Histoire : La Carrière d'Alicia Vikander (Adulte, Mature F/F, Pieds, Sexe) (Épisode 01)

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Histoire ajoutée le 09/02/2022
Épisode ajouté le 09/02/2022
Mise-à-jour le 06/03/2022

La Carrière d'Alicia Vikander (Adulte, Mature F/F, Pieds, Sexe)

Alicia Vikander a beaucoup de photos d'elle pieds nus, voici celle qui a servi à la création de cette histoire


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Vous connaissez peut-être Alicia Vikander ? Cette jeune suédoise née en 1988, connue pour ses interprétations dans des films tels que "The Danish Girl", qui lui a valu l'oscar du meilleur second rôle, mais également Ex Machina, Royal Affair, ou encore Anna Karénine. Elle est considérée comme une star montante depuis plusieurs années. Son talent lui a permis de gravir les échelons l'un après l'autre, et c'est par son travail qu'elle a su tirer son épingle du jeu dans le monde du cinéma... En tout cas, en partie...


Car parmi les choses que l'on peut remarquer chez cette jeune femme, il y a son extrême beauté, son visage d'ange, et ses pieds divins, qu'on peut facilement trouver dénudés en photo d'ailleurs. Si vous pensez qu'il s'agit d'une coïncidence, laissez-moi vous expliquer par quels moyens plus détournés elle a su mettre toutes les chances de son côté...


Nous voici en 2008, en Suède. Alicia a alors tout juste 20 ans. Après avoir été violoniste, elle pratiqua la danse classique, et fit une apparition à l'écran, dans le court-métrage "The Rain", qui lui fit quitter petit à petit la danse, préférant la comédie. Mais après ce rôle, il ne fut pas évident d’en trouver d’autres immédiatement. Elle prit alors conseil auprès de sa mère, comédienne de théâtre, qui l'aida à faire quelques recherches sur des personne susceptibles de lui ouvrir la voie, de l'aider dans ses démarches. Alicia envoya son profil à de nombreuses agentes pouvant l'épauler, et la première à répondre fut la dénommée Josefina Sem, une dame de 61 ans, brune aux yeux bleus, d'une élégance invitant immédiatement à prendre contact avec elle.


Alicia se renseigna alors plus en détails sur son compte, et se rendit compte que malheureusement, cette dame avait été plusieurs fois la principale intéressée lors d'affaires de harcèlements sexuels envers de jeunes actrices, bien qu'elle n'ait jamais fait de prison, faute de preuve. La mère d'Alicia lui expliqua que malheureusement, dans ce genre de milieu, il n'est pas rare que les jolies jeunes femmes telles qu'elle soient la proie de prédateurs.rices sexuel.le.s, et qu'il faut s'en défendre le plus possible.


Cependant, en approfondissant, Alicia trouva des témoignages de ces différentes actrices qui expliquaient que le comportement de Josefina était pervers, mais pas dans le sens où on pouvait le penser au premier abord. Elles affirmaient ne pas avoir eu à coucher avec elle, que celle-ci ne leur avait même pas fait des avances dans ce sens, mais que les attouchements sexuels dont elles avaient été victimes étaient davantage ciblé, mais qu'elles n'osaient en parler.


Intriguée, Alicia ne put trouver de réponses plus précises. Mais parmi les résultats de ses investigations, elle découvrit que cette dame avait tout de même fait de bonheur de tous.tes les acteurs.rices qui étaient passé.e.s par elle. Malgré les plaintes dont elle fit l'objet, elle était d'un grand talent pour placer ses protégé.e.s, et son cercle de relations s'étendait bien au-delà des frontières du pays scandinave. Après une longue réflexion, Alicia décida de passer le cap. Lorsqu'elle l'expliqua à ses parents, son père, psychiatre, lui dit que c'était son choix, mais que si elle voulait éviter d'être abusée, elle devait jouer sur ses points forts, et sur les faiblesses de "l'ennemie". Pour cela, il lui conseilla de s'habiller de façon élégante, mais sans tomber dans la vulgarité.


Prenant bonne note de ce conseil, bien qu'elle craigne que cela n'attise que davantage l'appétit sexuel de la sexagénaire, Alicia se prépara tout en lisant le mail, qui disait ceci :


"Bonjour Alicia,


Ton profil est très intéressant. Si tu veux mon avis, ton rôle dans le court "Regnet" (Titre original de "The Rain"), n'est pas à la hauteur de ton aura, et de ton talent.


Je suis ravie que tu m'aies contacté pour que je sois ta manageuse. Je suis sûr que nous pourrions nous entendre, et faire de toi une star qui deviendrait célèbre non seulement en Suède, mais aussi à l'international. Tu peux me croire, je sais flairer le talent, et je perçois beaucoup de force en toi.


Afin de pouvoir discuter de cela, je te propose une entrevue au Björns Bar, ce samedi à 14h, j'aimerais beaucoup avoir l'occasion d'établir un plan de carrière pour toi.


