Histoire : Institut PAVO (Épisode 05)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 01/01/2023
Mise-à-jour le 01/01/2023

Institut PAVO : le supplice de la chevre

Malgré sa position très inconfortable, la pauvre Melissa, exténuée, finit par s'endormir attachée sur le banc en Y. Lorsqu'elle se réveilla, il faisait presque nuit noire dans la salle des supplices, seulement éclairée par quelques torches brûlantes accrochées au mur de pierre rendant encore plus crédible l'environnement médiéval de la salle. Il faisait également nuit noire a l’extérieur, car il était minuit passé, mais Melissa ne pouvait pas le savoir car la salle des supplices se trouvait en sous-sol et qu'il n'y avait ni fenêtre ni soupirail.

Elle testa ses liens, tentant de s'y arracher mais sans succès. Elle se remémorait l'horrible supplice qu'elle avait subi, ce qui déclencha en elle un long frisson.

Puis elle entendit un cliquetis de clefs dans la serrure de la porte de la salle de torture, ce qui lui fit tourner la tête dans sa direction ; elle fixa son attention sur la porte ; son cœur se mit a battre un peu plus vite. La porte en bois s'ouvrit lentement, faisant grincer légèrement les gonds. Une gardienne pénétra dans la pièce, seule, puis referma la porte derrière elle, le claquement de la lourde porte en bois résonnant dans toute la salle des supplices de manière lugubre. Melissa suivit les moindres faits et gestes de la gardienne, qui s'approcha souriante vers elle, d'une démarche ondulante.

- « On est enfin réveillée ? » demanda la gardienne
- « Oui par pitié libérez-moi », répondit Melissa avant d’enchaîner :
- « J'ai été torturée en guise de punition.
- Qu'est-ce que vous aviez fait ?
- Je...j'ai chatouillé les pieds de La Duchesse DuPied dans la salle des sels...
- Oh ! Mon Dieu ! Et... elle est chatouilleuse ?
- Oui énormément, d'autant plus que ses pieds nus avaient été chauffés et préparés pendant une heure. Après ce traitement, les pieds même les moins sensibles deviennent extrêmement chatouilleux
- Et vous, vous craignez les chatouilles ? », demanda la gardienne
- Oui énormément !
- Ou ça ?
- De partout !
- mmmm, intéressant
- vous...vous êtes venue me libérer n'est-ce pas? » demanda Melissa soudain inquiète
- « oui bien sûr !» mentit la gardienne qui vint se positionner derrière Melissa qui était ainsi obligée de faire pivoter sa tête vers l'arrière si elle voulait voir ce que la gardienne était en train de faire.

En un geste très rapide, la gardienne porta un mouchoir imbibé de chloroforme sur le visage de Melissa, qui n'eut pas le temps de réagir et qui très vite tomba dans les pommes. Pendant son évanouissement, la gardienne en profita pour bâillonner Melissa avec un gag ouvert : il s'agit d'un anneau maintenant la bouche en position ouverte, et attaché derrière le cou de la victime.

A son nouveau réveil, Melissa, encore sonnée, mit un certain temps avant de réaliser sa nouvelle situation encore plus vulnérable. Elle essaya de parler, mais le gag l’empêchait de se faire comprendre.
-" Cheche che cheez ! Chou cheche cholle ! Chechez choi chanchille ! (Qu'est-ce que vous faites ? Vous êtes folles ! laissez moi tranquille) "
Puis, devant le silence de la gardienne elle continua
-" cheche chou challez cheu chaire ? (Qu'est-ce que vous allez me faire), tenta-t-elle
- Je vais t'exciter comme jamais, puis je vais te faire tout plein, tout plein de guilis-guilis de partout partout. Il paraît qu'on est incroyablement plus chatouilleuse après avoir joui, mais je ne t'apprend rien n'est-ce pas ?
- Ooonnn ! Ooon ! Chichiee ! Cha cha !! (Non non pitié pas ca)

Puis la gardienne s’accroupit au niveau des seins nus de Melissa ; elle commença par titiller les tétons de la pointe des ongles. Ceux-ci se mirent a durcir immédiatement sous les yeux médusés de Melissa qui ne pouvait rien faire d'autre dans sa position que de subir et observer impuissante ce que la gardienne avait envie de lui faire.
- Mmmm, on dirait que ça t'excites hein ?
- Hhhhh ! »  gémit Melissa sous les petits gratouillements de ses bouts de seins

Puis la gardienne fit rouler délicatement et sensuellement les bouts de seins turgescents entre ses pouces et ses index, ce qui excita encore plus Melissa qui gémit dans son gag ouvert en bavant.

