Histoire : On y est enfin !

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Histoire


Histoire ajoutée le 03/06/2014
Épisode ajouté le 03/06/2014
Mise-à-jour le 03/07/2021

On y est enfin !

Ca y est ! Voilà enfin que ma toute première expérience ( hors des vieux récits de mon enfance ) m'est tombé dessus sans trop que je m'y attende, et ce cette semaine.
Je m'en viens donc partager cette très agréable petite avec vous chers amis !

Nous sommes mardi, il fait très beau, les oiseaux chantent et le parfum du blocus et des examens emplit les rues de Liège. Ayant terminé tout mon travail, je décide de proposer une petite sortie à deux de mes amies qui par respect pour elles je vais nommer L et A, bref nous nous baladâmes un bon moment.
Cependant voyez vous je suis quelqu’un de TRÈS moqueur et de TRÈS provocateur, et tout cela sans aucunes intentions en tète je suis juste chiant au naturel ! Ainsi A étant un peu coconne sur les bords, le niveau d'absurdité en sa présence dépasse largement le nombre de grain de sables sur la plage de Blanckenberg et je ne pu pas m'empêcher de me moquer d'elle pendant tous le trajet.

Ce n'est que lorsqu'on s'arrêta sur une terrasse pour prendre un verre que je stoppa de l'embêter, ou du moins juste le temps d'aller faire mon petit besoins. Mais cette fois quand j'ai retrouver un autre prétexte pour rigoler de la demoiselle, elle à précipitamment envoyé sa main vers mes côtes pour me pincer, attraper ou un synonyme du genre. Réaction instantanée, je sursaute avec un petit cri strident qui ferait passer une vendeuse de cookies pour plus viril que moi et en plus je manque de renverser mon fanta orange !

Surprise la demoiselle me demande d'un air intrigué si je suis chatouilleux, en effet ne me voyant pas vraiment comme "sensible", elle fut assez étonné de ma réaction. Et là ! là à ce moment précis ou j'aurais pu répondre n'importe quoi tout ce que mon cerveau fatigué trouve à dire c'est ... Je ne sais pas ... bon au moins c'est honnête cela dis.

Du coup la demoiselle s’interrogeant davantage me demande comment ça se fait que je sais pas, et moi souhaitant dévier le sujet et puis surtout ne plus être le centre d'attention de cette discussion je lui explique que comme on m'à jamais chatouillé je ne sais pas et puis c'est tout. A partir de cet instant il y à deux solution possible ... soit on ne s'y attarde pas et on continu à siroter sa boisson, soit vous voyez se dessiner tout doucement un de ces fameux sourire de satisfaction sur le visage de votre amie qui se rappelle soudainement que vous vous êtes foutu d'elle pendant tout ce temps, ce fut mon cas.

Là dessus commence les jeux de gamins, blablabla menace de son côté et blablabla tu y arriveras jamais du miens et même blablabla je l'aiderais du côté de mon autre amie qui est une fille et qui par définition de la solidarité féminine, choisiras toujours le côté d'une autre fille. Bref on à jouer à se provoquer l'un l'autre jusqu'à payer nos verres et puis on est retourné à mon kot.

Et vous savez quoi ? Il ne faut jamais dire à deux demoiselles que vous avez fait chiez toute la journée, qu'elles ne sont pas capable d'un truc, JAMAIS !
On rentre et on se tape le roi lion, car oui nous quand on s'ennuis on regarde des Disneys ... Bref, je commet alors ma seconde erreur de la journée en laissant ces deux furies ensembles le temps d'aller me chercher un truc à manger devant la tv, j'ignore encore si elles ont comploter entre elles ou bien si c'était vraiment opportuniste mais figurez vous que quand je suis revenu elles m'ont littéralement sauté dessus tels deux tigresses sur une proie après 3 jours sans manger.

J'avais déjà vue là ou elle voulait en venir malgré la confusion dans mon esprit due à cette attaque surprise, mais tout ce passais tellement vite que j'avais même pas le temps d'y penser. D'abord je manque de manger la table basse en chutant donc pour l'éviter au maximum je plie les genoux me mettant moi même dans une mauvaise situation, ensuite ELLES ME MORDENT ces sales bêtes .... ça fait mal et ça me fait perdre le fil de mes idées pour un quelconque échappatoire. De fil en aiguille avec ces deux là sachant elles très bien ou elle voulait en venir je me retrouve très vite couché au sol avec les bras vers le haut et L assise dessus.

