Histoire : Ma belle mère et ma copine FF/M

J'avais parlé de ma passion des chatouilles à ma copine qui l'avais comprise sans pour autant être folle de cette pratique. Nous avons tous les deux 24 ans (elle : 1m59 50kg , moi : 1m77 68kg)
La taquinant très souvent, je lui disais parfois : mais venge toi, torture moi etc etc...
C'est alors qu'un jour, alors que j'allais chez elle comme d'habitude , je fus attrapé par surprise par la mère à ma copine (1m62 53kg) pendant que ma copine me liait les mains avec habileté.
Je me retrouvais vite fait allongé sur le dos avec les bras étendus en l'air, ma belle mère s'étant assise dessus pour bien les bloquer tandis que ma copine s’était assise sur mes jambes.
Ma copine me dit alors : " Alors mon chéri , tu m’embêtes souvent avec les chatouilles que j'en ai parlé à maman qui a été d'accord pour te faire une petite séance qui devrait te plaire hi hi hi ".
Me sachant très sensible aux aisselles, elle se mis à me grattouiller le dessous des bras doucement.
La sensation était affreuse, une envie de rire m'envahis mais je me retenais du mieux que je pouvais...
C'est alors qu'elle demanda à sa mère de venir me chatouiller le haut de mes aisselles pendant que ma copine chatouillait le bas !
Ma réaction fut terrible ! J'éclatais de rire en me demandant comment une sensation si atroce pouvait exister d'autant plus que je ne pouvais pas bouger !
Je suppliais comme un fou pendant que mesdames s'en donnaient à coeur joie !
Ma belle mère qui ajoutait en plus : " Oh mais c'est qu'il est très chatouilleux mon gendre ! je te plains ! moi aussi je deviendrais folle à ta place mais ce n'est pas le cas ! hihi hi guili guili guili ! c'est pas supportable hein ??? ma puce, as tu pensé aux pieds aussi ? "
Ma copine à ses mots ne se fit pas prier et se dirigea vers mes plantes de pieds déjà dénudées pour aller y glisser ses doigts.
Les pieds + les bras en même temps, j'étais dans une autre dimension ! je pleurais, je riais , je suppliais et ce traitement dura 15 minutes interminables !
A la fin elles me libérèrent et dirent : " Alors les chatouilles ? tu aimes toujours ? " et je répondis bien qu’essoufflé : " Plus que jamais mesdames, ma vengeance sera terrible... "