Histoire : [Semi-Fiction] La surveillante

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Histoire ajoutée le 10/12/2016
Épisode ajouté le 10/12/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

[Semi-Fiction] La surveillante

je fais mon retour dans la rubrique ''Histoires fictives" avec cette semi-fiction qui prend place à un moment que j'ai vécu et avec des personnages que j'ai connu. Bref enjoy :D !



Au début de mon année de première, c'est-à-dire l'année dernière, l'équipe pédagogique du lycée s'est renforcée par l'arrivée d'un nouveau membre. D'une nouvelle surveillante...



C'était une jeune femme assez grande, au visage tout mignon et toujours souriante. Elle s'était teint les cheveux en rouge mais on pouvait deviner une chevelure châtain par le passé. Elle portait souvent des chemises, des jeans et des bottes mais il n'était pas rare, au début de l'année, de la voir dénuder un peu plus ses pieds, notamment avec des ballerines ou des escarpins.



Je débutais mon année tranquillement comme environ toutes les autres. Jusque là, je n'avais pas vraiment été charmé par le lycée au niveau des pieds de profs. Aucune de mes profs n'avait l'age qui m'intéressait et la seule qui l'avait environ n'était plus ma prof depuis la fin de la seconde et ce n'est pas les couloirs bondés d'élèves entre deux cours qui me permettraient de voir ses petons.



Cette nouvelle surveillante tombait donc à pique. Le peu que j'avais pu voir de ses pieds ne m'avait en rien rebuté. Elle avait un pied assez grand pour une femme, sûrement du 42. La peau bien laiteuse dont les de os du pied se distinguaient. Mais ma vision de ses petites merveilles s'arrêtait là... Je ne pouvais rien voir de plus en regardant simplement.



Les mois passèrent et malgré l'ancienneté de cette surveillante qui commençait à se forger, je ne connaissais toujours pas son nom. C'est totalement par hasard lorsqu'une élève l'appela et que je passais par là que j'appris son prénom (que j'ai oublié donc on l’appellera Mélanie).



Mélanie était bien souvent la surveillante qui était privilégiée pour les allés-retour entre la vie scolaire et les étages. Il n'était pas rare de la voir interrompre un cours quelques secondes pour prendre l'appel contenant le nom des absents. Ainsi, elle passait une fois par heure, chaque jour, venant dandiner ses petits petons dans le même espace que moi et repartait alors que j'avais à peine pu voir ce qu'il y avait d'intéressant dans ces escarpins.



À un moment de l'année, nous devions tous nous rendre à l'administration pour confirmer les paramètres d'inscription au bac de Français.

C'est donc pourquoi Mélanie vint me chercher en plein cours. Les mêmes escarpins aux pieds, elle me guida vers la vie scolaire. Enfin...pas tout de suite. En passant devant une salle, j’eus une idée pour mener mon fantasme à son terme.



''-Mélanie, hier j'ai oublié ma pochette dans cette salle, j'peux pas la récupérer s'il te plaît ? Baratinais-je.''

Elle acquiesça et se munit d'un trousseau de clés, inconsciente qu'elle ouvrait la porte de sa salle de torture...



Je fis un rapide balayage des yeux dans la pièce histoire de rendre mon mensonge plus crédible.

''-Je la vois pas, dis-je en simulant la confusion.

-Peut-être qu'un prof l'a mi dans le tiroir du bureau, me dit-elle.''

Elle se dirigea vers le bureau et déverrouilla le tiroir. Je saisis ce moment de distraction pour claquer la porte et tourner le verrou.



Je me rapprochais d'elle, toujours penchée à chercher ma pochette fictive.

Je rapprochais mes mains de ses hanches dégagées par ses bras entrain de fouiller. Je lui pinçais les côtes. Elle sursauta sous la sensation et se cogna la tête contre le coin du bureau.

Oups...



