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Les chatouilles

Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Helloo!

Vous connaissez le jeu de : je te donne 3 mots que tu dois caser dans une histoire ? 

Je propose pour la première personne qui se lancera dans le jeu trois mots simples a y mettre : Chatouillement, Nuage et herbe.

A caser dans une petite histoire de quelques lignes ( ne faites pas de romans non plus ! C'est juste pour s'amuser !) 

Puis a votre tour de donner 3 mots au suivant ! Bon courage ! 😛

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

il faisait beau aujourd'hui, j'étais au parc couché, pieds nus dans l'herbe à contempler les nuages et je m'endormis assez vite et c'est alors qu une sensation de chatouillement me réveilla, c'était mon pote qui me chatouilla les pieds pour me réveiller et me proposa d'alleR faire un footing.

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Court mais direct mdr il manque juste les 3 mots a donner pour le joueur suivant ! 😛

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

lol c'était pour démarrer tranquillement alors je dirais : supplice, torture et orteils

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Ok, bon je me prête au jeux alors.... Supplice, torture et orteils.

Des pleures. On les entend depuis depuis le rez-de-chaussé. Une famille pleure ensemble car leur fille ainée de 19 ans vient d'être arrêtée et pris par la Gestapo. Ce sont des choses qui arrivent assez souvent ces derniers temps.

Dans une bâtiment publique autrefois désigner à des fins administratives la fin, mains liées, est emmenée vers les étages inférieurs de l'immeuble. Elle porte un sac sur la tête, une robe arrivant à la mi-cuisse, rose clair, d'un tissus fin et aérien. Elle n'a pas de chaussure, pas le temps d'en mettre quand la Gestapo hurle en allemand d'avancer et de se taire. Elle évolue dans un long couloir éclairé par les lampes à la lumière froide et monotone, accompagnée par 2 hommes lui tenant les bras et imposant un rythme de marche rapide. un 3ème marche devant le trio et les guide dans la bâtisse, sans doute le commandant.  Après avoir descendu ce qui semble être 3 étages, elle entend une porte s'ouvrir et se sent entrainée sur une chaise, dans une salle. Le sol est froid mais pas salle pour autant, si ce n'est que quelques poussières ce qui n'est pas inhabituel pour un lieu pareil. Les 2 hommes lui tenant les bras la lâche enfin et sortent de la salle, laissant la jeune femme avec le commandant. Celui-ci, une fois la porte fermé derrière lui, retire le sac de la tête de la captive et révèle une chevelure blonde, tombant jusqu'aux épaules, des yeux bleus, fatigués, des lèvres sèches et un regard inquiet, cherchant un signe familier dans la pièce mais retombant très vite sur le visage de l'officier devant elle. Un homme de taille moyenne et de corpulence assez svelte, dans un uniforme qu'elle avait déjà vu plusieurs fois depuis 2 ans dans sa ville. Elle n'osait pas sortir un son de sa bouche, l'homme ne parlait pas non plus mais se contentait de la regarder, il observer les moindre détail de la personne en face de lui et finalement, il ouvrit la bouche :

- "Bonjour mademoiselle, je suppose que vous savez pourquoi vous êtes ici ce matin ?"

Pas de réponse de la part de la captive, elle est fébrile, tendue, ça se voit et l'homme l'a clairement remarqué. Il continue :

-"Estelle Bonfort, 19 ans si je ne m'abuse, vous êtes accusée de résistance contre le Reich et je vais avoir besoin du nom de vos complices"

"De résistance ?!!" pensa-t-elle. Elle comprit à cet instant que les chances de sortir de cette pièce pour elle étaient devenues très fines en quelques secondes.

-"Mais, ce n'est pas vrai, je vis avec ma famille, je ne vais plus en cours depuis 1 an, j'aide mon père avec sa boulangerie, je n'ai rien fais de tel je vous le jure !"

-"Oui, évidemment, je me doute bien que vous n'avez rien fais, et nous avons sans doute fais une erreur j'imagine. S'il vous plait Estelle. Nos informations viennent de sources sûres. Alors, je vous conseil de vite vous mettre à table."

