Histoire : Mélody, récit érotique pour lectrices et lecteurs avisés.

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Histoire ajoutée le 03/09/2022
Épisode ajouté le 03/09/2022
Mise-à-jour le 03/09/2022

Mélody, récit érotique pour lectrices et lecteurs avisés.

C'est ma première histoire, il se peut qu'il y ai des fautes. Bonne lecture😊

Mélody



Chapitre I La rencontre


Je m'appelle Mélodie,
j'habite à Axe-les-thermes, j'ai vingt ans, je travaille en tant que
saisonnière dans la Station de ski de Bonascre. J'apprécie cette
ville avec les thermes, la température, les randonnées en montagne,
l'escalade et de puis peu je me suis mise à l’alpinisme. Ma
famille est restée sur Toulouse... J'ai un appartement, d'une
cinquantaine de mètres carrés, avec douche et toilette séparées,
une bonne cuisine américaine, c'est l'un de mes hobbies. Une chambre
avec un placard dressing et un lit en cent soixante par deux cents.
Actuellement je vie seule, j'ai jamais eu de relation, car j'ai pas
confiance en moi ni aux autres ayant pas mal subie jeune. Je porte
des vêtements plutôt sombre, près du corps et que des pantalons.
Ma meilleurs amie Victoria, me dit depuis trois ans que je la connaît
que je suis canon ! Mais je n'ai jamais compris pourquoi .
Le shopping ce n'est pas ma tasse de thé, mais grâce à elle je me
suis mise à sortir en ville un peu plus. Dans les activités il y a
beaucoup de garçons, mais aucun ne me fait vibrer ou en tout cas
ressentir l'envie d'aller plus loin, nombreux me regarde, mais cela
me gène j'ai de bon amis, comme Jérémy et Nathan, cela n'ira pas
plus loin avec eux je les considère un peu comme mes frères que je
n'ai jamais eu.



Je suis blonde, les yeux
bleus, moyennement grande, la peau pâle, elle ne voit jamais le
soleil, ! Je suis finement musclée mais pas mince non plus. Mes
cheveux sont long arrivant à mis dos en cascade.



Un soir au restaurant,
vêtue d'un chemiser blanc, d'un pantalon imitation cuir noir et un
collant fin chair dessous, des escarpins noir et les cheveux ramenés
en arrières par une pince. . Une tenue habillée, que j'apprécie
beaucoup pour les journées et soirées d’hivers. Vers le milieu de
service, un groupe de trois jeunes hommes, exténués, rentrant d'une
expédition...


Mélody, vas les
accueillir et savoir de quoi ils ont besoin, ils ont l'air
fatigué, j'aimerais pouvoir faire quelque chose pour eux! Me
demande le patron.




Celui qui à la main
blessée dans un bandage, me mets mal à l'aise, il assez grand, mais
surtout son regard, il est vide et fini par me voir, une lueur dans
ses pupilles, je le trouve vraiment beau, avec sa coupe courte, rasé
d'une barbe de trois jour et sa belle montre gps au poignet. Je
rougie légèrement et détourne mon regard.


En arrivant devant eux un
de ses camarades, explique qu'une avalanche leur est passée à côté,
mais à emporté Julien, l'airbag a été déclenché, il s'est luxé
le poignet. Il est gelé, la tempête dehors a empêché les
hélicoptères de décoller. Alors nous avant tout redescendu à
pied, les ski sur le dos Ils veulent juste boire et manger un plat
chaud rapidement et se poser au chaud avant de repartir sur Tarbes.
Pour les secours, il n'y en a pas besoin, car rien n'est cassé. Ils
sont partis aujourd'hui, pour lui remonter le moral, après le décès
de sa femme il y a trois mois.


J’essaye de rester
impassible, mais leur histoire me touche et je n'arrive pas à me
décrocher de ce bel homme devant moi d'une tête de plus.


Je retourne voir Richard
mon patron. Il a dût remarqué l'effet du groupe, j'ai grand un
sourire je ne peut le nier. Il me prend par la main et m'amène juste
derrière la sale.


-Je vois que le blessé te
plaît, c'est la première fois que je te vois aussi réjouie, enfin
plus que d'habitude ta bonne humeur ici et ta joie de vivre sont
contagieuses, ils peuvent rester ici, nous allons nous en occuper !
Je vais en parler à ma femme, ils ont trois heure de route pour
rentrer on va voir pour qu'il reste jusqu'à demain matin, la route
est enneigée, puis on est samedi soir. On en rediscute à la fin du
service, je réfléchie à des possibilités.


