Histoire : L'ultime Preuve (Épisode 02)

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Histoire


Histoire ajoutée le 26/03/2021
Épisode ajouté le 26/03/2021
Mise-à-jour le 26/03/2021

Épisode 02

Aujourd’hui,
ses deux jambes étant jointes et bien ficelées, elle ne pourra pas réessayer
son petit tour. Mais on pimentera la séance autrement. Peut-être grâce à ce
petit short sexy qu’elle a enfilé pour l’occasion ? Il galbe si joliment
ses fesses et découvre leur base, là où commence les cuisses. Cette zone est tellement
sensible ! Et que dire du creux de ses reins,
que son débardeur ne
couvre pas ? L’endroit n’est pas le plus sensible de son corps. Mais il a
le don de l’exciter quand on le sollicite. Et quand Madame est excitée, elle
est encore plus réceptive ! « Oh nooon ! pitiééé ! »
lâche-t-elle langoureusement tout en rigolant, alors qu’une plume caresse le
bas de son dos tandis qu’une autre – je n’ai pu me résoudre à choisir – fait
des allers et retour tout en haut de ses cuisses, décrivant également de petits
ronds nerveux au niveau de l’entrejambe. Son petit derrière rondelet se met
alors à onduler gentiment tandis qu’elle gazouille agréablement, ce qui a le
don de m’émoustiller.



— C’est le problème quand tu mets des vêtements si courts pour les
séances : je ne peux m’empêcher d’en profiter. Dis-je pour ajouter un peu
plus de cuisant à sa situation.



— Quand je mets un T-shirt plus long, tu te gênes pas pour le
soulever, parvient-elle à articuler en profitant d’un petit répit que je lui
laisse.



— Pas tout l’ temps : des fois j’oublie qu’ c’est là, ce
petit coin magique ! insiste-je.



— C’est pas souvent… me répond-elle.
Ah non !
s'écrit-elle ensuite précipitamment.



Et
oui ! pareille insolence méritait bien une gigue frénétique de mes doigts sur
ses côtes à moitié dénudées. Hein, Chéri ? Mes mains remontent également
sous son débardeur : il n’y a pas de raison d’épargner le nord plus que le
sud ! Elle pouffe et tente de m’agonir.



— Articules, je ne comprends rien
quand tu ris aux éclats comme ça ! lui lance-je dans l’oreille.



Charmante
coquine qui me laisse disposer de son corps pour assouvir mon sadisme, dont les
gesticulations et soubresauts parfois lascifs sont des remerciements
inappréciables et dont le rire est une douce mélopée qui résonne dans mes
oreilles comme des encouragements à continuer ! Mais… mais l’essentiel
n’est pas là. Le cadeau qu’elle me fait, c’est avant tout sa totale confiance.
Car une fois qu’elle est pieds et poings liés, qu’elle ne peut presque plus
bouger, elle se retrouve sans défense. Je pourrais faire d’elle ce que je veux,
abuser de ma position sans qu’elle ne puisse rien n’y faire sinon protester
vainement. Retournant
la donzelle comme une crêpe, j’ai entrepris de jouer avec son nombril.
L’avantage, c’est que maintenant, je peux arriver à caler ses jambes de telle
façon à ce qu’une main se balade sur son petit ventre pendant que l’autre se
rappelle au bon souvenir de ses jolis pieds. Quand je vous disais, que j’en
fais ce que je veux ! Voyant ce que je m’apprête à lui faire subir, elle me
gratifie d’un grand sourire, accompagné d’un « holà, ça
craint ! », ou inversement…

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