Histoire : Ma première séance avec ma cousine

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Histoire ajoutée le 21/04/2018
Épisode ajouté le 21/04/2018
Mise-à-jour le 03/07/2021

Ma première séance avec ma cousine

Séance avec ma cousine





Tout d'abord, replaçons le contexte. Quand j'était au collège, ma cousine et moi étions dans la même classe. Même si elle avait deux ans de plus que moi, on a toujours été très proche, au point qu'on se considère plus comme frère et soeur que comme cousins. Au bout d'un moment, elle n'arrêtait pas de me dire "Mais sourie bon sang !" ou encore "Tu vas me rendre dépressive à force de te regarder faire la tronche !". Pour faire simple, disons que j'étais pas l'enfant le plus souriant du collège XD. Un jour, quand ma famille fut invité chez elle, après une petite heure de discussion tranquille, elle m'attrape par le bras, et me tire dans sa chambre. Arrivé dans sa chambre, elle ferme la porte, comme toujours, pour qu'on soit tranquille. Elle me dit de m'assoir sur son lit, et me dit "Je sais comment te faire sourir !". Du coup, je lui répond "Comment ?", et elle se tourne vers moi en faisant gigoter ses doigts dans le vide, et me dit avec un grand sourire "T'es chatouilleux, non ?". A peine avait-elle prononcé le mot "chatouilleux", que je me suis éloigné d'elle, complètement paniqué en lui disant "A-attend, s'il te plaît, tout mais pas ça !". Léa continue d'agiter ses doigts de plus en plus vite, toujours avec un grand sourire, avant de me sauter dessus en me disant "Ah mais t'as pas le choix !". Je me retrouve sur son lit, avec elle couchée sur moi, à me gratter les côtes avec ses longs ongles. Plus je supliait pour qu'elle arrête, plus elle me disait des phrases qui rendait ses chatouilles insupportables, comme: "tu crains vraiment à ce point ? C'est trop mignon!", "Tu me motive à continuer, tu sais ?", "Guili guili, t'est vraiment trop mignon, guili guili guili". Au bout de quelques minutes à s'acharner sur mes côtes, elle relève mon pull, et me dit "Tu te souviens de ce qu'on fait au bébés pour les chatouiller ?", avant de coller sa bouche sur mon ventre, et de souffler un grand coup, me faisant éclater de rire. Elle releva la tête, en me disant "Si t'aimes ça, je peux le faire aussi longtemps que tu veux !", et le refait plusieurs fois, de plus en plus longtemps, avant de finalement 'offrir un moment de répit. Après des chatouilles aussi intenses sans prévenir, j'avais du mal à respirer, j'essuyait mes larmes qui avaient coulé en abondace sur mes joues, pendant que ma cousine me regardait d'un air satisfait, sans retirer son énorme sourire, devenu un brin sadique. Après quelques minutes où elle m'a laissé reprendre mon souffle, elle me dit "C'est bon, prêt ? Alors me revoilà !", avant de me sauter à nouveau dessus pour gratter mes aisselles un long moment. Ensuite, quand je me retrouve sur le ventre, à force d'essayer de me rouler dans tous les sens, je la sens s'assoir sur mes jambes, m'empêchant de les bouger, en entendant "T'as toujours dit que tu trouvais mes cheveux très beau. Je veux t'entendre le redire.". Puis, je sens ses cheveux glisser contre mes plantes de pieds nus (je précise, mes pieds étaient déjà nus à la base). Jamais je n'ai autant regretté que nos cheveux châtains et épais soient de famille. Déjà que ses cheveux étaient longs, allant presque jusqu'à la taille, mais en plus, elle se les avait lissé, alors je ne pouvais pas me retenir plus d'une secondes avant de rire aux éclats. Je sentais sa chevelure se balancer de gauche à droite, ma cousine me répétant quelques phrases qui me rendait complètement fou: "Alors, j'attend, dit moi que tu adore mes cheveux.", "J'arrêterais pas tant que tu l'aura pas dit", "Tu veux pas me le dire ? C'est pas grave. Guili guili guili guili". Au bout d'un moment, j'ai fini par lui dire que ses cheveux étaient jolis, entre deux éclats de rire, en pensant qu'elle allais arrêter. Malheureusement, elle me dit "Merci. Maintenant, qu'est-ce que tu pense de ma frange ?". Là, c'était horrible. Elle n'agitait plus ses cheveux, à mon grand bonheur, mais sa frange, à mon grand malheur, car presque aussi épaisse que ses cheveux. Pendant de longues minutes, elle agitait sa frange sous mes pieds, de la même manière ses cheveux, tout en me sussurant des "guili guili guili". C'est au bout de ce qui me parut une éternité qu'elle me relâcha enfin, avant de me déposer un baiser sur la joue en me disant "Désolé. Mais au moins, tu as sourie. Et c'était très mignon. Si je te vois pas sourire plus souvent, je continurais, mais en cours, et avec de l'aide, cette fois. Sachant que je savais quel genre d'aide elle allais reçevoir, j'ai juste aquiescé, voulant juste reprendre mon souffle. Avant de partir, elle gratta une seule fois chacun de mes pieds pour me faire sursauter, avant de sortir de sa chambre en rigolant.



Voilà voilà. Je me souviens pas trop des autres fois, m'ayant beaucoup moins marqué, mais si vous voulez, je peux toujours en faire part sur ce sujet. Faut dire, jamais j'ai été chatouillé aussi longtemps, et ça a jamais été aussi intense. Depuis cette séance au combien intense, j'ai commencé à aimer les chatouilles et à m'y intéresser, tout en ayant un faible pour les femmes qui chatouillent avec leurs cheveux :rougis: . Ma cousine, elle, ça a fini par lui passer (pourquoi monde cruel T-T). Bon, j'avoue, je pense pas que j'aurais tenu le coup si toutes ses séances auraient été comme ça :lol: .

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