Histoire : Les gilets jaunes, une policière capturée

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Histoire ajoutée le 23/11/2018
Épisode ajouté le 23/11/2018
Mise-à-jour le 03/07/2021

Les gilets jaunes, une policière capturée

20 Novembre 2018, les gilets jaunes se rassemblent par centaines à plusieurs points de contrôle aux alentours des grandes autoroutes, des ronds points et bloquent certaines sorties de villes. La police, les CRS et la gendarmerie sont mobilisés pour assurer le bon déroulement de la manifestation dans le calme et le respect des automobilistes.

Manon était arrivée en Savoie il y a deux jours avec sa compagnie de CRS. Sa mission était de soutenir les brigades du département, qui étaient complètement débordées depuis le début de la montée au créneaux des citoyens, et devait sécuriser une portion de départementale bloquée par les manifestants.



Il y avait déjà eu plusieurs débordements, et une section de CRS serait la bienvenue. En fin de matinée, la section avait déjà pris position, équipés de leurs traditionnelles armures, épaulières, jambières, coudières, genouillères et tout ce qui était nécessaire s'il fallait repousser quelques éléments perturbateurs. La jeune policière avait seulement 20 ans, les cheveux bruns longs jusqu'au milieu du dos mais coiffés en chignon durant les heures de services. Malgré son mètre 65, elle savait faire preuve d'autorité, et son équipement était un argument de poids contre n'importe quel énergumène déchaîné.



En fin de matinée, aux alentours de 11h30, les gilets jaunes se montrèrent agressifs envers plusieurs conducteurs, les insultant, frappant leurs voitures et lançant des pierres. La brigade avait dû intervenir et l'affrontement avait dégénéré. Plusieurs casseurs avaient décidé de se jeter sur les policiers, et une dizaine de ces derniers ne pouvaient décemment affronter plusieurs centaines de manifestants. Après plusieurs longues minutes, d'autres voiture de police arrivèrent en renfort pour soutenir leurs collègues. Cependant, dans le tumulte de la bataille, et des soins donnés à certains membres des forces de l'ordre, personne n'avait remarqué que la jeune Manon n'était plus à leurs côtés. Il était seulement midi et demie et toutes les forces de l'ordre étaient réquisitionnées en centre-ville, près de la préfecture. Personne n'avait donc remarqué, dans la précipitation la disparition de la jeune policière.



Personne ne savait qu'elle était attachée sur une chaise dans la maison d'une riveraine membre des gilets jaunes, maison voisine de la départementale. Malgré une résistance acharnée, la jeune gendarme avait été traînée de force dans la demeure par deux manifestantes dont la propriétaire, qui lui avaient rapidement enlevé la quasi-totalité de son armure, ne la laissant qu'avec son débardeur noir, son pantalon d'uniforme et ses lourdes bottes.



- "Ahahahahaha arrêtez je vous en supplie !"



Manon était aveugle, un bandeau avait été posé sur ses yeux. Ses pieds étaient attachés aux pieds de la chaise sur laquelle elle était ligotée, les mains tendues au-dessus de sa tête. La propriétaire, derrière la policière, s'acharnait sur ses aisselles avec deux plumes, tandis que la seconde manifestante avait remonté le débardeur jusqu'aux côtes et faisait vivre un enfer aux hanches de leur captive.



- "Pourquoi ? Vous aviez l'air de tellement vous amuser lorsque vous utilisiez vos bombes à poivre ! Eh bien maintenant c'est à notre tour ! Quelle aubaine de tomber sur une policière aussi jeune et chatouilleuse ! Navrée de vous l'annoncer, mais vous risquez d'être notre prisonnière pendant un sacré bout de temps !



- Ahahaha, je vous en supplie, je ne fais que mon travail ! Pitiéhéhééhé "



Mais les bourreaux n'avaient aucune intention d'arrêter de sitôt. La propriétaire s'acharnait désormais sur une seule aisselle avec ses deux plumes, tandis que sa complice avait trouvé le point le plus sensible de la policière : ses abdominaux, qu'on distinguait à peine à l'oeil nu mais que l'on devinaient au toucher, donnant l'impression d'un ventre fin, lisse, doux au toucher, mais atrocement chatouilleux.



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Voilà, c'est la fin de cette partie 1 de l'histoire, j'espère qu'elle vous a plu, n'hésitez pas à me signaler des amélioration, vos envies, vos impressions, et surtout si vous voulez une partie 2 !

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