-" C'est bon hein ? Oh oui c'est trop bon ! tu es sensible des bouts de seins on dirait et je vois que ton sexe commence a être excité, et demande a ce qu'on s'occupe de lui » dit-elle d'une voix excitée

Elle pelota et malaxa  langoureusement et longuement les 2 seins lourds de Melissa, la faisant encore plus gémir ; puis, après avoir bien excité Melissa, la laissant haletante de plaisir, elle s'empara d'une longue plume fine.

"- Tu vois cette longue plume ? Mmmmh ? Devines ce que je vais te faire avec »

Et, la gardienne s'approcha de l'entre jambe très écarté de Melissa ; celle-ci la suivit du regard en forçant sur les muscles de son cou afin de maintenir sa tête et pointer ses yeux vers son propre sexe nu écartelé du fait de sa position en Y sur le banc qui maintenait ses jambes très écartées. La gardienne approcha la pointe effilée de la longue plume du sexe nu de Melissa. Un des cotés de la plume entra bientôt en contact avec les lèvres déjà humides; puis elle fit glisser très lentement la plume de haut en bas, effleurant le sexe de Melissa. Puis elle éloigna la plume du sexe nu, avant de recommencer ce long effleurement de haut en bas.

« mmmmm !, c'est bon hein de se faire caresser le sexe par une plume? » dit-t-elle a Melissa qui suivait les lents mouvements de la plume sur son sexe exposé avec des yeux ronds qui bientôt trahissaient une excitation grandissante.

« hhhhhhhhh ! » tenta de répondre Melissa tout en bavouillant par le trou du bâillon ouvert en suivant les lents mouvements de la plume de ses grands yeux hypnotisés.

Au fur et a mesure de ces lents passages, la plume devenait de plus en plus humide du fait de l'excitation progressive de Melissa qui mouillait abondamment ; Melissa était autant excitée par ces douces chatouilles que par la vue de son propre sexe nu écartelé en train de se faire ainsi taquiner sans qu'elle ne puisse absolument rien faire pour l'en empêcher. La plume alourdie par la mouille s’insinuât de plus en plus profondément entre les lèvres excitées de Melissa ; bientôt elle glissât vicieusement et lentement comme un petit serpent sur son clitoris qui grossissait, puis sur l’intérieur de ses lèvres avant de terminer sa lente course humide vers le pourtour de son anus. Ces lents glissements de la plume sur son sexe nu l’excitèrent de plus en plus et commencèrent aussi a la chatouiller légèrement, la poussant a gémir tout en poussant des petits cris et parfois des petits rires lorsque la plume passait sur une zone un peu plus chatouilleuse :

« mhhhhh ! mhiihihihii ! mhiiihihihihi  !.. », gémit-elle tout en regardant excitée son sexe nu écartelé se faire délicieusement caresser par la longue plume.

« Oh la coquine !  Ca t'excites hein cette longue plume vicieuse qui s'insinue de plus en plus dans ton sexe ? Mmmmmm ! Et ca te fait des petits guilis guilis aussi ? mhuum ?» , s'exclama la gardienne très excitée elle aussi par la position des jambes très écartées de Melissa, par ses gémissements et par toute cette « mouille » qui imbibait de plus en plus la longue plume.

Au bout de quelque minutes de délices prodigués par les lents passages de la plume, Melissa gémissait de plus en plus fort, haletait et bavait a travers son bâillon ouvert. Ses yeux étaient tantôt ouverts en grand fixant avec gourmandise son sexe nu en train de se faire exciter, ou bien fermés, la tête basculée en arrière se laissant aller aux sensations délicieuses. Son corps en redemandait. Puis en redemandait plus, et plus encore.

