Histoire : Jessica et ses frères.

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Auteur
Histoire


Histoire ajoutée le 25/01/2012
Épisode ajouté le 25/01/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

Jessica et ses frères.

Voilà ma première histoire, j'espère qu'elle vous plaira! n'hésitez pas à critiquer et à me donner des conseils en commentaires! Sur ce, voilà l'histoire!
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Introduction
Les personnages:
- Jessica, 14 ans, 1m70, cheveux noirs jusqu’au milieu du dos, yeux bleu-vert, peau mate.
- Joachim, 16 ans, 1m75, cheveux bruns, yeux bleus, peau mate
-Justin, 17 ans, 1m 80, cheveux bruns, yeux vert clairs, peau mate
- Julien, 18 ans ,1m80, cheveux bruns, yeux verts, peau mate



Je m'appelle Jessica. J'ai 14 ans, et je vis avec mes trois grands frères, Joachim, Justin et Julien.
Je n'ai jamais connu mes parents, ou du moins je ne m'en souviens pas. J'avais 8 mois quand ils sont morts, et par la suite nous avons été élevés pas nos grands parents qui sont décédés récemment, et nous vivons seuls dans une belle et grande maison, qui nous appartient par héritage. Heureusement pour nous nos parents avaient le porte monnaie bien garni et nous vivons très bien. Nous sommes inséparables, mes grands frères m'adorent et moi aussi. Mais je ne les adore pas tout le temps...pourquoi, vous demandez-vous ? Eh bien mes frères sont tous trois des fétichistes des chatouilles, et je suis leur victime favorite. Bien sur, j'essaie de me défendre quand ils ont décidé de faire une séance, mais j'ai beau mesurer 1m70, je suis mince et je n'ai pas beaucoup de force. Que faire alors face à trois garçons plus grands que moi et qui plus est tous assez musclés? Rien. Ça fait d'ailleurs assez longtemps que je ne résiste plus.

Chapitre 1


La cloche sonne, j'ai fini les cours. Je me dirige vers le portail du collège, je discute un peu avec mes amis quand un rugissement de moteur se fait entendre. Trois motos arrivent, s'arrêtent dans un dérapage magistral juste devant nous. Mes frères! Comme d'habitude, ils viennent me chercher avec leurs superbes motos. Comme je les envie de pouvoir conduire des engins pareils! Après avoir dit au revoir à mes amies, je prends le casque que me tend Justin, le mets et grimpe derrière lui.
On repart en trombe, puis une dizaine de minutes plus tard nous arrivons devant la maison. Je rentre tandis qu'ils garent leurs motos dans le garage. Je regarde mon agenda: cool, pas de devoirs! Il est 15h, je retire mes chaussures, je bois un verre d'eau et je me laisse tomber sur le canapé en cuir noir du salon. C'est là que je me dis que vraiment, j'adore cette maison. Elle est gigantesque, super bien décorée et tous les meubles sont confortable, exception fait bien sur des tables et autres meubles de rangement, qui a défaut de confort ne manquent pas de beauté. A peine suis-je installée que mes frères rentrent, retirent leurs chaussures avant de les mettre dans le placard de l'entrée. Moi, je lis un magazine. Ils posent leurs affaires puis s'asseyent sur le canapé en face de moi. Je lis puis un moment, je me rends compte qu'il n'y a aucun bruit. Je lève la tête de ma revue, et je les regarde.
Je constate avec effroi que Justin regarde mes pieds, que Julien regarde mon nombril, à un endroit ou mon débardeur est légèrement retroussé et que Joachim, lui, regarde en direction de mes aisselles. Et ils ont tous le même petit sourire sur les lèvres. J'essaie de paraître la plus normale possible, referme mon magazine, le pose sur la table basse, mets mes chaussons et m'apprête à me lever, pour m'échapper discrètement. Eux, ils ont envie d'une séance! Ils se regardent. :rouleyeux: Je me lève, commence à marcher vers le couloir, et je regarde derrière moi. Merde! ils se sont levés aussi. j'accélère le pas, et je commence à courir vers ma chambre. C'est dans ce genre de cas que je déplore d'avoir une maison aussi grande! j'ai encore l'escalier a monter et le couloir à traverser. Ils me courent après. Justin lance:

- Hey, sœurette, attends! On veut juste te parler!
- Mon œil! tu crois que je vous connais pas assez??

Oh non, ils me rattrapent! J'aperçois ma chambre au bout du couloir. Plus que quelques mètres, et je pourrais m'enfermer pour me réfugier. Mais c'était trop beau. Julien me chope par le poignet, et me porte dans ses bras. Je commence à gigoter tandis qu'ils vont vers sa chambre. Je suis presque parvenue à me libérer quand Julien commence à agiter ses doigts sur mon ventre.

-Ne nous quitte pas si vite, Jess'!

Je me résigne à lâcher prise. Il arrête ses doigts. On entre dans sa chambre, et il me pose sur son lit. Les trois comparses m'attachent en Y, puis se positionnent. Julien retrousse mon débardeur pour voir mon ventre, Joachim est posté aux aisselles, et Justin m'enlève mes chaussons. Je le regarde et dit:

- Justin, non je t'en supplie.

Mais il n'en a que faire, et m'enlève une de mes chaussettes blanches et prenant bien soin de passer son ongle sur mon pied en même temps. Je sursaute. Il enlève l'autre chaussette de la même manière. Ils me regardent. Je pousse un petit gémissement adorable qui les fait sourire. Justin ouvre le bal, d'abord en agitant gentiment ses doigts sur mon petit 38 rosé. Je m'efforce de ne pas rire. Puis il intensifie le mouvement. Je tiens bon, mais difficilement. Julien lance:

- Mais c'est qu'elle est coriace notre frangine!