-idem de mon côté !


Ce soir c'est plein, tout
monde parle, rit, se détend, même le groupe des trois, ils ont
tellement sûr d'eux, ils se connaissent depuis combien de temps, que
font-il dans la vie... mon esprit divague, il est ailleurs, je
m'imagine, dans ses bras cloîtrée, les jambes vacillent en
imaginant des scènes plus ou moins romantiques... c'est pensée me
mène à un état d’excitation, pour la première fois je ressent
au fond de mon ventre, quelque choses de vivant, j'ai envie de
lui...la pudeur à disparue j'ai envie d'y passer, mon esprit est aux
anges, mon périnée se contracte.




J'ai hâte pour la première
fois depuis que travail, que le service se termine. Au fil des
discussion à leur table, j'ai appris, la connaissance dans le
milieu, un sacré palmarès en loisir, mais surtout une confiance
aveugle en chacun d'entre eux. C'est pour cela qu'ils sortent
toujours ensemble car chacun remonte un jour ou l'autre le moral des
autres et tous on des copines, pour éviter la jalousie entre eux,
c'est une règle d'or... Je baisse la tête à ses mots et je rougie
de plus en plus. Julien, me regarde dans les yeux depuis le début,
puis commence à parler... Sa voix est rauque, fébrile, avec des
accoues mais se démontent pas...



-Tu travailles, ici, depuis
combien de temps ?

-Un an en tant que
saisonnière, j'adore la montagne, le cadre est magnifique, dès le
boulot fini, je file en ski de randonnée, escalade, trek, soirée
dansante... Je faits tout les vendredi soir de la danse irlandaise,
le canapé c'est pas mon truc ! Dis-je d'une voix claire et
posée, oui c'est mon domaine et je le connais aussi.


-Pourrait-on savoir ton
prénom ?


-Mélody. En baissant la
tête, pour éviter leur regard mal à l'aise, mais les joues
écarlate. Reprenant de l'aplomb je le regarde dans les yeux, il me
fixe, comme pour une analyse au scanner.


-Enchanter de faire ta
connaissance.


-Pareillement, je dois y
retourner. Avec un rictus en coin





Nous parlons entre deux
plats servis, rapidement des anecdotes. Le temps est court, ils ont
l'air d'être de bonnes personnes.





A la fin du service,
Richard vient à nous trouver, Je leur propose, de les héberger chez
moi et il leur prête des matelas pour mon salon tout comme des
vêtements pour la soirée. avec la longue route, les deux trois
verres, la neige... Cela n'est pas raisonnable de reprendre la
voiture.





-Bel appartement et bien
soigné, la décoration avec les plantes d’intérieurs !
J’approuve dit Julien, avec enthousiasme.


-Faites comme chez vous !





L’habitation est
chauffée, tant normal je m'y promène peu couverte, c'est juste que
j'apprécie pas de monter ma blancheur en public.


Tous se déchaussent et
s’installe à la table du salon, je rentre en dernière, fermant la
porte derrière eux. M’asseyant sur le tabouret de l'entrée,
j'enlève doucement mes talons et masse mes pieds, ils sont
magnifiques, une belles courbures, des orteils bien proportionnés
avec un verni à ongle transparent et brillant, une voûte plantaire
si duveteuse, appréciant la douceur de mes mains manucurées sur
leurs fines protection, passant les bout des doigts partout remontant
à la cheville. Puis je me lève sans me rendre compte que tous me
regarder, je suis dans ma bulle à ce moment là. Marchant sur le
parquet, la sensation de glisse et absolument top. Je n'ai que trois
chaises et un tabourets, je leur laisse le confort, ils en plus
besoin que moi leur sert de l'eau et des bières en attendant que les
premiers se lavent je prends sur le séchoir une tenue qui finira de
sécher sur le porte serviette. Je prends ma douche à mon tour, je
reste un petit moment sous l'eau chaude, elle ruisselle sur ma peau
et me fait le plus grand bien, rafraîchit, propre, je me sèche les
cheveux et me les roulent au dessus de la tête en turban de
serviette.





Je porte un jean bleu foncé
ajusté un tee-shirt noir col roulé, remonté au coude et une paire
ballerine noire, je n'ai pas qu'ils matent mes pieds, se sont mes
miens !!! pensais-je.





Je les entends, discuter,
mettre de la musque, se lever...


