Histoire : Séance de chatouilles dans le style médiéval

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Histoire ajoutée le 15/03/2017
Épisode ajouté le 15/03/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

Séance de chatouilles dans le style médiéval

Bonjour à tous.

Aller, je poste un scénario qu'un membre d'un forum de chatouilles m'avait fait parvenir. C'est rare de trouver un membre français sur un forum international, cela a fait que nous avons maintenant sympathisés. J'avais, sur cet autre forum, proposé de mettre les petons de ma femme à la disposition d'un chatouilleur, uniquement sur scénario très original et sans aucune nudité. Uniquement ses pieds sensibles pour une vidéo.

Il m'avait alors envoyé le scénario qui suit, et ma femme l'avait sélectionné. En ayant, en bonus, fait un switch à la fin avec son amie.

La vidéo a été tournée cet hiver.

Bonne lecture



Tout d'abord, pour information, je peux amener un ou deux treuil(s) à cliquets que j'ai fixés sur une planche et qui ainsi peuvent s'adapter à différentes tables. Cela permet, en tournant la manivelle, de tendre un peu plus le corps et donc de mieux immobiliser sa partenaire. De plus, cela rajouterais un peu de réalisme au côté médiéval. Les tables de torture de l'époque étant équipées de roues pour étirer le corps. Ces treuils se fixent sur des attaches poignets et chevilles, au choix. En fixant les deux treuils à chaque extrémité de la table, cela permettrait de créer une tension mieux répartie entre les poignets et les chevilles et donc mieux immobiliser. Sauf si vous préférez que les bras et le jambes soient écartées. En cas où nous utiliserions les treuils, il faudrait une corde épaisse ou une sangle.





Pour le matériel servant à la chatouiller, idéalement, des plumes ( de différentes tailles et textures ), des cure-pipes ( pour glisser entre les doigts ), une brosse, des cure-dents, des pinceaux, ainsi que de la cordelette assez fine ( environ 2-3m je pense ) et tout ce dont vous pensez être utile.







Pour le scénario, comme vous m'avez expliqué vouloir uniquement filmer, je vous propose de venir avec ma compagne. Comme pour un interrogatoire du moyen-âge, il y aura un inquisiteur et un bourreau. Je serais l'inquisiteur qui pose les questions et ma compagne le bourreau. Bourreau masqué, si possible, elle n'a pas envie d'être reconnue si la vidéo est diffusée sur internet.



Ma compagne à 23 ans et des doigts très fins avec de longs ongles fins et durs. Ses ongles seraient parfaits pour chatouiller les plantes de pieds de votre femme.





Pour la tenue vestimentaire de votre femme, rien de particulier si ce n'est qu'elle devra porter des ballerines ou des chaussures fines qui s'enlèvent facilement. Sans bas ni collant.





Donc, le scénario est le suivant ( avec une fin alternative dont nous avons parlé, si votre femme est toujours d'accord, pour laquelle nous aurons besoin d'une fine baguette et de votre roulette à pointes )



