Histoire : (HHH/HF) la vengeance

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Histoire


Histoire ajoutée le 29/01/2006
Épisode ajouté le 29/01/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

(HHH/HF) la vengeance

La vengeance
:ralala:
Lundi, le début des ennuis, je sors de chez moi et vais chez Iris, trois maisons plus loin. Je suis son meilleur ami, mais moi je l'aime. Plus tard, je veux me marier avec elle. Elle sort de sa petite maison jaune, suivit de sa petite sÅ“ur Violette. Nous sommes tout les deux en CM2, Violette est en CP. Leur mère me salut de la fenêtre, je lui rend son salut. Nous marchons sur la route, Violette, habituellement bavarde, ne dit pas un mot. Elle est toute rouge et marche devant.
- Qu'est ce qu'elle a ? demande-je à  Iris.
- Je ne sais pas.
Arrivée à  l'école, Violette ne rejoint pas ses amies. Elle passe à  droite de l'école. Je décide d'oublier cette bizarrerie mais Iris me prend le bras et suit discrètement sa sÅ“ur, je l'a suis. La cloche sonne, nous ne sommes pas rangés. Iris s'en fiche, elle continue, moi aussi. Violette s'assoit sur un banc. Iris se cache doucement derrière un buisson, je l'imite. Violette est face à  nous mais elle ne nous voit pas. Soudain, deux mains se posent sur ses épaules, elle sursaute. Steven sort de derrière le banc, se pose devant Violette, très vite rejoint par Julien et Maxime. Ces trois là  sont dans notre classe, à  Iris et à  moi. Ils ont du redoubler deux ou trois fois chacun. Ce sont des abrutis racailles et méchants, craint par tout mes camarades et moi-même. Violette se lève, elle tremble. De peur ou deux froid, qui sait ? Elle n'est pas surprise, elle les attendait. Steven, le chef de la bande, s'approche, il tend la main. Violette plonge sa main dans sa poche et en ressort avec une pièce de deux euros, elle la leur tend, Steven s'en empare, la contemple. Violette attend. Maxime murmure :
- Deux euros.
- On n'avait pas dit cinq par hasard ?
Violette baisse les yeux :
- Si.
Steven tient la pièce de deux euros à  bout de bras, pour qu'elle soit juste sous le nez de Violette.
- Là , tu vois cinq euros ?
- Non.
Julien passe à  l'action, il saisit Violette par le col et la suspend en l'air.
- Tu sais compter ?
- Je n'ai rien trouvé d'autre, lâchez-moi !
Iris veut se lever, comme pour tenter quelque chose, je la retiens. Violette les supplie presque. Julien obéis. Steven met la pièce de deux euros dans sa poche.
- Gare à  toi si demain …commence Julien.
- Si tu n'as pas six euros, continu Steven.
- Six euros, bégaye Violette, mais je n'ai pas six euros !
- Vole-les !
- Je…je ne vais pas les voler !
- Si ! Si tu tient à  ta peau.
Elle tressaillit, cette fois, elle avait peur, c'était certain. La bande des trois s'en va, laissant la sÅ“ur de mon amie tremblante. Violette n'ose pas bouger, nous non plus. Je me décide enfin, sort de ce buisson et ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort. Iris derrière moi, sort aussi de sa cachette.
- C'est du racket !
- Et ça dure depuis combien de temps ? demande-je à  Violette.
Une larme, à  ce moment là , a coulée sur sa joue. Elle est courageuse, la petite fille de six ans qui se tient devant moi. Iris prend le bras de sa sÅ“ur et lui dit de la suivre. Iris se mit à  courir vers l'école, suivit de sa sÅ“ur et de moi. Elle monta quatre à  quatre les marches des escaliers de l'école, jusqu'au deuxième étage, et continua dans le couloir, passe devant notre salle de classe sans s'en émouvoir et s'arrête devant le bureau du directeur. Sans toquer, elle ouvre la porte. Le directeur semble étonner de nous voir arriver.
- Vous n'êtes pas en cour ? nous interroge-t-il.
Iris lui explique la situation en quelques mots, il la croit. Le directeur se lève, sans un mot, il descend les escaliers, on le suit. Il s'arrête devant la porte de notre classe, toque et entre. Il excuse notre retard et explique la situation à  notre maîtresse. Steven, Maxime et Julien regarde Violette. Celle-ci a peur, que vont-ils lui faire après ?
