Histoire : Le supplice de Swan en tongs

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Histoire


Histoire ajoutée le 02/07/2016
Épisode ajouté le 02/07/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

Le supplice de Swan en tongs

Nous sommes en début Juillet, la chaleur s'annonce dans certaines villes et semble étrangère à d'autres. Sur Paris, le ciel sombre et son voile gris sont de mise malgré une chaleur prononcée.



Une jeune fille marche, remontant le Boulevard Diderot. Elle s'appelle Swan Romelle, elle a 21 ans et poursuis ses études d'art. Swan a les cjeveux chatains, les yeux verts, les traits du visage assez fin et des petits yeux surnois. Elle est le genre de fille qui aime rire, passer du bon temps, s'amuser quoi.



Aujourd'hui, Swan porte un pull léger en laine par dessus un débardeur blanc, un jean bleu la moulant des fesses aux chevilles et des tongs.



Dupée par la météo, Swan avait sortis ses vieilles tongs de l'année dernière et, elle, qui s'attendait à se pavaner sous un soleil de plomb, se retrouve en tongs, dans Paris, sous un ciel gris. Elle est d'ailleurs gênée des regards des gens qui ne peuvent s'empêcher de remarquer ses chaussures insolites par un temps pareil. Elle n'est pas non-plus pudique des pieds. Au fond, elle s'en fiche pas mal de ses pieds.



Bref ! Swan se dirige vers son bar/bistrot habituel au bout du boulevard. Elle y a rendez-vous avec son amie Natacha.



Swan ne marche pas très vite. En effet, à chaque fois que la semelle d'une tong se sépare de sa plante, celle-ci ressent comme un sentiment de vulnérabilité, ce qui lui fait ralentir la marche. À chaque moment où la tong reste au sol et ou son pied se décolle lentement pour rester exposer presque une seconde, l'air chaud de Paris ne manque pas de titiller sa gêne en venant caresser ses douces plantes. À chaque pas, elle redoute de perdre une de ses tongs, elle ressert donc ses orteils sur la tige de plastique qui retient la sandale entre ses doigts de pieds.



Après sa longue marche, Swan arriva au bar. Natacha l'y attend déjà depuis un bon moment. Les deux jeunes femmes se font la bise et Swan s'installe.

"-Quelle chaleur aujourd'hui, commenta Swan.

-Ouais, je n'arrêtes pas de transpirer aujourd'hui, dit Natacha.

-Je m'attendais pas à ce qu'il fasse aussi moche par contre, du coup, je suis sortie en tongs, dit Swan, consciente que sa copine allait se moquer.

-Hahaha ! Ma pauvre Swan, rit Natacha en regardant sous la table.

Le serveur leur donne leur boisson respective et s'en va.



Swan connait ce serveur, à chaque fois qu'elle vient, c'est lui qui la sert. À force, ils ont finit par se parler, prendre un verre ensemble, etc... Mais sans plus, Swan le connait à peine et cela lui va bien.



Après un long après midi à blablater avec sa copine, il est temps pour Swan de rentrer chez-elle. De toute façon, le café ferme.



Hugo, est un jeune serveur d'un bar à Paris. Cela fait maintenant quelques mois qu'il a rencontré une jeune fille qui vient souvent boire un coup dans son bar. Souvent accompagnée d'amies, Hugo n'a que rarement l'occasion de lui parler, malgré quelques échanges amicaux entre eux.



Hugo a toujours observé les chaussures de cette cliente nommée Swan. Suite à l'hivers qui vient de passer, Hugo n'a jamais eu l'occasion de voir ses pieds, celle-ci préférant le confort des bottes fourrées. À chaque fois qu'elle rentrait dans le bar, le regard d'Hugo s'était dirigé vers ses pieds qu'il espérait tant voir un jour.



En ce début Juillet, le fantasme d'Hugo passe rapidement au stade supérieur. Aujourd'hui, sa cliente préférée est en tongs ! Elle est assise à une table avec son amie. Hugo reste au comptoir, servant quelques tables de temps en temps, ce qui lui permet d'observer pleinement les pieds de sa chère désirée.