Justin: allez-y les gars, elle tiendra pas longtemps!

Julien: Paré à l'attaque!

Joachim: On commence?

Moi: Nooooooooooon!!!!

Aucun effet, bien sur. Il se lancent, tous les trois en même temps. Je parviens à opposer une belle résistance, mais celle-ci est de courte durée. Une minute plus tard à peine, j'explose de rire. Je pleure déjà, et j'aperçois, les yeux brouillés de larmes, un sourire de satisfaction sur leurs visages. Je les supplie d'arrêter, mais évidemment, le seul effet que ça a, c'est de faire redoubler leurs chatouilles. Une dizaine de minutes plus tard, ils marquent une pause pour me laisser reprendre mon souffle. Diaboliques, mais pas sans cœur, mes frères. Joachim disparaît un instant et m'apporte de l'eau, Justin m'éponge tendrement le front, Julien y dépose un baiser. Mais je ne me fie pas trop à tout ça, je sais que ce n'est pas fini. Oh, non, loin de là. En effet, j'ai réussi à reprendre mon souffle, et dans la foulée, Justin me met un bandeau sur les yeux. Non, pitié! Quand ils font ça, c'est le pire moment, car je ne peux rien anticiper. Je sens qu'une plume passe sur mon pied droit. Je gémis. La plume s'arrête au bout de 5 minutes. J'entends le bruit d'un bouchon qu'on ôte, puis, il est remis. Et là je sens le stress monter. Tout à coup, j'entends que Justin frotte ses mains. J'ai peur. Mes craintes se confirment quand je sens ses mains passer sur mes pieds. De l'huile de massage! Comme si ce n'était pas assez horrible comme ça!

-Je reviens, je vais me laver les mains.

Je m’attends à ce que Julien et Joachim prennent le relais pendant ce temps, mais non, ils me laissent stresser en attendant mon supplice. Je tente alors le tout pour le tout :

-Les garçons, 10 € si vous me détachez et que vous m’aidez à prendre ma revanche sur Justin !

Ce que je n’ai pas vu, avec mon bandeau, c’est que Justin était revenu.

-Dis donc, Jess’, c’est pas bien ça ! T’essaie de soudoyer tes frères ?

Je me mords la lèvre. Je sais que même si c’était dit sur le ton de la plaisanterie, il allait me faire regretter cette tentative de « corruption ». Je me crispe quand j’entends qu’il marche, lentement vers le bureau de Julien et qu’il farfouille dans un tiroir. Puis, le bruit du tiroir qui se referme, et encore ses pas. Il s’arrête devant mes deux petits pieds immobilisés. J’entends un genre de vibration, et je crie :

-Non !!! Je suis désolée !!! Pas ça !!! Pas la brosse électrique !!!

Julien et Joachim semblent être amusés de la scène, à en juger par le petit rire que je les entends émettre. Justin s’amuse à toucher mes pieds par petits coups, jamais au même endroit. Je sursaute ou je pousse un petit cri à chaque fois. Mon Dieu, aidez moi ! Je ne supporte pas la brosse à dents électrique. Mes frangins le savent et ne font jamais durer le supplice plus de 5 minutes, mais c’est déjà trop. Enfin, Justin passe la brosse sur mes pieds. Le salaud ! Il a mis de l’huile ! Déjà que sans j’ai l’impression de crever… Je me perds en hurlements et rires incontrôlés. Pour ne rien arranger, les deux autres recommencent à me chatouiller le haut du corps. Joachim s’affaire aux aisselles, tandis que Julien torture mon ventre, mon nombril, mes côtes, mes hanches… Je vais devenir folle.
Ca va faire bien 5 minutes que ça dure, mais Justin n’arrête pas la brosse. Cette fois-ci il n’a pas l’air de vouloir être aussi indulgent que d’habitude. Sûrement à cause de ma tentative de libération. Dix minutes plus tard, enfin, une autre pause. J’ai beaucoup de mal à reprendre mon souffle. Je quémande à boire. Julien me fait avaler un verre d’eau. Puis je demande à aller aux toilettes. D’un commun accord ils acceptent cette faveur. Justin essuie l’huile sur mes pieds pour que je ne glisse pas, ils me détachent, et Julien m’escorte à l’aller et au retour pour empêcher toute tentative de fuite. Mais je suis tellement fatiguée que je n’y pense même pas.
Je me laisse tomber sur le lit. Et rebelote, en Y, les chevilles bien liées, un élastique maintenant ensemble mes deux gros orteils, et un bras de chaque côté de la tête de lit. Justin sort son arme fatale : une brosse à cheveux. Il me prend par surprise en frottant énergiquement mes pauvres petits pieds avec l’instrument, tandis que mon haut du corps subit lui aussi les attouchements de mes deux autre frères. J’éclate de rire, je pleure déjà. 5 minutes plus tard, Justin range la brosse, et je sens sa langue sous mes plantes. Je tente de bouger mes pieds, mais ils sont trop bien attachés et mon frère les tient aussi. Il me mordille les orteils, tout en veillant à ce que ce ne soit pas douloureux. Je hurle de rire, ceci ajouté à la torture de mon buste est atroce.
Plus d’un quart d’heure plus tard, ils s’arrêtent, car je suis vraiment épuisée. Ils me détachent, Julien me passe un gant de toilette humide sur le visage, et Joachim me met une couverture. Je parviens à leur dire :

-Vous êtes vraiment des chieurs, et des tortionnaires de première, mais je vous aime quand même.

Je vois les trois comparses sourire, je sens la main de Joachim qui me caresse les cheveux, puis je m’endors, exténuée.
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La suite dans le Chapitre 2, que je compte faire très vite !

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