Histoire : Deux rencontres incongrues...

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Auteur
Histoire


Histoire ajoutée le 04/10/2012
Épisode ajouté le 04/10/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

Deux rencontres incongrues...

Bonjours à tout le monde. Avant tout je tiens à m'excuser pour cette gigantesque absence...mais j'ai passé un stage de plus de 3 mois dans le cadre de ma formation, et les révision, les cours, ma formation en partie à l'étranger et le reste m'ont littéralement bouffé mon temps. En espérant que ce sera prometteur pour mon examen.

Donc voilà une histoire pour "fêter" mon retour sur le forum qui je dois dire me manquait terriblement...ce n'est qu'un récit fictif et il se peut que des passages vous semblent surréalistes mais comme je l'ai d'it c'est un récit fictif^^ Sur ce bonne lecture. Comme je n'ai pas le temps ce matin je corrigerai mes fautes ce soir.
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Il s'en est fallu de peu...après un combat sans relâche avec d'innombrables gouttes de sueur et de sang, j'avais enfin réussi à obtenir mon BTS. Une véritable victoire pour moi après avoir passé presque 4 ans dans le brouillard, à ne pas savoir que faire de ma vie et à tomber sur des système désorganisés et anarchiques.

Aujourd'hui après avoir savouré ma victoire avec ma famille, je décidai de partir m'offrir quelques jour en bord de mer. Alors vous vous imaginez peut-être maillots de bain, tongues, serviettes, crème solaire sur le bout du nez...vous n'y êtes pas du tout, je n'aime pas m'exhiber et tremper les panards dans l'eau pour mettre une heure à retirer le sable autant faire ça dans ma baignoire.

Si j'étais venu en bord de mer c'était pour 3 raisons, la première me vider la tête de ce stresse permanent qui gangrenait ma vie durant plus de 4 mois, admirer le grand bleu infini de la mer qui me plaisait assez depuis ma rencontre avec cette photo romantique d'une puissance indescriptibles tant la sensation était extrême.

Mais la troisième raison était tout autre, en effet durant ma formation sur 2 années, j'ai eu l'occasion à plusieurs reprises de m'intéresser à des animaux qui ont peuplé, qui peuplent ou qui peupleront le monde sur une période plus ou moins longue et l'un d'entre eux a attiré grandement mon attention.

Depuis mon enfance je suis passionné de paléontologie, et aujourd'hui je suis venu ici pour ressusciter mon intérêt envers un animal qui était autrefois le roi des océans, une épouvantable créature dont la mâchoire faisant en largeur et en hauteur la taille d'un homme...

Le Mégalodon...ses dents pesaient jusqu'à 2 kilo plus grandes qu'une main humaine adulte et les série de dents reconstituées ont permis à de nombreux spécialistes de construire des mâchoires grandeur nature de ce gigantesque requin que tout le monde croit disparut.

Mais pourquoi tout le monde le pense disparut, ne savent-ils pas que de nombreuses espèces ont servir de "fondation" aux nouvelles auquel cas si elles avaient disparut beaucoup ne seraient pas là. Tous ces témoignages, toutes ces anecdotes et traces de dents sur les navire de 2 mètres de large, ce n'était pas que des boniments de marins pris de boisson. En regardant l'océan je pouvais sentir la présence de cette créature de légende qui s'en prenait aux dinosaure et aurait disparut il y a 5 à 10.000 ans.

Mais comment peut-on penser que le mégalodon a disparut sans que la moindre preuve soit avancée ?

Au moment où je cogitais pour trouver des solutions ou hypothèses à cette affirmation sur la survie du Mégalodon, une silhouette sombre se plaça devant moi soudainement provoquant un retrait brusque de ma transe méditative.

J'entendis alors une voix féminine délicate me demander si j'avais l'heure.

-Excusez moi, mais...auriez vous l'heure s'il vous plaît ?

Je levai la tête, elle avait le soleil dans le dos et j'avais du mal à distinguer ses traits. Mais j'avais remarqué quelques éléments intéressants, elle portait cette fameuse robe de l'été que j'avais vu sur un "femme actuelle" chez mes grands parent, cette robe sans bretelles qui s'arrêtait à quelques centimètres des aisselles au dessus des seins offrant une vue gourmande sur un joli décolleté et des épaules nues.

Une robe qui descendait très bas traînant légèrement à terre ne laissant dépasser que le bout de deux jolis pieds sans vernis pour une fois. J'aimais beaucoup cette esthétique, en fait j'aime tout ce qui chez une femme sort de l'ordinaire.

