Histoire : Récit promis d’une séance de tickling avec une amie

Elle s'appelle Elsa (faux nom, bien sur)

Initialement, nous devions nous voir demain, mais Elsa m’a appelé hier pour me demander si ça ne me dérangeait pas d’avancer la séance à aujourd’hui en début d’après-midi. Vous imaginez bien que non

Dans la discussion, j’ai senti qu’elle était bien plus pressée d’y être que ce qu’elle avait laissé paraître lorsque nous en avions discuté. Et comme le prétexte utilisé pour avancer la séance était un peu bidon (rien qui ne puisse être reporté) je me suis dit qu’elle en avait vraiment très envie… et ça a rendu mon attente encore plus longue que si nous n’avions pas avancé la date.

J’ai débarqué chez elle à 13h50, équipé de matériel pour l’attacher (attaches rapides et pas cher, on peut les discuter), d’un plumeau long, de faux-ongles, d’huile pour massages, de pinceaux, stylo-billes colorés, d’un peigne, d’une brosse à cheveux.
Elle m’a ouvert en souriant.

Elsa aura bientôt 26 ans. Elle est jolie, brune, mince, et mesure environ 1m68. Nous avons d’abord discuté ses souhaits, ce dont elle ne voulait pas. C’est surtout moi qui ai fait la conversation parce qu’elle ne connaissait pas vraiment le tickling. Elle a accepté d’être attachée, nous n’avons pas convenu de temps limite (et n’en avons pas parlé), elle m’a dit être chatouilleuse du ventre, du cou et des aisselles, mais ne pas vouloir être chatouillée dans le cou. Le reste elle n’en savait rien et je ne me suis pas non plus étendu sur la question, préférant découvrir par moi-même

Pendant toute la discussion, j’ai senti qu’elle avait effectivement très envie de commencer, comme je le soupçonnais. Mais c’est quand elle s’est déshabillée que j’ai eu la confirmation : elle portait déjà un maillot deux pièces sous ses vêtements. Donc elle s’était préparée

Après l’avoir arrachée en Y sur le lit en (jambes écartées, bras tendus au-dessus de la tête), j’ai commencé par la caresser doucement du bout des doigts sur le ventre, les côtés et l’intérieur des cuisses. Initialement, elle se contorsionnait et essayait de se retenir de rire. C’était mignon. Puis, quand elle n’en pouvait plus, elle a finit par éclater de rire. J’ai continué un moment comme ça. J’aurais pu le faire toute la séance, parce c’était probablement suffisant et que son rire est agréable. Elle a un rire franc, soutenu, qui se termine inaudiblement juste avant qu’elle ne reprenne sa respiration. J’adore ce type de rire. Je n’aime pas celles qui crient. J’ai également adoré la manière dont elle agitait ses mains, en pliant les poignets et en écartant les doigts à chaque fois que je parcourais lentement d’une traite des bras aux hanches en passant par les aisselles et les côtés.

Elle ne m’a pas menti. Elle est effectivement très chatouilleuse des aisselles et du ventre. Par contre, elle n’avait pas mentionné les cuisses. Probablement son point faible. Et comme ce n’était pas interdit, contrairement au cou, j’en ai profité. Bien profité. Jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter. Là j’ai continué encore une petite minute pour profiter un peu de ses supplications, puis je lui ai proposé de découvrir les autres endroits où elle était chatouilleuse.
Nous avons finalement essayé le cou un peu. Pour elle, moins chatouilleux que les cuisses, mais plus “insupportable” et les genoux. On a testé rapidement les pieds, mais je ne suis pas fan et c’était trop horrible pour elle. Enfin, on a testé les seins (mais ce n’est pas allé plus loin ; elle a un copain). Elle est au moins aussi chatouilleuse des seins que des cuisses, surtout après application de l’huile. Et la découverte ce sont les tétons : le simple fait de les caresser de la base à la pointe entre le pouce et l’index la fait hurler de rire. C’est littéralement l’endroit le plus sensible chez elle. Je n’en ai donc pas trop abusé (un peu quand même) et j’ai continué un peu en alternant chatouilles franches et légères.

Puis nous avons joué à un jeu : je devais la chatouiller franchement à un endroit jusqu’à ce qu’elle me dise “stop, je veux que tu change d’endroit”. La séance s’arrêtant après que j’ai fait aisselles, seins, côtés, ventre, cuisses.
Finalement, elle n’a réussi à articuler la phrase que pour les côtés. J’ai dû changer d’endroit de mon propre chef après un certain temps à chaque fois.

Bilan, on a joué 2h30 tout compris. C’était sympa. On doit se revoir dimanche aprem pour que je fasse un peu de peinture sur elle (on a rapidement essayé un brin en fin de séance. Un trait de pinceau fait très lentement des seins au nombril la fait hurler de rire).