Histoire : L'odyssée du tickling, partie 2

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Auteur


Histoire ajoutée le 20/07/2017
Épisode ajouté le 20/07/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

L'odyssée du tickling, partie 2

Aujourd'hui était samedi. Le samedi après-midi était un moment idéal pour une session virtuelle de tickling longue de plusieurs heures.Les paramètres de sa future session de jeu défilaient sous les yeux de Sasha.



Son ticklee pouvait être défini en laissant une place plus ou moins importante au facteur chance. Grâce à Internet et aux réseaux sociaux, HAL était capable de reconstituer en 3D photoréaliste une personne ressemblant à tel ami, telle célébrité, ou ayant telles caractéristiques.



Sasha était le plus souvent une tickler, elle aimait que ce soit plutôt elle qui ait le contrôle de la situation. Il arrivait parfois qu'elle programme une séance où elle soit ticklee. C'était le cas ce samedi. Elle décida de programmer pour une fois peu de paramètres: un nombre de personnes entre deux et trois, et qu'elle serait ticklee. Pour le reste, ce serait du hasard.



Elle s'installa confortablement dans son fauteuil au centre de la pièce. Celui-ci n'était pas un simple fauteuil destiné à regarder la télé comme il y en avait il y avait plusieurs années. Au contraire, il permettait de passer à la position assise à la position couchée, et procurait toutes sortes de sensations très agréables. En tant que tickler, elle était debout à coté de ce fauteuil si sa victime était assise ou allongée. En tant que ticklee, c'est elle qui allait être suppliciée sur son fauteuil.



Elle mit ses implants rétiniens en mode "réalité virtuelle" et activa à distance la simulation.



Celle ci commençait à émerger d'un halo blanc. Sasha était pleine d'appréhension et de hâte à la fois. Où, avec qui? Très rapidement, elle put "ouvrir les yeux" et prendre ses marques. Elle était tout bêtement à la piscine, en heure de pointe. Mais nul visage familier aux environs. Elle se dit que de toute manière, elle se ferait chatouiller, et cessa de chercher comment la simulation l'y amènerait. Elle était habillée dans un maillot une pièce, légèrement trop serré. Ces petites frottements incessants à l'entrecuisse et sur sa poitrine étaient d'ailleurs loin d'être désagréables. Sa combinaison était très largement ouverte sur le dos, et montrait un petit peu ses hanches.



Elle avait beau nager sans relâche, et prendre un air détaché, elle commençait à s'inquiéter. Personne n'était encore venu lui parler.

Au bout de plusieurs heures, Sasha commençait à fatiguer. Elle ramassa une serviette au hasard, "emprunta" un savon liquide, et entra dans une cabine de douche particulière. C'était un endroit propice à une "embuscade" du simulateur. Elle tenta de forcer la chance en y passant un certain temps, se massant avec volupté l'ensemble de son corps. Rien.



Elle se força à ne plus y penser. Sans doute y avait il une surprise qui l'attendait chez elle. Elle réfléchit plutôt sur la possibilité de conduire une autre voiture que la sienne pour rentrer chez elle. Avec raison: elle trouva une clé de voiture dans son casier qui n'était pas la sienne.



A cette heure, les vestiaires collectifs étaient assez déserts. Elle allait se sécher tranquillement quand elle entendit une voix mielleuse lui débiter une platitude comme: "Salut beauté... Besoin d'aide pour se sécher?"

Elle soupira. Franchement, pourquoi HAL lui infligeait-il un beauf pareil. Elle le regarda du coin d'oeil. Puis plus franchement. Bon, au moins, il n'était pas mal. Voire carrément craquant. C'était le maître nageur, en short, tongs, et Tshirt près du corps. 25 ans et assez musclé. Le cliché du maître-nageur... Pourquoi pas après tout. Elle accepta son invitation.



C'est alors qu'au lieu de la sécher tranquillement comme annoncé, il noua rapidement sa serviette de manière à nouer les poignets de Sasha dans son dos, puis fit de même avec ses chevilles. Pour toute réponse aux glapissements indignés de Sasha, il arborait un sourire moqueur. Bon, HAL avait trouvé son outil pour la torturer. Mais sur les bancs en bois du vestiaire collectif, sérieusement? Pas le temps d'y réfléchir qu'il la hissait sur son épaule.





A suivre

Ils aiment : Toi ?