Le ton du soldat allemand faisait froid dans le dos et Estelle paniquait déjà à l'idée de ce que cette homme pourrait lui faire. Son esprit cogitait, surchauffait, elle ne savait pas quoi penser. Elle, qui se sait innocente ne comprend pas comment elle peut se retrouver dans cette situation, qu'est ce qu'on allait bien pouvoir lui faire dans cette pièce sordide. La réponse ne se fit pas attendre. Pendant qu'Estelle était perdue dans ces pensées l'homme s'était rapproché de la porte de la salle, toquant dessus 3 fois, 2 homme sont alors entrés dans la salle avec une table, et une mallette. Ils posent la table devant Estelle avec la mallette à côté d'un des pieds de l'objet. Après un regard de confirmation du commandant à ces hommes, ces derniers saisissent Estelle et retire les liens de ses poignets avant de la coucher sur la table, sur le dos. Elle n'ose pas résister de peur de subir une sévère réprimande. Les soldats continuent leurs affaires et attachent les chevilles de la jeune femme avec des cordes en les reliant aux pieds de la table. Quant à ces poignets ils sont attachés aux pieds de la tables de l'autre côtés. La voici en X à la merci de membre de la Gestapo persuadés que cette personne détient des informations qu'ils souhaitent avoir.

Estelle panique encore plus : "S'il vous plait, laisser moi partir je ne sais rien, je ne sais pas de quoi vous parlez !!" le ton de sa voix ne fait qu'augmenter, la fébrilité mélangé à la panique de la femme rassure les soldats sur l'obtention d'aveu et ce de manière plutôt rapide.

-"Je vous en prie, laisser moi partir !!! Monsieur, je vous en su-" Elle stop d'un seul coup. On vient de lui prendre ses gros orteils en main. Chaque soldat s'est accroupi devant un pied de la prisonnière et ils maintiennent ses hallux bien droit laissant les plantes de pieds légèrement poussiéreuse exposées devant le visage des soldats.

-"Non... pas ça, je n'ai rien fais... arrêté je vous en prie messieurs" dit-elle dans un dernier élan, plaidant pour sa cause

-"Vous savez ce que nous voulons, au lieu de supplier, parler." Dit le commandant et directement après cette phrase il claque des doigts. *snap*

D'un coup, les soldats commencent à gratter la plante de pied de la jeune fille avec leur 5 doigts disponibles, ce qui lui fais lâcher des gloussements et sursaut de rire. Elle a du mal a se contenir, la sensation des chatouilles sur ses pieds devient de plus en plus forte. Les soldats continuent de faire des va et vient avec tous leurs doigts sous les pieds d'Estelle.

-"Arrêtez.. hahaha... mmmhahahaha je n'ai rien fais..." Elle a du mal à parler, se contenir de rire lui demande énormément de concentration.

Des larmes commencent à apparaitre sur ses joues, coulant de yeux fermés, concentrés, elle ne veut pas donner la satisfaction à ces hommes, la satisfaction de la faire rire et de l'envoyer dans un rire inarrêtable du à la torture. Mais les chatouilles continuent, et les rires se font de plus en lus entendre de la part de la captive : "hahahahaha arrêteeez s'il vous plait hahahaha". Elle perd le contrôle petit à petit, les chatouilles durent depuis 5 minutes seulement. les soldats montent vers le centre la plante des pieds d'Estelle et descendent vers les talons, sans arrêt, comme des machines, leurs mouvements sont précis, intense, les doigts courent sous ses pieds chatouilleux et y prennent un malin plaisir.

"Il vous suffit de nous donner des noms mademoiselle et cela cessera tout aussi tôt." Le commandant, insensible aux rires et cris de pitié de la prisonnière commence à s'impatienter.

"Ahahahahaha mais je ne sais rieeeen haahahaha" Estelle rigole à gorge déployé, elle qui est si chatouilleuse des pieds, elle a chaud, mal au ventre, des larmes de rires coulent sur ses joues devenues rouge maintenant.

"Bon, vous savez quoi faire messieurs, elle ne sort pas d'ici tant que je n'ai pas de noms." après ses paroles, les soldats, tout en continuant les chatouilles, montent leurs doigts chatouilleur vers la base des orteils des pieds de la jeune femme. Ce qu'il l'a fais crier de rire instantanément. Ces rires raisonnent dans la pièce, elle ne peut plus parler mais que rire, le pire endroit où on puisse la chatouiller : la base des orteils et les orteils en eux-mêmes. Estelle est sous le contrôle des chatouilles, elle rigole si fort, elle ne peut pas faire moins de bruits c'est tout simplement impossible. Dans sa tête, les pensées se bousculent :"je vais devenir folle, c'est insupportable, qu'ai je fait ? Je ne mérite pas tout ça ou peut-être que si ?? je ne sais pas." à l'extérieure, des rires et uniquement des rires. Les soldats lâchent des gros orteils d'Estelle et font aller leur dix doigts sous et sur les orteils de la prisonnière. Elle hurle de rire, la réaction est si impressionnante que le commandant pense avoir des aveux dans 10 minutes pas plus. Et pourtant, 20 minutes après Estelle rigole toujours autant, elle n'a même plus de larmes à laisser glisser sur ces joues, elle cri de rire et rien d'autre, elle n'en peut plus de ces chatouilles, devenu une insupportable torture. Mais ça chatouille tellement qu'elle ne peut même pas parler.