Votre femme sera dans la cave voûtée avec la table installée. La salle sera éclairée par des bougies et des lumières tamisées. Elle sera debout, les yeux bandés et les poignets attachés dans le dos. L'inquisiteur sera face à elle et le bourreau se tiendra entre elle et la table. L'inquisiteur cherchera à lui faire avouer son fantasme le plus intime. Il lui demandera plusieurs fois, sur un ton menaçant, et lui expliquera qu'en cas de refus elle sera livrée au bourreau. Au troisième refus, le bourreau entraînera l'accusée vers la table et la fera s'y allonger. Ses poignets et chevilles seront entravés, ensembles, et reliés aux treuils. Elle se retrouvera ainsi les chevilles l'une contre l'autre, et les poignets seront également entravés de manière à être joins. L'inquisiteur lui demandera une fois encore d'avouer. Elle refusera. Le bourreau tournera alors la manivelle du treuil des poignets pour lui faire étendre les bras. Il actionnera, ensuite, la manivelle des chevilles pour que ses jambes s'allongent. Il actionnera, en alternance, les 2 treuils afin que le corps soit tendu au maximum. Ensuite une corde large et épaisse sera passée sous la table et attachée sur son ventre pour la maintenir solidement sur la table et l'empêcher de se retouner. L'inquisiteur lui posera une dernière fois la question. Elle refusera à nouveau, à ce moment l'inquisiteur lui expliquera que ses pieds seront mis au supplice et ordonnera au bourreau d'accomplir sa tâche. Le bourreau enlèvera, doucement, ses chaussures et passera rapidement ses doigts sur la plante de la suppliciée pour surprendre et stresser sa victime. Il retendra, d'un cran ou 2, les liens avec les manivelles. Il se saisira alors d'une plume et commencera lentement à la faire courir sur les plantes de pieds de la suppliciée, cela pendant quelques secondes. Il arrêtera et l'inquisiteur reposera la question. Devant la nouveau refus de la victime, il demandera au bourreau de recommencer. Cette fois-ci, l'inquisiteur attendra un peu plus longtemps avant de demander au bourreau d'arrêter. Il laissera le temps à la victime de reprendre son souffle et lui reposera la question. Il essuiera un nouveau refus et, cette fois-ci, préviendra qu'elle sera soumise aux chatouilles jusqu'à ce qu'elle supplie que cela s'arrête et qu'elle avoue. Il lui explique qu'il n'interviendra plus pour que le bourreau arrête son office. La victime ne répondra rien. Le bourreau recommencera, alors à passer la plume sur la plante de la malheureuse. Il procédera ainsi pendant quelques minutes, puis s'arrêtera quelques instants. L'inquisiteur demandera alors au bourreau de baillonner sa victime. Le bourreau introduira un baillon-boule dans la bouche de sa victime. L'inquisiteur placera dans la main de la questionnée une boule de papier et expliquera que si elle veut avouer, elle signalera son intention en lâchant la boule de papier. Il fera, ensuite, un signe de tête au bourreau qui reprendra son travail. Cette fois, le bourreau fera glisser ses doigts sur le dessus des pieds, passera ses doigts entre les orteils de sa victime et descendra jusqu'aux talons en insistant dans le creux des plantes. Ce supplice durera de longues minutes. ( il y aura après ça, une pause pour permettre à votre épouse de reprendre son souffle et de se remettre un peu )



( Reprise)

Pour reprendre, le bourreau liera les deux gros orteils ensembles. Il glissera ensuite entre les doigts les cure-pipes, afin de chatouiller cette partie très sensible. Il passera et repassera inlassablement les cure-pipes pendant plusieurs minutes, puis s'arrêtera. Il passera une cordelette autour du lien des orteils et y fera un nœud. Il tendra ensuite cette cordelette jusqu'au lien des chevilles et l'y fixera, afin d'immobiliser le plus possible les pieds de sa victime. Ayant rendu les zones situées entre les doigts sensibles, le bourreau lui écartera deux orteils et y glissera sa langue, occasionnant des rires incontrôlés chez sa victime. Il en fera de même pour chaque doigts et fera ensuite remonter et descendre sa langue, doucement, le long de la plante de chaque pieds. Ensuite lui enduira les pieds d'huile et commencera à lui picoter les plantes avec des cure-dents. Il fera ensuite glisser la pointe doucement sur la plante, les talons et entre les doigts. Il prendra ensuite un pinceau fin et le promènera sur les plantes de la malheureuse qui hurle de rire. ( nous referons une pause à ce moment )



( Reprise )