Les parents des trois canailles vont être consultés et, si ils recommencent, ils iront chez la police. Quand leur sentence a été prononcée, il n'ont pas bouger pas broncher, ils se sont contenter de nous regarder. J'ai peur, moi aussi, mais je ne veux pas qu'Iris le sache. Je m'assois à  ma place, Iris en fait autant. Violette est raccompagnée dans sa salle par le directeur. Mais les trois voyous n'en veulent plus à  Violette, maintenant, c'est à  Iris qu'ils en veulent. Je le sais car leurs yeux la regardent d'un regard mauvais, ils la fixent, elle le sais et fait celle qui n'a rien vu. Quand la cloche sonne, tout le monde sort. Et on se dirige vers la cantine. Violette a rejoint ses amis, comme si rien ne s'était passé, s'ont-elles au courant ?
Derrière Iris, je prends un plateau. Je choisis de la salade et on me sert de la purée comme plat principal. On trouve une table, éloignée de tout regard. On mange silencieusement les événements du matin m'empêchent de parler. Julien passe près de nous, quand je le vois, j'ai maintenant l'impression que quelque chose d'anormal va m'arriver. Mais il se contente de murmurer à  Iris :
- Tu vas le regretter.
A tout les coups, c'est Steven qui l'envois. Iris hausse les épaules et Julien s'en va. Il rejoint Maxime et Steven trois tables plus loin. Iris ne montre pas sa peur mais se sent mal, ça se voit.
A la sortie de l'école, j'ai peur, encore et encore, rien ne me prouve que la bande des trois ne va pas sortir de derrière un mur pour nous embêter. Violette rentre avec ses amis. Je rentre donc seul avec Iris. Deux rue plus loin, personne en vue, ni la bande des trois, ni autre. Soudain, je me sens mieux. Un grand soulagement émerge en moi.
Mais le malheur arrive. Steven, Maxime et Julien sorte de derrière un buisson. Et se plante devant nous, Iris veux passer mais Maxime la retient. Ils nous entraînent sauvagement derrière une maison dont les habitants sont absents.
- Pourquoi nous as-tu dénoncée ? demande Steven.
- Parce que vous vous en prenez a des plus faibles que vous, lâche ! lance Iris.
- Qu'est ce qu'on fait pour lui ? demande Maxime en me montrant du doigt.
- Le chien-chien idiot qui la suit partout ? Tu t'en fous.
Moi, chien-chien idiot ? C'est vrai que je la suis partout. Ils avaient tout prévus à  l'avance, Maxime tient Iris les bras écartés, elle se défend et donne des coups de pieds, Julien, pour l'en empêcher, les lui tient. Tout c'est passé très vite, Steven a tendu ses mains en avant et se mit à  lui chatouiller les côtes. Je connaissais cette torture, mon père me la faisait quant j'étais petit, c'étais un véritable supplice, et en plus, là  en plus elle ne pouvait pas se débattre, ils sont trop fort. Iris crie, les supplie, rien à  faire, ils rient, a sen arracher la gorge.
- Je vous en supplie, arrêtez !
Elle rie tellement qu'elle en pleure, la rage naît en moi.
- Fichez lui la paix !
Ils me regardent mais s'en fiche. Ils continus de plus belle. Elle n'en peut plus, je le sens, je me ru sur Steven et le fait tomber à  terre.
- Tient, le chien-chien en demande aussi.
Non. Je suis vraiment chatouilleux, mais ils chatouillent Iris depuis deux bonnes minutes, elle allait étouffer. Il fallait qu'ils soient trois pour chatouiller Iris, pour moi, il s'y prit seul. Steven me tord le bras en arrière et me chatouille les côtes droites. Il me chatouille à  peine dix secondes, mais c'est le pire moment de ma vie.
Finalement, Steven me lâche et il s'en va, suivi de ses copains.
- Merci, souffle Iris.
- De..de rien !
- Pas un mot aux parents, hein ?
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas qu'ils recommencent, j'ai vécu le moment le plus horrible de ma vie !
- Moi aussi !
- Il nous faut un plan !
- Pourquoi ?
- Pour se venger, bien sur.
- Je veux bien, mais ça va être dur, surtout si ils ne doivent pas être au courrant.
- Si seulement, je ne sais pas, moi, on sera vengés, si…si…
- Si quoi ?
- Su ils se faisaient pipi dessus !
- Tu rigoles ?
- Non.
- Mais, c'est impossible !
- Si, mais pas demain !
- Pourquoi ?
- Il y a la sortie.
- Ah oui ! C'est vrai.
