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Attaches

Histoire d'une femme capturée par la jungle ..

Histoire d'une femme capturée par la jungle ..

Ce qui suit est un extrait du troisième chapitre “Prisons nocturnes” du récit fantastique “L'ENTRE-DEUX MONDE“.



Résumé : Vingt-six femmes qui ont consacré leur vie à faire le mal autour d'elles sont envoyées mystérieusement dans un univers fantastique entre la vie et la mort. Leur but : se racheter, en atteignant la porte qui lie cet endroit à la vie terrestre, leur permettant d'avoir une seconde chance de vie. Mais pour y parvenir, elle doivent traverser cinq grandes épreuves : la jungle, la vallée des gnomes, la caverne de la femme-araignée, le village des géants, et le temple de la gardienne de la porte. Si elles échouent, elles demeureront prisonnières de cet entre-deux monde pour l'éternité.

Dans ce chapitre, cinq femmes se sont retrouvées pour traverser la première épreuve ensemble. Entièrement nues, épuisées par deux jours de marche sans trouver la sortie de cette jungle dangereuse et infinie, elles décident de s'arrêter pour la nuit et se reposer. Mais toutes ne survivront pas …



“ Cette nuit-là, alors que la séduisante et fétichiste Zoéline dormait, quelque chose vint se glisser près de ses pieds nus et fatigués par la journée harassante qu'ils venaient de subir. Cette chose, semblable à un végétal rampant, lui chatouilla le pied, comme pour la réveiller. Incapable de réaliser qu'on lui chatouillait le pied, Zoéline confondait cette sensation avec un rêve érotique. Le végétal, qui ressemblait à une liane, ou plutôt à une tentacule, continuait de caresser la plante des pieds de la nymphomane qui commençait à être excitée. La tentacule s'arrêta, remonta le long du pied de la belle, et s'agrippa doucement à sa cheville en s'enroulant autour. Sans qu'elle puisse réaliser, la chose la tractait lentement hors du groupe, trainée doucement au sol.

Zoéline se retrouva à quelques mètres des autres, quand le prédateur inconnu souleva sa proie dans les airs, la tête en bas et les pieds en haut. Elle ne mit pas plus d'une seconde supplémentaire pour se réveiller brutalement, réalisant à peine ce qui était en train de se passer quand une deuxième tentacule venue des airs s'enroula autour de sa gorge et se resserra en une fraction de temps suffisamment fort pour que sa voix soit étouffée, comme son souffle qui fut coupé net. La corde végétale vint s'enrouler autour de la bouche de la désemparée qui à présent était bâillonnée en l'air, nue, suspendue par la cheville, en proie à une créature qui allait s'occuper silencieusement de son corps. Pour la plante c'était un régal que de capturer une belle femme mûre aux atouts finement dessinés et au corps en bonne santé. Mais ce que la plante allait découvrir, c'est que cette femme était aussi et surtout une nymphomane confirmée. Celle-ci se débattait comme elle pouvait, paniquée, tentant de sauver sa vie, de sauver son âme, elle gesticulait dans tout les sens alors que la corde qui maintenait sa cheville la ramenait de plus en plus haut dans les arbres. Elle ne pouvait rien voir, rien deviner, tant la nuit était noire et les choses se passaient vite. Une troisième tentacule venue de nulle part s'empara un à un de ses poignets. La chose était difficile tant la femme se tortillait en tous sens, tentant de sauver sa vie, essayant de prévenir les autres. Crispée par l'extrême peur qui l'envahissait, elle savait que sa fin était venue. Les poignets liés, les coudes joints dans le dos, la tentacule remontait le long des bras et s'emparait du ventre et des hanches de sa victime. Enfin, une quatrième tentacule se chargea d'immobiliser les jambes entre elles. Immobilisée de toutes part dans les airs, Zoéline ne pouvait presque plus se débattre, elle n'avait plus qu'à subir son sort. La première tentacule venait de la lâcher, pour que la quatrième qui maintenait les jambes jointes et serrées ramène chaque cheville aux fesses. Elle avait désormais son intimité offerte, face au ciel. Désormais tous ses membres étaient immobilisés, les jambes repliées, même les seins étaient compressés, la bouche était bâillonnée, les bras ligotés : son corps était prisonnier de trois longues lianes épaisses et puissantes qui la maintiendraient captive pour une durée probablement très longue. Seuls étaient encore libres les pieds, dont les orteils remuaient en éventail, se pliaient, comme si à eux seuls ils voulaient libérer le corps entier ; et les lèvres intimes, épaisses et charnues, qui allaient peut-être s'offrir de force à la nature… Soudain, les cordes végétales froides et épaisses libérèrent une sorte de pâte gélatineuse, sortant de leurs fibres. Cette pâte visqueuse recouvrait rapidement toutes la surface de la victime, la rendant entièrement inoffensive, d'autant plus qu'en libérant ce produit, les lianes se resserraient davantage, tellement que Zoéline qui arrivait encore à sentir quelque chose, sentait que son corps allait imploser.

