Histoire : Baguette et plume

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Histoire


Histoire ajoutée le 15/03/2006
Épisode ajouté le 15/03/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Baguette et plume

Baguette et plume

Le monde d'Aphetto est un pays où circule la magie et un bon nombre de créatures fantastiques. Principalement dominé par les magiciens, quelques sorciers se disputent un peu la part du gateau magique que ce monde pocure.

Les sorciéres et les magiciens ont toujours étés rivaux, chacun dans une partie de la magie opposé, magie blanche pour les magiciens, magie noire pour les sorciers. Mais malgré la couleur immaculé des sorts des magiciens, ce sont toujours eux qui font le plus preuve de cruauté : rixe, enlévement, torture et éxécution sont leur lot quotidien face à  leur rivale qui, dans leur coin, essayent simplement de mener des vies paisibles en se défendant, tans bien que mal, aux assaults tyraniques des mages du « biens ».

Cette année-là , Nabrisa venait d'avoir 18 ans, elle survolait le ciel de son tout nouveau balais, cadeau de ses tuteurs pour son entré dans l'age adulte. Laissant un sillon gris dans le ciel, elle s'en allait pour une journée à  la faculté des sorciers. Son cÅ“ur était joyeux, elle allait fêter son anniversaire toutes la nuit avec ses amies, le landemain étant jour de repos.
Nabrisa était une sorciére très mignonne, depuis ses 16 ans elle était concidérée comme étant la plus belle fille de son lycée, et elle avait remporté le concours de miss faculté l'année derniére. Ses cheveux étaient d'un mauve foncée métallique brillant pareil à  un couché de soleil flamboyant au dessus d'un océan. Elle était toujours vétue d'un pentalon faisant penser à  ceux des femme d'un harem, sans être transparents, il était noir mais très gracieux, la partie supérieur était constitué d'un pull à  manche longue qui finissait en forme de fleur, ce pull était ouvert à  partir des épaule et laissé entrevoir, de part son décolleté, une poitrine généreuse tout en restant discrête et jamais dans l'exhibition. Enfin elle portait toujours un petit chapeau pointu noir, signe évident de son appartenance à  la magie noir.
Nabrisa avait une histoire assez particuliére, ses parents étaient de grand sorciers qui avaient mener une campagne contre les magiciens afin de légaliser la position des partisans du noirs sur cette terre. Malgré un grand potentiel et beaucoup de volonté, le groupe fut dissous quand le maître des magiciens, un homme dont personne ne connaît le nom ni le visage mais dont la puissance légendaire parcours les bouches à  oreilles de tout le pays. Cette nuit où les parents de Nabrisa furent tué, celle-ci avait à  peine 1 an. Le maître les tua tout deux d'une maniére très étrange, on les retrouva étouffé mais d'une maniére inconnue, car leur poumon n'avait pas subit de dommage, simplement étouffé comme si on les avait forcé à  utiliser leur corde vocal jusqu'à  épuisement total.
Mais le plus mystérieux fut le fait que le maître, au moment de tuer Nabrisa dans son berceau, retint sa main, et, au lieu de ça, posa une malédictions sur elle. Cette malédiction condamnée Nabrisa a être d'une incroyable sensibilité de la plante des pieds, cette malédiciotn posé par le maitre se retrouva imprimé sur la plante des pieds de Nabrisa par le dessin d'une petite plume, une sous chaque pied, ce qui lui valu le surnom de « Petite plume ».
Dû à  cette sensibilité accrue, Nabrisa ne put jamais porter de chaussure ou de chaussette, elle suportait modérément le sol lorsqu'il s'agissait d'être chez elle où à  l'école, mais le reste du temps elle utilisait son balais afin de laisser ses pieds se reposer.
Mais l'exhibition constante de ses pieds n'était pas sans problême, il ne se passait pas un cour de sport sans q'un petit malin ne fasse passait ses doigts sous les orteils de Nabrisa afin de la faire faire un bond de surprise. Il y eu également cette journée de mercredi après-midi que les pieds de la Petite plume se souviennent encore, elle était resté dans un dortoire afin de travaillé, il était vide. A force de faire marcher son cortex à  se souvenir des noms des sorts et incantations, elle finit par s'assoupire. Quand elle se reveilla elle était attaché sur un des lits du dortoire, elle reconnu ses trois amies. Elle réclama des explications, mais pour seule réponse elle comprit que « Juste pour rigoler un peu, elle allait être chatouiller », une de ses amie ajouta que cela leur permettrait de réviser les sorts de lévitation.
Chacune de ses amies utilisaires le sort de lévitation pour animer une plume et commencérent à  les faire passer sous les pieds de Nabrisa qui tenta de soustraire ses pieds à  cette torture avant de se rendre compte qu'elle était très solidement ligotée. La torture dura environ dix minutes qui parrut être plus d'une heure selon Nabrisa. Depuis que la premiére des trois plume avait touchée la peau de ses pieds jusqu'à  ce qu'elle n'en soit repartie, elle n'avait cessée de rire, se tordre, suplier et gémire. Quand elle fut détachée elle n'avait déjà  plus de force, ces dix minutes de chatouilles par raport à  une telle sensibilité s'apparenté à  trois heures sur une personne normale.
Ces copines la mirent alors sous les draps du lit et la laissérent dormir, elle se réveilla le lendemain et refusa d'addresser la parole à  ces amies pendant trois semaines, histoire de leur faire comprendre qu'il ne fallait pas… rigoler avec ça.