C'était une très jolie demoiselle, svelte, mignonne, de long cheveux châtains clairs qui descendaient sur ses épaules, une peau légèrement bronzée aux éclats appréciable et un magnifique visage souriant comme on en voit qu'à la télé.

_Il est heu...15h. Dis-je avec un ton fuyant. Vous me cachez le soleil.

Oui...c'était nul je sais...ce n'était pas vraiment le jour pour discuter avec une demoiselle mais cette vision d'elle allait me faire évoluer et susciter en moi un véritable intérêt pour elle.

-Ho excusez moi. Vous profitez de la vue ? Me dit-elle.

_Je profite surtout d'un repos bien mérité, je viens de terminer mon BTS avec une mention bien, ce n'était pas évident.
-Ha hé bien félicitations, contente pour vous.

_Et vous que faites-vous ici ?

-Ben, je profite de la vue sur l'océan et des embruns de la mer, je viens souvent par ici par ce temps, le sable chaud, la mer fraîche je fais prendre l'air à mes petits petons qui sont souvent consignés dans mes vanz.

J'étais soufflé, une fille qui ne portait pas de talon haut, en vérité j'ai toujours apprécié les filles un peu garçon manqué avec des vanz, des jean, des vestes en cuir et qui écoutent du métal et du vieux rock tout en restant très féminine à des heures particulières si vous voyez ce que je veux dire.

_Aîe, ouille. Roooh ca fait mal...

-Que vous arrive-t-il ?

_Ben regardez.

Je crois qu'à ce moment là elle m'a achevé, elle s'est assise en face de moi à bonne distance et ma montré sa délicate plante de pieds que je voyais colorée d'un rouge écarlate.

_Je suis venue pieds nus jusqu'ici, j'aime bien me promener ainsi quand je ne suis pas en ville, ça me change les idées. J'habite juste au bout de la série de maisons qui bordent la plage là bas.

-Je comprends, vous avez le pieds bien rouge, limite brûlés.

_Vous croyez ? Dit-elle en se tortillant la jambe pour mettre sa plante de pieds vers le ciel pour regarder par elle même.

-Je ne plaisante pas, regardez mon bras. Je me suis brûlé étant gamin et les brûlures ça me connaît il vous faudrait un peu de biafine sinon ça pourrait tourner à la brûlure plus sévère et vous vous retrouveriez privée de marche, ce qui serait regrettable pour vos vacances.

_En effet, mais je n'en ai pas, vous en avez vous ?

-Oui dans mon appartement, je ne me montre que peu sur les plages car je suis pas très vaillant au soleil à cause de mon état, allons chez, moi j'en profiterai pour vous offrir à boire.

Elle rougit légèrement avant de se relever avec mon aide. Nos regards se croisèrent, puis-je oser dire que c'était comme une vision de rêve de se retrouver devant une si charmante demoiselle ?

Nous partîmes donc chez moi, je remballais le livre de Botanique que je n'avais d'ailleurs pas ouvert, et elle, se contentait de marcher à coté de moi. Etait-ce mes paroles qui l'en avait fait arriver à ce point ? Car elle boitait légèrement, sentant peu à peu les effets de brûlures du sol brûlant sur ses pauvres plantes de pieds.

Nous arrivâmes chez moi après quelques minutes de marche, mon appartement de location se trouvait à l'extrême bout de la rue par rapport au sien et ce fut facile de l'y emmener.
J'ouvris donc la porte en passant la clef dans la serrure et à peine avions nous passé le pas de la porte qu'elle poussa un cri de surprise.

-Que vous arrive-t-il ?

_C'est le sol...il est glacé !

Je me baissai pour tâter le sol de ma main droite, il était à température normale.

-C'est ce qu'on appel un choc thermique, ca fait un moment que vous êtes en contact avec un sol de plus de 35°C du coup marcher sur un endroit plus frais ca créé des déséquilibre.

_Hou, c'est bien savant tout ça, excusez moi mais vous n'auriez pas une fauteuil ou une banquette où je pourrais m'asseoir ? Il faut vraiment que je fasse passer ça...

-Oui, pas de problème, il y a une banquette deux places dans le salon, allez donc vous y mettre je vous apporte à boire. Qu'est-ce qui vous ferait plaisir, j'ai du Coca, du Sirop du...

_Une grenadine avec quelques glaçons si vous avez.

-Très bien je nous prépare ça.

