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Du grand art !

Du grand art !

Salut à tous !

Bon, je vous avais dis que j'écrirais sûrement des histoires, et mon premier post après celui de ma présentation se trouve dans la rubrique des vidéos... Je suis tellement logique. Bref !

Donc, je manque à ma parole pour vous présenter une vidéo qui m'a vraiment... Captivée, à tel point que je ne pouvais pas ne pas la partager autour de moi (en gros : ici). Cette vidéo a été postée sur YouTube sur la chaîne FEET.ME, appartenant à une jeune femme bien dévouée, Jelila Rose, qui a déjà postée de nombreuses vidéos exposant ses pieds (toutes ses vidéos sont comme ça en fait...) dans différentes activités. Il n'y a aucun doute, nous avons ici là bel et bien une chaîne axée sur fétichisme des pieds, et, chanceux que nous sommes, les siens ne sont pas des plus déplaisants ! Certes assez grands, mais, personnellement, ils sont pour moi plus qu'attirants.

Revenons-en donc à notre sujet : la fameuse vidéo dont je veux vous parler.

En voilà le lien : https://www.youtube.com/watch?v=2i_yuSTS_Bw

Notre chère Jelila a enfin passé un cap, qui est pour moi le plus réjouissant : celui des chatouilles. Voilà mes petits commentaires sur la vidéo :

Voilà un vrai exemple de ce que j'appellerais du Fetish Art que nous propose ici Jelila Rose. En effet, sur un épuré décor blanc, posés sur une petite table en verre, calés sur une douce serviette, les deux pieds tout aussi doux de cette belle victime se présentent à nous. Malgré l'ambiance aérienne de la pièce, ses deux objets de désir sont tout de même liés par deux pairs de menottes en fourrure rouge, dont la couleur plus chaude et sensuelle vient contraster avec le reste du décor et s'accorde avec le dessous des petons que les liens retiennent. Assurance voluptueuse, mais nécessaire, pour ne pas que les deux charmants pieds n'échappent à ce qui les attend.

Ce qui nous intéresse démarre alors. "L'oeuvre" se découpe en plusieurs parties. La première, c'est la plume. Grande, légère, duveteuse, elle découvre en même temps que nous les magnifiques pieds de la pauvre Jelila dont la douce torture commence. Enfin, torture, à savoir si justement, ces lentes caresses ne procureraient pas à notre victime un certain plaisir? Après une première approche, notre plume s'envole pour atterrir sur le haut des pieds qu'elle parcourt, nous permettant d'admirer les splendides orteils french-manucurés qui s'offrent à nous. Les caresses continuent ainsi, les deux pieds ne remuent peut être pas beaucoup, mais on sent que les touchers ne restent pas ignorés quand les deux petons commencent légèrement à remuer sous les caresses dans leur creux. Cette découverte dure ainsi quelques minutes.

Ensuite, le deuxième niveau : le pinceau ! Immédiatement, dès l'arrivée du nouvel outil sur la peau, la réaction se fait ressentir, et malgré que l'on puisse sentir que la pauvre Jelila se retienne, les petits mouvements incontrôlés que laissent échapper ses pieds, et l'on imagine déjà un petit sourire se dessiner sur les lèvres de notre victime. Nous avons abandonné la légèreté de la plume pour passer à la vigueur du pinceau. Beaucoup plus rapide, la touffe de petits poils drus se promènent sans aucune pause sur tout le terrain à sa disposition, ce qui ne peut pas laisser de marbre ce dit terrain qui remue sans cesse. On notera que la région la plus sensible reste la base des longs et gracieux orteils, ainsi que les zones entre ces derniers. Les mouvements s'accélèrent de plus en plus, forçant la pauvre Jelila qui ne peut plus se retenir à commencer à bouger ses deux pieds qui ne peuvent plus supporter ce traitement si délicieux pour nous, et qui après avoir grandement écarté ses orteils (grave erreur dirons nous !) tente, vainement, de se protéger les pieds, les mettant l'un sur l'autre, ou les crispant. Mais, notre bourreau semble avisé, et un simple long passage tout le long du pied de sa victime suffit à briser sa défense...