Mercredi !! j'ai
oublié de ranger la chambre... il faut que je reste calme, mais
stressée intérieurement. Je sorts, il y a Bastien et Damien, sur la
terrasse. Julien allongé sur le canapé pieds nus, avec un tee-shirt
bleu, et un pantalon toile noir et le bandage lui retenant le bras,
il est si détendu par apport à la soirée, ils sont tous jeunes,
mais ils font attention à eux et aux ôtes qui les reçoivent. Tout
est ordonnés, les sac les matelas, la terre des chaussures dans
l'entrée a été balayée... Il me regarde et baisse la tête et me
dirige les joues écarlate, vers la pièce en question... Merde, la
porte est grande ouverte ! La fermant je range tout les
accessoires, j'espère que personne ne les a vu... Mal à l'aise, je
me pose cinq minute sur le lit fermant les yeux, étendu les bras de
chaque coté de la tête sur le ventre, les chevilles croisées. Dix
minutes plus tard, je me réveille, assise les jambes repliées le
dos poser contre le mur... On toc...



- Tu peux entrer.


-Veux-tu venir jouer avec
aux cartes, ou tu préférés te reposer ? Il est appuyé contre
le montant de la porte en me dévisagent, il est calme, son visage
détendue, il m’envoûte...


-Après votre journée,
vous avez encore la forme de cela ?





Quand se
reposent-ils sérieux ?





-Oui, on a qu'une vie, on
reposera, une fois que notre corps le voudra, on vit chaque instant
comme si c'était notre dernier et toi ?





-Je n'aime pas tellement
sortir, je bouge beaucoup aussi, mais j'ai besoin de moments pour
récupérer, la nuit est reposante mais j'arrive, je n'ai encore
jamais inviter de garçon chez moi autres que mes amis... surtout des
jeunes...





-Tu te sens mal à l'aise
avec nous, il te faut le dire, il faut en parler, si c'est le cas on
partira...


-C'est que c'est première
fois que je passe un aussi bon moment en la compagnie de jeunes de
mon âge, en plus vous partagés des passions communes... bon allée
je me lance, m’emmèneriez- vous sur l'une de vos randonnées ?


Je l'avoue, il est
magnifique cet homme de vingt-trois ans, abîmé, une joie
incommensurable d'être là en cet instant, un de mes plus grand
sourire sur mes lèvres


-Cela serais une grande
fierté que de vous y amener mademoiselle ! Avec un rictus
nonchalant.


-J'arrive pour les cartes,
j'ai un jeu de poker de uno, spets familles...


-Ok, parfait on t'attend !





Je ferma la porte envoie
un sms Victoria, pour la prévenir, que si elle n'a pas de nouvelles
de moi dans deux heures il faut quelle appelle les flics tout comme à
Jérémy et Nathan.


Elle est la première à
répondre au téléphone...





-Que se passe-t-il ?


-Il y a trois inconnus chez
moi, je les aient aidé dans la soirée au restaurant, l'un d'eux me
plaît vraiment beaucoup, il y a une occasion en or. Mais je ne
compte pas passer à la casserole avant que l'on ai fait plus ample
connaissance.


-Oui je vois, je suis avec
mon mec, veux-tu que l'on passe, toi craquer sur un gars ça vaut le
détour ! Me dit'elle en riant.


-Non j'ai envie de prendre
le risque, ils mont l'air vraiment sympas, je te raconterais tout
demain, ils m'attendent pour la partie.


-ok je mets tout le monde
sur le coup. Je m'occupe des deux autres attention à toi tout de
même.


-Merci Victoria !








Chapitre 2 le jeux





J'arrive dans le salon, je
les vois tout les trois, avec Julien en pleur dans les bras Damien.
Il est le plus grand et les plus musclé du groupe les cheveux en
queue de cheval , mais Julien en est le cœur, un mental à tout
épreuve, mais la perte de sa copine, l'a profondément affecté.


Je ne dit rien, m’asseyant
les jambes croisées, en attendant... Ils reviennent tous s’asseoir.





-Vous voulez un café,
tisane...


-une tisane répond Damien,


-J'ai entrevu du génépi,
me, dit Julien ! Avec bonne humeur retrouvée.


-Ne vous inquiète pas de
nous Mélody, dit Benoit, on le gère, des fois il boit un peu
certain soir. C'est la première fois qu'on le voit si heureux de
puis un moment. La peur d'aujourd'hui, lui à fait comprendre et à
nous aussi, que notre amitié peu s'arrêter du jour au lendemain. La
nostalgie, de ces moments nous sont précieux, puis une belle et
jeune femme nous invites chez elle sans que l'on est rien demandé,
nous le savons, nous avons une chance énorme. Nous vous en
remerciant et acceptons votre aide. Julien hésite à vous amener
avec nous, cela le terrasse à cet idée de devoir perdre quelqu'un.


