Histoire : La toute première fois.

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Histoire


Histoire ajoutée le 06/03/2016
Épisode ajouté le 06/03/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

La toute première fois.

Nouvelle histoire, sous la pression d'ori, voilà ^ ^.
Cette histoire se déroule il y a un an..
Enjoua ! :D

A première vue il s'agissait d'une journée de cour normale...
Sauf pour moi.

Ça faisait maintenant une semaine qu'elle était au courant de mon fétichisme, et de mon attirance toute particulière pour ses (très) jolis petons.
Le fait qu'elle ai accepté d'entrée cette différence, et qu'en plus elle décida d’examiner ses moindres effet sur moi dès le jour où elle fut au courant, augmentèrent chez moi l'excitation et l'envie de reprendre le dessus sur elle et de m'attaquer à ses jolis pieds.

C'est donc ce jour-là que je me suis jeté à l'eau, profitant d'une heure de libre commune à nous deux, pour lui glisser à l'oreille mon projet pour la soirée à venir, sans trop lui dévoiler de détails. Et c'est avec un air enthousiaste qu'elle me laissa pour retourner à ses cours, et avec la boule au ventre et une excitation croissante que je me mit à l'attendre.


C'est vers 18h que nous sommes arrivé chez moi. L'excitation croît de minutes en minutes.
On est entré dans ma chambre. L'excitation croît de secondes en secondes.
On commence à se déshabiller mutuellement, en gardant toutefois les sous-vêtement.
Je lui montre les menottes de fourrures, deux exactement, pas plus.
Je lui attache les poignets au latte du lit, grâce aux menottes, et commence à faire balader mes doigts sur ses aisselles.
Elle rit légèrement, puis je continue de plus en plus bas, m'arrête au niveau de ses côtes, le rire est plus franc.
Mais je suis hypnotisé par ses pieds, vernis de rouges, c'est pourquoi je fini par m'y précipiter...
Elle a compris, d'ailleurs, elle commence à les remuer, mais pas dans une quelconque tentative de s'échapper, mais plutôt dans le but de m'hypnotiser de nouveau.
Je commence à faire glisser un doigt sur sa plante. un violent soupir, et une cambrure de son buste précède un rire étouffé et saccadé.
Puis deux. Elle ri, qu'est ce qu'elle ri.
Mes cinq doigts font désormais des va-et-vient sur la plante de son pied gauche.. Elle ne peut pas s'empêcher de rire, même si elle essaie, par fierté je pense. Tout comme elle s'oblige à laisser son pied, non attaché, à porter de mes doigts.
Je décide alors je faire aller mes deux mains sur ses deux pieds, en parfait synchronisation. Elle hurle, mais je m'arrête au bout de quelques minutes à peine.
Je passe ensuite à la brosse à dents électrique.
L'instrument a certes son petit effet, mais je devine à sa réaction que cela ne lui plaît pas, et à moi non plus d'ailleurs.
Vient après l'ultime objet de torture à chatouilles : la brosse à cheveux !
C'est le pire de tous. C'est en tout cas ce que j'en déduis aux vues de ses réactions. Elle n'est plus capable de garder son pied à distance de chatouilles, je suis obligé de la retenir fermement.
"Arrête, pitié stop !" s'écrit-elle. Après une petite minute de torture supplémentaire, je m’exécute.
"Alors c'est ça ce que tu voulais me faire ? Bof, c'est pas très efficace !" dit-elle, pour me provoquer.
"Attends, c'est loin d'être fini ! " Répondis-je en riant.
J’attrapais un de ses pieds à deux mains, et m'installais sur le lit à mon tour. Je le porta à ma bouche.
Les premiers baisers la firent frémirent et se tortiller.
Au bout de quelques minutes à peine, je ne tint plus. Ma langue prit le relais.
Elle sillonna vigoureusement chaque parcelle de la plante de son pied, pour se faufiler entre ses orteils. Et chaque passage de ma langue entre ces derniers s'accompagnait d'un rire monotone, étouffé dans un soupir tonitruant, presque orgasmique.
Je voyais que cela la rendait très sensible, je commençais, à regret, à relâcher prise, histoire de ne pas la traumatiser.
"Continue, retiens-moi !" Lâcha-t-elle entre deux soupir.
Je n'attendis pas une seconde de plus.
Je passais à l'autre pied, l'embrassant et effectuant le même parcours que pour le premier, tout en continuant de caresser son voisin d'une seule main.
Le moment est exceptionnel, et je l'attendais depuis longtemps.

Je fini le supplice au bout d'environ un quart d'heure de léchouilles sous de jolies plantes de pieds, la laissant épuisée, mais apparemment heureuse.

La suite est certes peu originale, et tout autant racontable, mais toutefois logique, en tout cas pour quelqu'un dans mon cas... :p

Voilà, fin de l'histoire.
J'ai eu un peu plus de mal à décrire les scènes et à rester clair, je m'en excuse d'ailleurs !
J'espère que cette histoire aura au moins le mérite de vous avoir plus.
Merci de votre lecture ! :3

Ils aiment : Toi ?