Nous avons donc pris chemins, je parti en direction de la cuisine en la regardant s'éloigner et mettre lentement un pieds devant l'autre comme si elle marchait sur un champ de mine, je ne pu évidemment m'empêcher d'en rire discrètement.

Quelques 5 minutes plus tard, je revins avec un plateau sur lequel étaient disposés 2 verres de grenadine, le tube de biafine pour ses brûlures et quelques amuse bouche qui traînaient dans un de mes placard.
Elle saisi le verre de grenadine et le bu à grande gorgés, avant de pousser un soupire de soulagement.

_Pouah...ca fait un bien fou par cette chaleur.

-A qui le dites vous. Mais je ne vous ai toujours pas demandé votre nom.

_Ha oui, Emilia.

-Emilia...c'est originaire d'où ?

_Ho, mon père me disait que c'était un mixe entre France et Italie, enfin quelle importance.

-C'est un joli prénom. Vous avez toujours mal ?

Elle saisi son pieds droit et dirigea sa plante de pieds vers le haut en révélant quelques marche rouges visiblement dues à une exposition prolongée à la chaleur.

_Comme vous voyez, c'est limite irrité...ha c'est embarrassant, ça m'apprendra à marcher pieds nus par ce temps.

-C'est un choix vous savez.

_Oui je le sais, j'aime bien sentir le sol sous mes pieds il m'arrive des fois de faire des randonnée en forêt sans chaussure ni chaussettes, peut-être pour revendiquer une nature humaine oubliée, enfin...vous devez trouver ça stupide...

-Pas du tout, les petites manies c'est ce qui nous rend encore différent. Enfin bon, vous voulez que je vous mette de la pommade ?

_Heu...oui si ça ne vous ennui pas, je peux le faire moi même mais...

-Vous êtes mon invitée, allongez vous donc et posez votre tête sur l'accoudoir en mousse et placer vos pieds sur mes genou je vais vous arranger ça.

La belle plaça sa main gauche derrière sa tête alors qu'elle s'allongeait lentement en gardant un regard fixe dans ma direction. Oui, mon regard, j'avais croisé tellement de gens dans ma vie et eu affaire à tellement de personnalités différentes que j'avais appris à adapter mon regard et exprimer ce que je voulais. Ses yeux me faisaient confiance, après tout, on s'est rencontrés sur la plage, il faisait beau, je l'ai invité et maintenant je lui propose un petit massage à la biafine et l'huile.

Lorsque je lui saisi le pieds droit pour commencer à malaxer son frêle membre, une vibration légère à peine perceptible traversa son corps. Je connaissais bien la structure d'un pieds humain, c'est l'endroit où est plus massivement concentré le système nerveux, il paraît même que certaines émotions sont canalisées non pas par le cerveaux mais par la plante des pieds. Etonnant n'est-ce pas ?

-Je vous ai fait mal ? Dis-je d'un air prostré.

_ Non, pas du tout seulement pendant 1 seconde j'ai eu l'impression que la douleur s'était dissipée et vous savez quand elle se dissipe c'est toujours effrayant lorsque c'est soudain. Vous avez l'air de savoir ce que vous faites.

-Hé bien on va dire que j'ai quelques talents cachés et je n'aime les révéler qu'aux personnes que je choisis.

_Ho, je me sens flattée d'un coup.

Je lui envoyai un sourire qu'elle me rendit avant de poser ses mains sur son ventre tout en fermant les yeux. Spontanément, elle posa sa deuxième jambes sur mes genoux alors que je n'avais pas encore fini de chouchouter son pieds gauche.

_Ca ne vous dérange pas ? Dit-elle les yeux fermés.

-Non du tout ce sera même plus efficace si vous vous reposez un peu.

_De toute façon *baille* je crois que je vais me laisser aller. Vous faite ça tellement bien...

J'exerçais de légères pressions sur son pieds droit en faisant déplacer les articulation qui dévoilaient et faisaient légèrement remuer ses orteils, sa plante de pieds était même sans l'huile récemment appliquée d'une douceur assez extra ordinaire.

Cette jolie demoiselle devait très probablement faire partie de celles qui vouent un désir de soin à leur corps y compris à leur jolis petons. Mes mouvements faisant des petits cercles évacuaient lentement les tensions que j'avais ressentie au début ne laissant entre mes mains qu'une membre sans résistance, vulnérable mais tellement en confiance.

