Histoire : Joyeux Noel

Voici mâ première histoire. Je vous serais reconnaissant de la critiquer svp. Merci

La neige tombait calmement dehors.Une agréable chaleur régnait dans la pièce. Nous savourions un délicieux dîner de Noel aux chandelles et au champagne, en tête à  tête.

Nous mangions en parlant de tout et de rien comme les amis que nous sommes font. Si notre amitié est aussi forte, c'est sûrement grâce à  notre passion commune pour les chatouilles. Elle était la plus belle et la plus appétissante de toutes les victimes et moi, un bourreaux passionné pouvant passer du sensuel à  l'impitoyable en un instant. Je ne l'avais pas quitter du regard depuis son arrivée. Elle portait une splendid robe noire, ses plus beaux bijoux et des tout petits souliers qui ne laissent presque rien à  l'imagination: Des pieds très féminins, doux au toucher, des orteils en harmonie totale. Elle chaussait d'un petit 39, pour moi la taille idéale.
En voyant comment elle était chaussée et le temp qu'il faisait dehors, elle n'avait plus les mettre que par provocation.

Nous ne dîmes plus rien pendant un petit temps, elle sortit un paquet qui paraissait venir de nul part. Quoi de plus normal à  Noel? Surpris je luidemanda: << Merci! Qu'est-ce que c'est?>> <> répondit-elle simplement. J'obéis et lorsque je vis le contenu, j'en resta bouche bée. La boite contenait pas moins de 10 plumes qui avait l'air efficasses, une brosse à  dent électrique, une brosse à  cheveux, des bracelets en cuir, des cordes solides, un sèche-cheveux, des rubans et la touche d'originalité: une pair de gants en cuir avec des pièces de métal destinés à  tenir les plumes. Quelle idée intéressante! Je me souviens qu'elle voulait la plus belle séance de chatouilles de sa vie. Eh bien tu seras servie ma belle!
<> lui dis-je <> répondit-elle comme une enfant gâtée <> Nous nous rendîmes dans ma chambre où un grand lit à  barre métallique nous attendait. Nous installions les cordes, les bracelets. Etant menuisier de profession j'avais fabriqué et fixé un carcan au bout du lit. Une fois le tout prêt a servir, elle enleva sa robe, ses bijoux et déméla ses cheveux longs, bruns et soyeux. Elle s'allongea sur le lit et je l'attacha en I. Ainsi, elle était absolument irrésistible.

Commencons doucement! Mes doigts lui carresairent les aisselles, descendaient sur ses côtes,s'arrêtaient à  son entre-jambes et remontaient. Ca dura pendant un long moment. Elle riait et gigotait déja bien alors que je venait seulement de commencer. Dirigeons-nous maintenant vers ses adorables pieds encore chaussés mais plus pour longtemps. Je la déchaussa le plus lentement possible. Je sortis tout l'atirail présent dans la boite et choisis la brosse à  dents et rien que d'entendre le bruit la fit vaciller très fort et losrque les poils touchèrent sa plante, les cris et les gigotements redoublairent.
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Ses pieds bougaient un peu trop. Il fallait y remédier. Alors j'attacha les gros orteils ensemble, impossible de bouger maintenant. Je rangea la brosse à  dent pour un outils plus naturel: ma langue. Lécher les pieds offrent une grande précision et une belle efficassité. De plus, le goût m'est agréable. Je lécha ses plantes sans aucune pitié. Que c'est bon!
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J'adore quand elle me supplie.Elle huralait vraimment très fort mais seul moi pouvait l'entendre. Maintenant, si on combianis les outils? Un pied à  la plume, lautre à  la brosse à  cheveux; un pied à  la langue, l'autre à  la brosse à  dents...

Les rires commencaient à  se calmer, heureusement qu'il y avait un sèche-cheveux. Un petit passage sur les pieds en prennat garde de ne pas les brûler et on pouvait reprendre. Les gants n'avaient pas encore servis? Pourquoi attendre? Je les mis et y acrocha les plumes. J'étais le Freddy Krueger des chatouilles! J'étais très surpris de leur précision. Je parcourais chaque recoin des 2 plantes.
<< NON ARRETE CA SUFFFIT ARREEEEEEEEEEEEEETE>>
Je pouvais m'arreter, elle en avait eu assez. Pendant que je rangeais le matériel, elle alla prendre une douche. Elle se rhabilla et ,avant de partir, me dit << On fait le nouvel an chez moi. N'oublie pas ta caisse à  outils>>
Elle envoya un baiser dans le vent et la porte se ferma.