La gardienne le remarqua ; elle abandonna bientôt sa plume, puis passa délicatement son index sur le bout du clitoris excité de Melissa dans un lent mouvement de va et vient langoureux. Melissa devenait dingue de plaisir. Elle accompagnait les mouvements des doigts de la gardienne par des ondulations de plus en plus violentes de son bassin dans la limite de ses liens afin d'augmenter encore les voluptueuses sensations. Elle bavait et gémissait de plus en plus.

La gardienne, également très excitée, masturba l’infirmière avec son index et son majeur leur imprimant des gestes de plus en plus rapides, faisant gonfler inexorablement le clitoris maintenant hyper excité. Les doigts de la gardienne étaient complètement trempés ; soudain, elle enfonça son index et son majeur dans le sexe humide de Melissa, la pénétrant d'un coup. Melissa chavira de plaisir faisant basculer sa tête vers l’arrière, en émettant un râle de plaisir, tournant ses yeux vers le haut de sa tête avec un large sourire de satisfaction.

Puis la gardienne imprima un mouvement de va et vient pénétrant chaque fois un peu plus le sexe écartelé de Melissa qui poussait des cris de plus en plus stridents ; les mouvements des doigts de la gardienne s’accélérèrent dans le sexe trempé qui s'ouvrait de plus en plus ; Melissa tenait ses yeux fermés, puis fronça les sourcils cherchant l'excitation maximale; soudain son corps tout entier fut frappé par un gigantesque orgasme qui la fit trembler de la pointe des orteils jusqu'à la base de ses cheveux ; ses yeux ouverts tournèrent dans leurs orbites vers l’intérieur et vers le haut de sa tête en louchant, sa bouche ouverte poussa un grand râle de plaisir  remontant du plus profond de ses entrailles ; puis elle se relâcha d'un coup, ses muscles devenus complètement mous ; finalement sa tête se pencha sur le cote, son visage barré d'un large sourire d'immense béatitude. Elle venait de jouir avec une force inouïe...

La gardienne, également satisfaite, arrêta la masturbation de Melissa, et lui laissa reprendre ses esprits. Puis elle brisa le long silence seulement entrecoupé des halètements de Melissa.

« Alors ! C’était bon n'est-ce pas ? Mmmmmm ! Je parie que ça t'a fait oublier la séance de torture non ? » lui dit-elle.

Melissa était aux anges, dans un monde de volupté et ne pouvait même pas répondre. Elle ne pouvait qu' haleter et souffler. La gardienne la laissa ainsi quelques minutes reprendre ses esprits.

Puis elle enchaîna avec une voix très aiguë hyper excitée :
« Et maintenant, comme tu es toute nue et sans défense, je vais te faire plein de guilis guilis de partout. Je suis sure que suite a ton orgasme, tu es devenue infiniment plus chatouilleuse. »
- hon ! Hon ! Chichie ! Cha cha ! Cha che chachouilles (non non pitie pas ca pas les chatouilles) répondit Melissa

La gardienne s'approcha d'une des plantes de pied nue de Melissa, dont elle admira et complimenta les courbes délicieuses :

« mmmmm ! Pied grec ! Quelles magnifiques plantes de pieds nues tu as la ! Si cambrées ! Avec ses deux premiers orteils si élégants et si longs par rapport aux autres. Quelles courbes délicates ! Que se passe-t-il si je gratouille avec mon ongle d'index juste … LA ! » dit-elle en remuant moins d'une seconde la pointe de son ongle au milieu du creux de la plante de pied hyper cambrée.

Le pied nu aux courbures élégantes de Melissa recula brutalement par pur réflexe en crispant tous les orteils vers l’intérieur comme s'il venait de recevoir une violente décharge électrique.

« Mmmmm ! Intéressant ! Ca te fait des guilis ? Dis-moi si je me trompe, mais j'ai l'impression que ces pieds nus sont devenus hyper chatouilleux »

En effet, suite a son gigantesque orgasme, la sensibilité de l'ensemble du corps de Melissa était décuplée, ce qui, combinée a la manière dont elle était attachée, augmentait considérablement son sentiment de vulnérabilité aux chatouilles. Elle savait qu'elle ne supporterait pas le moindre effleurement de sa peau nue ainsi exposée sans se mettre a rire. Lorsque l'ongle long effleura délicatement la peau fine et douce de sa plante de pied nue, elle ressentit une énorme sensation de chatouilles la forçant a sourire, et a émettre un petit cri aigu de surprise :