Et elle avait raison, mes intentions n'étaient certes pas très nobles mais, loin d'être pour autant mauvaises, je n'ai jamais été mauvais, en fait tout ce que je recherchais dans ma vie c'était l'amour de quelqu'un malgré des expériences plus que douloureuses.

_Hm...vous faites ça très bien j'ai l'impression que je serais incapable de bouger...

-Mais vous êtes incapable de bouger.

Ce n'était pas un effet néfaste, mais le résultat extrême du massage que j'avais appris à faire.
Je continuai donc ce petit rituel pendant quelques minutes alors qu'elle respirait profondément comme dans un profond sommeil.
Mais après tout...je n'étais pas là pour ça n'est-ce pas ?

Soudainement, je repliais les doigts de ma main gauche et au lieu de faire un effet de caresse sur sa plante de pieds, je fis un effet de grattage. La réaction ne mit pas longtemps à se faire attendre, en fait aussitôt qu'elle capta la sensation elle ouvrit de grands yeux en émettant un petit cri aiguë.

_Ha ! Arrêtez ça hihi, je suis hyper chatouilleuse !

-Excusez moi, mais je n'ai pas l'intention d'arrêter, vous m'avez tendu la perche et l'occasion était vraiment trop belle pour que je la laisse passer.

_Hahahaha, bon allez haha ca suffit !

Elle tentait de remuer ses jambes mais réalisa aussi rapidement que ses membres ne répondaient plus.

_Mais qu'est-ce que...qui m'arrive ???

J'arrêtai quelques secondes pour lui expliquer.

-Ne vous inquiétez pas, ce n'est qu'une petite réaction à mon massage, en fait vous étiez réellement stressée par quelque chose qui vous préoccupait. Mon massage a pour but d'évacuer les tensions les plus tenaces, dans votre cas, vous aviez l'air si perturbée que mon traitement a plongé votre corps dans un état de repos forcé. Ce qui fait que...

Je repassais mon doigts sous sa sensible plante de pieds ce qui lui fit faire un petit mouvement de recule.

-Vous êtes pour quelques minutes dans l'incapacité de bouger, mais ne vous inquiétez pas, je vais bien m'occuper de vous ?

_Vous occuper de moi ?

Oui, je dois vous l'avouer, je fait partie d'une catégorie de personnes un peu particulières, et j'affectionne énormément d'avoir l'opportunité de chatouiller les pieds d'une créature telle que vous.

_Me chatouiller...les pieds ?

-Oui tout à fait. De toute façon je crois que vous n'avez pas vraiment le choix.

A ces mots, je n'avais même pas besoin de la tenir ou de l'empêcher de se débattre, je repris les chatouilles sous son pieds droit puisque c'était celui qu'elle m'avait tendu en premier. Je fis de long allés et retours faisant gigoter mes doigts telle une araignée folle, la faisant éclater de rires de plus belle.
Je n'avais pas envie d'être trop méchant avec elle mais cette occasion, je l'attendais depuis vraiment trop longtemps.

Lentement, avec ma main droite, je fis le tour de ses petits pieds, et de mes deux mains je me mis à lui chatouiller les deux pieds simultanément. Elle riait à gorge déployée en émettant parfois de petites suppliques.

_Hahaha, pitié...hahahahaarrêtez ! Hahahahihi !

Que ce soit dans le sens de la hauteur ou de la largeur, je continuais à lui infliger ce petit supplice tout à fait amicale, avec tout ce que j'avais appris, je montais le long de ses vpûtes plantaires, je descendais, j'allais à gauche et à droite et je m'occupais même des bases de ses orteils et du dos de ses pieds, oui le dos du pieds une zone qui est bien souvent négligée. Comme l'est d'ailleurs l'articulation d ela cheville qui sont probablement aussi chatouilleuses que la voûe plantaire.

Elle riait, comme une démente, toujours confortablement installée sur mon canapé, elle ne pouvait que rire la pauvre en sentant mes doigts déments s'acharner sur ses petites plantes de pieds. De mon côté je ne pouvais pas rêver mieux, c'était vraiment un spectacle admirable.

Sa robes retombait jusqu'à ses cheville et ne faisait ressortir en son extrémité que ses deux pieds nus, elle qui avait marché ainsi toute la journée devait avoir quelques sentiments de regrets. Je ne pus évidemment pas m'empêcher de remercie pensivement parlant le créateur de cette robe en plus à la mode cet été.