La mise en bouche est terminée, il est temps de passer à l'attaque ! Une première machine infernale est activée, et ne serait-ce que le vrombissement de son fonctionnement suffit pour faire frémir les deux futures zones de jeu. Après un petit instant d'appréhension (et un témoin félin), la véritable torture commence. Le tourbillon chatouilleur se contrefiche de toutes les défenses que la pauvre victime a pu désespérément essayer de dresser pour dévier le supplice auquel elle est irrémédiablement condamnée. Ainsi, dès les premiers effleurements, Jelila ne peut se retenir de remuer ses deux petons, d'essayer de faire diversion pour son cerveau en remuant des zones non chatouillées pour oublier le passage rapide des petits poils véloces... Désormais, il n'est plus question de zone sensible ou non, tout les deux pieds sentent inlassablement les titillements imposés par les chatouilles. Bien évidemment, nous parlions des orteils de la belle Jelila, si sensibles sous la plume et le pinceau, ne laissent même pas imaginer qu'ils resteraient immobiles plus d'une demie seconde dès que la machine infernale les frôle. Le supplice dure, mais le bourreau comprend qu'il est temps d'apprendre à Jelila ce que sont les chatouilles, et il monte au maximum la vitesse de l'engin, qui est totalement insupportable pour la victime qui ne peut s'empêcher de remuer hystériquement sous la torture qu'elle subit. On peut imaginer qu'elle commence à regretter se s'être engager dans cette aventure à tel point elle devient intense...

Mais le bourreau sait qu'il faut savoir choyer ses victimes, et décide de la gracier, et d'arrêter la torture (bien que le fond noir sur lequel c'est terminer la scène peut supposer que cette partie de la séance ait duré un peu plus longtemps, qui sait? De splendides pieds comme ceux-ci, je les chatouillerais pendant des heures moi...). Il devient même d'une gentillesse inimitable en proposant un petit nettoyage des pieds de notre victime sûrement épuisée. De l'eau savonneuse remplie de bulles, de quoi passer un bon bain, non? Oh, attendez... Non, notre victime reste bien fixée à ses chaînes pour ce petit cadeau, ne soyons pas trop indulgents tout de même. Notre bourreau, toujours paré de ses gants blancs s'accordant avec le décor, prépare alors une splendide éponge Spongebob, la trempant dans l'eau savonneuse tandis que Jelila savoure ses quelques instants de repos, se disant sûrement que cette pause lui permettra de se relaxer après ce dur moment. Enfin, l'éponge finit par s'appliquer sur le dos du pied de notre victime, qui tressaille tout de même de surprise. On peut admettre la réaction nerveuse, après tant de supplice enduré, mais, rapidement, on comprend que ça ne tenait pas de la simple surprise... En effet, pauvre Jelila, ce qu'elle pensait sûrement être un cadeau relaxant se transforme rapidement en un tout autre instant. On se rend rapidement compte que l'éponge, humide et rugueuse, diffuses de petites bulles qui n'attendent que d'éclater entre les orteils de la pauvre victime, se montre n'être au final qu'un nouvel engin de torture sur ces sensibles pieds. Ce qu'on croyait être de la surprise laisse tout simplement place à de la peur, et à de nouveaux essais de se protéger de la main habile du bourreau. Cette nouvelle phase est des plus sournoises... Comparés aux derniers instruments qui étaient insupportables seulement durant les moments où ils rentraient en contact avec la peau de Jelila, cette fois-ci, chaque caresse laisse une trace humide, et surtout bulleuse, qui permet de faire durer encore plus longtemps la torture tandis que notre homme aux gants blancs s'attaque à un autre endroit. La nouveau supplice dure encore quelques temps, parfois accompagner par les gazouillis d'un oiseau.

Ainsi, et si ce qui ressemblait à une séance de relaxation n'était qu'un prémisse, une préparation, à l'ultime supplice qui attend la pauvre Jelila? En effet, maintenant, elle a les pieds mouillés, les nerfs réveillés, et son attention est sur le qui-vive... Alors que son bourreau l'abandonne quelques instants, et qu'elle en profite immédiatement pour se frotter les pieds dégoulinants de mousse ensemble pour essayer d'en enlever un peu ou de se soulager des insupportables démangeaisons que les bulles provoquent, on entend l'infâme (même si, avouons-le nous, nous espérerions tous être à sa place) bourreau assembler une machine qui se profile comment étant encore plus redoutable... Et puis là voilà. Vous qui voyez ou avez vu la vidéo, je n'aurais pas besoin de vous la décrire. Ne serait que sa vision nous émoustille, même si Jelila doit frissonner à avoir entendu cet assemblage mécanique. La machine s'allume alors, et, dites-vous que ne serait-ce que le vent qu'elle expulse en tournant est suffisant pour frétiller les deux petons de notre victime, alors qu'est-ce que va donner le contact? On sent que la pauvre suppliciée redoute déjà ce qui va suivre, commençant immédiatement à reculer ses deux pieds, dans un vain espoir qu'ils échappent à l'engin démoniaque qui se rapproche inlassablement d'eux. La machine rentre enfin en contact, et, immédiatement, la pauvre Jelila se contracte de toutes ses forces pour subir ce supplice horrible. Alors que la brosse tournante s'acharne contre un talon qui fait se tendre les deux pieds jusqu'aux orteils qui se dressent comme des soldats au garde-à-vous qui voudraient surtout ne pas se faire remarquer pour échapper à la sentence que subit le bas du pied... Ne manquant pas cette occasion, le bourreau en profite pour remonter l'engin qui supplicie ainsi tout le pied de la pauvre femme, s'acharnant bien évidement sur les zones sensibles qui font se crisper les deux petits petons, avant de passer à l'autre pied. Jelila se retrouve ainsi dans un piège infernal. La brosse en bas de son pied, elle ne peut résister à tendre tout le reste du membre, jusqu'à ce qu'elle remonte en haut du pied, la forçant à le crisper en croyant se protéger, concentrant ainsi les zones sensibles sur des plus petites régions, et rendant le supplice encore plus atroce... On peut imaginer que Jelila regrette bien la mousse, qui s'est déjà bien envolée depuis l'arrivée de la dernière machine, et qui était sûrement une partie de plaisir comparé à ça. Enfin, le bourreau recule la machine. Notre victime croit à la fin tant attendue de son supplice... Mais non. Non, la torture continue quelques secondes après, et ce fourbe s'attaque cette fois à ceux qui étaient épargnés... Les orteils. La brosse passe à leur base et en haut de ses derniers, qui ne supportent pas une seconde ce traitement. Le bureau a trouvé de quoi rendre notre pauvre Jelila complètement folle, mais lui n'en n'est pas bête pour autant, et il se souvient de la dernière expérience mécanique qui avait rendue notre victime hystérique... Le temps de bien tirer les chaînes qui lui retiennent les pieds pour éviter la nouvelle débandade de tout à l'heure, et c'est reparti. La torture durera encore quelques instants, jusqu'à ce que celui que l'on envie temps finisse par gracier sa condamnée, et ne serait-ce que l'arrêt de la machine infernale qui lui a fais vivre, à proprement dis, un véritable enfer. On peut voir la joie de la pauvre femme à travers les mouvements de ses pieds...