On se quitte, je rentre chez moi, mon rire persiste à  mes oreilles. Demain, c'est la sortie près d'une rivière. Entendre l'eau qui coule, ça m'énerve parce que …., mais oui, parce que ça me donne envi d'aller aux toilettes, je réfléchissais, et mon plan, je le tenais. Mais je ne vais pas exposer mon plan diabolique à  Iris, je lui ferai la surprise. La nuit, après une bonne soupe chaude, les événements de la journée me font trembler de la tête au pied, mais je m'endors. Je fais un cauchemar, Iris et Violette m'attrape et le jette dans un fossé, j'atterri sur de grandes plumes bleues ou blanches, elles se dressent devant moi, une siffle à  mes oreilles :
- Tu es chatouilleux ?
Elle se jette sur moi et me chatouille, tout de suite imitée par ses camarades plumes. Les rires de Violette et Iris résonnent à  mes oreilles. Je me réveille en sursaut. Il est sept heures. Je déjeune, m'habille et fais ma toilette. Je prépare mes affaires : pique-nique, bouteilles et de quoi noter, j'arrive à  l'école, je m'aperçois que j'ai oublié Iris et Violette. Deux minutes plus tard, elles arrivent à  leur tour, elles ne semblent pas avoir remarquer mon oubli. Iris vient vers moi :
- Je n'ai pas eus de plan.
- Moi si !
- Lequel ?
- Tu verras !
La cloche retenti. La maîtresse va nous expliquer comment nous tenir et bla bla bla ….
- Surtout, ajoute-t-elle, allez aux toilettes avant de partir.
- Oui madame.
Maxime fait tomber sa cartouche d'encre, tout est à  nettoyer. La maîtresse demande aux trois garçons de la voir. A la fin du cours, ils vont à  son bureau. Tous les élèves vont aux toilettes. Une fois que tout le monde est sorti des toilettes, j'y vais. Les filles aussi ont finis, j'enlève la clef de leurs toilettes. Iris me rejoint, m'interrogeant. Elle est interrompue par les pas de la bande des trois qui arrive. Je ferme la porte des toilettes des hommes à  clef. On se cache derrière le mur, ils approchent.
- Ca tombe bien, j'avais envi, déclare Steven.
- Moi aussi, répondent en cÅ“ur les deux autres.
Steven s'approche de la porte, force sur la poignée, elle ne cède pas. Ils abandonnent et courent vers le car. On y va aussi. On s'est placés derrière eux. Maxime geint.
Une fois arrivés, on s'installe près de l'eau. La maîtresse commence sont cours, je ne prend pas de note, je suis bien trop intéressé par la bande des trois qui se tord dans tout les sens. Mais ils se retiennent, il faut que je fasse quelque chose, si je les chatouille à  mon tour, ça marchera mais ils me chatouilleront après. Steven enlève ses baskets pour le pas les mouiller au cas ou. Bien sur, ses amis on fait la même chose. Steven ordonne que tout le monde fasse la même chose. Ca étonne la maîtresse car tous les élèves s'exécutent, pour ne pas décevoir Steven. Ensuite un « chat » est organisé. Un garçon se met à  nous chercher, un bandeau sur les yeux. Par terre, je vois une plume de pigeon. J'ai une idée. Je me met devant le « chat » et le devient à  mon tour. Iris n'a pas comprit, pour qu'elle comprenne, je passe devant elle, lui chatouillant très discrètement les pieds avec la plume. Elle pouffa en silence, je me dirige vers la bande des trois et fait la même chose au trois, le plan a réussi. Ils ne nous ont pas vu. Nous sommes retourner heureux chez nous, je dis à  Iris que je l'aime, elle me répond qu'elle aussi, et elle m'invite à  dormir. Soudain, elle parait choquée, se tourne vers sa sÅ“ur et lui demande :
- Tu leur as donné leurs euros ?
- Oui.
- Et qu'est ce qu'ils ont dit ?
- Qu'ils en voulaient dix, demain.
Elle se mit à  pleurer, pour la rassurer, je lui contai notre histoire, elle rigola.
Et on raconta tout à  sa mère, en commençant par le racket et en finissant par les chatouille. Elle appela la police.
Le lendemain, Steven regarde la police et prend Violette par le bras, il l'entraîne derrière l'école où se trouvent ses deux complices.
- Donne nous tes dix euros.
- Je ne les ai pas.
- Pourquoi ?
- Parce qu'ils sont a moi.
Steven pris Violette par le col, la soulève comme la première fois et allume un briquet et le met devant le nez de Violette.
- Tu vas le regretter.
- Steven, arrête ! dit Maxime, le regard terrifié.
La police est là . Julien et Maxime ont été renvoyés de l'école. Steven est passé devant le tribunal des enfants. Mais Violette n'est pas prête d'oublier.

Tout c'est très bien terminé.

La suite dans : (la vengeance 2) :p

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