Nabrisa était tellement heureuse aujourd'hui, qu'elle agitait ses orteils d'avant en arriére, comme si la joie, elle même, lui chatouillait les pieds. Elle finit par arriver à  sa fac, d'un arret bref elle descendit doucement vers le sol, elle posa doucement un pied au sol en emmetant un gloussement léger, puis elle posa le second, enfin elle rangea son balais dans l'endroit prévue à  cet effet et l'attacha solidement, il ne fallait pas qu'on lui vole le jour même où on lui avait donné, même si son lieu d'enseignement n'avait jamais enregistré un vole ni une seule aggression depuis 15 ans, comme disait le tuteur de la Petite plume : « On ne sait jamais ! ».

La journée parut incroyablement longue pour Nabrisa, même si elle aimait les cours, elle n'avait pas pût s'empécher, pendant toutes la journée, de penser à  sa petite fêtes chez sa meilleur amie ce soir, afin de féter la possibilité désormer, d'acheter de l'alcool, de lancer des sorts supérieurs au niveau 4 de sécurité et de voter pour élire le Maître des sorciers, élection qui allait avoir lieu d'ici un an.

Finalement la journée se termina. Accompagnée de ses amies, Nabrisa se rendait à  la maison de Glissa, son amie. Lorsqu'elle entra, ce fut l'éblouissement, les parents de Glissa avait fort pour faire plaisir à  Nabrisa, des guirlande était accroché un peu partout, au-dessus, une pancarte flotante sur laquelle était écrit « Bon anniversaire Nabrisa ! », un énorme gateau trônait au milieu de la piéce, et autour, une série de cadeaux biens emballés en attendant une ouverture prochaine, enfin, autour de cette vision féérique, tous ses amis et amies qui l'avaient devancés pour lui faire la surprise, une bonne dixaine en tout.
Elle n'en croyait pas ses yeux, elle s'avança doucement vers le groupe puiselle se mit à  pleurer des larmes de joies qui émouvérent les cÅ“urs des personnes de l'assistances.
La soirées se passa comme dans un rêve, elle reçu beaucoup de cadeaux, pour un grand nombre d'entre eux des potions ou des ingrédients et même quelques sorts mais l'un d'eux la toucha plus que les autres, c'était un sort qui lui était offert par sa meilleur amie, afin que « ce qui s'était passé dans le dortoire » ne récidive pas.
Ce sort était un sort permettant de créer sous forme d'aura une paire de bottines noires autour des pieds de l'utilisateur du sort, ces botines permettent d'empécher quiconque d'accéder à  ses pieds, mais également lui permet d'avoir les avantage d'une chaussure, concernant le fait qu'elle n'ai plus le contact du sol, sans les inconvénients, car elle n'aurait pas la sensation du contact avec la chaussure. Son amie précisa qu'en plus de cela, elle sera la seule à  pouvoir se mettre et s'enlever ces chaussures ; « Afin d'éviter qu'un petit malin n'essaye de te chatouiller » lui dit elle remarquer avec malice et un petit clin d'Å“il discret.