« ghiihihihihiii ! »

La gardienne dit :

« Oh ! Voyons, voyons, étudions cette plante de pied nue de plus près. »

Et sans plus attendre, elle fit des mouvements circulaires et répétitifs avec ses longs doigts fins féminins sous toute la surface hyper chatouilleuse de la plante de pieds nue de Melissa depuis le talon rond, jusqu'à la base des orteils, en passant par la profonde cambrure de la voûte plantaire, effleurant la peau nue et tendue des plantes de pieds avec l’extrémité effilée de ses ongles longs procurant ainsi d'insupportables  guilis-guilis..Elle s'amusa même a gratter avec la pointe de ses ongles la peau blanche du dessous des orteils hyper sensibles.

L’infirmière, rendue abominablement chatouilleuse par son orgasme gigantesque et par sa position, crut mourir de rire tellement ces ongles longs lui faisaient des chatouilles sous les pieds. Elle poussa des hurlements de rire incontrôlables en bavant par son bâillon qui maintenait sa bouche grande ouverte, tout en agitant ses longs orteils dans de larges frétillements:

« wuuuuUUUUUAAAAHAHAHAHAHA ! HAHAHAHAHAHAHA!!!HAHAHAHA !!.....hahah ! Hihihihihi ! Ghiiiiiihihihihi !...ghiiiiiiihihihihi !!! HAHAHAAAAAHAHAHA.. ghihihihihii... »

Et la gardienne, hyper excitée, lui dit :

« Alors on est devenue hyper chatouilleuse des pieds hein ? Guili guili guili... »

Puis elle se mit a chatouiller sadiquement la plante des pieds nue d'une main et les orteils de l'autre utilisant les pointes acérées de ses 10 ongles longs arrachant ainsi de très puissants hurlements de rire a la pauvre Melissa; Melissa, atrocement chatouilleuse des pieds, s'agitait comme une bête en furie effectuant des ruades impressionnantes, essayant ainsi de s'extraire a tout prix des liens qui la maintenait attachée sur le banc a chatouilles afin d’éloigner ses pieds nus de l'abominable supplice  tout en hurlant de rire comme une demeurée. Soudain, lors d'une violente ruade, Melissa s’étrangla de rire car la bave abondante qui s'accumulait dans sa bouche pénétra d'un coup jusqu'au fond de sa gorge. Suite a cet étouffement accidentel, la gardienne arrêta le supplice. Puis elle enleva le gag ouvert.


 Melissa en profita pour hurler a plein poumons après avoir pris une profonde inspiration :

« huff ! Hufff !... huff ! Huff ! Mais....huff ! … hufff ! vous êtes...huff ! Huufff ! Vous … vous êtes complètement foolle … huff huff, et....huff ... une grande sadique ! Vous …. huffff...vous.. ne pouvez pas me torturer comme çà huffff ! Vous avez failli …..huffff...me faire mourir de rire ! Quand La Directrice le saura, ….hufff …. elle vous torturera de manière abominable. …. arrêtez de me supplicier …..! … je.... hufff je  vous en supplie ! Arrêtez ce supplice »

Mais la gardienne, encore terriblement excitée, semblait insensible a ces paroles. Et même une idée encore plus sadique lui traversa l'esprit, tandis que Melissa tentait de reprendre son souffle.

« Connais-tu le supplice de la chèvre ? » demanda-t-elle excitée.
« La langue de la chèvre ! C'est un supplice in-su-ppor-table ! Imagine cette langue frétillante et habile parcourir tes plantes de pieds nues hyper chatouilleuses alors que tu ne peux rien faire pour l'en empêcher! Mais je vais faire mieux ! Tu vas voir... » continua-t-elle

Melissa n'en croyait pas ses oreilles. Elle connaissait parfaitement le supplice de la chèvre : c'est une torture abominable. Elle fut soudain prise d'une terrible crise de panique. Elle voulait s'arracher de ce banc a supplice et quitter cet endroit a l'instant, et fuir cette gardienne d'un rare sadisme. Elle tira sur ses liens comme une forcenée, en vain, blessant ses poignets et ses chevilles, tout en se tortillant dans ses liens comme une folle sur le banc en suppliant et hurlant :

« Non ! Non ! Pas çà ! Pas le supplice de la chèvre ! Je vous en prie ! Pas ça ! Je suis trop chatouilleuse des pieds! Pas ce supplice  ! Je n'y résisterai pas ! »

Et la gardienne s’éclipsa quelques minutes laissant Melissa hurler. Elle pouvait entendre les hurlements et supplications jusque dans la petite pièce située au fond de la salle des supplices, pièce dans laquelle se trouvaient des chèvres. Elle prit un seau rempli d'un peu d'eau et de beaucoup de sel, un pinceau, puis deux chèvres qu'elle attacha au bout d'une laisse.