La fétichiste était emprisonnée dans un cocon transparent en forme de boule compacte et lubrifiée. Etrangement, seul son vagin n'était pas recouvert de cet enduit visqueux. Les lianes ramenèrent finalement leur proie au sommet d'un arbre, à plus de vingt mètres au-dessus du sol, où elle fut déposée dans l'estomac du propriétaire de ces créatures. Déposée soigneusement dans un coin de cette cave qui ressemblait à une petite grotte, la victime ne pouvait se débattre, elle était complètement à la merci de son sort, à la merci de cette créature qui ne tarda pas à enfoncer un grand tuyau qui l'obligea à ouvrir bien grand sa bouche. Un deuxième tuyau organique, au diamètre aussi grand, fut introduit délicatement dans son anus, jusqu'à remonter doucement le long du colon, ce qui excita Zoéline. Maintenue en vie dans une position fœtale, on venait de lui placer les cordons qui allaient la maintenir en vie pour l'éternité. Enfin, vint un troisième tuyau aux capteurs très sophistiqués qui titilla les lèvres et le clitoris de la captive. Celle-ci, encore apeurée, fut excitée malgré elle par cette situation où elle ne pouvait pas se libérer, et où une chose venait s'intéresser à son intimité. Rapidement, le champ fut suffisamment lubrifié pour que le tuyau s'introduit dans sa petite cave humide de cyprine. La liane effectuait un premier aller dans l'orifice, puis un retour, très lent, très sensuel. La mère indigne comprit que cette “chose” se nourrissait de son excitation, plus précisément de la cyprine qu'elle sécrétait. La bête allait et venait dans son intérieur, et déjà la fétichiste gémissait doucement.

Plusieurs minutes plus tard elle en vint à son premier orgasme. Celui-ci était déjà tellement fort, que Zoéline se demandait si elle ne se plairait finalement pas dans cette prison naturelle. En tout cas elle continuait de gémir du fond de sa gorge, se projetant des images sexuelles dans l'esprit, l'aidant à atteindre un second orgasme, tentant de se tortiller, mais incapable, son cocon était trop puissant. La chaleur ambiante l'envahissait, elle remuait ses orteils qu'elle espérait voir chatouillés ou caressés. Son tortionnaire végétal ne tarda pas à comprendre et s'empressa d'utiliser une de ses lianes pour se promener sur la plante des pieds et sur les orteils de la belle femme, qui atteignit son troisième orgasme. ”

A suivre.

D'autres histoires sur mon blog : http://morganesecretadventures.unblog.fr/

A bientôt !

BBF81

Re: Histoire d'une femme capturée par la jungle ..

Bonjour, j'ai adore lhistoire et j'aimerais voir la suite, le liens du blog ne marche pas: pourrais tu poster la suite ou mettre un lien valable ?