Histoire : Le supplice des princesses (histoire vraie)

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Histoire ajoutée le 09/02/2006
Épisode ajouté le 09/02/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Le supplice des princesses (histoire vraie)

Un jour que presque par hasard, je me retrouvais à  la bibliothèque du lycée après les cours, je fus interpellée par le visage d'une élève qui me sembalit familier. Elle étudiait religieusement un livre pour son exposé de philo. C"était une fille très jolie, pour être honnête. Sûrement était ce pour cela d'ailleurs que j'avais du la remarquer sans m'en rendre bien compte. Et plus je réfléchissais, plus je me rappelais que nous nous étions déjà  parlé une fois, via une amie commune... Ambre, mais oui, Ambre! Ainsi l'abordais je et nous fîmes plus ample connaissance.

Le courant passa de suite. Si bien que nous prîmes un pot au café du coin le second jour, puis une bière chez moi le troisième.
C"était un vendredi soir d'ailleurs où, par conséquent, j'avais la maison pour moi puisque ma grande soeur était allée en soirée avec des amis, puis en boîte. Vers 19h, Ambre sonna. Une fois entrée, je la priai de se déchausser comme l'exigeait la loi de ma soeur, puis nous nous exilèrent dans ma chambre. Le temps passa ainsi, les cadavres de bouteilles s'empilaient sur ma table, et nous enchainions les pizzas.

Puis, lors d'une discussion sans intéret de vendredi soir, je remarquai le mouvement de ses orteils sous ses chaussettes. ils semlaient s'écarter et se rétracter comme par relaxation. Je restai subjuguée devant le spectacle.

Deux semaines après, le vendredi soir était déjà  devenu un rituel. Ma soeur qui se maquillait trois heures pour aller danser, Ambre qui arrivait presque aussitôt que ma soeur avait pris la tengente...Nous étions de véritables copines, et nous avions nos heures fixes.
Un de ces soirs là , à  peine un mois après notre rencontre, elle me demanda curieusement la permission de retirer aussi ses chaussettes. Evidemment, je lui accordai, toute excitée. Je découvris ainsi ses jolis petons. Ils étaient longs et fins, vernis de mauve. Un petit 39...de fines courbes...Alors que je me demandai comment j'aillai bien pouvoir caser un compliment discret sur eux, c'est elle qui me devança :
"J'aime bien tes pieds" me dit elle
"Ah bon? Je les trouve quelconque...les TIENS sont superbes"
"Mouais...nan, j'aime bien tes pieds. Ils sont plus féminins"
Je n'en revins pas. Elle qui avait les pieds les plus féminins que je n'ai jamais vus, elle me disais ça à  moi! Je rigolai intérieurement.

De fil en aiguille, nous nous sommes, je ne sais plus comment, touché les pieds. Je crois que c"était pour regarder nos vernis. Quoiqu'il en soit, je lui découvrit une très haute sensibilté des plantes. Alors nous avons parlé chatouilles, on nous en sommes arrivées au mythique supplice des princesses.

Je la défiai soudain, sans même réaliser ce que je faisais. Elle ne voulut pas paraître froussarde, j'imagine, aussi accepta t elle de se laisser menotter les poignets dans le dos. Puis, je pris la longue plume de faisan sur l'étagère et la lui passa sous le pied. Elle ria doucement et gesticula.
"Hihi...hihihi...hi...hihihihi!"
"Tu vois, les belles princesses, c'est comme ça qu'on les torturait au Moyen Age!"
"Hihihi! Arrete! stp...hihihi! Non! Hihihihi!"
"Oh, non, non, non, miss! Tu es à  moi!"
"Je t'en prie! Je suis trop chatouilleuse des pieds! Hihihihihi! C'est horrible!"
Si je ne l'avais pas vu, je n'aurais jamais cru qu'une plule pouvait aussi bien torturer une plante nue! Elle était pliée de rires.
"Stooop je t'en supplie, je crains trop! Hahahahahaha! Hoho! Hihi!"
Et moi, dans ma passion, je lui empoignais les orteils pour les lui tirer en arrière, afin de promener le bout de la plume sur la base tendre de ses longs orteils ultra sensibles. Cela la rendit aussi folle que moi lorsque je subi le même supplice : hurlements, supplications et larmes.
Je m'arrêtai alors pour la délivrer. Elle exigea que je me laisse ligoter à  mon tour pour me faire pardonner. Etonnée de mon audace, je ne pu qu'accepter. C'est aisni qu'à  mon tour, je me mis à  hurler sous le passage de la plume. Elle me gratouilla bien la base du gros orteil et le creux des plantes, puis me relacha.

Depuis ce jour, Ambre et moi entretenons un rapport d'amitié très particulier, qui nécessiterait le récit des autres anectdotes pour bien m'expliquer. En tous cas, Ambre chatouillée sous les pieds par un énorme plume de faisan...il fallait le voir ;)

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