Cordialement,


Mme. Josefina SEM"


Lorsque le jour arriva, Alicia décida de s'habiller de la façon qui suit : Un pull bleu clair qui mettait en avant sa peau qu'elle avait passé aux UV plus tôt dans la semaine, ainsi qu'une jupe rose en tissu, qui descendant à mi-cuisse. Elle ne mit pas de collants, craignant que ceux-ci se filent, chose dont elle a horreur, surtout lorsque cela intervient pour un rendez-vous important. Enfin, elle enfila des escarpins noirs, dont les talons mesuraient 6 cm. Elle prit les transports en commun jusqu'à l'adresse du bar en question, qui était d'ailleurs un endroit étonnant pour rencontrer une telle femme selon elle, car fréquenté par tout type de personnes. Elle aurait pu penser que ce premier contact aurait lieu dans un endroit plus chic, mais cela l'arrangeait au final. Suivant les conseils de son père, elle s'est dit que si Josefina proposait cet endroit, c'est qu'elle avait su rester simple, et donc il était inutile de venir habillée de façon trop chic.


Une fois arrivée, elle entra dans le bar, et regarda si elle ne voyait pas son rendez-vous dans les parages. Sur le trajet, elle avait constaté un grand nombre de regards tournés vers elle, et insistant sur ses courbes, et notamment ses jambes dénudées. Elle avait l'air d'attirer pas mal de convoitises, autant de la part d'hommes que de femmes.


Elle sursauta lorsqu'une voix lui souffla dans l'oreille :


"-Bonjour Alicia..."


Elle se retourna, c'était bien sûr Josefina, qui arrivait à l'instant. Elle portait des lunettes de soleil sans doute très onéreuses, ainsi qu'un long manteau en imitation fourrure, qui descendait jusqu'à ses chevilles, ne laissant apparaître que partiellement les bottes qu'elle portait aux pieds.


Les deux femmes se serrèrent la main, avant de s'asseoir à une table, dans un coin de la salle, l'une en face de l'autre. Josefina décida de commander des cocktails alcoolisés, assurant qu'elle prenait à sa charge l'addition, ce qu'Alicia finit par accepter après quelques protestations.


La discussion démarra immédiatement. Alicia, du haut de son mètre soixante-six, bien qu'un peu surélevé grâce aux talons, buvait les paroles de Josefina, qui la dépassait sans doute de 10 centimètres. Cette présence était très intimidante, mais elle savait de quoi elle parlait, cela se sentait. Les deux femmes partagèrent quelques verres, et bien qu'elles sirotassent tranquillement, chaque coupe vidée était l'occasion de passer une nouvelle commande.


Alicia avait amené un dossier avec elle, contenant des photos d'elle avec différentes expressions, dans plusieurs contextes. Elle disposait d'un book sur Internet, mais Josefina expliquait qu'elle gardait quelques vieilles manières de travailler, et qu'elle préfère le support physique, afin de l'examiner sous toutes les coutures. Elle avait, de son côté, amené de la paperasse, notamment ce qui pourrait constituer le futur contrat de la vingtenaire.


Elle la complimenta pour sa tenue sobre et élégante, clamant qu'elle n'avait jamais aimé cette mode du vulgaire qui pourtant a pris une place importante dans l'industrie. Elle se félicitait d'avoir su faire en sorte que les acteurs.rices qu'elle engageait, sous son influence, gardaient une certaine simplicité.


Ces propos rassurèrent Alicia, qui remerciait intérieurement ses parents pour leurs sages conseils. Une douleur lui prit aux pieds. Cela faisait quelques heures qu'elle portait ses talons, et cela commençait à devenir douloureux. Josefina remarqua les petites grimaces d'Alicia :


"-Tout va bien mademoiselle Vikander ?

-Oui, excusez-moi, ce sont juste mes talons qui me font un peu mal. Je n'en porte pas très souvent.

-Eh bien, retirez-les voyons...


Alicia ne se fit pas prier, et se déchaussa sans attendre. Elle agita ses orteils sous la table, laissant enfin ses petons respirer. Après quelques minutes de discussion supplémentaires, Josefina s'enquit de sa santé :


-Vos pieds vont mieux ?

-Oui, je vous remercie.

-Je suis sincèrement désolée ma chérie. C'est cause de moi que vous avez mis ces talons n'est-ce pas ? Vous auriez dû me le dire plus tôt, ou même vous déchausser sans me le dire, ça ne m'aurait pas gêné.

-Non, je vous en prie, vous n'y êtes pour rien. Et puis, ce n'est pas grave, j'avais juste un peu mal aux pieds, mais je ne souffrais pas le martyr, ahah.


Les deux femmes rirent de bon cœur. L'ambiance s'était détendue, grâce à la discussion, mais également aux verres qui avaient défilé à leur table. Alors qu'Alicia finissait sa dernière commande, elle s'aperçut du regard perçant de Josefina, qui la fixait avec une intensité dans ses yeux bleus qui la désarma complètement. La sexagénaire demanda simplement :


-Voudrais-tu que je te fasse un massage des pieds ?

-Comment ?! - Répondit, étonnée la jeune femme, avant de sourire, tout en disant doucement – Vous voulez dire... Ici ?

-Oui... - dit Josefina, avec le sourire – Après tout, c'est de ma faute si tu as mal aux pieds, c'est le moins que je puisse faire."