Il est grand lui aussi et
mince, dans les passages chaud, c'est lui qui y va car plus
technique, physique et laiger


-Pourquoi? Au fait Benoit
tu peux me tutoyer


-Un jour je t'expliquerais,
on joue ? dit Julien pour couper net la conversation





Nous partons donc sur un
uno, l'ambiance est géniale, tout le monde rit, détendue, puis
Julien lance un...





-Si nous faisions des
challenges ! Le consentement et la priorité, nous sommes des
adultes, nous nous arrêterons, pour quiconque.


-OK


-Partante


-pour sûr





Tout le monde en a envie on
dirais, je n'ai plus la fatigue, mais bien de l’excitation,
qu'on-t-ils, en tête on-t-ils vue ma chambre ? Tant de
question, mais là j'ai juste envie que ça commence.


Damien est clair aussi sur
le principe, si cela va loin, il faudra que je leur fasse savoir. Ils
jouent avec nos fiancées respectives, tout comme moi avec Victoria.





Je gagne la première
partie, toute contente je demande au perdant d'aller chercher une
carafe d'eau et un verre et de servir tout le monde comme un serveur
avec du très grand vin. Damien revient...





-Voici, l'eau la plus pur
qu'il soit, elle nous provient directement du Tibet, c'est de l'eau
naturel, sans colorant ni additifs, elle est cristalline. Les
tibétains la surnomme l'eau de vie, en voulez-vous Mademoiselle ?





-Mademoiselle Debeaumont,
oui merci bien !





-Tout l'honneur est pour
moi que de servir une belle et jolie jeune femme comme vous.





Son jeu d'acteur et génial,
il me tarde de voir ce qu'ils sont capable de concocter. Julien perd
la suivante, Benoit lui lance :





-Je vois un crochet au
plafond, j’aimerais que tu nous fasse une démonstration de rappel.


On éclate tous c'est tellement inattendue, puis très
professionnel il commence d'un geste assurer, à installer la corde
en monter sur la chaise. Même avec une main défectueuse, il assure.
met son baudrier, je n'ai jamais vu autant de matériel encore
accroché... tout en nous expliquant les utilisations des machards et
des descendeurs, je l'admire, il explique bien on dirait un
conférencier sûr de son sujet. Il s’installe et la démonstration
est au top. Tout le monde applaudi.


Nous changeons de jeu et passons au jungle speed.


C'est à mon tour de perdre, le cœur bat à cent à l'heure, je
suis devant trois hommes l'instant de vérité à sonné. Ses yeux
percent me jauge, il pèse le pour et contre de sa demande, il
hésite, il a peur ça se voit et il se ravise, peut-être
ressayera-t-il je l'espère en tout cas... puis un petit rictus sur
ses lèvres, arrive-t-il à lire dans mes pensées ?


-Je veux que pour les trois prochain tour, tu sois debout, ta
main droite dans le dos.


Je commence à flancher intérieurement on y est, je vais perdre
les trois prochaines manches, cela me fait de l'effet, je suis
obligée de me pencher pour atteindre le totem... de la main gauche
je suis plus lente et à la verticale la posture n'est pas aisée.
Perdant la manche, il me demande de rester quatre minutes, sur les
pointes des pieds face à eux les bras derrière la nuque.


Enlevant les ballerines, l'exercice ne me déplaît pas, au
contraire cela m'amuse et leur fait savoir...


Après deux minutes, les mollets chauffent déjà, quatre minutes
se sont écoulées, je reprends la position autours de la table, de
plus en plus sûr de moi, je ne me dégonflerais pas, après tout
c'est le jeu. Il reste encore deux tours, la tension dans mon corps
est palpable, je suis beaucoup trop lente, me dis-je, puis je réussi
à choper un totem, toute contente, je tire la langue à Julien ça
les faits marrer, puis nous partons dans un fou rire collectif à
m'en faire mal à abdomen, donnant du baume au cœur,


Puis je perds de nouveau, je lui lance un regard triste et il me
tire la langue... Son sans froid et là bien présent.


-Tu seras attachée debout, chatouillé durant dix minutes. Ça
te tente ?


-Oui je veux bien essayer.


-Cool, si tu as des questions n'hésites, si il y a quoi que se
soit qui te dérange, il faut nous le dire, si ça fait mal aussi et
non nous ne te toucherons pas !!! Je ne suis pas comme certain
homme, qui profiterais de la moindre occasion pour te sauter dessus,
tu es ravissantes qui plus est.