Le bourreau continuera avec le pinceau pendant quelques minutes encore, puis prendra une brosse. D'une main, il se saisira des orteils de sa victime pour les tendre en arrière, afin de bien exposer les plantes. De l'autre main il passera la brosse sur les plantes et la base des doigts. Il relâchera les orteils au bout d'une ou deux minutes mais continuera son œuvre. Par la suite, il reliera chaque orteils aux chevilles avec une cordelette. Prenant soin de tendre chaque doigts vers l'arrière. L'inquisiteur, alors, expliquera à la suppliciée que le bourreau allait passer ses doigts et ses ongles sur la fine peau tendue de ses pieds, rendue par cette position plus sensible. Le bourreau s' exécute, promenant ses doigts et ses ongles sur toute la surface de peau qu'offre les pieds ainsi attachés. La pauvre victime rit et hurle malgré son baillon. Le bourreau continue durant de longues minutes et s'arrête. L'inquisiteur ordonne alors au bourreau de stopper et de détacher les chevilles de la suppliciée du treuil ainsi que de défaire la corde qui se trouve autour de son abdomen. Le bourreau détend donc la corde et enlève le crochet qui reliait les chevilles au treuil. Les chevilles, elles, restent liées ensembles. La corde de l'abdomen est également enlevée. ( nouvelle pause pour permettre à votre épouse de souffler )



( Reprise )

L'inquisiteur demande au bourreau de faire allonger la victime sur le ventre. Précisant à la victime que son calvaire n'est pas fini. Il lui donne l'ordre, ensuite, d'attacher à nouveau les 2 gros orteils ensemble, en serrant, et de passer le crochet du treuil dans la cordelette. Il se penche ensuite vers la suppliciée pour lui expliquer que son corps sera tendu cette, fois-ci, par les 2 gros doigts et non plus par les chevilles. A moins qu'elle n'avoue. Elle refusera à nouveau et le bourreau commencera à tourner la manivelle, doucement cliquetis après cliquetis. Le corps de la malheureuse se tendra, le bourreau alternera manivelle des poignets et manivelle des pieds. Les 2 pouces commenceront à se tendre et le bourreau repassera la corde autour de la table et du dos de la victime pour l'immobiliser. ( les doigts ne seront pas réellement tendus, afin de ne pas créer de douleur )

Le bourreau se saisira d'une plume et commencera à chatouiller les plantes des pieds avec la tige rigide de la plume. Pendant que le bourreau continuera à chatouiller sa victime, l'inquisiteur lui expliquera que si elle n'avoue pas immédiatement, le bourreau alternera tous les supplices qu'elle à subit jusqu'à maintenant sans s'arrêter. Elle s'entête alors à ne rien avouer et le bourreau commence à s'occuper de ses orteils avec des cure-pipes. Tout d'abord le dessus des doigts puis la pulpe et enfin la base. Occasionnant des hurlements et de rires à demi étouffés par le baillon. Puis il verse de l'huile sur la plante et commence à la piquer avec des cure-dents avant de faire glisser la pointe entre le doigts et le creux des pieds. Ensuite, vient le tour de la brosse. La suppliciée hurle et jette la boule de papier. L'inquisiteur fait signe au bourreau d'arrêter et lui enlève son baillon . La malheureuse demande pitié à l'inquisiteur et lui livre son secret. L'inquisiteur écoute attentivement le secret et, contre toute attente, demande au bourreau de continuer son office. Le bourreau utilise ses doigts et ses ongles pour supplicier les plantes devenues très, trop sensibles. La malheureuse se remet à hurler de rire et à réclamer pitié. L'inquisiteur lui dit alors «c'est juste pour la plaisir de t'entendre rire ».



FIN

Voilà, j'espère que ce scénario vous plaira et que nous pourrons collaborer ensembles sur cette vidéo.

C'est également un scénario pour lequel j'aimerais que ma compagne soit en position de victime, à la base je l'avais écrit pour elle, mais nous n'avons jamais pu trouver quelqu'un pour le réaliser. Si vous êtes d'accord nous pourrions peut-être le réaliser après votre vidéo, votre femme pourrait être le bourreau et vous l'inquisiteur, ou l'inverse.

Ma compagne est hyper chatouilleuse. Ses pieds sont très petits

(pointure 35 ), très fins et hyper sensibles.





A bientôt j'espère



Aurélien

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