Finalement, au bout de quelques minutes, j'arrêtai subitement les chatouilles la laissant reprendre son souffle. Je me levai en enlevant ses jambes de mes genoux et je m'assois au bord de la banquette à coté d'elle.

-Excusez moi, j'espère que je ne vous ai pas brusquée.

_Pouf, non c'est juste surprenant, mais je dois avouer que vous m'avez fait un peu peur ! Dans combien de temps pensez vous que je pouvoir rebouger ?

-Je ne sais pas vraiment cela dépend surtout de vous.

_Mais...comment avez vous su que je ne me sentais pas bien ?

-J'ai passé mon adolescence entière avec des gens malheureux, alors tomber et déchiffrer le malheur sur une personne m'est très facile.

_Je commence à avoir un peu mal au cou...

-Ha...bien je vais vous emmener dans ma chambre si vous le voulez.

Elle rougit soudainement, tous ses doutes et sa peur s'étaient dissipés, je les avais annihiler totalement de sa personne.
_Je vous préviens je suis un peu lourde, car vous allez devoir me porter je pense.

-Ne vous en faite pas pour ça.

Je glissais ma main gauche sous sa nuque puis mon bras droit sous ses jambes et je la souleva comme un plume avant de l'emmener dans ma chambre. Je me courbais légèrement et délicatement la posai sur le lit à plat ventre.

_Heu...pourquoi vous m'avez mis ainsi ?

-J'ai quelque chose à terminer.

A ces mots, elle devient à nouveau muette, elle devait se douter que j'allais la chatouiller encore un peu, et...qu'est-ce qu'elle était perspicace.

Je m'assis en bout de lit juste à coté de ses plantes de pieds, je n'avais pas vraiment eu l'occasion de les contempler mais mon dieu qu'elle étaient belle. Les traces de brûlure s'était estompées grâce à la biafine et à l'huile que je lui avais appliquées.

Et sans sommation, je repris les chatouilles, cette fois ci à la manière d'un pianiste sur ses deux pieds simultanément. Elle se remit alors à rire comme une folle, la tête posée sur le coté et toujours incapable de bouger. Elle était totalement à ma merci, ses deux plantes de pieds dirigées vers le ciel.

Je continuais ainsi en allant de haut en bas, en faisant un mouvement croisé lorsque ma main gauche montait, ma main droite descendait, j'insistais sur ses voûtes plantaires, une zone que je trouvais naturellement très chatouilleuses.
Je me penchais légèrement et d'une main j'étirais légèrement ses orteils pour en chatouiller la base et je crois que ce moment fut réellement le best of pour elle. Elle ne riait plus elle émettait de petits cris, je pense que j'avais trouvé le filon idéal pour la rendre folle à lier mais ce n'était pas mon intention.

Pour terminer, je passais lentement et légèrement mon index sur son pieds gauche puis sur son pieds à droit afin de savourer quelques derniers instant de ses petits rires si agréables qu'elle émettait, vers la fin elle était devenue particulièrement docile et n'avait plus l'air de vouloir résister, de toute manière elle ne le pouvait pas.

Après une lègre réflexion d ema part après avoir arrêter les chatouilles, je remontais le long du lit dans sa direction, et je me mis à lui frictionner le dos de mes deux mains.

_Héhé, maishai, vous faihaite quoi là ?

-Je réveil votre corps, ne vous inquiétez pas ce n'est pas douloureux.

Ca marchait comme pour les fourmillement, frictionner pour évacuer la sensation.

Et au bout de quelques secondes ainsi, elle se remit à bouger en pliant d'abord les jambes révélant à nouveau devant moi ses jolies plantes de pieds. Je ne pus évidemment pas m'empêcher d'avoir un léger regret de ne pas profiter plus longtemps.

Elle s'assit sur le lit en prenant ses jambes entre ses bras respirant profondément.

_Vous en avez bien profité ?

-Oui, comme vous le voyez.

_C'est assez surprenant, je ne sens plus la moindre tension, je me sens si...légère.

-Je n'avais pas pour but que de vous taquiner, j'avais réellement l'intention de vous soulager de vos maux.

_Hé bien permettez moi de vous dire que vous êtes très doué pour ça. Dit-elle en se levant avant de retournezr dans le salon.

Elle saisi son verre de grenadine en avalant la dernière gorgée qui subsistait en fond du verre, puis se retourna vers moi avec un air pensif.

_Vous auriez un crayon et un morceau de papier s'il vous plaît ?

-Heu oui, si vous y tenez.

Un papier et un crayon ? Dans qeul but.