Au Rez-de-chaussée de l'immeuble, le commandant, qui était remonté depuis, informe 5 autres soldats:

-" Vous allez vous relayer, jusqu'à demain s'il le faut, et lui faire cracher ses aveux. Je veux entendre ces rires jusqu'à la nuit tombée et demain matin! Je m'en fous. Mais elle a intérêt pour vous d'avoir craché le morceau."

...

Voilà, pas du tout court ou concis ahaha je ne vérifie pas non plus ce que j'ai écrit je balance tout comme ça premier jet let's go!

et pour les 3 mots : Aisselles, Parc, Chatouilles ;)


Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Putain mais une histoire pas un roman 😂!!

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Désoléééé hahahaha je me suis emporté, j'ai pas de demi-mesure 😂😂

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

A ce rythme-là tu peux jouer avec toi-même et continuer, tu vas tous les décourager 😂!

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Mais non mais non, ils connaissent les règles y a pas de soucis, c'est juste moi qui respecte rien 😂

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Wahhhh t'as fais un romans 😭😭😂 au moins l'idée du jeu t'a emballé ! Et l'histoire était bien écrite! 


Aisselles parc chatouilles : 


Non loin de chez moi vivait un ancien ami que je n'ai plus vu depuis de longues années. Séparés par la fin du lycée, ses études, nos vies qui ont pris chacune un chemin différents et le train train quotidien faisant qu'aucun de nous deux ne prenait le soin d'écrire à l'autre.

Malgré tout, je pense souvent à lui et au fait que rien ne nous empêche de nous parler surtout qu'il habite à deux rues ici, de l'autre côté du parc

Grâce aux réseaux sociaux je me décide à enfin lui écrire quelques mots, parlant de ma vie aujourd'hui, du temps passé et surtout du fait qu'on pourrait peut être reprendre contact et se revoir s'il le souhaite.

Il ne répondra pas le jour même mais le lendemain, proposant que l'on se voit dans ce même parc qui nous sépare.

J'accepte et deux jours après nous y voici. 

Les débuts sont assez tendus mais très rapidement on se rappelle de vieux souvenirs et on se met à rire ensemble. 

Très rapidement je reconnais mon vieil ami, toujours aussi taquin il me saute dessus suite à une blague débile et me chatouilles les aisselles au point de me mettre en PLS dans l'herbe et rire aux éclats. 

Ça ne dure que trois ou quatre minutes avant qu'il ne s'arrête et se mette à rougir. Je ne comprends pas pourquoi, peut être que je lui plaît ?

Il fini par m'avouer que les chatouilles lui plaisent un peu plus qu'à d'autres, ce que je ne comprends pas tout de suite mais accepte.

La journée passe et quelques fois il s'est mit à me chatouiller mais toujours de manière taquine.

Les mois ont passés et nous sortons finalement ensemble ! Évidemment, les chatouilles sont au rendez-vous ! J'ai fini par les accepter et découvrir doucement, découvrant son monde petit a petit au fil des mois


( J'espère pas avoir fait un roman mdrr)


Trois mots hors thème : pissenlit, boisson et casquette 

Pouvant être utilisé dans une histoire de tickling 😛


Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Oooh c'est mim's comme histoire !

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Une belle petite histoire Spyro, je vois que tu as plus de retenue que moi au niveau des règles ahaha

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

J'ai essayé de pas faire trop court ni trop long mais je vous avoue que j'en suis pas méga fière de cette histoire, j'ai écrit la fin en mode "urgence quelqu'un va venir sonner dans quelques secondes" mdrr et j'aime pas trop ce que j'ai mis mais booon bref ! Au suivant ! Qu'ai-je dis déjà comme mot ?

Pissenlit casquette et boisson ! ( De mémoire ou en trichant un peu 😇)

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Je vais tenter de participer. Après tout j’aime bien écrire des histoires. Mais l’idée de jeu est vraiment sympa. Cela pourrait reanimer le forum.

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Je t'en prie verosque! Participe 😛

Re: Et si on jouait ? 3 mots = 1 histoire !

Ça me rappel l'époque ou j'avais écrit un petit récit 😄