Histoire : La détresse de Jessica Simpson

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Histoire ajoutée le 19/09/2006
Épisode ajouté le 19/09/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

La détresse de Jessica Simpson

  Jessica Simpson était allongée sur le ventre, les poignets et les chevilles liés aux pieds du lit, endormie. Elle portait un débardeur blanc, un short en jean d'où sortait ses longues et jolies jambes et une paire de tennis... sans chaussette!
  J'avais prévu de retirer ces morceaux de cuir encombrant quand elle serait réveillée, mais l'impatience me tordait les entrailles. C'était tellement tentant pendant qu'elle dormait et puis, cela pouvait passer le temps avant qu'elle ne se réveille.
  _ Vas-y, Jason, faisait une voix dans ma tête qui ne voulait pas s'arrêter.
  C'était décidé.
  Je me mis à  genoux et commençai à  défaire les lacets des tennis de l'actrice, doucement, sans geste brusque pour éviter qu'elle ne se réveille trop tôt, voilà . Je pris délicatement dans ma main sa cheville et fit lentement glisser la chaussure de sport, d'abord le talon, puis le reste de sa peau laiteuse et, enfin, ses longs orteils. Parfait, son pied fin était libéré. Je portai la tennis à  mon visage et humai ce merveilleux parfum qui me fit frissonner et monter le désir en moi. Cette odeur piquante qui me donnait envie de me jeter sur ce pied et de le lécher jusqu'à  ce que ma langue soit sèche et plus encore. Non, il fallait que je me contrôle, mais j'avais besoin de tenir son pied dans ma main et de le caresser amoureusement tout en sentant sa chaussure, ce que je fis.
  Vous devez vous demander comment moi, Jason Leblanc, le célèbre journaliste, critique, fétichiste, a pu se retrouver dans cette étrange position. L'histoire, la voici : il y a quelques jours, j'étais venu déjeuner chez mon amie, Jessica Simpson, qui se sentait seule car son mari était parti rendre visite à  ses parents au nord du pays. Tout en parlant, je remarquai qu'elle était beaucoup moins loquace et enlevée que d'habitude et je demandai :
  _ Que se passe-t-il, Jessica?
  _ Rien, Jason.
  _ Tu en es sure?
  Elle soupira, puis répondit :
  _ En ce moment, je m'ennuie.
  _ De ton mari?
  _ Non, en réalité, j'ai l'impression de m'enterrer dans une insuportable routine! J'ai besoin de nouveauté, d'aventure, de me sentir en danger! Je veux qu'il m'arrive quelque chose d'exaltant!
  Bien entendu, votre serviteur se proposa (silencieusement) de l'aider et c'est ainsi que, quelques jours plus tard, je me retrouvai à  la porte de l'actrice avec ma mallette à  chatouille. Elle fut surprise et ravie de me voir et elle m'invita à  entrer en me proposant un café. Tandis que Jessica se retournai, je pris dans ma poche un tissus enduit de chloroforme et l'appliquai sous le nez de mon hotesse. Elle se débattit avant de s'endormir et quand elle fut inerte, je la portai dans sa chambre où je l'attachai solidement à  son lit.
  A présent, j'attendais dans la chambre de l'actrice en respirant à  plein poumon sa deuxième tennis. Quand elle se réveilla, je ne m'en aperçus pas immédiatement car j'étais occupé à  appliquer mon nez contre ses orteils.
  _ Qu'est-ce qui se passe, demanda-t-elle en commençant à  se débattre.
  Je me mis dans son champ de vision.
  _ Jason, qu'est-ce que tu fais?
  _ Je viens t'apporter l'exaltation dont tu as besoin, ma chère, et, maintenant que tu es réveillée, nous allons passer aux choses sérieuses.
  _ Quoi?
  Je m'emparai de ma plume et commençai à  la faire aller de bas en haut sous le pied de Jessica. Elle sursauta et commença à  agiter l'objet de mes désirs de droite à  gauche.
  _ Ha! Non, oh! Ja-Jason, ha, ha! Pas ça! Hi hi hi!
  Je plaçai ma plume entre deux de ses orteils et la fit aller et venir.
  _ Iiiiiiiiiiiih!
  _ Est-ce que ça chatouille, Jessica?
  _ Ouiiiiiiiii!
  _ Hmm! Pas assez, à  mon goût.
  Je pris ma brosse à  dent électrique et la fit passer sous son pied qui se plissa et s'agita dans tout les sens.
  _ AAAAAH!!!
  _ C'est mieux, dis-je, et là , s'est parfait.
  Avec ma main libre, j'attrapai les longs orteils de son autre pied et les tortillai impitoyablement, faisant passer mes doigts entre eux pour chatouiller cet endroit se sensible.
  _ AAAAH HA HA HA!!!! PITIER HI HI HI!!!!! AU-AU-AU SECOUR!!! HA HA HA!!!! PAS MES PIEEEEDS!!!!
  Ses cris ne faisaient qu'attiser ma frénésie. Ses chevilles entravées ne pouvaient que faire tourner ses pieds en rond, sans espoir d'échapper à  mes chatouilles. Ce spectacle me plaisait au plus haut point, ces petons fins qui se débattaient sous mes doigts et la brosse rotative et dont la sueur, aux effluves si entêtantes, faisait luire la blancheur de sa plante de plus en plus séduisante.
  Je lachai ma brosse à  dent et attrapai son pied gauche à  deux mains, une posée sur son talon et l'autre qui tendait ses orteils. Et ma langue avide qui glissait sur cette peau laiteuse.
  _ AAAAAAH!!!! PAS CAAAAAAAH!!!!! JASON!!!! HA HA HA HA HA HA!!!!!!!
  Jessica plongea sa tête dans l'oreiller pour étouffer ses rires, mais son corps était parcouru de soubressauts.
  Je suçai ses longs orteils humides en prenant tout mon temps, en faisant passer ma langue plusieurs fois autour de chacun d'entre eux pour mieux les goûter, puis en les mordillant pour rendre Jessica complètement folle.
  _ HOU HOU HOU!!! HOU HOU HOU!!! PITIER!!! MES PIEDS!!!!!!!
  J'allai la détacher et je caressai une dernière fois sa plante de pied si douce quand je fus pris d'une nouvelle envie de la chatouiller à  ce simple contact et fis courir joyeusement une nouvelle fois mes doigts sur cette peau sensible.
  Ce nouvel accès de frénésie dura un peu moins d'une heure et quand je la libérai, je demandai stupidement comment elle allait. Jessica me répondit qu'elle se sentait étrangement bien.
  Nous bûmes un café et se fut tout.

  Spéciale dédicace à  toulou en espérant que ça plaira à  vous autres, aussi...

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