Histoire : Souvenirs du collège, la surveillante

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Auteur


Histoire ajoutée le 26/11/2016
Épisode ajouté le 26/11/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

Souvenirs du collège, la surveillante

Je tiens juste à clarifier que ce ne sont pas de vrais souvenirs, mais peut-être y aura-t-il plusieurs "souvenirs de collège", qui sait. Ou souvenirs de lycée, à voir.



_____________________________



J'étais en troisième à l'époque et depuis la rentrée il y avait une nouvelle surveillante. Elle s'appelait Axelle, elle devait faire dans les 1m65, des cheveux blonds qui lui arrivaient au dessous des épaules, très bien formée. Elle était vraiment sublime, et devait être jeune puisqu'elle cherchait à prendre un peu d'avance au niveau monétaire avant ses études (elle devait avoir entre 19 et 21 ans je dirais). Seul ombre au tableau: c'était un véritable monstre, une machine à heure de colles. Je ne compte plus les heures que j'ai passé à laver les carreaux du collège parce que "je manquais de respect" ou que "je m'asseyais dans les escaliers où je n'avais pas à me trouver". En bref, une vraie peste, dont la seule passion était de chercher la petite bête et de punir un maximum de gamins en un minimum de temps.

Un jour dans les couloirs, une de ses collègues lui avait pincé les côtes pour rigoler, et nous avions pu remarquer avec un groupe d'amis que notre grande amie Axelle était chatouilleuse. Très chatouilleuse. Une idée venait de naître et je pense que vous savez laquelle.



Nous étions 5 et nous avions tout prévu. Nous allions simuler une bagarre dans le "foyer", une salle ouverte entre midi et deux où l'on peut jouer à des jeux de société, et elle s'y précipiterait. Et une fois dans la salle, elle devrait normalement être à notre merci: personne dans mon collège n'aime le foyer. Par précaution, nous fermerons la porte à clé (c'est une de ces salles avec la serrure qui se tourne comme aux toilettes). Nous avons donc commencé à hurler et à jeter une chaise par terre pour l'attirer, et elle est arrivée en furie. On voyait bien dans son regard qu'elle savait qu'elle avait bien l'intention de nous faire laver l'intégralité du collège pendant quelques semaines rien que pour ça. Désolé Axelle, aujourd'hui c'est nous qui allons laver tes affronts. L'un de nous qui était caché derrière la porte l'a fermée, tourné le verrou, et nous a rejoint. Axelle savait bien que quelque chose allait se passer mais elle ne prenait pas ça au sérieux. Dommage pour toi Axelle, c'est pas ton jour.



Elle s'est mise à se poser des questions, nous a hurlé qu'est-ce que cela signifiait. C'est à ce moment que nous nous sommes jetés sur elle. 5 personnes, chacun un membre: les deux jambes, les deux bras et la tête. En quelques secondes nous l'avions mise au sol, et immobilisée en nous asseyant sur les jambes, bras, et l'autre qui avait la tête entre ses genoux. A ce moment elle ne savait pas ce qui allait lui arriver, elle imaginait déjà le pire. C'est ce moment que j'ai choisi pour lui pincer les côtes en lui demandant innocemment "Chatouilleuse?". A partir de là, elle savait très bien ce qui allait lui arriver et elle se débattait encore plus. Alors nous avons décidé de l'achever. Nous avons attaqué tout le haut du corps: hanches, abdominaux, côtes, sous les bras, le cou et les oreilles. Nous l'avons chatouillée, chatouillée et chatouillée, alternant entre légères caresses ou en appuyant franchement. Elle était particulièrement sensible au niveau des abdominaux, alors j'en ai carrément profité. Elle portait un t-shirt bleu clair que nous n'avons pas osé relever, mais elle était déjà terriblement chatouilleuse alors nous n'avons rien fait. Nous avons continué pendant une vingtaine de minutes et j'ai alors cherché à lui imposé nos exigences:



"Alors, il est déjà 13h, nous reprenons les cours à 13h20. Si tu acceptes de ne plus jamais nous punir, on te relâchera. Sinon, on a encore 20 minutes pour jouer avec toi. Alors?"



Elle m'a hurlé dessus, insulté comme jamais, elle nous a dit que ce serait l'exclusion, sa parole contre la notre et qu'elle gagnerait facilement. Alors nous avons pris ça pour un refus et nous nous sommes remis à la tâche, avec encore plus de conviction: cette fois plus de caresses, nous chatouillions pour torturer ! Une personne lui chatouillait les deux dessous de bras (celui avec la tête entre les genoux, position idéale), les deux sur les bras chatouillaient chacun un coté des côtes, et les deux sur les jambes (dont moi) chatouillaient les abdos et les hanches. La pauvre Axelle hurlait aux éclats, mais pas de bol pour elle, cette partie de la cour n'est pas très fréquentée. Dommage pour toi !



Déjà 13h17, Axelle avait finalement décidé d'accepter toutes nos exigences. Il était temps. Je regrettais cependant de ne pas avoir pu lui chatouiller les pieds, ils devaient êtres magnifiques. Ce sera pour une prochaine fois j'imagine ! Cependant, alors que nous commencions à nous lever, elle trouva la force pour lâcher un dernier "Vous allez tous payer pour ça". Nous avions vraiment peur car nous ne pouvions plus la faire changer d'avis, il était trop tard maintenant. Sauf pour Fabien, qui dans un éclair de génie nous a tous demandé de nous rasseoir sur elle.



"C'est presque le brevet, l'heure de 13h30 à 14h30 a été banalisée. Une heure de récré en plus pour nous, une heure de torture pour elle!"



Et sur ses mots, Fabien et moi avons commencé à doucement enlever les lacets des belles converses vertes de notre amie Axelle, alors que nous l'entendions se tordre de rire sous les chatouilles de nos 3 autres compères. Désolé pour toi Axelle, c'est pas ton jour de chance.

Ils aiment : Toi ?