Lorsqu'elle vit la gardienne revenir dans la salle des supplices avec 2 chèvres, Melissa se débattit comme une folle en tirant sur ses liens en hurlant :

« Nooon !!! Noon ! Par pitié ! Pas les chèvres ! Pas les chèvres ! Pas caaaa ! Pas ce supplice ! Pas le supplice de la chèvre ! Non pitié tout mais pas ça !»

Mais la gardienne s'approcha des pieds nus de Melissa, prit un large pinceau, le trempa dans le seau, s'accroupit et badigeonna une des plantes de pieds nues de Melissa, avant de se relever et de faire de même pour l'autre. Le simple contact du pinceau avec ses plantes de pieds nues firent sursauter les pieds nus de Melissa qui émit un petit rire tout en repliant ses longs orteils, et supplia en riant :

« ghiihihihihi ! Ghiiihihi ! Ca chatouiiiille ! ...ca chatouille !! non pitié ! ghiiighihihi ! Ghihihiiiihihi ! Je suis chatouilleuse des pieds ! ghihihi...hihihihihi... »

Mais la gardienne ne s’arrêta pas la. Elle se releva, et s'accroupit devant le sexe nu et exposé de Melissa, qu'elle badigeonna également d'eau salée.

Melissa n'en croyait pas ses yeux qu'elle avait ouverts très largement sous l'effet d'une panique totale observant incrédule le pinceau en train de lui badigeonner le sexe. Elle réalisa avec effroi qu'une langue de chèvre allait bientôt lui lécher son sexe nu exposé sans qu'elle ne puisse rien y faire.

La gardienne avait un sourire d'un rare sadisme :
« Et oui ma belle ! Bientôt tu vas connaître la véritable signification des proverbes « mourir de rire » et  « mourir de plaisir », hahaha ! » dit-elle

La gardienne attacha le cou d'une des 2 chèvres près d'une des plantes de pieds nue de Melissa, mais avec une corde courte l’empêchant d'atteindre le pied nu. Puis elle attacha l'autre chèvre près du sexe nu et exposé de Melissa qui tendait les muscles de son cou pour observer avec la plus grande attention son entre-jambe largement écartelée.

Soudain, la chèvre, attirée par le sel, se mit a lécher le sexe nu et exposé de Melissa. La gardienne encouragea la chèvre en massant de sa main le cou de la chèvre. Melissa, complètement affolée, fixait intensément cette langue animale en train de lui lécher le sexe : elle ressentit instantanément une insupportable sensation de chatouilles mêlée de dégoût et de gigantesque excitation sexuelle ! La langue, infatigable, faisait son office en léchant goulûment tout le sexe offert depuis l'anus jusqu'au clitoris en passant par les lèvres déjà ouvertes, procurant d'immenses frissons chatouilleux. Melissa  fut instantanément prise d'une incontrôlable envie de rire tout en fixant son sexe chatouillé:

« bwuuuuUUUAHAHAHAHAHAHAH !!  HAHAHAHA !! HAHAHAHAAAA !!...ca chatouille ! Ca chatouille ! Hahahahahahahaha ! C est insupportable ! Hahahaha ! Ghihihihihiii... »