Alicia ne sut pas quoi répondre. L'opportunité de se faire masser ne lui déplaisait pas, mais dans ce contexte, c'était étrange. Au beau milieu d'un bar, bien que personne ne fasse spécialement attention à elles, recevoir un massage des pieds de la part d'une femme qui pourrait lui faire avoir une carrière internationale, c'est... Puis elle se rappela ce que lui avait dit son père, à propos du fait de connaître "l'ennemie". Il entendait par-là de prêter attention aux détails, de faire le nécessaire pour avoir les faveurs de cette femme d'influence, sans pour autant se compromettre. Elle se rappela aussi les témoignages des autres jeunes actrices ayant attaqué Josefina, parlant "d'attouchements plus ciblés". Serait-ce possible que cela ait un rapport avec les pieds ? Josefina serait-elle fétichiste ?


Cette découverte amusa beaucoup Alicia intérieurement, qui se disait que si ce n'était que ça, elle pouvait aisément espérer rentrer dans les bonnes grâces de Josefina. Mise à part une sensibilité très aiguë au niveau de ses plantes de pieds, dont les ami.e.s n'oubliaient jamais de profiter depuis qu'elle est au collège, elle n'avait aucun problème à confier ses pieds à quelqu'un qui ne lui veut pas de mal. Si c'est la solution pour qu'elle ait un coup de pouce décisif à sa jeune carrière, alors Hollywood lui tend les bras !


Elle eut un sourire, et leva les yeux vers Josefina, avant de simplement tendre ses jambes, les faisant remonter le long des mollets de la vieille dame, qui sursauta, et dont la respiration se troubla lorsqu'elle sentit les orteils d'Alicia lui toucher ainsi les jambes, bien que celles-ci étaient enveloppées d'un pantalon noir. Elle regarda Alicia, qui lui souriait en inclinant la tête vers l'avant, lui donnant un air particulièrement coquin, qui ne fut pas sans effet. Enfin, elle atteignit les genoux avec ses pieds, et n'eut plus qu'à tendre les jambes, pour les poser sur les cuisses de la manageuse, et lui dire, sans perdre son sourire :


"-C'est si gentiment proposé, je ne peux décliner..."


Josefina prit toute la mesure de ses paroles. Elle était déstabilisée, mais finit par rendre son sourire à la jeune actrice, tout en laissant ses mains glisser sur ses cuisses, allant à la rencontre des pieds nus d'Alicia. Le premier contact fut décisif : Alicia sursauta, sentant la froideur des mains de Mme Sem, ainsi que ses ongles qui entrèrent en contact maladroitement avec les plantes des jeunes petons de la vingtenaire, qui se crispa, et montra ses jolies dents dans un large sourire.


"-Chatouilleuse, mademoiselle Vikander ?

-On ne peut rien vous cacher Madame Sem.…"


Alors que la jeune femme faisait gigoter ses orteils, elle sentit les doigts de la sexagénaire exécuter de multiples pressions sur des points précis de ses plantes, alternant avec des caresses sur sa peau nue. Petit à petit, la peau des deux femmes se réchauffa, chacune profitant de ce que l'autre lui offrait. Les doigts de Josefina, bien qu'un peu plus raide que par le passé, semblaient dotés d'une volonté propre, et d'une habileté qui ne tarda pas à faire son effet sur Alicia. Elle respirait tranquillement, fermait les yeux, et se laissait aller. Sa sensibilité ne s'exprimait pas que par les chatouilles, elle lui procurait également un plaisir rapide et décuplé lors d'un massage prodigué avec soin. Alors qu'on entendait des tubes rock en fond, et que les clients continuaient d'affluer, aucun son ne sortait de la bouche des deux femmes.


Après 10 minutes à se faire masser ainsi, Alicia fut troublée dans son repos par le passage furtif des ongles de Josefina sur ses voûtes plantaires, la faisant sursauter et rire, avant qu'elle ouvre les yeux, croisant de nouveau les iris bleutées de son rendez-vous :

 

"-Je suis encore plus sensible après cet agréable massage, madame Sem...

-Vous ne trouvez pas qu'il y a trop de bruit ici mademoiselle Vikander ?


Alicia tourna la tête, voyant des clients de tous les âges occuper les chaises et les tables. Il n'était pas tard, mais comme c'est le week-end, l'affluence est plus grande qu'en semaine. Elle demanda alors :


"-Vous voudriez que l'on se déplace ?

-Oui, si cela vous tente, je pourrais louer une chambre dans un hôtel non loin. Vous attendez quelques minutes, je vous enverrai le numéro de chambre, et vous n'aurez plus qu'à me rejoindre, ainsi, nous conclurons les termes de votre contrat avec moi, qu'en dites-vous ?"


Cette dernière phrase fit un peu retomber l’enthousiasme d’Alicia, car cela lui évoquait les rumeurs au sujet de Josefina. Elle pensait que lui laisser ses pieds lui suffirait, et la sécurité d'être dans un bar, donc au milieu du public, avait un côté rassurant. Mais si elle se trompait ? Si Josefina avait pour objectif de coucher avec elle, et que toute cette discussion, et ce massage, n'étaient que des stratagèmes pour l'amener dans son lit ? Comment en être sûr ?