Elle s'assit sur la banquette en prenant appui sur la table et griffonna quelques chose sur le postite, puis me le tendit. Qu'y avait-il de marqué ? 06....Son numéro ?
Elle s'approcha subitement de moi en se calant presque visage contre le mien.

_J'ai apprécié ce petit entrevue, alors nous le terminerons demain soir au Lagon turquoise, c'est un restaurant au bout de la piste de promenade.

J'étais stupéfait...je la séduis pour qu'elle vienne chez moi, je la masse, je la séquestres amicalement quelques minutes et maintenant elle m'invite à un dîner en tête à tête ?
Elle parti en faisant légèrement claquer ses jolies plantes de pieds nues sur le carrelage, ouvrit la porte et avant de partir m'envoya un sourire de son joli visage.
Je restais comme immobilisé avec le papier dans la main, si seulement ça pouvait marcher comme ça à chaque fois me dis-je.

Plus tard dans la journée, j'avais rendez-vous avec une équipe de plongée qui devait faire une halte aux large de la côte. Je dois dire que je n'affectionnais pas vraiment la plongée mais j'avais moi aussi besoin de me change les idées. Un stage, un bts, une ville surpeuplée, des parents qui s'engueule et une soeur incapable de communiquer, tout ça ca stresse !
Je pris donc le bateau avec eux, un bateau ressemblant un peu à celui de mon père avec quelques mètres de plus, destiné à la plongée ou aux virées loin des cotes. Nous étions 4 à bord, un moniteur, le conducteur du bolide, un autre plongeur et moi même.

Une fois que nous prîmes suffisamment de large par rapport au bord de la plage, soit environ 5 kilomètres, le conducteur arrêta les moteurs.

_Bon, écoutez moi vous deux ! Dit le moniteur d'un ton millitaire.

-C'est votre première escapade sous l'eau donc évitez de faire des bêtises si vous le voulez bien car je suis responsable de vous !

Je me sentais déjà assez ridicule dans cet accoutrement...

Nous nous assîmes tous les deux sur le bord du bateau, et sous le signal du moniteur, nous nous laissâmes tomber à l'eau créant une explosion de bulles qui remontèrent violemment à la surface.
Sous l'eau, mon collègue et moi prîmes un peu de profondeur et celui-ci me fit signe de descendre seul pour aller installer un drapeau fluorescent sur la chaîne de l'encre du bateau à plusieurs dizaines de mètres de profondeurs.

Ca n'avait pas l'air de les choquer d'envoyer un novice aussi profondément mais bon, il y avait une aura étrange, un bruissement des vagues, les cliquetis de mailles de la chaînes sous l'eau et suffisamment de poissons pour ouvrir un restaurant.

Je sentais mes battements de coeur raisonner dans ma poitrine, je dois avouer que j'avais un peu peur du vide ou de la profondeur de l'eau, ou de toute situation où je perdais le contrôle de mon appui, je descendis encore pour aller installer le dernière fanion au fond de l'eau à une profondeur plus importante.

Mais au moment de nouer à la chaîne, je sentis quelques chose me pousser le dos qui me fit taper la t^te contre la chaîne, je me retournai, mais il n'y avait rien, ce n'était pas un coup physique mais plutôt une pression générer par un courant.
J'avais lâché le fanion qui descendit au fond des eaux sombres lentement...je regardais autour de moi, il n'y avait plus le moindre poisson soudainement, c'était comme passer de l'étage des commerces à celui des parking dans une grande surface.

Je me questionnais à plusieurs reprises quand tout à coup j'eus une sensation de givre dans mon dos...je n'étais pas seul...

Je me retournai lentement en sachant qu'en présence d'un animal il valait mieux ne pas faire de mouvements brusques, la lumière du soleil descendait encore légèrement dans l'eau et éclairait dans un cône devant moi, et sortant de l'ombre bleu marine, je vis une immense silhouette se diriger dans ma direction.

Cette sensation de froid je l'avais déjà ressentie, lorsque j'étais plongé dans le coma et qu'elle a tenté de m'emporter avec elle, cette silhouette s'approcha lentement et se figea à quelques mètres seulement de moi. J'éteignis ma radio pour faire le moins de bruit possible, j'éteignis également ma lampe dorsale.

L'ambiance devint encore plus glaciale alors que je voyais un gigantesque membre bouger derrière la silhouette ressemblant à une queue.

C'était lui... et maintenant ? Je fais quoi ?

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