« Puisqu'on ne pourra plus te chatouiller les pieds quand tu aura lancer ce sort, dit un des garçon de sa classe, un garçon très gentil mais aussi très taquin puisque c'était un des premier à  tenter d'accéder à  sa plante pendant les cours de sport, chatouillons-la la plus possible tans qu'elle ne l'aura pas encore lancer ! »
Tout le monde se jeta sur Narbrisa et la projetére, sans violence, sur le sol. Ils commencérent à  lui chatouiller sa plante des pieds, son centre, son talon, ses orteils. Nabrisa riait mais tenta de laisser une partie de discernement afin de prononcer la formule du sort.
Les bottines commencérent à  se former et en quelques secondes, la torture de la Petite plume pris fin, au grand dam des bourreaux surprises de la sorciére chatouilleuse.

La soirée dura toute la nuit. Au son des musiques techno jouant par des sorts musicaux, en pleine forêts résonné la joie de vivre de tout ce petit monde qui ne se souciait que d'une seule chose, faire la fête !
Au lendemain, quand chacun, un tentinet fatigué, commencérent à  quitter la place, la maison commença à  redevenir peu à  peu vide.
Finalement elle se vida complétement à  l'exception de Glissa et Nabrisa qui voulait aider Glissa à  ranger. Mais, voyant que la Petite plume était fatiguée, elle lui conseilla plutôt de rentrer chez elle et de se reposer, après tous c'était son anniversaire.
Nabrisa allait chez elle sur son balais, les bottines aux pieds et la foule de cadeaux lévitant dans son sillage gris quand soudain un éclair aveuglant blanc surgit du ciel tel un aigle sur une proie il frappa le devant du balais qui, commençant à  bruler, fit perdre le contrôle à  la sorciére qui partit vers le sol. Par la chance et son attention en cour, la Petite plume connaissait le sort pour éviter de mourir par ce genre de situation, elle prononça une incantation en montrant le sol de la paume de sa main et projeta une boule de choc bleu qui, en atteignant le sol, grossit et retint Nabrisa au-dessus de celui-ci pendant un cours instant, alors que le balais venait de se fracasser en mille débris de bois.
L'onde bleu disparu laissant retomber Nabrisa sur le sol, la fatigue entremélée avec ce qui venait de se passer lui faisait perdre son discernement. Elle vit apparaître du ciel un magicien auréolé de blanc, elle tenta un sortilége défensif qu'il contrecarra sans problême puis, îvre de fatigue, elle s'écroula telle un corps sans vie sur le sol.