Pendant ce temps, Josefina continuait de lui caresser les pieds. Alicia finit par les retirer, effrayée par la perspective de servir d'objet sexuel à une sexagénaire, aussi élégante soit-elle, Alicia étant hétérosexuelle, cela ne l'intéressait absolument pas. De plus, elle a toujours espéré que son talent d'actrice suffirait à lui faire avoir une carrière. Après tout, elle avait travaillé pour cela, elle ne veut pas que l'on puisse dire injustement qu'elle a couché pour réussir.


Face au retrait de ses pieds Josefina perdit son sourire, et se leva, disant :


"-Voilà ce qui va se passer, je vais trouver un bel hôtel, et réserver une chambre pour moi. Je vous enverrai le message, et je vous laisserai une heure pour décider de me rejoindre, ou non. Si vous ne venez pas, il est évident que vous ferez une croix sur notre collaboration. J'aime avoir des garanties auprès de mes actrices : la garantie qu'elles ne me feront pas faux bond notamment. Si cela ne vous convient pas, ce n'est pas un problème. Après tout, il y a d'autres agents dans le pays... Mais je suis l'une des meilleures, n'est-ce pas ?"


Alicia ne répondit pas, elle regardait Josefina enfiler son manteau, et fouiller dans son sac à main :


"-Je vais régler, à plus tard j’espère Alicia..."


Elle s'éloigna, et Alicia avait toutes ses pensées qui se bousculaient dans sa tête. Puisqu'elle pouvait avoir confiance en ses capacités, avait-elle vraiment besoin de l'une des meilleures manageuses du pays pour percer dans le métier ? Pouvait-elle vraiment compter uniquement sur son talent pour se faire une place dans un tel milieu de requins ? Malgré les conseils de sa mère comédienne de théâtre, et de son père psychiatre... Était-ce suffisant ?


Alors qu'elle y réfléchissait, elle plia les jambes, de façon à poser ses pieds sur son siège, sur leur tranche gauche. Elle se massait les plantes de pieds, et repensait au massage qu'elle avait reçu auparavant. Est-ce qu'une personne non fétichiste aurait su lui apporter autant de détente en seulement 10 minutes de massage ? Elle s'était déjà faite masser les pieds par plusieurs personnes : Des ami.e.s, des ex, ses parents. Aucun n'avait su la détendre à ce point, même après un massage d'une heure. Elle n'était pas de celles qui complexaient sur leurs pieds, puisqu'ils avaient souvent été complimentés par des gens. Si Josefina est fétichiste, elle sera sûrement tombée sous leur charme elle aussi, et alors, si elle avait des envies perverses, celles-ci seraient sûrement davantage ciblées sur les pieds de la jeune femme que sur le reste.


Plus elle y réfléchissait, plus cela semblait plausible. Après tout, elle n'allait pas la violer comme ça. Même si elle n'avait pas été incarcérée pour les autres plaintes, elle avait tout de même du verser de lourdes sommes à certaines de ses anciennes actrices, ainsi qu'à une secrétaire. Un autre scandale pourrait être la goutte d'eau qui fait déborder le vase.


Elle reçut alors le SMS de Josefina, qui lui indiquait le nom de l'hôtel, son adresse, et son numéro de chambre... Que faire ? ....


Josefina attendait dans sa chambre, assise sur un lit King Size. Elle n'avait pas choisi un petit hôtel, celui-ci était vraiment luxueux : Un frigo dans la chambre, rempli de tout type de boissons, l'air conditionné, un écran plat géant, une salle de bain contenant une baignoire sabot équipée d'un jacuzzi, ainsi qu'un grand miroir remplissant tout un pan de mur de la salle de bain. Une table de chevet de chaque côté du lit, des stores automatiques. Clairement, le fait de louer une telle chambre juste pour prendre du bon temps montrait bien sa réussite professionnelle, et sa façon de rester simple, tout en profitant des bonnes choses de la vie.


Elle avait posé ses bottes, ses pieds étant recouverts de collants en laine remontant jusqu'aux genoux. Elle avait posé son manteau et son pull, restant uniquement avec un soutien-gorge rose, contenant une poitrine proéminente. Elle regardait une photo d'Alicia qu'elle avait gardée en cachette, une photo dans laquelle la jeune femme est allongée sur son canapé, sur le côté, regardant droit vers l'objectif, habillée d'une robe légère évoquant celle d'une mariée, en plus simple. Le photographe avait décidé de la prendre en noir et blanc, donnant d'autant plus de charme à l'actrice. Enfin, ses pieds étaient nus, et dépassaient juste en partie de la robe, révélant ses ravissants petits orteils dont les ongles étaient recouverts de vernis transparent. Elle était magnifique, comme à son habitude.


Tout en regardant cette photo, Josefina se mit à masser sa poitrine sans retirer sa protection. De ses mains, elle effectuait un mouvement de haut en bas, appuyant ses doigts contre sa peau, malaxant ses seins, tout en regardant cette photo, et surtout cette zone dénudée du corps d'Alicia. Elle s'imaginait s'en occuper quotidiennement : Alicia, reconnaissante du coup de boost qu'avait eu sa carrière grâce à elle, lui offrant ses petons dénudés à chacun de leurs rendez-vous, certains n'ayant d'ailleurs aucun autre but que celui de passer un moment de détente toutes les deux, durant lesquels Josefina mettrait la jeune femme au supplice des chatouilles, mais avec tant de régularité qu'elle apprécierait ça et en redemanderait régulièrement...


