Histoire : La salle d'SVT

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Histoire


Histoire ajoutée le 29/11/2006
Épisode ajouté le 29/11/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

La salle d'SVT

Coucou, attention je ne suis pas nouvelle ! Je n'est pu poster de message sur ce site car il buggait depuis bien longtemps mais si vous regardez plus loin, vous verrez pas mal de message de "torturalétapur"...c'est moi ! Je suis sure que je vous ai tous manquer et que vous avez pensez chaque jour à  moi (hem, attendez je vais chercher les calmants...) Bref ! LE RETOUR !
J'avais il y a longtemps commencer un histoire ! Voici la fin ! Et...sachez que je suis très très heureuse de pouvoir a nouveau poster des messages...je vous adore !  :love:

- Les anticorps combattent les antigènes…
Je me fichais éperdument du cours du professeur d'SVT, tout autant des anticorps, antigènes et défenses immunitaires.
Je tournai la tête pour sourire à  mon voisin, Louis, je l'aime, plus que tout. Nous sommes au dernier rang, certes, nous sommes jeunes, trop jeunes pour cet amour si grand peut être…Je fis malicieusement tomber mon stylo par terre, il me regarda en jouant l'ignorant et se baissa pour ramasser mon matériel.
Je me penchai également, sous la table, un long baiser langoureux eu lieu. Nous nous arrêtions et relevâmes la tête, il me chatouilla le menton. (J'ai oublié de préciser que cette histoire est interdite au moins de 37 ans).
- Yria Hirtou ! meugla la prof, au premier rang, et ne faite pas l'innocente ! A côté de Julie. Tu me feras la page 34 sur le sida pour demain matin, dans mon casier.
En rangeant mes stylos dans ma trousse, mon collier tomba par terre, il s'était encore décroché. C'était un demi-cÅ“ur. J'avais offert l'autre moitié à  mon futur mari, il y a six ans. Bien sur, attendre le prince charmant durant six ans sans qu'il montre de signe de vie m'avait fit sortir avec Louis : beau, fort, parfais, pour moi.
Sans faire attention, Louis lui donna un coup de pied qui fit glisser l'objet dans une petite pièce au fond de la salle, réservée aux plantes.
- Désolé ! répondit-il visiblement gêné.
Tant pis, je le récupérerais à  la fin de l'heure. Je pris place à  côté de Julie. C'est une bosseuse, avec de grosses lunettes, elle ne voit rien sans. D'ailleurs, un jour, je les lui avais enlevées, elle ne m'avait pas vue. Quel éclat de rire, elle s'est pris un arbre. Louis a caché les lunettes, devinez où ? Dans son sac.
L'heure passa.