Quand Nabrisa ouvirt les yeux, elle était ligotée les mains dans le dos, les chevilles et les genoux, assise sur une sorte de petit pouf, étrangement elle sentait que ses mains étaient attachées à  celee de quelque'un d'autre, en tournant légérement la tête elle se rendit compte qu'il s'agissait de Glissa. Celle-ci était encore endormie. Ligotée comme elle mais baillonée de surcroit.
« Bon arrettez ! C'est pas drôle là  ! » Dis Nabrisa, pensant qu'il s'agissait encore de l'Å“uvre machiavélique d'un de ceux de la classe pour parvenir encore à  la chatouiller.
Un mgicien sortit de l'ombre, Nabrisa palit d'un seul coup à  la vue d'un homme capable de la tuer s'il le voulait.
« Bonjour Nabrisa, tu te souvient de moi ? » Dit-il d'un ton serein.
« Qui êtes-vous ? » Réplica-t'elle.
« Je suis le Maître des magiciens, saches que tu as une chance inou௠de me voir ainsi, car normalement, personne n'est censé pouvoir me voir. »
« Qu'est ce que vous voulez ? »
« Oui… bien sûr… il fallait que tu la poses tôt ou tard cette question… Ce que je veux Nabrisa, c'est que tu rejoigne les magiciens, tu n'es pas une réelle sorciére, en réalité ton pére était un magicien qui a trahit notre cause, c'est pourquoi tu es si douée, ton sang est parcouru de l'aura des magicien ! »
« Non ! C'est impossible ! Mon pére me l'aurait dit ! »
« Tu veux parler de ton tuteur ? Oui… sauf qu'il l'ignorait, seule ta mére était au courant, et elle est morte avant de n'avoir pût en faire part à  qui que ce soit. »
« Pourquoi vouloir de moi comme magicienne ? Après tout, j'ai du sang de sorcier aussi non ? »
« C'est vrai ! Mais c'est là  l'interrêt, la prophéthie raconte qu'un enfant né de l'amour d'un magicien et d'une sorciére deviendra l'entité la plus puissante à  sa majorité. »
« Je suis majeure aujourd'hui… pourquoi ne suis-je donc pas aussi puissante que vous voulez le faire croire ? »
« Ta mére t'as toujours dit que tu était né un 1er novembre, mais en réalité tu es né un 3… »
« Dans trois jours je serait… la plus puissante sorciére du monde ? »
« Non ! La plus puissante magicienne du monde ! »
« Et si je refuse ? »
« Tu es culottée pour une gamine… je pourrait te tuer mais ce serait la plus grand perte du monde, je pense que te faire changer d'avis serait encore la meilleur des choses… »
« Vous risquez d'avoir plus de mal pour les chatouilles cette fois » dis Nabrisa d'un ton malicieux en faisant remuer ses bottines.
« C'est inutile pour le moment, ce sera ton amie qui sera la victime ! »
« Quoi ? Vous n'allez quand même pas ?… »
D'un geste de la main le Maître créa un baillon sur la bouche de la Petite plume puis il fit passer sa main devant le visage de Glissa ce qui la réveilla.
Glissa était une fille au visage très fin et très jolie, bien qu'ayant un corps moins bien fournie que son amie de toujours, elle avait un charme évident. Elle portait toujours une juppe rouge, un T-shirt rouge moulant s'arrettant avant le nombrile, des bottines rouges et le chapeau poitues rouges traditionels.

Malgré les gémissements, étouffés par son baillon, de Glissa, le Magicien utilisa un sort afin de lui retirer ses bottines révélant deux pieds nus parfaits, lisses et rose, la plante sans aucun défauts ni peaux caleuses. D'un geste le Maître créa une sorte d'instument constitué de deux planche de bois superposée dans le sens de la hauteur par la tranche, chacune des planche comporté deux trous formant un demi-cercle qui, lorsque les deux planches étaient superposés ainsi, formées deux trous de la taille d'une cheville. Ces deux planches étaient accrochées sur le coté par un bout de féraille permettant d'ouvrir ou fermer les planches, de l'autre bout de trouver un autre morceau de féraille qui n'était pas attaché à  l'autre planche mais qui se coulissait dans le morceau de fer de l'autre morceau de bois laissant transparaitre un trou pouvant être un cadena. Les deux trous des planches était espacé d'environs un métre.
D'un nouveau geste le magicien fit lever puis poser les pieds de Glissa dans chacun des demi-trou de la planche du bas sans que celle-ci ne puisse faire quoi que ce soit à  part de remuer ses orteils. Et d'un geste d'un doigt, l'homme de blanc fit se refermer la planche du dessus faisant de ce fait, prisonniés les deux pieds nus de Glissa toutes plantes vers l'extérieur, laissant la voie libre à  n'importe quel chatouilleur occasionnel. Le magicien termina en créant un petit cadena qui vint sceller les deux planches, les pieds de Glissa étaient maintenant offert aux chatouilles multiples. Celle-ci se débattait, tenter de crier au travers de son baillon, agitait ses pieds, mais le sort du Maître était solide, jamais une étudiante ne parviendrait à  briser un sortilége aussi puissant.