C'est alors qu'elle entendit frapper à la porte. Ce son la sortit de ses pensées immédiatement, elle ouvrit grands les yeux en direction de l'entrée. Elle se leva, et s'approcha de la porte, n'osant espérer ce qui allait l'attendre de l'autre côté. Lorsque la réponse arriva, elle fut celle qu'elle n'osait plus espérer...


Alicia Vikander se tenait là, devant elle, du haut de son mètre 66, et de ses vingt ans, souriante, élégante, ravissante. Josefina la fit entrer, et ferma la porte. Alicia avança, regardant autour d'elle, constatant le luxe dans lequel pouvait vivre Josefina. Elle s'assit sur le bord du lit, voyant sa photo posée, elle leva les yeux vers Josefina, et se mit à sourire, constatant que la photo n'avait pas été choisie au hasard. Elle demanda :


"-Madame Sem, entre nous... Ces accusations dont vous avez fait l'objet... Ces attouchements sexuels dont vous ont accusé certaines actrices, et votre ex secrétaire... Portaient sur leurs pieds ?...


Josefina ne répondit pas tout de suite, elle regardait Alicia de bas en haut : Ses talons aux pieds, la peau nue de ceux-ci, ses belles jambes bronzées, sa jupe en laine, son pull, ses douces mains, son sourire, sa chevelure, elle répondit, la tutoyant soudainement :


"-Crois-moi, pour une jeune femme aussi belle que toi Alicia, j'aimerais bien plus que tes pieds...


Ce début de phrase glaça l'ambiance, Alicia se tenant prête à repartir au besoin, mais la suite arriva :


"-Mais je n'ai vu nulle part que tu étais homosexuelle ou bisexuelle. Alors je ne te toucherais pas ailleurs... Mais tes pieds... Mon dieu Alicia, ils sont sublimes..."


La gorge de l'actrice se serra. Elle était à la fois troublée, et sentait que son destin s'approchait à grands pas. Elle finit, presque mécaniquement, par se pencher, pour que sa main touche le talon de ses chaussures, elle s'apprêta à retirer un talon, lorsqu'elle entendit :


"Attends !"


Alicia stoppa net son mouvement, fixant la sexagénaire qui s'approcha d'elle :


"-Laisse-moi faire s'il te plaît..."


Vikander retira sa main, et laissa Josefina s'agenouiller devant elle. Elle empoigna simplement les deux talons des escarpins de la vingtenaire, et dit :


"-Soulève tes deux pieds doucement..."


Alicia obéit, la bouche entrouverte, et laissa ses talons se détacher des chaussures, révélant leur peau rosée sur les bords. Elle fit ainsi glisser ses pieds de taille 38, doucement, révélant chaque centimètre de ses petons au fur et à mesure, jusqu'à ce que soient révélés ses orteils, laissant l'intégralité de ses pieds à l'air libre.


Ils étaient comme sur la photo : Parfaits. Même le noir et blanc ne pouvait sublimer ce qui était déjà si harmonieux. Entretenus, avec de fins orteils gigotant lorsque l'air passait entre eux, Alicia les laissa pendre en l'air, les doigts de pieds vers le bas, attendant la suite des événements.


Josefina releva ses mains, pointant les paumes vers le haut. Alicia comprit qu'ils serviraient de réceptacle, et posa ses pieds à plat sur les mains ainsi offertes, profitant du fait qu'elles étaient maintenant bien chaudes, contrairement à tout à l'heure, elle soupira en sentant ses pieds froids se réchauffer au contact des mains de la manageuse. Celle-ci releva encore les mains, obligeant Alicia à se pencher en arrière, finissant par poser le dos à plat sur le lit, alors que Josefina approcha sa bouche, et déposa un doux baiser sur chaque pied, en profitant pour prendre une inspiration, et capter l'odeur des objets de son désir : Parfumés d'un simple arôme de coco, ils étaient délicieux, et Josefina eut d'autres envies que celle de les masser.


Elle se redressa, et marcha quelques pas, obligeant Alicia à suivre le mouvement, toujours allongée sur son dos. Elles firent ainsi une moitié de tour du lit King Size. De l'autre côté, il y avait assez de place pour que la petite Alicia soit allongée, et que Josefina puisse s'asseoir elle aussi. Elle lui demanda :


"-Tourne toi sur le ventre s'il te plaît."


Alicia obéit encore, sans hésitation, et tourna le dos à Josefina, exposant par la même occasion les formes de ses fesses, sous sa jupe. Elle redoutait un peu de ne pas voir ce qu'il se tramait, mais son inquiétude disparut vite lorsqu'elle sentit la chaleur de la langue de Josefina s'abattre sur une de ses plantes, tandis que l'autre était massée par ses deux mains. Elle n'entendit qu'un autre ordre :


"Plie tes jambes."


