Histoire : J'ai rencontré Kelli Lynn Sage !

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Histoire ajoutée le 03/10/2017
Épisode ajouté le 03/10/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

J'ai rencontré Kelli Lynn Sage !

Vous n'allez sans doute pas me croire. Votre suspicion serait d’ailleurs assez légitime, je serais moi-même un peu sceptique.



Comme je l'ai déjà raconté il y quelques jours, j'étais à New-York l’an passé et j'ai pas mal fréquenté la communauté BDSM, exploré toutes sortes de lieux et rencontré toutes sortes de gens…



J'en ai également profiter pour rencontrer Kelli Lynn Sage, dont la plupart d’entre vous j’en suis sûr auront entendu parler.



J'avais vu son profil sur Fetlife plusieurs mois auparavant et on s’était même échangé un message ou deux. Elle y explique qu’elle est disponible pour des sessions privées. Je me suis laissé tenter. Me mettre entre les mains d’une experte mondialement reconnue, rendez-vous compte un peu…



Après quelques e-mails, quelques SMS et un coup de fil de confirmation (qui d’ailleurs m’a coûté fort cher avec ma SIM belge), elle m’a donné rendez-vous entre la 6ième et la 7ième avenue (ces villes américaines toutes en quadrilatères, ça nous change de nos bonnes villes européennes toutes en zig-zag et en sinus - au moins on trouve facilement les adresses et on ne se perd pas).



C’est toujours drôle de rencontrer une célébrité, que ce soit lors d’un concert, d’une conférence ou par hasard, quelqu’un que vous n’avez vu que derrière un écran et qui tout à coup vous apparaît dans sa réalité matérielle. Alors imaginez un peu prendre un rendez-vous privé avec une star du tickling



Elle est assez sympathique, ouverte, sans chichi. Elle est exactement comme dans les vidéos, elle fait le même genre de grimaces, de gestuelles. Je l’ai trouvée plus jolie, plus en forme, plus sportive…



Elle m’a emmené dans ce qu’il faut bien appeler une espèce d’hôtel de passes. De l’extérieur on ne voit rien. Il y a juste un commerce au rez-de-chaussé. C’est en plein Manhattan mais c’est discret. Faut connaître.



On comprend où on est une fois à l’intérieur (à moins bien sûr d’être abominablement naïf). Il y a toutes sortes de salles, certaines toutes petites avec un ou deux meubles. Elle m’a emmené dans la salle « médical », des miroirs sur tous les murs. C’est pas tellement mon truc, mais c’était pour avoir une salle.



Elle m’a dit que je pouvais me déshabiller complètement. Je me suis couché sur une table et elle m’a menotté. Ça a pris pas mal de temps, je m’impatientais. Un moment elle est sortie pour aller chercher je ne sais quoi (un bandeau pour les yeux ? un bout de corde qui lui manquait ?) et elle m’a laissé là tout seul, attaché à ma table. Le plafond était en métal, je pouvais voir mon reflet flou, nu comme un ver. Je me suis dit que c’était vraiment étrange comme situation, mais avec l’âge je goûte de plus en plus les situations étranges…



Hélas je n’étais pas du tout chatouilleux, même entre ces mains expertes. Du coup mon histoire tourne court. Mais je préfère raconter les choses telles quelles. Je privilégie les faits à la littérature.



C’est ma terrible malédiction, un supplice de Tantale en lieu et place du supplice désiré. Je suis trop difficile à déclencher. Le stress sans doute ? Ça n’aide pas. Je ne connais pas vraiment les autres paramètres. Le fait d’avoir eu chaud toute la journée, d’avoir transpiré ? Elle m’a conseillé de prendre un Xanax ou un shot de whisky pour la prochaine fois.



Je lui ai dit qu’on pouvait faire d’autres petits jeux pour se rattraper. Je vous passe le détail, je laisse à vos imaginations malades le soin de combler les trous du récit.



À la fin je l’ai chatouillée un peu aussi, rapidement, juste comme ça, sans l’attacher, juste pour marquer le coup. Elle est extrêmement sensible, elle pousse les mêmes cris hystériques que dans les vidéos, en la touchant à peine. Allez pas croire que c’est du cinéma quand vous l’entendez hurler comme elle le fait.



Si vous passez par là, je ne peux que vous conseiller.

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