Histoire : Poême

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Auteur
Histoire


Histoire ajoutée le 25/08/2006
Épisode ajouté le 25/08/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Poême

Un petit poême sur le sujet qui nous interresse tous.


Viens princesse

Viens ma princesse, approche-toi plus près,
Tu es sublime dans ton petit jean,
Mais bien plus encore que tu ne l'imagine,
Tu verras combien peuvent être sensibles tes petits pieds,


Tu n'as rien vu venir, par derrière je t'ai attrapé,
En deux temps, trois mouvements, te voila ligotée,
Sur le lit, un petit asticot frétillant,
Je saisie tes chaussettes et les retires doucement,


Toi qui ne savait pas tu commence à  comprendre,
Lorsque tu te voit bondé et pieds nus,
Tu sait quel sensation je vais te faire apprendre,
Chatouiller tes délicieux petons sans aucune retenue,


Je prend une plume et voila que je commence,
à€ peine un passage et déjà  tu crie,
Dans les creux, sur les bosses, entre les orteils la plume je balance,
Ce n'est plus des rires, maintenant, mais de l'hystérie,


Je laisse mon artifice pour utiliser mes doigts,
Quelques carresses, d'abord, la douceur de ta plante,
Puis, j'attaque de mes ongles cette zone vulnérable de haut en bas,
Sur toutes sa surface mes mains arpentes,


Tu n'en peut plus, tu hurles pour que je t'oublie,
Tu n'es pas en mesure de faire plus dans ta position,
Attachée ainsi, poings et chevilles, tel un saucisson,
Riant aux éclats sous mes taquineries,


Mais ce n'était qu'un prélude, je saisie un nouvel objet,
Brosse à  dent, électrique, on va bien s'amuser,
Je l'active, tu me supplie, je me rapproche de tes petons,
Je recommence les chatouilles, tu repousses tes rires mignons,


Je tourne et retourne au centre du pieds,
à€ la base des orteils, que je prend soin d'attrapé,
Tu te convulses, tu protestes, hurles à  la torture,
Sans comprendre que plus tu tonne, plus ton supllice dure,


Je poursuit encore pendant quelques petites heures,
Bien entendue je les pointes de pauses rapides,
Il ne s'agit, évidemment pas que tu meure,
Juste que tu ries à  t'en arracher les rides,


à€ la fin de on tourment, tu n'as plus la force de parler,
Tu ne cherche pas même à  bouger, la tête, les bras ou les pieds,
Tu éspères juste à  demi-voie que, cette fois, le supplice est terminé,
Et carresse l'idée que tu viennes enfin la libérer,


La voir ainsi, toujours attachée, fragile, est une Å“uvre de Rodin,
On a toutes les peines de monde à  daigner la détacher,
Mais il faut quand même le faire, restont humain,
Alors, à  regrets, on lui coupes les liens pour la libérer,


C'est alors que la polissone que l'on croyait érreintée,
Comme le phénix qui de ses cendre renait,
Nous attrape par derrière, nous voila ligoté,
La belle a maintenant envie de se venger...



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