A quant à elle ne perds pas de temps et prends sa place assise sur mon ventre et se saisis de mes côtes avant de les chatouiller sans la moindre délicatesse, le résultat ne se fait pas trop attendre je commence à me tortiller dans tous les sens et je ris aux éclats de cette voix aiguë que je n'aime vraiment pas. Par contre je me retrouve confronté à un dilemme, le joli petit fessier de la demoiselle assise sur mes bras n'est clairement pas suffisant pour me retenir et ce même si les guillis de l'autre folle m'affaiblissent un peu, alors qu'est ce que je devrais faire ... faire semblant et rester comme ça ou bien soulever ce poids plume et mettre un stop à tout ça ?

Finalement comme c'était la ma première expérience et peut être bien la seule j'ai décider d'en profiter encore un peu et non pas sans une ultime provocation en me vantant que c'est pas avec son gros cul qu'elle pourras m'empêcher de bouger. Raté ... la pièce est pas tombé et elle est resté assise là et n'à pas pensé une seule fois à un autre moyens d'immobilisation pas comme cette tarée de A qui ô joie propose qu'elles m'attaches les poignets au canapé avec ..... les lacets de mes converse ???? Nan mais allô ? J'ai une ceinture de peignoirs à la salle de bain, une corde de rideau qui pendouille pas loin et elle ce qu'elle pense c'est mes lacets de chaussure ...

Bon allez ok, je leur accorde le bénéfice du doute et me laisse faire sans trop que ça se vois et je fini donc relié au pied de mon canapé. Mais c’est vraiment pas fameux, cette cordelette fine est pas très agréable, c'est super serré et le nœud en plus de faire une boule très chiante sur mes poignets me fait me demander comment elles vont s'y prendre pour le défaire. Passons ces détails et revenons plutôt dans le feux de l'action ou A à repris sa place sur mon ventre à titiller mes côtes tandis que L qui n'ayant plus de place sur mes côtes enlève ma deuxième converse et s'attaque à mes pieds.

Ouuuh ça commence à se gâter pour moi, je ne pensais franchement pas être aussi sensible en réalité ... j'ai encore mes chaussettes que je ris déjà à ne plus savoir me retenir, mon visage est rouge ou du moins j'ai chaud et j'ai même du mal à reprendre mon souffle avec l'autre assise sur mon ventre en soutien au niveau des côtes. La sensation est agréable mais mélangé à une gêne et un sentiment de vouloir que ça s'arrête finalement c'est assez étrange d'ailleurs, je suis excité bien sure mais de l'autre côté je suis vraiment dans de sales draps et je commence à hurler et supplier alors que ça me ressemble pas, waw pour une première je pensais pas en arriver là ...

Finalement, une seule de mes chaussettes m'aura été enlevée et après des moqueries comme quoi j'aurais des pieds de filles (ce que je ne trouve pas d'ailleurs :o), le supplice à vraiment pris forme. Ses ongles étaient quand même plus ou moins long et là j'ai commencer à me débattre comme jamais en les insultant de plusieurs noms d'oiseaux que je ne préfère pas retranscrire, c'était un grand moment d'excitation mais aussi un vrai supplice comme je voulais connaitre depuis pas mal de temps.

Pour finir elles ont arrêter et comme prévu ont du chercher après des ciseaux pour me détacher.

Fin

Mes conclusions sur cette journée :

1) Moi qui ne savait même pas si j'était sensible ou non, j'ai été étonnement surpris de voir qu'en réalité je l'était vraiment à mort :o

2) Ces deux furies ne perdent absolument rien pour attendre et ça vas faire mal.

3) Une première expérience très agréable et très instructive sur moi même et même si ça n'était pas du tout une séance avec de vrais connaisseuse j'ai vraiment adoré

4) Mesdames vous êtes faibles mais vous avez la solidarité féminine :D

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