Tout mon corps se détend d'un seul coup, enfin des gars
sincères, c'est un jeu avec des gages,


Ils me lient les mains devant, je suis tellement excitée, il est
si proche et si loin, il sent bon le frais, pour la première fois
j'ai envie de toucher un homme, je sais qu'il pourra me rendre
heureuse pousser mon désir dans des retranchements ignorés et oui
ma première fois avec lui. Il me tend les bras avec la corde déjà
en place vers le plafond. Le poux accélère, la température
corporelle augmente. Il va pour lier les pieds, mais je l’arrête
juste pour le tester lui et ses amis...


-Je prends, mais là je suis un peu hypnotiser, je veux quelles
soient douces, vibrantes, rien de de forts, je ne les supporterais
pas ce soir.


Je suis tellement heureuse j'en ai la larme à l’œil.


-Vos désir sont des ordres Mélody, quelle beau prénom pour une
fille avec un son et un timbre de voix que le votre.


Rougissant, je détourne la vision. Dans mon dos, ses mains
fermes, me massent les épaules, du bouts des doigts il part des
poignets, puis redescend vers les bras, je commence déjà à me
tortiller, la fatigue, le jeu, sa rencontre... les aisselles
atteintes, je monte sur monte sur pointe de pieds pour éviter les
ses doigts, mais en vain. C'est dix fois pire qu’allonger, tout le
corps et retenue que par les bras, l’électricité envie les sens,
jusqu'à mon entre jambe, les côtes et les hanches sont visées et
le ventre. C'est léger mais je pouffe quand même par moment, il me
masse les cuisses, fessier, les mollets puis les pieds... il m'enlève
les ballerines, attache ma cheville gauche dans mon dos au plafond.
Doucement les ongles le long de la courbures, me font éclater de
rire je ne peut me retenir. Il appui un peu plus la sensation est
irrationnelle mon clitoris en feu, il continue avec les orteils, me
les mordillent.... Je hurle de rire, je dois me soulager la vessie et
pas que... je luis demande d’arrêter après six minutes. Ce qu'il
fait, il me libère, je vais au directement aux toilettes, je regarde
mon corps, il est en feu... Je suis toute rouge épuisée, mais
ravie.


-Alors ça ta plus ?


-Oui beaucoup, je les crains, je si sensible !


-C'est pour cela que tu n'oses pas te montrer en public ?


-Il y a un peu de tout... je ne souhaites pas en parler ce soir !


Je l'invite à dormir avec moi cette nuit, ou une prochaine fois,
il est vraiment bon il s'est y faire avec les femmes tout comme ses
compagnons de routes. Après réflexion je préfère en rester la ce
soir, la soirée est superbe et j'ai envie quelle le reste. Je me
brosse les dents et parts me coucher.


-J'ai vraiment apprécié cette soirée avec vous êtes en or !


-Si on fait une sortie montagne ou autre, cela t'intéresserais ?


-A fond, pour information, j'ai un niveau sept a, sept b en tête,
en randonnées j'ai déjà fait des milles cinq cents mètres de
dénivelés positifs.


-Puis-je prendre ton téléphone ?


-Oui complètement c'est le .. .. .. .. ..


-Parfait, merci de nous recevoir et pour cette soirée inattendue
Mélody Debeaumont


-Tout le plaisir et pour moi Julien ?


-Julien Thomas


Il s'incline et je m'organise une petite révérence, nous
partons chacun dans nos lits respectifs, ou je m’attelle à la
jouissance. Je suis entièrement nue, passe une main sur mes seins,
tirant tout doux sur le téton, l’autre caressant la cuisse, la
pression monte rapidement, je me masturbe le clitoris, les
convolutions dures comme peu de fois... Je m'endors dans les bras de
Morphée.






Chapitre 3 la folle découverte






La matinée s’annonce belle et fraîche, il est huit heure . Je
m'étire dans le lit, les yeux rivés vers la porte, je me souvient
de soirée d'hier soir, enfin je commence à tomber amoureuse je
crois, ce gars est souriant, il sait ce qu'il fait, j'ai envie de
sortir avec lui, le pourrais-je ? Les pieds nus sur le tapis de
lit, le thermomètre de la table de nuit affiche moins cinq degrés
Celsius. J'ouvre la fenêtre pour aérer la pièce, je vois un mot
sous la porte, il m'intrigue et je l'ouvre.