Pas oups en faite. Je la rattrapa avant qu'elle ne se fasse plus mal. Et l'allongea à terre. J'avais mon occasion de la chatouiller ! J'ouvrais sa chemise et lui enroula autour du bas du visage comme bâillon. J'enlevais sa ceinture et l'utilisais pour lier ses poignets au dessus de sa tête et les accrocher aux pieds du bureau fixés au sol. Ses aisselles nues maintenant à l'air, je décidais de lui retirer ses escarpins une fois qu'elle serait réveillée.



Le minutes avaient passé et elle commençait à ouvrir les yeux. Elle souleva lourdement sa tête pour constater sa condition physique. Elle me vit, près d'elle, le haut du corps quasi-nu, les aisselles à l'air et la parole prohibée par son propre vêtement.



''-Hmmmmmpf... tenta t-elle, hmm hmmm.''

Je me rapprocha d'elle et elle rabattit ses jambes vers son ventre comme pour mieux se protéger. Je saisis ses chevilles et étira ses jambes avant de m'installer à califourchon sur elle pour restreindre le moindre de ses mouvements. Elle savait que j'allais la chatouiller. Je l'avais déjà fait avant qu'elle ne se cogne. Alors je décidais de ne pas faire plus de suspense.



Je caressais ses aisselles lentement, titillant, m'amusant avec le creux. Elle leva le menton et tira sur ses liens de fortune comme pour s'échapper.

''-Hmmmmmmmmmmmmm !! Hurla t-elle derrière le bâillon.''

Je grattais les aisselles, gigotant mes doigts tout en déplaçant ma main sur la zone sensible.

''-Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm ! Riait-elle sous son bâillon.

-Mel si tu cries de nouveau comme ça je vais te donner une bonne raison de te casser la voix.''

Je rapprochais mes doigts de ses aisselles.

''-Hmmmm nnnnnnn nnnnnnn ! Me suppliait-elle.''

Mais trop tard. Mes doigts lui torturaient de nouveau les aisselles. Elle sursauta à nouveau et riait de plus belle.



Je descendis sur les côtes pour littéralement les presser. Elle riait encore et encore : je la rendais complètement folle ! Je faisait courir mes doigts sur tout son torse, des hanches au nombril en passant par les côtes et le dessus de son bassin qui était extrêmement sensible. Elle hurla comme elle ne l'avait pas encore fait et se débattu avec acharnement lorsque j'atteignis cet endroit. J'avais trouvé son point sensible.



Je caressais son bassin lentement bien que cette cadence la chatouille déjà bien assez avant d’accélérer brièvement mes mouvements.

''Hihihiihihihihihi hmmmmmmmmmmmmmmmmmmm !

-C'est pas finiiiiii, la prévenais-je.''

A peine m'étais-je levé qu'elle rabattait ses jambes vers elle. Mais ce moment de répit ne durerait pas : je m'attaquais aux pieds !



Je saisis à nouveau ses chevilles et tira ses jambes avant de m'allonger dessus. J'avais bloqué ses chevilles et la déchaussa de son escarpin de gauche.

''-Hmm hmmmm hmmmmmmm ! Pleurait-elle.

Je lui tirais les orteils en arrière et m'acharnais directement sur sa plante. Son pied dénudé sursautait à chaque pique de ma part. La plante lisse, les orteils courbés, le pied soumis à sa torture, elle subissait. Elle forçait avec ses orteils et tentait de les rabattre.

Le deuxième pied, lui restait bien à l’abri dans le second escarpin. C'était une technique que j'avais voulu expérimenter et qui marchait plutôt bien avec elle. Je surprotégeais l'un des pieds pour accroître la sensation de nudité et la sensibilité de l'autre.



Je décidais de rapprocher mon visage de ce peton. Je le sentais à plein nez, le humant, m’enivrant de cette odeur si particulière du pied. Frottant ma joue contre sa plante, la chatouillant une dernière fois par ma barbe naissante. Je me relevais, délivré de ce fantasme et m'éloigna, la laissant là, quasi nue et attachée...



Voila, c'est une fin un peu rapide, mais je ne vois pas comment conclure ça de façon rationnelle et je ne veux en faire qu'un One-Shot. Puis ce qui compte c'est les chatouilles ;) . Bref merci d'avoir lu et n'hésitez pas à donner votre avis (ou pas).

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