête s’étalait sur sa poitrine gauche, le corps s’étalait sur le dos, et sa queue était sur sa hanche droite.
-« Ah la vache, ca en fait, des souvenirs », songea-t-il, en proie à une vague de nostalgie.
Puis il se déshabilla complètement, avant d’aller dans la douche ; Il fit couler l’eau, qui, brulante, revigora son corps endormi et dégagea les saletés présentes dessus.
-« De l’eau chaude, songea-t-il avec un sourire ironique, c’est vraiment du luxe. En même temps, on ne pouvait pas nous le refuser. »
Une petite demi-heure plus tard, il sortit torse nu, serviette sur les épaules, avec un pantalon noir.
-On commence ? demanda-t-il.
-Pas de problème, répondirent les gardiens, on vient de détacher tes compagnons.
-Je vais vous massacrer ! hurla l’un d’eux ; il avait des cheveux rouges vifs, avec des mèches blondes par endroits rejetés en arrière, dont une tombait devant son œil droit.
Deux minutes plus tard…
-Mais c’est pas possible d’avoir autant de chance, ca devrait pas être permis !
-On vient de commencer et tu te plains déjà, commenta l’un d’eux, une goutte derrière la tête.
-Mais quel mauvais per…
Un spasme secoua le corps de ryuu, et une sensation qui lui était familière lui vint.
-Y a un problème ? demanda l’un des gardiens.
-Contactez le chef… et dites-lui que mes démangeaisons me reprennent !
-Enfin, je vais pouvoir finir ce que j'ai a faire, murmura celui qui avait les deux yeux bandés.

Alors je continue ou j’arrête?

Ils aiment : Toi ?