Alicia fit ce qui lui était demandé une nouvelle fois, et sentit les mains de Josefina agripper ses chevilles pour leur faire effectuer un croisement. Elle se laissa faire et ne bougea pas cette partie de son corps, prenant par contre appui sur ses coudes pour se redresser un peu. Ses courbes étaient ainsi mises en avant, mais Alicia ne craignait plus l'effet que ça aurait. Elle se sentait comme une princesse qu'on pouponne.


Josefina continua de lécher ses plantes de pieds offertes, profitant de voir la jeune femme la taquiner en faisant gigoter ses orteils. Elle lécha longuement cette partie du corps de sa nouvelle actrice. Parcourant les talons rosés, les plantes se pliant et se dépliant, et les orteils frétillants de la jeune actrice. Elle défit son soutien-gorge dans le même temps, révélant son opulente poitrine, qu'elle commença à malaxer avec une main, tandis qu'elle laissait sa langue se balader sur les plantes de pieds d'Alicia qui se laissait faire docilement, appréciant ce moment sans y voir autre chose que de la détente. Du côté de Josefina, il y avait bien plus. L'excitation qu'une jeune hétérosexuelle aussi belle qu'elle, laisse ses pieds nus pour le plaisir d'une vieille lesbienne telle qu'elle avait un côté absolument irrésistible, qui la faisait mouiller comme rarement.


Ainsi s'écoula une première heure sans que les léchouilles ne s'arrêtent. Alicia laissait ses pieds en l'air, humides, brillants après tous les coups de langue qu'ils avaient reçus. Ses orteils furent sucés patiemment, ils furent gobés et la langue de Josefina s'enroula autour d'eux comme pour les fouiller, ce qui ne manqua pas de provoquer quelques rires chez la jeune femme, qui ne firent qu'exciter davantage la manageuse.


Elle demanda alors à Alicia :


"-Pourrais-tu prendre mon sac à main s'il te plait ?"


La jeune femme obéit, attrapant un sac chic en cuir à côté d'elle, et le tendant à Josefina qui lui répondit :


"-Non, pas besoin de me le tendre, j'aimerais juste que tu prennes deux objets à l'intérieur, dis-moi ce que tu trouves et je te dis quand c'est bon."


Bien qu'un peu surprise par cette demande, Alicia acquiesça et chercha tranquillement, alors que ses plantes étaient de nouveau léchées sans répit, la reposant comme rarement ce fut le cas :


"-Alors, il y a un rouge à lèvres...  Un portefeuille, des lunettes de soleil, un téléphone portable... Un petit vibro...

-Tends-le moi s'il te plait...


Alicia fut surprise, redoutant de nouveau le pire, Josefina comprit rapidement ses craintes et lui dit :


"-Ce n'est pas pour toi..."


Alors un peu écœurée d'imaginer cette vieille femme prendre aussi ouvertement du plaisir en lui léchant les pieds, elle lui tendit l'appareil. Elle sentit que ses pieds n'étaient plus léchés… Elle entendit Josefina trafiquer cet appareil quelques minutes, défaisant sa ceinture, puis baissant son pantalon, et sa culotte. Elle ne voulait pas regarder, fermant les yeux, elle posa ses jambes à plat sans trop s'en rendre compte. Elle entendit un petit bruit continu, signe qu'elle avait mis le vibro en marche, et enfin, à ses oreilles arrivèrent ces paroles :


"-Hmmm, oui... C'est bon... Ooooh... Bon, j'aimerais que tu continues de chercher dans mon sac, je te dis, ouh la, je te dit stop... Hmmm"


Alicia s'exécuta, et reprit la liste :


"-Alors, un petit album photos, un paquet de cigarettes, une brosse à cheveux...

"-Oui, donne-la moi, hmmm..."


Alicia ne put s'empêcher de demander, tout en tendant l'objet :


"-C'est pour quoi faire ?

-Tu vas vite le savoir... Hmmmm... Est-ce qu'on t'a déjà vraiment chatouillé les pieds ?


Alicia ne put s'empêcher d'imaginer l'effet qu'aurait un tel objet sur ses plantes de pieds, puisqu'elle comprit naturellement le pourquoi de cette question :


"-Non, on me taquine souvent, mais c'est tout.

-Eh bien voilà ce qui va se passer, mademoiselle Vikander : tu vas de nouveau plier tes jambes, et croiser les pieds. Je vais utiliser cette brosse, et si jamais tu déplies tes jambes et les poses à plat sur le lit... Tu vas comprendre ce qu'on appelle le supplice des chatouilles...


Alicia Vikander pâlit à cette idée, tout en la trouvant amusante. Le supplice ne tarda pas à démarrer...


