Histoire : Une soirée qui tourne mal ?

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Histoire


Histoire ajoutée le 11/05/2012
Épisode ajouté le 11/05/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

Une soirée qui tourne mal ?

Ne me demandez pas pourquoi je suis là, mais j’y suis. J’étais allongé sur un lit en forme de X. Je ne me souvenais de rien, absolument rien. (Rien de rien, je ne regrette rien) Enfin si je regrettais forcément ce qui avait pu me mettre dans une telle situation.

J’étais en caleçon et c’est l’unique chose qui recouvrait mon corps. Tous mes habits étaient parfaitement pliés sur une chaise à côté du lit, tout était propre et semblait ne pas avoir été dérangé, ou bien remis en place. J’étais seul.

Je repensais à ce qui avait pu se passer, beaucoup de blancs hantaient mon esprit mais au fur et à mesure que l’odeur d’alcool me quittait, les idées revenaient (étonnant non ?).
Je me rappelais maintenant vaguement.

Je m’étais rendu à cette soirée chez Andréa, il y avait plein de monde et la soirée se passait plutôt bien, très bien même. Jusqu’à ce que j’ai un trou de mémoire et que je me retrouves ici, presque nu comme un ver.

Pendant que je réfléchissais je ne regardais pas autour, je sentis un picotement sur le côté du ventre et au niveau des côtes, le pire c’est que cela finissait par me démanger, mais je ne pouvais pas me gratter comme d’habitude.

Une main nue sortait de nulle part et me gratouillait le côté gauche du ventre. Je m’efforçais de contrôler mes rires mais je ne pus m’empêcher de glisser un petit rire discret, la main disparut un léger temps et j’en fus soulagé, la démangeaison me quittait peu à peu, bien que j’avais envie de la faire passer plus vite en m’aidant de mes mains.

Soudain, une autre main nue sortit de l’autre côté du lit pour me titiller le côté droit. J’étais totalement perdu, je ne pensais qu’à une chose : Me calmer. Prendre sur moi et ne pas sombrer dans la folie que les chatouilles peuvent provoquer. Après quelques minutes d’attouchements extra-sensibles, je sentis un guili-guili aux pieds, je ne pus m’empêcher d’hurler : « Ah non ! ». Je savais bien que ce serait autre chose. Je continuais de me contrôler encore en m’efforçant de ne penser qu’aux attouchements précis et pervers.

Soudain une tête sortit de dessous le lit.

- Andréa ! Dis-je avec surprise.

- Eh oui c’est bien moi haha reprit-elle.

Elle était bien là et le simple fait d’avoir été perturbé par ce si beau visage, quand les chatouilles reprirent je fus très mal. Elle gratouilla plus rapidement mes plantes de pieds nus, je chaussait du 40 et savais que mes pieds demeureraient mon point faible.

En sentant glisser ses doigts sous mes pieds, je ne pouvais maintenant plus m’empêcher de rire aux éclats. Je tentais donc tant bien que mal était donné que rien ne servait de résister maintenant, sauf à s’épuiser.

- Mais pou-pou-pourquoi ? Balbutiais-je entre trois coups d’ongles.

- T’occupes répondit elle froidement, très froidement.

Je n’avais pas vraiment eu de réponse, et j’étais fortement contrarié. Je continuais de subir ses attouchements malsains sous mes plantes de pieds. Le pire se produisit quand elle parvint à trouver mon pire point faible, elle gratouilla les espaces entre les orteils et j’explosai de rire, ne pouvant plus rien contrôler, faisant bouger les liens un minimum tant ils étaient biens faits, je secouais de toute mes forces mais rien ne bougeait, sauf les doigts sous mes fins orteils. J’étais perdu et je m’abandonnais finalement à la torture après tant de résistances futiles qui m’avaient essoufflaient. Impossible de trouver un second souffle avec ces minuscules 10 secondes de répit qu’elle me donnait parfois, le temps de changer de plante de pied.

D’un coup elle se leva, et monta à califourchon sur moi. Je pus observer son beau corps de près mais le plus dur était ses pieds. Ils étaient nus, tout simplement magnifiques, à quelques centimètres de mes bras, mais je ne pouvais les toucher, et encore moins les chatouiller.

Pendant que je pensais à ça, je ne pensais à rien d’autre, et elle gratta intensivement mes pieds, dans tous les sens, me rendant totalement hystérique, avant enfin de les lâcher, mais pour s’attaquer aux côtés, elle plaqua ses mains contre moi brutalement et gratta légèrement mon ventre, puis elle pinça mes côtes à me faire hurler de rire.

Ses magnifiques pieds nus étaient postés à quelques centimètres des miens et je les voyais au loin, son t-shirt trop petit comme la mode actuelle le veut sans doute laissait entrevoir le bas de son ventre et il me prit comme une envie folle d’y toucher, mais je bougeais et rien ne se passait, j’étais bien solidement attaché, et la torture continuait.

Après 2h30 à me chatouiller, elle posa une mini télé sur mon ventre afin que je la regarde et s’en alla, me laissait là attacher. Je ne trouvais pas de télécommande ce qui me parut bizarre. Mais au bout d’une heure d’attente interminable, je vis apparaître un écran bleu, puis jaune, puis rouge, puis des phrases écrites en blanc.

« C’est toujours Andréa, je vais en cours, à ce soir »
« Au programme ce soir, pieds taille 40 à la langue de bœuf ».

« Je te conseille de te reposer ta nuit sera très longue, je t’aime »

Je n’en avais pas plus. Je m’endormis de fatigue alors que la pendule indiquait 13h20.

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