Histoire : Les captifs

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Histoire


Histoire ajoutée le 29/10/2021
Épisode ajouté le 29/10/2021
Mise-à-jour le 29/10/2021

Les captifs


Je suis encore dans les brumes du réveil lorsque je me rends compte
que quelque-chose ne va pas. Déjà je ne suis pas allongé dans mon lit. Ensuite,
je sens l’air frais sur l’intégralité de mon corps. Et puis, il
y a autre chose… J’essaye de bouger mais je n’y arrive pas !
Cela créé un accès de panique qui suffit à me réveiller
entièrement et à me rendre compte de ma terrible situation :
je suis nu, assis, le torse attaché sur une espèce de dispositif en
Y. Des entraves bloquent mes poignets et et mes coudes. Mes jambes
sont allongées sur une planche verticale. Des entraves immobilisent
mes genoux tandis que mes chevilles sont dans un carcan. Détail
étrange : je ne peux pas bouger les orteils, chacun d’entre
eux est maintenu tendu par ce qui semble être des cordelettes.


Je ne sais pas où
je suis, tout est sombre autour de moi.


A ma droite, une
femme d’une trentaine d’année, nue également, est attachée de
la même manière que moi. Malgré la situation, je ne peux
m’empêcher de la trouver mignonne avec sa taille mince sans être
maigre, ses jolis petits seins et ses cheveux bruns mi-longs. Elle me
regarde avec effarement puis m’informe qu’elle s’est réveillée
juste avant moi. Nous échangeons le peu que nous savons sur notre
situation : tout deux nous sommes rendus à un entretien
d’embauche et le seul dernier souvenir que nous en avons, c’est
d’avoir bu le verre d’eau qui nous a été offert avant
l’entretien. Un piège à l’évidence. Mais pourquoi nous ?
Nous échangeons sur nos vies et il est évident que nous ne sommes
pas des personnes d’importance. Dès lors, pourquoi nous capturer ?






Soudain, une
silhouette se détache des ténèbres qui nous font face. La personne
qui s’approche de nous porte une robe de bure noire et une sorte de
masque sombre vient s’associer à sa capuche pour nous empêcher de
voir son visage. Tandis que cet être approche, nous l’interrogeons
sur la raison de notre capture. Aucune réponse. Alors, nous nous
énervons, l’insultons, le traitons de sale pervers. Aucune
réaction. Celui ou celle qui semble responsable de notre enlèvement
s’arrête à quelques centimètres de nos pieds puis, toujours dans un silence
total, agit d’une manière aussi terrible qu’inattendue : il
se mets à agiter ses doigts sur nos plantes de pieds !






Totalement pris par
surprise, et terriblement chatouilleux des pieds, je m’esclaffe au
premier contact. Très vite, mon rire s’accompagne de contestations
et de supplications. Ces cinq doigts agiles qui court sur mes plantes
de pieds produisent un effet particulièrement insupportable, une
véritable torture ! Je me débat comme un dingue pour essayer
de m’échapper mais je suis trop bien attaché. Je ne peux que
subir ces atroces chatouilles en riant et en faisant inutilement
appel à la pitié inexistante de mon bourreau. Au travers de mon
hilarité suppliciée, je peux entendre que ma compagne d’infortune
souffre autant que moi. Elle aussi rit aux éclats et demande grâce
désespéramment.






Soudain, après ce
qui m’a paru des heures mais qui a certainement duré une dizaine
de minutes, notre bourreau cesse son action. Nous reprenons tous deux
difficilement notre souffle par grandes respirations saccadées. La
captive demande à notre tortionnaire la raison de notre supplice.
Pour toute réponse, l’être sadique en robe de bure se décale
légèrement pour se mettre juste en face de ses jolis petons. A
l’idée d’avoir ses deux pieds chatouillés par 10 doigts, elle
panique complètement. Dans toute sa démoniaque perversité, le
tourmenteur la laisse débiter un flot de paroles désespérées pour
le supplier de ne pas lui chatouiller les pieds puis il entre en
action, agitant le bout de ses doigts juste sous ses orteils. La
jeune femme éclate immédiatement d’un rire démentiel. Elle hurle
de rire en secouant follement la tête tandis que ses beaux cheveux
volent dans tous les sens. Après avoir exploré l’espace entre ses
orteils, provoquant de terribles réactions de souffrance, le
bourreau lui chatouille les plantes de pieds avec une précision
méticuleuse. Pas un millimètre carré de peau sensible ne lui
échappe tandis que la bouche grande ouverte de la captive continue
de produire une effroyable hilarité. Elle hurle tellement de rire
qu’elle s’en étouffe. Au travers d’un flot presque
ininterrompu d’hilarité, elle affirme qu’elle va mourir !
Mais l’être diabolique n’en a cure et continu de la torturer
sans lui laisser le moindre répit.






Bien malgré moi, je
ne peux m’empêcher de trouver que son rire sublime sa beauté. Je
me reproche aussitôt cette pensée abjecte ! Il est évident
qu’elle souffre atrocement, comment puis-je trouver cela attirant ?
Et pourtant, tout en la plaignant sincèrement, je ne peux m’empêcher
de me délecter de ce spectacle. Suis-je un monstre ? Alors que
ces pensées me tourmentent, son supplice prend fin. Elle a été
chatouillée pendant au minimum une demie-heure non-stop. Elle est
épuisée. Elle respire difficilement, elle a la tête basse et son
corps magnifique est trempé de sueur. Alors que je l’admire, la
peur s’empare de nouveau de moi lorsque le bourreau vient se placer
devant mes pieds. C’est à mon tour de subir cette atroce torture.
Je ne dis rien. Inutile de supplier maintenant, je le ferai bien
assez lorsque les 10 doigts provoqueront les plus insupportables des
sensations.






A suivre