« Maintenant regarde ton amie rire puis tu me donnera ta réponse ! » dit le magicien en créant, à  un métre de Nabrisa, un grand miroire qui lui dévoilé la position inconfortable dans laquelle se retrouvée son amie, ses pieds nus attachés.
Le bourreau immaculé prononça une série de parole qui invoqua deux créatures, d'abord dans le brouillard, quand celui-ci se dissipa, les deux filles virent apparaître deux chêvres.
« Ce sont des chêvres spéciales, d'ordinaires nous aspergeons les pieds d'eau salé pour qu'elles les léche, mais celle-ci n'en ont pas besoin, la simple vue d'un pied nu les poussent à  le lécher ! »
Glissa devint hystérique, elle se remuait dans tous les sens, tentant par tous les moyen de se retirer de la position qui lui était imposée, mais, plus que le sortilége, les liens, eux-même, étaient durs comme de la roche et serrés comme des lianes étouffantes.

Les chêvres s'approchérent lentement des pieds de Glissa qui s'agitait de par et d'autre, bien que restant en place, il emmetait des rotations à  droit et à  gauche d'un air de dire « Ne me chatouillez pas ! », mais les chêvre se moquait de se language, la vue de la plante rose de Glissa les hypnotisait.
Finalement, chacune des chêvre en face d'un des pieds de Glissa, chacune se mire à  le lécher sans autre forme de procés, de leur langue rapeuse, passant par tous les recoins de son pieds, au centre, entre les orteils, sur les cotés. La moindre parcelle de peau des pieds de la suppliciées se retrouvée humectée par la langue de la chêvre non sans effet ; Glissa sentait les frissons parcourirent tous son corps, elle n'avait jamais, jusqu'alors, pût vérifier si elle était vraiment chatouilleuse ou pas, et elle se retrouver face à  cette torture imposée dont elle ne pouvait se soustraire et qui lui faisait le plus grand des effets. Même si Nabrisa était inégalable en matiére de sensibilité plantaire, Glissa tenait une très bonne place également, cela aurait amusé Nabrisa dans d'autre circonstance, à  se dire qu'elle aurait pût, à  son tour, faire passer celle qui l'avait chatouiller dans le dortoire dans le rôle de la chatouillée. Mais Nabrisa n'avait pas le cÅ“ur à  rire, car la torture qui était imposée à  Glissa n'était pas tendre, les chêvres ne faisait pas dans le dentelle, elle ne laissait aucun moment de répis à  la torturée qui ne pouvait jamais reprendre son souffle, les pieds attachées se débattant dans tous les sens et pourtant continuellement chatouillées. Le plus grand suplice que Nabrisa craignait était imposé à  sa meilleure amie et elle ne pouvait rien faire…

Une petite heure passa à  ce régime, Glissa était exténuée, ses pieds martyrisés ne tentés même plus de fuirent, ils étaient là , ballant, toujours attachés, se laissant tomber, attendant la prochaine vague de chatouille, ne lui faisant plus ressortir qu'un lointain gémissement. D'un geste de la main le Maîre fit reculler les chêvre et se tourna vers Nabrisa, un claquement de doigt fit disparaître son baillon et le poussa à  dire la phrase que Nabrisa s'attendait à  entendre :
« Alors ? Qu'elle est ta réponse ? »


A suivre…

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