Elle sentir les poils durs de la brosse se poser sur sa plante gauche, et le frottement s'effectuer de ses talons jusqu'à sous ses orteils, grattant l'intégralité de sa voûte plantaire. Ne pouvant y tenir, et se rappelant de donner à cette manageuse ce qu'elle veut, tant que cela n'est pas davantage intime, Alicia se laissa aller à un rire franc, et gigota ses pieds comme jamais, essayant de se retenir de trop déplier les jambes. La sensation était atroce, la main libre de Josefina l'aidait un peu dans ce challenge, puisqu'elle tenait le pied supplicié dans le même temps. Le mouvement n'était pas trop rapide, mais tous ces poils durs frottant ainsi ses plantes donnaient un cocktail bien plus efficace que ceux du Björns Bar. Son rire mélodieux s'entendait dans toute la chambre, et Josefina était aux anges, elle se laissait complètement aller à ses gémissements, dus à l'excitation de cette jeune femme offrant ses pieds au supplice, mais également à celle du petit vibro stimulant son clitoris depuis maintenant plusieurs minutes. Elle finit par arrêter de tenir les pieds de Alicia, et à gratter la plante du pied droit avec les ongles, alors que la brosse continuait son travail de torture sur le pied gauche. Alicia fut surprise par ce manque de soutien, et après avoir plié les jambes quasiment au maximum, elle les rabattit d'un coup sur le lit, rouge, et encore en train de rire aux éclats face au supplice qu'elle endurait. Josefina constata et dit :


"-Hmmmm, des pieds si soyeux... Tu as perdu, c'est l'heure de la vraie torture...


Alicia ne protesta pas, se rappelant de donner à cette manageuse ce qu'elle voulait, et ne trouvant de toute façon pas ces tortures si désagréables, malgré sa sensibilité. Elle fut tellement massée et taquinée qu'elle en était venue à aimer cela. Elle avait plusieurs fois taquiné ses amis, de sorte qu'ils veuillent se venger d'elle en s'attaquant à son point faible : Ses magnifiques pieds.


Elle sentit le poids de Josefina coincer ses cuisses. Avant même qu'il y ait besoin de lui demander, Alicia plia les jambes pour offrir ses plantes à Josefina, lui disant avec une voix douce :


"-Montrez-moi ce que vous savez faire, madame Sem.…"


La sexagénaire fut tout autant excitée du défi qui lui était ainsi posé, et ne se fit pas attendre pour entourer les chevilles d'Alicia avec son bras, mettant ces petites merveilles à portée de langue, en plus de la brosse. Elle ne tarda pas à user de son instrument sur la plante de pied droit de l'actrice, alors que sa langue se baladait sur la plante de pied gauche. Alicia tomba directement dans le rire fort et mélodieux de tout à l'heure :


"Ahahahahahah, Madahahahahahahame Seeeeehehehehm ! Çaahahahah chahahahahtouuiiiilllle !Ahahahahah Arrêêêêteeeeez ! Ahahahahah ! Je vous en suppliiiiiiie !"


Elle était ainsi mise au supplice, ses pieds chatouillés sans pitié par la vieille femme qui prenait beaucoup de plaisir à les goûter en même temps qu'elle les torturait. Le mélange de ce supplice qu'elle administrait, tout en entendant le doux rire et les suppliques de la vingtenaire, ainsi que les stimuli dans son entrejambe, la faisaient passer dans un état second. Pour rien au monde elle n'aurait voulu que cela s'arrête. Elle se disait alors qu'elle allait faire tout son possible pour qu'Alicia réussisse, que leur collaboration marche au-delà de toute espérance, et qu'elle lui soit redevable...


Elle s'appliquait à utiliser la brosse de façon vicieuse et intense le long de la plante de pied gauche, puis droite lorsque celle-ci fut suffisamment humidifiée pour que la brosse glisse davantage et soit plus efficace. Elle insistait au centre de la voûte, et finissait en la faisant glisser le long de cette rangée d'orteils tous plus délicieux les uns que les autres, rendant Alicia hystérique, multipliant les suppliques, en vain :


-Ahahahahahahah! Paaaaahahahahas les orteeeeeeeiiiiils ! Je vous en suppliiiiihihihihihie ! Ahahahahahahah !"


Bien sûr, ses paroles ne faisaient qu'assurer la prolongation de son supplice. Elle riait à en pleurer, elle gesticulait sur son lit, tentant parfois d'attraper Josefina pour l'arrêter, mais en vain, elle était impuissante, à subir ces attouchements sous ses pieds de princesse sensible et torturée telle une traitresse.


Josefina avait sa respiration qui s'accélérait. Au bout d'un moment, elle lâcha la brosse, et lécha les deux pieds nus d'Alicia l'un après l'autre, parcourant les plantes, gobant les orteils, les léchant comme une affamée, ne laissant aucun instant de répit, sa langue les parcourait avec délice et précipitation, Josefina devenait de plus en plus rouge, et gémissait de plus en plus fort. Les pieds d'Alicia étaient comme des poupées dont elle prenait le plus grand soin, leur donnant à tous les deux autant d'attention, l'un après l'autre. Elle finit en tremblant et en se crispant, dans des cris incontrôlés et des spasmes surpuissants... Elle avait joui.


Après cela, elle lâcha les pieds d'Alicia, et se laissa tomber en arrière, finissant allongée aux côtés de sa nouvelle protégée aux plantes de pieds brillantes. Josefina tremblait de tous ses membres, sa main alla difficilement chercher l'objet du crime : Le vibro, toujours actif, ne cessant d'envoyer des stimuli à la sexagénaire, qui le retira, et l'éteignit. Elle respirait fort, et transpirait. Alicia était dans le même état la tête posée sur le lit, cachant son visage dans ses bras. On aurait pu croire que les deux venaient de faire l'amour comme des folles, mais seule l'une d'elle avait éprouvé du plaisir sexuel. L'autre... Avait éprouvé un plaisir plus enfantin, et avait subi une torture qu'elle n'avait jamais connu auparavant... Mais qu'elle ne regrettait aucunement d'avoir découvert.