Parfois la langue rose, souple et vicieuse pénétrait son sexe plus ou moins profondément avant de revenir exciter le clitoris déjà énorme sous l'effet de l'excitation sexuelle. Melissa croyait devenir folle de plaisir et de rire face a toutes ces sensations contradictoires qui dépassaient l'entendement. Elle sentait qu'elle ne résisterait pas bien longtemps a la vague de plaisir qui l'emmenait irrémédiablement au bord du précipice. Tantôt elle riait comme une folle, tantôt elle gémissait de plaisir. Son corps ondulait ou bien devenait rigide selon les sensations contraires procurées par cette langue animale qui lui léchait goulûment son anus hyper chatouilleux, puis ses lèvres trempées, et son clitoris gonflé de plaisir. Melissa bavait, hurlait de rire et gémissait de plaisir tout en secouant sa tête de gauche a droite comme une folle sous ces léchouilles très rapides. Très vite, après une pénétration accidentelle particulièrement profonde de son sexe en feu, la langue fouineuse et musclée de la chèvre déclencha un orgasme d'une puissance indescriptible faisant crier Melissa qui loucha instantanément les yeux ouverts révulsés vers le haut, la tête bascula en arrière, un immense sourire de satisfaction sur ses lèvres : elle fut emportée instantanément dans un monde de volupté et de délices absolus...

Le cri monstrueux résonna dans toute la salle de supplice. Il était tellement puissant qu'il réveilla toutes les prisonnières du premier sous-sol, et qu'il fut entendu dans pratiquement tout l'Institut jusqu'au hall d’entrée. Mais a cette heure-ci, mis a part les gardiennes de nuit, personne ne travaillait a l'Institut.

Même la gardienne fut abasourdie  par ce gigantesque cri de jouissance. Elle retira la chèvre du sexe en feu de Melissa, et l'attacha près d'une des plantes de pieds nues et exposées ; elle attacha également l'autre chèvre avec une corde plus longue, permettant ainsi aux deux chèvres d'atteindre les deux pieds nus exposées avec leurs langues.

Encore sous le coup de sa jouissance extrême, Melissa fut léchée sous les pieds par les deux langues de chèvres. Les sensations étaient juste impossibles a supporter, ses plantes de pieds ayant été rendues extraordinairement chatouilleuses par ses deux orgasmes colossaux successifs. Son cerveau en pleine jouissance disjoncta sous l'effet soudain des abominables chatouilles procurées par ces deux langues chaudes, rapides et souples qui s'adaptaient a l'immense cambrure des plantes de pieds en s'aplatissant afin de couvrir le maximum de surface chatouilleuse, ou bien s'affinant afin de s'insinuer vicieusement entre les orteils frétillants hyper chatouilleux. Les horribles sensations de chatouilles lui remontaient de ses pieds nus directement au cerveau contractant  tous les muscles de son corps transpirant dans des spasmes impressionnants, et la forcèrent a pousser des hurlements de rire féminins encore jamais entendus : un rire a la fois hyper aigu et extrêmement puissant vrillant les tympans de la gardienne. Ses grands pieds nus hyper chatouilleux se tordaient dans des contorsions impossibles tentant d’éviter les langues fouineuses; ses longs orteils également très  chatouilleux frétillaient dans des agitations improbables essayant en vain d’éviter de se faire sucer et aspirer par les lèvres velues des bouches chaudes des chèvres. Melissa, le regard complètement fou, les yeux exorbités, fixait un de ses pieds nus puis l'autre d'un regard désespéré, tirant plusieurs fois violemment comme une folle sur ses propres chevilles jusqu'au sang, pour essayer de les extraire en vain des anneaux de métal qui les maintenaient attachées laissant ses pieds nus vulnérables au supplice, tout en hurlant de rire comme une folle.

"bBWWWUUUUAHAHAHAHAHAHA !! HAHAHAHAHA !! HAAAAAAA.. .HAAHAAAA... HAHAHAHAHA... BWaAAHAHAHAHA...haha..... .HAHAHAHAHA...ghahahahahaAAHHAHAHAHA..  ghiiiiihihihihiiiii...hihihi..hi..hihi...GhhahahaaAAAAAHAHAHAHAHAHA..HHAHA!"

La crise de rire démoniaque qu'elle n'arrivait pas a contrôler contractait ses abdominaux les rendant visibles, et forçait ses poumons a expulser d'immenses quantités d'air en quelques secondes dans des staccato faisant vibrer ses seins nus ; elle avait du mal a reprendre son souffle. Les abominables chatouilles des pieds lui coupaient sa respiration. Elle n'arrivait même plus a parler. Bientôt, elle se mit a rire de manière silencieuse tout en basculant sa tête vers l’arrière la bouche largement ouverte tentant de reprendre son souffle dans un claquement de fond de gorge si caractéristique des personnes ultra chatouilleuses.