« Cher Mélody, hier soir fût une des mes meilleures
soirées, je voulais que tu le sache =). Il te reste malencontreuse,
encore un gage si tu l’acceptes... écrit juste oui, nous te
donnerons les instructions après ta réponse » !


Je me mets à réfléchir à toute vitesse, mais je mouille déjà,
c'est une première depuis vingt ans ! C'est gars me rendent
folle, juste avec leur présence, appréhension est totale. Je répond
oui.


« Ouvre la porte, récupère le sac tu as une heure pour te
préparer et tu nous prépareras le petit déjeuné, nous somme
partit avec tes clefs nous reviendrons  » !


L'autorité dont ils font preuves et source de désir, je
m'exécute. Je parts me laver. Une fois propre, rasée de près, les
cheveux séchés au sèche cheveux. Je regarde le sac et remarque des
affaires à moi... Ils ont pris les vêtement sur le sèche linge...
ils ont fouillé mon appartement ? C'est le jeu que d’avoir
invité des hommes tel que eux...


Je porte un collant transparent brillant, mon legging préférée
d'intérieur en laine de mérinos laissant entrevoir ma peau de la
marque seagale (j'en ai deux autres de la marque mais pour
l’extérieur en synthétique), un chemiser rose mérinos tout aussi
du même site , une paire d'escarpin noir talon aiguille. Il y a des
sous-vêtements à dentelles noires. Cela fait déjà un petit moment
que je me soigne, les ongles manucurées et coiffée d 'une
tresse. Je me maquille un peu, passe un beige naturel mat sur mes
lèvre, des boucles d'oreilles et un collier à petit maillons en or
avec un cœur. Me regardant dans la glace je me sens transformée...
observant à nouveau dans le sac, une lettre les membres tremblants
de désir je l'ouvre.


- « Nous avons pris la liberté de prévenir ton amie
Victoria par facebook, nous avons fait nos études ensemble elle nous
rejoindra, s'inquiète pour toi. Non me dis-je. Tu devras nous
accueillir au milieu de la pièce en ayant des bracelets. Nous les
avons vu conte notre grès... La pièce été grande ouverte. Quant
nous entrerons tu nous accueilleras avec le sourire et la phrase
bienvenue chez vous, que puis-je vous servir ? en t'inclinant»


Je ne pensais pas qu'être aussi dominée, me fasse autant
d'effet, mon corps est en ébullition, prêt à explosé à tout
moment, j'ai du mal à rester concentrer sur la préparation de la
table... Il me reste dix minutes, je mets de l'eau à chauffer sort
des assiettes et couverts, le pain la confiture et les céréales.
Tout est en ordre, la nappe blanche, la carafe d'eau, ils n'auront
plus qu'a se servir.


Je mange rapidement un morceau, buvant un verre d'eau et une
tasse de café, puis au centre du salon, je les attends.


J'ai passé, les quatre bracelets aux membres, Victoria est une
fille bien, elle vient chez moi de temps en temps pour me
chatouiller. J'aime me faire manipuler, me sentir vivante. Avec elle
je suis en sécurité, elle m'a déjà fait jouir comme cela aussi,
nous aimons ses moments de partage, son copain est totalement pour,
tout les deux sont accros l'un de l'autre, leur amour est vrai.


Le soleil arrive dans l'appartement, la chaleur des rayons du
soleil à travers la vitre me caressent la peau, illuminant mes
vêtements , je suis épanouie enfin je sais que j'ai envie de le
faire. J’entends leur pas ils entrent et se déchausse tous, il me
regarde j'en tremble tel une feuille au vent.


-Bienvenue chez vous, que puis-je vous servir ? En
effectuant une grande révérence


Julien parle le premier


-Tu es sublime, tu as absolument tout préparer aussi, j'apprécie
vraiment que tu te prêtes au jeu et d’assumer le dernier gage même
si cela en demande plus que ce que tu nous as fait. Dors est déjà
nous te prendrons sur une randonnées ou en escalade pour venir avec
nous.


Mon plus grand sourire sur les lèvres, Victoria se jette sur moi
me me faire la bise, elle aussi me complimente.


Je les serrent, il me tarde de savoir de quoi ils sont capables
(mon bas ventre est une cocote minute), de tester certaines de mes
limites. La table débarrassée Benoit prend le relais sur un ton ou
aucune discutions n'est possible.


-Attache toi comme tu le souhaites, avec tout les instruments qui
sont à ta dispositions. Nous n'en rajouterons pas à toi de savoir
ce que tu veux. C'est toi qui dirige tes envies, cela te permettra
d'avoir le contrôle et gagner en confiance aussi. Si tu nous laisse
quartier libre c'est à tes risques et périls.