Quelques minutes plus tard, les deux femmes reprirent la discussion dans la chambre, Alicia restait pieds nus, agitant ses orteils devant Josefina, qui n'hésitait pas à venir agiter ses ongles, à masser ces jolis pieds, ou à glisser quelques coups de langues supplémentaires, ainsi que des baisers. Le contrat fut signé dans la soirée, avant que les deux femmes ne mangent ensemble, et ne se quittent pour cette soirée.


Lorsqu'Alicia rentra chez elle, elle ne put contenir son émotion, elle avait un contrat avec l'une des personnalités les plus influentes du 7ème Art, en Suède. Il ne lui restait plus qu'à rester assidue dans son travail d'actrice, à choisir ses rôles avec soin, avec l'aide de Josefina, et le chemin du succès lui était tout tracé...


La suite, vous la connaissez, grâce aux bons conseils de sa manageuse, et à son talent d'actrice, dont l'interprétation subtile lui permit de gravir les échelons, Alicia Vikander devint une star nationale, enchaînant les succès tels que "Pure", ou encore "Royal Affair" son rayonnement devint international, et elle remporta plusieurs prix d'interprétation.


Josefina, elle, était comblée, outre ce nouveau succès dans sa carrière, elle avait en plus fait la rencontre de la plus délicieuse des jeunes femmes, qui lui offrait ses pieds avec plaisir chaque fois qu'elles se voyaient, éloignant le spectre des plaintes dont elle avait fait l'objet par le passé.


Ce qui se passait lors des réunions de ces deux femmes restait secret bien sûr, mais on vit plus d'une fois Alicia se rendre à ses rendez-vous avec des chaussures ouvertes, généralement différentes d'un jour sur l'autre. La vérité est simple : Alicia était effectivement reconnaissante envers Josefina, et c'est avec plaisir qu'elle se laissait déchausser et lécher les pieds de longues heures, quand ils n'étaient pas chatouillés sans pitié. Connaissant l'anatomie plantaire de son actrice par cœur, Josefina en profitait pour la mener à bout, la faisant supplier timidement, et écoutant son doux rire sans se lasser aussi souvent que nécessaire...


En 2012, après avoir tourné dans le film "Royal Affair", Alicia reçut une nouvelle de la part de Josefina. Celle-ci lui avait dégoté un ticket d'entrée pour Hollywood, où elle pourrait interpréter un rôle dans un biopic consacré au créateur controversé du site Wikileaks...


Désireuse de faire son entrée dans le monde hollywoodien, Alicia ne tarda pas à prendre l'avion. Elle pensait que Josefina la suivrait, mais celle-ci lui annonça qu'elle préférait rester en Suède. À maintenant 64 ans, elle ne se sentait pas se voyager ainsi, et prévoyait de prendre sa retraite.


Surprise par cette nouvelle, Alicia lui demanda comment elle allait faire sans elle, et sans leurs rendez-vous.


Ravie de voir que ces moments d'intimité allaient lui manquer, Josefina rassura sa jeune actrice, et lui assura qu'une fois sur place, elle aurait un numéro à appeler. Il s'agit de deux femmes qu'elle avait rencontré au cours de sa carrière, une italienne et une espagnole. Elles ont la même méthode, sont un peu plus jeunes, et ont la même proximité avec leurs actrices.


Alicia comprit immédiatement ce que cela voulait dire. Elle ne demanda même pas confirmation à sa manageuse. Sa carrière, ainsi que ses pieds, allaient maintenant être l'objet de l'attention de deux femmes. Après plusieurs années à voir Josefina plusieurs fois par semaine pour des séances de lèche et de chatouilles, la perspective de voir une seconde paire de mains, et une seconde langue, s'occuper de ses pieds l'effrayait presque... Et lui plaisait énormément.


Elle serra Josefina dans ses bras, la remerciant pour tout ce temps passé à faire évoluer sa carrière, à écouter ses désirs d'actrices. La vieille dame la remercia pour le dernier coup d'éclat que son talent lui permit de faire, et pour ces moments passés avec elle.


Comme ultime cadeau, Alicia passa un week-end entier chez Josefina, un week-end à lui confier ses pieds de jeune star montante, toujours aussi belle, et chatouilleuse. Elle rit et supplia un nombre incalculable de fois ce week-end là, autant qu'elle soupira de détente à force de coups de langue et de suçage d'orteils. Elle avait pris avec elle un grand nombre de chaussures différentes : Ballerines, tong, escarpins fermés et ouverts, sandales, talons aiguilles. Toutes sans exceptions furent enfilées et retirées, parfois en usant de chatouilles pour les dénuder.


Ce week-end fut l'un des plus mémorables de la longue vie de Josefina. Alicia Vikander aurait pu dire la même chose, mais elle savait qu'en Amérique, deux manageuses talentueuses allaient sans doute réussir à surpasser ces deux intenses journées...


à suivre...


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