La gardienne tira d'un coup sur les cordes des chèvres afin de les éloigner des plantes de pieds nues, mettant ainsi fin au supplice.

La tête de Melissa, déjà complètement basculée vers l’arrière et vers le sol, resta ainsi sans force. Son corps fatigué, fut parcouru de spasmes apparaissant de manière sporadique ; un très large sourire de femme devenue folle barrait son visage ; de temps en temps elle expulsait une bouffée de rire de manière complètement imprévisible et sans raison. Elle n 'arrivait même plus a parler. Elle avait encore une fois failli être chatouillée a mort.

Même la gardienne fut surprise par l'immense sensibilité aux chatouilles de l’infirmière. Elle n'avait encore jamais entendu quelqu'un rire autant sous le supplice des chatouilles.

« Waouh ! » s’écria la gardienne
« Quel supplice n'est-ce pas ? » continua-t-elle, s'adressant a une Melissa molle comme une chèvre morte.

Mais la gardienne, perverse et sadique en voulait encore plus.

« On ne va pas s’arrêter la hein ? »

Melissa, épuisée, supplia du bout des lèvres entre deux bouffées de rire imprévisibles, la tête toujours a l'envers en arrière vers le sol.

« Arrêtez...arr..hahaha...arrêtez les chatouilles...je vous en supplhihihihi..  »

Mais la gardienne ne voulait pas en rester la. Elle s’accroupit près du délicieux ventre nu de Melissa ; le ventre nu et plat montait et descendait sous l'effet de la respiration de l’infirmière.
« Es-tu aussi chatouilleuse du ventre que des pieds ? » demanda-t-elle
« Je parie que oui ! » continua-t-elle

Et sur ce elle caressa d'abord le magnifique ventre plat de sa main féminine sans chercher a chatouiller. Elle apprécia ainsi avec gourmandise l'infinie douceur de la peau fine et douce du ventre plat et tendu par la position de Melissa sur le banc a chatouilles.

« mmmmm ! Quel ventre délicieux, si souple et si doux que tu as la ! » souffla-t-elle

Puis, tout en continuant ses caresses, elle s'amusa a gratouiller de temps en temps la peau fine du ventre nu du bout des ongles, faisant ainsi sursauter Melissa qui poussait des petits rires de surprise :

« ghiii!ghihihihi ! »

« Oh ! Chatouilleuse sur le ventre nu aussi hein ? «  dit la gardienne avec un sourire satisfait.

Puis, la gardienne mit ses longs ongles comme des pattes d'une immense araignée et les promena ainsi sur toute la surface du ventre nu et chatouilleux en effectuant différents parcours : tantôt des petites marches depuis les 2 aines jusque sous les seins nus en passant bien par toute la surface chatouilleuse de l'abdomen, ou bien des petites marches sadiques du bout des ongles sur les flancs depuis les creux des hanches jusque sur les cotes des seins ;

La pauvre Melissa a peine remise du supplice de la chèvre, fut littéralement « réveillée » par ces chatouilles du ventre par ces ongles insupportables. Elle tenta de résister en fermant la bouche, mais, elle en était incapable. Et, de nouveau, elle ne put contenir une nouvelle crise de rire qui contracta ses abdominaux sous l'effet de ces ongles longs qui parcouraient la peau fine et douce de son ventre également horriblement chatouilleux.

Puis, la gardienne, folle d'excitation, utilisa la technique des poules qui traversent la route très rapidement afin d’éviter de se faire écraser. Pour cela, ses deux mains parallèles effectuaient un mouvement de gauche a droite du ventre, les ongles chatouillant rapidement l'abdomen d'un cote a l'autre alors qu'elle disait : « Vite ! Vite ! Les poules ! Depechez-vous  de passer de l'autre cote ! Et attention aux voitures ! Guili guili guili ! Guili guili guili » Ce qui fit hurler de rire Melissa qui contractait ses abdominaux hyper chatouilleux...

Soudain la porte de la salle des supplices s'ouvrit, surprenant la gardienne en train de chatouiller le ventre nu de Melissa qui hurlait de rire : c’était Madame la Directrice accompagnée de la gardienne de nuit qui l'avait prévenue de venir de toute urgence...