Je boue je n'avait pas prévu de devoir faire quelque chose, le
timbre malicieux sur sa dernière phrase...je réfléchie en vitesse,
mon corps ne se trompe pas, il veut se laisser aller, dans la
soumission la plus totale, pour son plaisir.


-Montrez moi de quoi vous êtes capables ! D'une voie
assumer, forte, consciente...


-Il te faut un mot de passe !


-Écureuil !


-Un autre ?


-Chandelier.


-Bâillon ?


-Je n'en veux pas,


-Ok, Prête ?


-oui ! Dans un murmure


-Julien elle est toute à toi !


Il est déterminé, quant-il se lève, son regard puissant, son
corps puissant et gonflé de confiance, je me sens frêle à côté,
il prend le masque et me le pose avec douceur, sur mes yeux


-Si ça ne va pas utilise écureuil , nous en discuterons pendant
la séance, pour que tout s’arrête, trois fois chandelier. Se sont
tes limites, tu va sûrement pleurer, à toi de sentir là où tu en
seras. Tu veux que l'on te contrôle, on ne s’arrêtera pas, je te
sens déjà toute mouillée petite attention à toi, belle créature
innocente e fougueuse à la peau pâle.


Je ne parles plus je rougie, ces mots me donnent le tournis ,
jamais personnes ne m'a parler de la sorte, j'en suis toute confuse,
il profite de se moment pour mettre des écouteurs Bluetooth. La
musique est douce, tout mes sens perdus, je vacille un peu sur les
talons.


Il me lève les bras et me les attachent, poignets joins au
dessus de la tête, faisant de même pour les chevilles.


L'attente, l'appréhension du moment, je peux à peine bouger les
bras ! Des mains se posent sur mes avants bras, du bout des
ongles, descendant et remontant lentement le long de ma peau nue,
électrisant tout jusque dans mon bas ventre, de plus en plus
appuyer, je me mets à pouffer, sans m'y attendre, deux autres mains
me pincent les hanches d'un cotée puis le bassin voulant esquiver de
l’autre côté en vain à deux deux doigt seulement, j'explose de
rire. Les cuisisses et leurs intérieures sont prisent d'assaut, les
fesses, les mollets, chevilles et le dessus des pieds, les aisselles
rentrant dans la danse, se sont maintenant véritablement huit
mains qui passent chaque zones de peau, je ris comme cela ne m'est
jamais arrivée, variant l'intensité, les micros pauses, repartant
de plus belle, des brosses à dents électriques dans le nombril, me
coupe le souffle...L'aventure continue, je les supplies d’arrêter,
des larmes coulent, frustrant de ne pas pouvoir voir leurs attaquent,
passant sous mon tee-shirts, je redouble de rire. Je ne sais pas de
puis combien de temps cela dur, je suis exténuée à force de titrer
sur mes liens.


Je ressens à peine que l'on me porte, que vont-ils faire ?...
J'en ai envie encore le mot de passes sera pour plus tard, ils
n’emmènent dans une autre autre dimension... me donnant à boire,
ils m'enlèvent les chaussures, m'attachent les chevilles croisées
la gauche étant devant. Mouillée comme je suis, ils glissent un
petit vibromasseur englobant que le clitoris tenue à l’entrejambe
par des cordes soudées au bassin. M’allongeant sur le matelas de
camp les mains toujours tenue au plafond, repose dessus une
couverture me recouvre. Je redemande de l'eau, un être charitable,
s’assoie et m'en donne. On me sotch une brosse à dent sous la
voûte plantaire de chaque pieds. Souple, la tête repose dans la
cambrure.


Je n’ose pas parler juste je profite du faite d'être
totalement dominée, pour mon seule plaisir.


Julien me propose un massage j'acquiesce de la tête, me
positionnant sur le ventre, il commence par les épaules et le dos la
nuque à califourchon sur mon dos. Il appui à travers la couverture,
la détente me fait remuer le bassin... il en fait de même avec les
jambes. Me laissant là il rejoint les autres, discutant de tout est
de rien à voix basse. Reprenant de la force, ils s'en rendent
compte, je me remet à gesticuler comme je peux. L’ouïe retrouvé
pendue désormais sur la pointe des pieds, mon corps est tendu au
maximum. La voix de Victoria résonne...