Quand la sonnerie résonna dans ma tête je rangeai en quatrième vitesse mes affaires puis courus dans la petite salle avec Louis. Je me mis à  quatre pattes à  la recherche de mon bien. Louis vient à  la rescousse. Je le trouvais, il était en dessous d'une table sur laquelle de drôles de plantes reposaient. Je tendis la main et refermai mes doigts  sur le pendentif. Une porte claqua.
Je tournai la tête et aperçus la porte de la salle d'SVT se fermer et entendis la serrure tourner.
- Zut ! lâchai-je en plus grossièrement.
Louis se releva, quitta la petite pièce et tourna lentement la poignée.
- Nous sommes enfermés.
- Oh non !
Je remis le collier à  mon cou.
Comment avais-je pu être aussi bête ? Me laisser fermer la porte au nez ?
- Bon ! Bah…
- On a plus qu'à  patienter deux heures.
- Pffffffffffffff !
En effet, le temps de la cantine durai en moyenne deux heures, les couloirs étaient donc vides, les classes aussi : inutile de crier. J'avais un peu peur. Je passai la main sous mon tee-shirt pour serrer mon cÅ“ur. Je l'amusai à  zigzaguer entre les tables d'SVT, grandes, larges.
- Regardes, lançai à  l'intention de mon camarade.
Je ramassai un papier froissé sous la chaise de Lucie, le déchiffonnai. Il y avait des écritures, je reconnue celle de Lucie : belle, L bien ronds et Y bien cornus. Il y avait marqué « je t'aime Paul ». Paul était un garçon très gentil de ma classe. Avec Louis, nous écrivîmes sur des petits papiers : Lucie aime Paul. Nous en fîmes des avions et les lancèrent par la fenêtre.
En riant de notre mauvaise blague, j'aperçus des cordes dans le sac de Louis.
- Que font ces cordes dans ton sac ?
- Hi hi, je les aie piquées au prof. de gym…
Il semblait gêné. J'eu une idée, pourquoi ne pas le chatouiller, un fantasme que j'ai depuis longtemps, six ans.
- Tu as révisé ton brevet ? me demanda-t-il pour lancer la discussion.
- Non…euh…j'ai un jeu pour faire passer le temps, on s'amuse à  s'attacher !
- Pour quoi faire ?
- Comme ça, pour faire des nÅ“uds…
J'attendais en soufflant sa réponse.
- Ok ! Tu commence !
Je m'allongeai sur la table, dos à  celle-ci. Louis sortit les cordes et m'attacha en « X », les deux poignets et chevilles de part et d'autre de la table.
- Essai de te détacher pour voir…
Je bougeai comme je pouvais, mais impossible de me détacher.
- C'est ok !
- Yria… demanda-t-il.
- Oui ?
- Est-ce que tu m'aime ?
- Bah…bien sûr ! (les hommes…)
Il se dirigea vers son sac et le posa sur une chaise à  côté de moi. Il en sortit deux plumes. Non ! C'était impossible, à  part celui à  qui j'avais donné le cÅ“ur, personne ne connaissait mon secret et mes points hypersensibles. Je portai un débardeur, une jupe et des fines chaussures. Il retira mes escarpins et mon montra les plumes.
- Je sais ce que tu avais l'intension de faire, tu voulais me chatouiller, tu vas être punie.
- Quoi ? Tu blague j'espère !
- Et non…

Il commençait à  faire des ronds sur mes pieds, avec ses plumes. J'explosai de rire.
- Non ! Non ! Ha ! Ha ! Arrête !
J'avais beau essayer de bouger, rien n'y faisait, j'étais prise à  mon propre piège, coincée comme un rat.
Il s'arrêta, j'étais en sueur, il grimpa sur la table et s'assit sur mes hanches. Il commença par mes aisselles, les deux. Je riais comme une folle.
- Non ! Non ! Non !
Je savais que supplier ne le faisait que recommencer mais bon. Il s'attaqua aux côtes, puis au ventre, puis alterna. Après je ne sus combien de temps, il fit des échanges : côte-aisselle ou  aisselle-ventre.
Il s'installa devant mes pieds et sortit de je-ne-sais-où un plume à  bout pointu. Pendants très longtemps, il me fit hurler de rire. Quand j'y repense est-ce que j'ai vraiment détesté ?
De plus mes suppliques de faisaient, rien, je ne pouvais que bouger comme une malade.
Au bout d'un moment, ma main se libéra tant j'avais tiré dessus. Dans un élan, je donnai une claque à  Louis et me libérai.
- T'es vraiment con !
Je me dirigeai vers la porte et l'ouvrait. Elle n'était pas fermée, il m'avait mentie. Il me sauta dessus et me plaqua au sol. Quand je me retournai. Mon collier s'emmêla avec le sien. Je tirai, les deux se cassèrent. Il représentait aussi un demi-cÅ“ur. En tremblant, j'en pris un dans chaque main, ils allaient parfaitement ensemble. Je sautai sur Louis et l'embrassai. Je ne m'arrêtai pas, même quand la prof d'SVT entra.

J'espere que ça vous aura plu !

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