Concluant cette succulente séance, notre bourreau essuie quelque peu ses deux jouets avec une serviette, ne manquant sûrement pas de faire frétiller une dernière fois Jelila, avant de les laisser en paix. Les deux pieds se frottent doucement, se remettant de cette dure expérience, et nous permettant de les contempler une dernière fois avant de se remettre en place, laissant la vidéo se terminer. On notera que notre pauvre Jelila n'est pas libérée... Qui sait, elle n'attend peut être qu'un deuxième round?



Voilà pour ma description de la vidéo, que j'ai fais, je vous l'avoue, avec un grand plaisir ! Enfin, je terminerais sur quelques aspects techniques. Bien sûr, la musique au début pour paraître un peu rebutante, mais je vous assure qu'à force, elle ne gêne plus, et disparaît même durant les scènes de machine. Je trouve même que durant la scène de l'éponge, elle accompagne particulièrement bien. La musique est d'ailleurs peut être là pour masquer le mutisme de Jelila. Certains disent qu'elle n'est donc pas chatouilleuse, mais honnêtement, vu ses réactions, je serais prêt à parier qu'elle ne peut que l'être. Pour les plus sadiques (dont je fais partie :lunettesnoires2: , vous n'avez qu'à imaginer qu'elle est très bien bâillonnée par son fourbe bourreau, et j'avoue que la voir avec un bandeau sur les yeux ne me gêne pas non plus !).

Bref, voilà mon premier article que j'écris pour la communauté, sa rédaction était un vrai plaisir, j'espère que sa lecture le sera aussi !

Allez, je ne peux que vous conseiller cette chaîne YouTube, qui mérite d'être vue, et vous dire à bientôt ! ;)

Re: Du grand art !

Eh ben la vache, du grand art, comme tu dis, merci pour le partage :D

(Au passage, ca n'aurait pas plutôt sa place dans histoires vraies ? :perplexe2:)

Re: Du grand art !

De rien Kenshira ;) Et, à propos de ce que tu disais sur la rubrique où mettre le post, je t'avoue que je voulais surtout partager la vidéo en elle même, l'idée de la décrire m'est venue après et, dans ma tête, ça n'aurait pris qu'une quarantaine de ligne en tout... Et je me suis retrouvé avec une quarantaine de ligne par parties \o/. Enfin bon, à voir ce qu'en pense les modos, comme vu que le centre du post reste la vidéo, et, même si "l'histoire" s'est bel et bien passée, ce n'était pas moi qui y participait donc bon ! Bien évidemment, le déplacement ne me pose aucun problème, au contraire, c'est vrai qu'en relisant le post, je me suis quand même laissé aller niveau écriture :').

Sinon, pour répondre à mophete666, j'ai en effet bien vérifié si il n'y avait aucune spécification de copyright, ce qui ne semble pas être le cas. Par exemple, pas de publicité avant la vidéo, elle n'est donc pas monétisée. Après bon, je lui fais plus de pub' qu'autre chose ! Mais, si tu veux, je peux envoyer un message à la chaîne pour demander :)