-Tu sais ce qu'il t'attend à toi de voir... Tu voulais d'autres
perceptives, se sera intense c'est toi contre ton esprit... Si tu
jouis avant la fin du chronomètre et du bip sonore, tu seras à nous
le temps qu'il restera jusqu’à 18h00. Seul moyen de ne pas jouir
c'est de te laissée chatouiller. « Stop » pour arrêter
le vibromasseur et les caresses et « go » pour arrêter
la jouissance. Julien sera le seul à te toucher.


Je le sais depuis le début, les mots de passes peuvent tout
arrêter, si cela va loin ou ne désir plus continuer, je m'en suis
déjà servi avec elle. A cet homme je veut lui montrer mon
endurance, ma fougue, sous mes air de fille qui ne souhaite pas, je
suis comme ça... La confiance il faut la gagner... Lui, je veux me
donner corps et âmes pour la première fois, je ferais tout pour le
rendre heureuse. J'espère que je ne fait pas d'illusion... Je chasse
cet pensée de ma tête et me rappel dans quel galère je suis...


Le vibromasseur télécommandé se met en route, les pulsions
sont aux plus bas, passant les mains sous mon tee-shirt, la voix
hésitante...


-Veux-tu de moi ?


-oui, j’aimerais que tu m’embrasses, sache aussi que je n'ai
jamais connue l'amour, car je me suis jamais senti en sécurité.


-Nous apprendrons à nous connaître tranquillement, sans
pression, tu es belle ton rire est mélodieux, ta bonne humeur
contagieuse, puis-je remonter cette protection ?


-non, je ne me sentirais pas à l'aise, pas encore en tout cas.


Il m'embrasse et malaxe les seins, ils sont ferment et bien
proportionnée par apport à mon anatomie, je ne peut plus me
contenir, mon râle masqué par son baiser tendre. Je le repousse
pour lui dire go. C'est humiliant au plus au point, employer se mot
là pour ça l'inverse aurait été plus approprié. Les brosses à
dents se mentent en route, le son cristallin de timbre de voix,
m'étire la mâchoire les muscles de mon visage sont au bort de le
rupture, sautillant sur place, relevant les jambes suspendue par les
poignets pour essayer n'importe quoi pour atténuer cette brûlure...


Le fait de porter un collant pour ma part il augmente la
sensation, les orteils glissent aussi sur le parquet, dans les
chaussures... la perte de toute accroche au sol m’envoûte. Ce
vêtement fin est beau, luisant au soleil, tient chaud, plus ou mois
transparent sur ma peau lisse, cela me procure de l'effet, pour cela
aussi que je porte des pantalons relativement ajusté en toile, jean,
le simili cuir et les legging pour le sport, j'ai du mal avec les
jupes et les robes et à monter mon corps.


Stop, le mot sort tout seul, la perversion reprends il me masse
les jambes, m'embrasse partout, me parle aussi


-J'aimerais te mordiller les doigts, les orteils, t'embrasser les
seins et partout ! Imagine nous dans le lit, tu auras les jambes
écarté, tu seras entièrement nue, dénudée par une danse que tu
auras effectuer en effeuillage devant moi, au moment opportun, une
petite claque sur les fesses, pour ton simple plaisir  ! Il est
collé à moi me mordille l'oreille, me tire la chevelure en arrière
pour dégager mon cou, pour mettre sa main comme pour un
étranglement, je ne peux n'être que submergée, il s'est y faire le
dos courbé, les vibrations sont incessantes. Tout mon corps veut se
laisser aller il cri vas-y ! Dans un ultime, de retarder le
fatidique orgasme, je prononce « Go », dans un souffle.
Je me tords de rire, les stimulations me rendent à fleur de peau,
mes bras me font mal, mes mollets ne tiennent plus, je ne suis plus
que transcendance, de plaisirs, de rires, de pleurs, de frustration,
mais les liens tiennent bon, électrisent constamment le corps. La
pulsion sanguine, dût à devoir subir sans bouger est folle... Je
jouis mon corps explose à force de stimulations comme jamais
auparavant, les soubresauts me donnent le tournis...


Ils me détachent, me reposant sur le matelas, Julien est avec
moi sous la couverture, m’entourant de ses bras, il est vraiment
musclé et fort. Je me retourne me blottit en position fœtale la
tête sur sa poitrine, exténuer mais heureuse, d'avoir vécut ce
moment d'extase en sa compagnie. Une pensée me vient à l'esprit, il
a dût aussi le faire avec Elise... va-t-il pouvoir faire son deuil ?
Je l'espère, en me collant le plus possible. Je fini par m'endormir
paisiblement.



Chapitre 4, L'amour avec un grand A


Je me réveil, il est aux alentours de onze heure trente...


A suivre...

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