Les orteils de Swan sont ni potelés, ni squelettiques, juste normaux. Ses ongles sont peints d'un verinis bleu qui ajoute du charme à ce peton. D'après les estimations d'Hugo, Swan fait environ du 39. L'admirateur a même droit à quelques secondes de vues sur sa plante : la plante de Swan est creuse, suivant parfaitement le trajet du reste du pied, courbée et majestueuse, une seule envie viendrait à n'importe qui : chatouiller cette petite merveille. Pour finir le talon de Swan est un peu sec, mais rien de bien grave, c'est ce qui arrive au contact du talon contre la semelle rude de la tong.



Le soir après le travail, Hugo a la chance se sortir en même temps que Swan, qui est seule. Celui-ci suit la jeune fille qui est seule. Il peut désormais observée ses jolies plantes, se courbant au rythme de ses tongs qui battent au sol, puis contre le talon, au sol, puis contre le talon, etc...

À chaque pas, la plante de de Swan se courbe, faisant se languir Hugo qui be demande qu'à la chatouiller et jouer avec ses petons.



Désormais pris d'un sentiment amical, plus que d'une pulsion fantasmée, Hugo presse le pas et se met au niveau de Swan.



"-Salut, dit-il en surprenant la jeune fille.

-Oh salut ! Dit Swan, alors ça va ?

-Un peu fatigué mais ça va, dit Hugo, et vous ?

-Ça va, affirme Swan, tu peux me tutoyer tu sais.

-Ah oui désolé c'est le professionnalisme quie prend le dessus. Comment tu m'as dit que tu t'appelais déjà ? Demande Hugo en faisant mine de ne pas penser qu'à elle.

-Swan, dit-elle, toi c'est Hugo c'est ça ?"

Le barma hoche la tête.

"-Ça te dirait que je te paye un verre ce soir ? Demande Hugo.

-J'ai encore mieux, dit Swan, ça te dit de passer prendre un verre chez moi ?

-Ok pas de soucis, dit Hugo tout fier.

-Ca ne risque pas d'embêter 'Madame Hugo', plaisanta Swan.

-Oh y a pas de 'Madam Hugo', dit le barman en souriant."

Les deux remontent donc me boulevard Diderot, en route vers chez Swan, ce qui serait, pour Hugo, l'occasion rêvée pour la chatouiller.



Les deux nouveaux 'amis' entrent dans l'appartement. Celui-ci est de taille moyenne, asses pour vivre seul.

"-Installe toi propose Swan en accrochant la veste d'Hugo dans le couloir."

Hugo se pose sur le canapé dans ce qui s'apparente à un salon. Suite à cela, Swan déambule partout dans la maison à la recherche de boissons. Hugo ne peut s'empêcher de remarquer qu'elle porte toujours ses tongs qui frottent le sol à chaque pas, créant ainsi un bruit reconnaissable.



Swan revient avec des verres et quelques boissons sans alcool.

"-J'ai du rhum si tu veux, dit elle.

-Je ne dis pas non, dit Hugo, si tu veux, je peux te concocter un cocktail.

-Bonne idée, dit Swan en souriant.

-Mais juste avant où sont les toilettes s'il te plait ? Demande le barman."

Swan le guide jusqu'à la salle de bain. Hugo en profite pour chercher des somnifères, prétextant un besoin natuerel.

Bingo ! Il en trouve un !

Celui-ci revient ensuite à la cuisine et mélange les boissons et bien-sûr, le somnifère est de la partie. Il découpe une rondele de citron pour chaque verre et Swan est conquise.



Elle semble se régaler, mais le somnifère commence à faire effet. Au bout d'une demi-heure, celle-ci dort complètement, l'occasion pour Hugo de passer à l'action.



Swan se reveille lentement. Elle a les paupières lourdes et peine à les ouvrir. Elle se sent allongée, les bras tendus. Elle essaye de rabattre ses bras vers elle, mais n'y parvient pas. Lorsqu'elle ouvre les yeux, elle n'a aucune notion du temps. Elle ne souvient pas s'être endormie. L'ouverture de ses yeux lui permet d'en savoir plus sur sa situation. Swan est allongée sur le ventre par terre, les bras attachés aux pieds du lit en Y. Swan essaye de se défaire de ses liens mais n'y parvient pas. Mais lorsqu'elle tire sur ses liens, elle a le réflexes d'essayer de rabattre ses orteils, mais celle-ci n'y parvient pas. Pourtant, elle sent toujours la tige en plastique entre ses orteils. C'est alors qu'elle se rend compte que ceux-ci sont courbés et que ses plantes forment une arche exposée à l'air libre. Swan commence à stresser...

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